An independent research lab exploring new mediums of thought and expanding the imaginative powers of the human species.
Comment utiliser Midjourney ? Source https://www.justgeek.fr/midjourney-103743/
Pour générer des images avec Midjourney, suivez attentivement les quelques étapes ci-dessous.
Si ce n’est pas déjà fait, commencez par créer un compte Discord (gratuit).
Ensuite, rendez-vous sur le site web de Midjourney et cliquez sur « Join the Beta ».
Vous recevrez alors une invitation pour rejoindre le serveur Discord de Midjourney, que vous pourrez accéder depuis l’application Discord sur votre smartphone ou votre ordinateur, ou directement dans votre navigateur Web.
Une fois sur le serveur Discord, cliquez sur un salon #newbie et tapez votre « prompt » (instruction pour l’IA sur l’image que vous souhaitez générer) en utilisant la commande /imagine suivie de votre demande.
Par exemple, si vous voulez un chat cosmonaute dans un style réaliste en 4K, vous pouvez taper /imagine 4K realist cosmonaut cat. Essayez de construire votre demande de manière à ce qu’elle ressemble à une recherche Google, en précisant bien le sujet, le style que vous cherchez, et éventuellement l’angle, le cadrage, la lumière ou les couleurs que vous souhaitez. De plus, notez que pour obtenir des résultats plus précis, il est recommandé d’écrire vos prompts en anglais.
Note importante : Il est important de bien choisir vos prompts car la version gratuite de Midjourney ne vous permet que 25 tentatives. Si vous voulez continuer à utiliser l’IA après avoir épuisé votre quota, vous devrez payer 10$ par mois pour 200 prompts, ou 30$ pour une utilisation illimitée (et la création d’un nouveau compte Discord).
Si aucune image ne vous convient, vous pouvez cliquer sur le symbole pour relancer la génération d’images ;
Si une image vous plaît mais que vous pensez qu’elle pourrait être améliorée, vous pouvez cliquer sur le bouton « V » (pour « Variation ») et choisir une des images proposées ;
Si une image vous satisfait, vous pouvez cliquer sur le bouton « U » (pour « Upscale ») pour obtenir une version de meilleure qualité.
We’ve trained a neural network called DALL·E that creates images from text captions for a wide range of concepts expressible in natural language.
Retrouvez notre test de 26 jus d'orange ici
00:07 Quels jus avons-nous analysés ?
00:25 Jus frais ou a température ambiante ? => même goût et équivalent nutriotionnellement, souvent au rayon frais vendu plus cher
01:01 Pur jus ou à base de concentré ? => a priori pur jus s'annonce meilleur mais dans les résultats c'est pareil...
01:28 Que valent les jus pressés à froid ? => argument marketing, produits vendus plus chers
01:58 Que penser des jus désucrés ? => la différence est perceptible au goût, effectivement moins sucré que les autres mais ne pas en faire notre boisson quotidienne, ça reste sucré
02:43 Et le jus pressé maison ? => on sent vraiment la différence au goût et côté nutritionnel. Privilégié des oranges bio produites en Europe.
Les voitures électriques ont représenté plus d'une immatriculation sur dix en 2022. Voici les modèles plébiscités par les Français.
1 Peugeot e-208 19.222
2 Dacia Spring 18.326
3 Tesla Model 3 17.005
4 Renault Mégane 15.580
5 Fiat 500 15.163
6 Renault Twingo 12.655
7 Renault Zoé 12.182
8 Tesla Model Y 11.892
9 Peugeot e-2008 7.174
10 Hyundai Kona 6.522
'On ne s’est pas trompé de date ?' - Où l’on suit une chanson qui voyage à dos d’hirondelle. Racontée par Bohdana Liashuk.
Originale ukrainienne
https://m.youtube.com/watch?t=14&v=0UmvUy1LziE&feature=youtu.be
Version John Williams
https://www.youtube.com/watch?v=RGqVS6ONO4Y
'Des colis qui ne manquent pas d’R' - Où l’on rencontre des chercheuses en solutions. Racontée par Citeo.
Hipli
emballage ultra résistant qui se replie et se glisse dans une boîte aux lettres, une fois le colis déballé.
Ainsi remis en circulation, il peut resservir au moins cent fois. Dans le e-commerce, de nombreuses entreprises adhèrent à cette solution, réduisant ainsi de 83 % l’empreinte carbone de leurs colis, tout en évitant 25 kg de déchets pour chaque emballage réutilisable.
le numéro spécial sur l’économie circulaire
Face aux défis d'une recharge de véhicules électriques plus simple, Mercedes participe au lancement d'un robot innovant dans cette fonction.
Une partie non négligeable de la population semble détester la voiture électrique. Y a-t-il des raisons rationnelles à cela ?
Si vous lisez régulièrement Automobile Propre c’est que vous êtes probablement un utilisateur convaincu de la voiture électrique, et peut-être même de longue date. Mais il se peut aussi que vous veniez ici pour vous documenter en vue d’une « conversion » prochaine à l’électrique. Autre cas de figure, vous parcourez ces pages par simple curiosité, afin d’enrichir vos connaissances sur le sujet, sans projet précis ni immédiat.
Ou alors vous faites partie de ceux qui détestent cordialement tout ce qui touche la voiture électrique, mais vous ne pouvez vous empêcher de venir voir ce qui se passe car le sujet vous fascine autant qu’il vous agace. Ne serait-ce que pour le plaisir de troller ? Mais non, voyons.
Quoiqu’il en soit, alors que les ventes de voitures électriques ne cessent de croître, on entend de plus en plus cette petite musique qui consiste à dénigrer ce type de motorisation, son écosystème et tout ce qui a un rapport avec l’électromobilité. On dirait même que cette musique joue de plus en plus fort avec la progression des parts de marché de la voiture électrique.
Résistance au changement ? Allergie à l’innovation ? Soupçons autour d’un mode de déplacement « pas si propre que cela » ? Autres raisons ?
Si à Automobile Propre nous sommes des électromobilistes convaincus – pas forcément pour les mêmes raisons ni avec les mêmes attentes – il n’en demeure pas moins que nous sommes à l’écoute des voix divergentes. Nous sommes aussi parfaitement conscients qu’aucun mode de propulsion n’est totalement « propre », et que la meilleure voiture est celle qui ne roule pas (bonjour tristesse). Sans pour autant renier le fait que la voiture électrique soit certainement la moins « sale ».
Alors, pourquoi certains semblent-ils développer une allergie viscérale à la voiture électrique ? Voici quelques hypothèses, qui n’engagent que nous bien évidemment.
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Voiture électrique, pourquoi tant de haine ?
Eric Dupin / 29 Nov 2022 11:00 / 142
Zone Verte
Jeune femme en colère
Une partie non négligeable de la population semble détester la voiture électrique. Y a-t-il des raisons rationnelles à cela ?
Si vous lisez régulièrement Automobile Propre c’est que vous êtes probablement un utilisateur convaincu de la voiture électrique, et peut-être même de longue date. Mais il se peut aussi que vous veniez ici pour vous documenter en vue d’une « conversion » prochaine à l’électrique. Autre cas de figure, vous parcourez ces pages par simple curiosité, afin d’enrichir vos connaissances sur le sujet, sans projet précis ni immédiat.
Ou alors vous faites partie de ceux qui détestent cordialement tout ce qui touche la voiture électrique, mais vous ne pouvez vous empêcher de venir voir ce qui se passe car le sujet vous fascine autant qu’il vous agace. Ne serait-ce que pour le plaisir de troller ? Mais non, voyons.
Quoiqu’il en soit, alors que les ventes de voitures électriques ne cessent de croître, on entend de plus en plus cette petite musique qui consiste à dénigrer ce type de motorisation, son écosystème et tout ce qui a un rapport avec l’électromobilité. On dirait même que cette musique joue de plus en plus fort avec la progression des parts de marché de la voiture électrique.
Résistance au changement ? Allergie à l’innovation ? Soupçons autour d’un mode de déplacement « pas si propre que cela » ? Autres raisons ?
Si à Automobile Propre nous sommes des électromobilistes convaincus – pas forcément pour les mêmes raisons ni avec les mêmes attentes – il n’en demeure pas moins que nous sommes à l’écoute des voix divergentes. Nous sommes aussi parfaitement conscients qu’aucun mode de propulsion n’est totalement « propre », et que la meilleure voiture est celle qui ne roule pas (bonjour tristesse). Sans pour autant renier le fait que la voiture électrique soit certainement la moins « sale ».
Alors, pourquoi certains semblent-ils développer une allergie viscérale à la voiture électrique ? Voici quelques hypothèses, qui n’engagent que nous bien évidemment.
La voiture électrique est un truc de bobo
Si l’on fréquente un peu réseaux sociaux et forums, on rencontre ce genre de remarque de plus en plus fréquemment. Sans exactement savoir ce que contient ce terme, on sait que « bobo » (étymologiquement « bourgeois bohème ») est souvent utilisé dans un sens péjoratif, symbolisant à la fois une certaine aisance financière, un habitat urbain de « grandes villes » assortis d’une pointe d’arrogance, voire de mépris de classe. Bref, l’antithèse du gilet jaune, qui lui représente la France des territoires et de la périphérie. Et de la voiture diesel. Si le constat est probablement erroné, son interprétation est sans appel : le possesseur de voiture électrique est la parfaite cible de toutes les rancœurs.
La voiture électrique est un truc de riche
Une remarque qui rejoint un peu la précédente, de façon légèrement plus clivante. Fidèle à la tradition de lutte des classes qui contribue toujours à animer le débat public dans notre cher pays, la ligne de démarcation entre « France d’en bas » et « privilégiés » se trace aussi dans les discussions autour de l’électrique. Il faut reconnaitre cependant que ce n’est pas tout à fait faux, et que proposer des voitures « potables » – c’est à dire suffisamment équipées et capables d’emmener une famille en vacances sans avoir à recharger tous les 120 km – coûtant au bas mot entre 35 000 et 60 000 euros dans un pays où nombre de nos concitoyens peinent à entretenir une vieille thermique de 2005 avec un SMIC à 1600 euros peut presque être vu comme une provocation. Patience, des modèles abordables arrivent, et ils coûteront moins cher à l’entretien et au roulage que leurs équivalents thermiques.
La voiture électrique est un truc chinois
Notre rapport à la Chine à travers son industrie est très ambigu. Nous adorons détester leur « soft power » mais nous nous ruons comme des morts de faim sur les promotions du Black Friday, où la plupart des produits vendus proviennent directement ou indirectement (via Amazon) de l’Empire du Milieu. Idem pour la voiture électrique : nous pointons l’invasion chinoise à venir, mais nous réclamons en même temps des véhicules bon marché. C’est tout le paradoxe de la MG4 ou de la Dacia Spring, qui représentent parfaitement cette petite schizophrénie automobile.
La voiture électrique est l’invention d’Elon Musk, le démon en personne
S’il est une personnalité clivante, qui représente tout ce que nous adorons détester, a fortiori depuis qu’il a viré les trois quarts du personnel de Twitter par e-mail, c’est bien Elon Musk. Or, son nom est désormais indubitablement, intimement et éternellement lié à l’avènement de la voiture électrique auprès du grand public. Une voiture chère et légèrement marquée d’un point de vue sociologique (voir premier et deuxième paragraphe ci-dessus) qui est détestée par plusieurs catégories de personnes : celles qui n’aiment que les fumantes, celles qui conchient l’overdose de puissance, les écolos purs et durs, et celles qui aiment l’électrique mais ne jurent que par un design léché et des finitions de style haute couture. Mine de rien, même si les Tesla se vendent très bien, ça fait quand même un peu de monde du côté des contempteurs de l’électrique.
La voiture électrique n’est pas écologique
Ce refrain est certainement le plus entendu, avec souvent une petite pincée de mauvaise foi. Certes, aucune voiture n’est totalement écologique mais on ne peut nier que l’électrique est ce qui se fait de « moins pire » quand on parle de l’impact environnemental au roulage. Et il semblerait que réduire les émissions de gaz à effet de serre soit l’urgence officielle et absolue par les temps qui courent. Dans cette logique, rouler en voiture électrique reste la moins mauvaise des solutions, même si elle n’est pas parfaite. A chaque époque ses priorités, non ? Reste la question de l’extraction des minerais et autres terres rares pour la fabrication des batteries, et le recyclage de celles-ci. Là aussi il reste des progrès à faire, mais on avance, et surtout il se raconte beaucoup de bêtises sur le sujet.
La voiture électrique va ruiner notre capacité énergétique
Le sujet est on ne peut plus d’actualité, et les questions qui se posent autour de la capacité à fournir l’électricité pour des millions de voitures électriques peuvent sembler légitimes. A fortiori en ces temps de crise et de pénurie annoncée ne serait-ce que pour faire cuire des pâtes al dente ou prendre une douche tiède. Mais les différents rapports sur le sujet sont sans ambiguïté : une fois revenue à la normale, la fourniture d’électricité permise par notre parc nucléaire devrait être suffisante à l’horizon 2035, même avec 15 millions de voitures électriques sur les routes. Ou alors RTE et l’AVERE racontent n’importe quoi, ce qui paraitrait quand même assez improbable. Après, on est d’accord, même les meilleurs peuvent se tromper.
La voiture électrique manque d’autonomie
Sachez-le, il existe des personnes qui se targuent de « faire 1000 km d’une traite » avec leur diesel. Pour elles, forcément, une voiture électrique, même avec 500 km d’autonomie, sera toujours une hérésie. Alors avec 350, n’en parlons pas. Mais pour l’immense majorité, celle qui de toute façon fait une pause toutes les 2 ou 3 heures, cela devrait être suffisant, sachant que les réseaux de recharge haut débit se développent désormais avec un rythme soutenu de plusieurs ouvertures chaque mois sur tout le territoire. Tesla, Ionity, Electra, Fastned, Bump, Power Dot, TotalEnergies, Engie, Izivia et autres, tous les acteurs sont au taquet et les ouvertures vont se multiplier et représenter des milliers de points de charge supplémentaires dans les mois à venir. Pendant que notre conducteur diesel aux mille bornes soignera son lumbago, sa sciatique et sa vessie.
La voiture électrique manque de transparence
Là on ne peut pas donner tort à ceux qui font ce reproche. Entre les tarifs des stations de recharge au kW ou à la minute où rien n’est indiqué, les autonomies très optimistes annoncées par les constructeurs, le flou des normes WLTP et EPA, les chiffres de puissance de recharge un peu fantaisistes et l’absence d’information sur la disponibilité des bornes par les opérateurs, on peut dire que le petit monde de la voiture électrique reste un truc assez opaque, voire limite ésotérique pour le consommateur moyen. Si l’on veut évoluer vers plus de transparence, tous les acteurs du métier vont devoir se retrousser les manches et travailler de concert en fournissant de l’information fiable Ou, tout simplement… de l’information.
En conclusion
Le domaine de la voiture électrique est toujours en phase de maturation, et comme tous les marchés émergents, c’est encore un secteur fait d’incertitudes et de fantasmes où l’irrationnel et les croyances le disputent aux faits et à la science. Inutile de blâmer qui que ce soit, chacun a sa part de responsabilité, qu’il s’agisse des constructeurs et de leur communication, des opérateurs de recharge, des médias et du public. Il y a donc encore un peu de travail pour que ceux qui détestent la voiture électrique changent d’avis et l’adoptent de leur plein gré et sans coercition.
En gros il reste 12 ans.
Une nouvelle étude s’est intéressée aux habitudes d’usage et de recharge des conducteurs de véhicules électriques.
Enedis vient de publier les résultats de sa troisième étude sur le comportement des utilisateurs d’autos branchées. Elle a été menée auprès de 1000 propriétaires de véhicules électriques et hybrides rechargeables, avec une répartition semblable à celle du parc actuel de véhicules électrifiés (ce qui a donné 63 % d’électriques, 37 % d’hybrides).
L’enquête confirme l’évolution de l’usage de la voiture 100 % électrique. Pour 75 % des sondés, c’est le véhicule principal du foyer, une progression de 10 points par rapport à 2020. L’auto est utilisée en moyenne 6 jours par semaine (et même tous les jours pour 45 % des répondants). La distance moyenne parcourue au quotidien est de 42 km, un résultat stable par rapport à la précédente enquête. Pour les habitants de zone rurale, c’est 46 km. A noter que l’usage du véhicule électrique en dehors des trajets du quotidien progresse de 9 %, preuve que les Français commencent à faire confiance à ces modèles pour partir plus loin.
D’ailleurs, Enedis indique que la place de la borne publique pour la recharge prend de l’importance. 40 % des répondants en utilisent au moins occasionnellement. Mais ce type de recharge reste largement minoritaire dans les habitudes des conducteurs. L’étude confirme qu’une très grande majorité (85 %) des recharges principales se fait à domicile. Au point que 65 % des conducteurs qui n’utilisent pas de bornes publiques déclarent ne pas avoir besoin de ce type d’infrastructures. Mais il en faut pour ceux qui habitent notamment en immeuble. Avec eux, la recharge à domicile ne représente que 49 % des recharges.
A noter que les Français ne veulent pas jouer avec le feu. Moins d’un sur cinq lance la recharge quand la batterie passe sous la barre des 20 % de charge. 41 % branchent quand il reste 20 à 39 % d’autonomie, 26 % entre 40 et 59 %. La recharge du véhicule électrique s’intègre bien dans le foyer, car peu de personne ont revu à la hausse la puissance de leur contrat d’électricité. Le rapport confirme que les conducteurs vont favoriser la nuit pour profiter des prix heures creuses.
Dans son dernier baromètre, l’Avere donne le taux de disponibilité des points de recharge.
Chaque mois, l’Avere (l’association nationale pour le développement de la mobilité électrique) publie, en collaboration avec le ministère de la Transition Ecologique, son baromètre des infrastructures de recharge ouvertes au public.
Au 31 octobre 2022, il y avait 75.279 points de recharge, contre 71.630 au 30 septembre. Cela fait désormais 112 points pour 100.000 habitants. Par points, on parle du nombre de prises disponibles et non du nombre de stations. Ce dernier est de 28.737 à fin octobre.
L’Ile-de-France reste très avantagée, avec plus de 200 ouvertures de stations au cours du mois d’octobre, ce qui porte son total à près de 4.000 (3.951 pour être précis). Cela donne plus de 14.200 points de recharge pour cette région, soit 1.200 de plus en quelques semaines !
Vaste territoire, l’Auvergne-Rhône-Alpes est sur la deuxième place des régions les mieux dotées, avec 3.624 stations et 8.930 points. Vient ensuite l’Occitanie (3.184 stations, 7.559 bornes).
35 % des points se trouvent au niveau de commerces, 34 % sur des parkings, 26 % sur la voirie. Une large majorité (55 %) correspond à des bornes courant alternatif triphasé 7,4 à 22 kW. 35 % sont des points courant alternatif monophasé jusqu’à 7,4 kW. La recharge rapide se fait donc encore rare. 6 % seulement des points dépassent 50 kW.
Plus intéressant, l’Avere donne des données sur l’usage des points de recharge. Toutes puissances confondues, les points ont fait en moyenne 14 sessions de recharge sur l’ensemble du mois. Ce qui ne fait même pas une toutes les deux jours ! S’il y a eu une baisse après le pic estival, lié à la période de départ en vacances (16 sessions par point en juillet), il faut noter que le taux d’utilisation a doublé en un an. Il était de 7 sessions par mois en octobre 2021. Et dans le même temps, le nombre de points a augmenté de 53 %. Preuve que la mobilité électrique se développe.
Pour la première fois, l’Avere communique aussi un taux de disponibilité. Un point est considéré comme disponible s’il n’est ni en maintenance, ni hors-service. Une donnée intéressante pour répondre aux critiques sur l’état des bornes !
Ce taux est de 82 %. Les bornes sont donc indisponibles 18 % du temps. De quoi donner du grain à moudre à ceux qui ne veulent pas d’une électrique car les bornes sont trop souvent HS. Cela va toutefois plutôt gêner ceux qui se lancent dans de grands trajets, puisqu’environ 9 recharge sur 10 se font à domicile.
Mais il est vrai que cette valeur d’indisponibilité est élevée et qu’il y a des progrès à faire pour les opérateurs, d’autant qu’il y a souvent cette mauvaise surprise de la borne HS au dernier moment.
Même si les données relayées ici sont des moyennes, des stations pouvant être plus en panne que d’autres ou victimes de vandalisme, nos journalistes habitués aux périples en électrique rencontrent bien de temps en temps des bornes non disponibles, ce qui est moins souvent le cas avec une pompe à essence… du moins quand il n’y a pas de pénurie de carburant !
Innovant? Et comment! On ne présente plus le campus universitaire Georges-Méliès, à La Bocca, tant il fait parler de lui.
Le complexe, implanté au cœur du pôle technopolitain Bastide rouge, a d’abord été présélectionné parmi 300 sites identifiés pour figurer dans le classement 2022 des "25 lieux qui changent l’innovation en France" établi par la Banque des Territoires (groupe Caisse des Dépôts), France Urbaine, le groupe Patriarche et JLM Conseil.
Puis il a été classé parmi les vingt-cinq premiers.
D’ailleurs, Cannes est l’unique ville du département des Alpes-Maritimes à y être représentée.
1100 étudiants et 15 start-up
Sur quel critère se base ce classement? La capacité à dynamiser des écosystèmes locaux. Cette étude permet alors de valoriser ces initiatives, économiques, attractives et porteuses d’emploi.
Il faut dire que le campus, étendu sur quatre hectares, permet la fertilisation croisée des connaissances et favorise l’échange permanent entre étudiants, chercheurs et entrepreneurs.
Pour rappel, se trouvent sur le site une université (1.100 étudiants pour 36 formations proposées), 15 start-up, des studios de montage, de tournage et de production audiovisuelle, ainsi que Cineum, un cinéma multiplexe haut de gamme de dernière génération (Imax, ScreenX), composé de 12 salles.
"Que de chemin parcouru pour notre ville! Les formations qu’il propose répondent à un besoin concret des professionnels du cinéma et de l’audiovisuel qui s’installent ici à Cannes", a réagi le maire David Lisnard dans un communiqué. En témoigne, selon lui, "l’implantation du leader européen du son et de l’image, Novelty Magnum Dushow, qui confirme la pertinence de notre vision « Cannes on Air" ».
lutte, entre autres, contre la surpêche
s’est donné pour objectif la préservation de l’environnement marin et la pêche durable.
Rejoindre Cannes, Antibes, Grasse, ou Sophia Antipolis, ou même Nice chaque matin, quand on habite dans l’ouest du département peut vite relever du parcours du combattant. Quels sont les temps de parcours pour aller au bureau? Les principaux points noirs? Quelles solutions pour fluidifier la circulation? Nous avons lancé un sondage en ligne, et vous avez été plus de 200 à répondre. Il donnera lieu à une série de reportages, dont voici le premier volet.
Vous avez donc été 208 à répondre à notre sondage sur la circulation dans l’ouest du département il y a quelques semaines. C’est dire si le sujet mobilise.
À la question "Qui mobilise-t-il?" justement, les données statistiques sont claires quant à la parité: un parfait 50-50… autant de femmes que d’hommes ont eu envie de répondre à notre petit questionnaire.
Des automobilistes entre 22 et 66 ans. Surtout des actifs donc, résidant sur le territoire Antibes-Cannes-Grasse avec une majorité d’Antibois impliqués.
Où vont-ils travailler chaque matin de la semaine?
La majorité à Sophia (61 personnes), mais 40 personnes parmi les sondés effectuent la trentaine de kilomètres qui les séparent de Nice. Nous avons également eu des travailleurs à Cannes (22), Antibes (20) et Grasse (15).
Donnée intéressante de ce sondage: le mode de déplacement. La grande "gagnante" reste la voiture (88,5%). Certains (autour de 4%) à vélo ou à deux-roues (en même temps, quand on circule à deux-roues, on se sent moins enclins à répondre à ce genre de sondage car on se faufile, n’est-ce pas!)Très peu en train (0,5%) ou en transports en commun (1,9%).
74% prennent la route pour aller travailler quand 1,9% roulent uniquement pour accompagner les enfants à l’école. Enfin 24% font les deux: ils déposent leurs têtes blondes et filent au boulot.
Combien de temps pour rallier l’autoroute?
Si 45,7% mettent moins d’une heure à rejoindre l’autoroute et 38,9% plus d’une heure.
Et quand il pleut, c’est l’enfer… Pour 88% des personnes sondées, la météo influe sur le trafic. Les motards laissent leurs deux-roues au garage, la route est détrempée, la visibilité parfois limitée et les automobilistes inquiets. Il y a davantage d’accidents.
Jours noirs pour circuler?
Nombreux sont ceux qui pointent du doigt les mardis et jeudis. Le début et la fin de semaine étant malgré tout extrêmement chargés. Le mercredi assurant une respiration.
Enfin des réponses assez édifiantes à la question: "Avez-vous testé... Le covoiturage, les transports en commun, le vélo..."
Si 17,3% ont tenté le covoiturage, 21,6% les transports en commun, 12,5% le vélo, 62% n’ont "rien testé de tout cela"...
Pourquoi? Une réponse revient souvent: "Inadapté" les horaires des trains et bus, le covoiturage s’avèrent plus contraignants que la voiture, "C’est clair, en voiture, j’arrive plus vite et de façon plus sûre sur mon lieu de travail. La voiture reste le moyen le plus pratique" nous dit cet Antibois. Quant au vélo: "Trop loin trop dangereux, et il n’y a pas de pistes cyclables…"
Dans une prochaine édition, nous verrons toutes les galères que vous avez vécues en voiture sur le secteur.
Mon commentaire : Le texte qui accompagne le graphique "combien de temps pour rallier l'autoroute" exagère le résultat et ne correspond pas au camembert. C'est plutôt "Si 45,7% mettent moins d’une DEMI-heure à rejoindre l’autoroute et 38,9% ENTRE UNE DEMI-HEURE ET une heure." C'est plus cohérent.
Fabien Rolland, pneumologue cannois, nous présente en exclusivité une application qu'il a créé le pneumoquiz. Récompensée par une palme de la médecine, cette application permet aux étudiants en médecine, jeunes médecins et professionnels, de se perfectionner dans le domaine de la pneumologie en s'affrontant via une série de 8400 questions . Un azuréen engagé pour faire évoluer la médecine et la rendre plus ludique.
Prévenir les risques
"Dans les Alpes-Maritimes, nous avons un groupement de la citoyenneté qui diffuse l’information préventive aux comportements qui sauvent. On a ainsi sensibilisé 40.000 personnes l’an dernier. Il faut aussi rappeler aux gens l’obligation d’avoir des détecteurs de fumée, suivant un nombre adapté à chaque logement. C’est important, ça sauve vraiment des vies!"
En cas d’incendie chez soi
"S’il se déclare chez vous et que vous évacuez - puisque c’est un réflexe -, il faut penser à fermer la porte de votre appartement. À chaque porte fermée, on retarde la croissance du feu, on limite les dommages et les risques d’intoxication aux fumées. Si vous êtes sorti, vous appelez les pompiers immédiatement."
Si on est pris au piège
"Si vous êtes piégé chez vous, vous rejoignez une fenêtre, vous appelez les pompiers et vous vous manifestez pour dire où vous êtes. Précisez bien où vous vous trouvez et combien de personnes sont dans l’appartement. Si vous en avez la possibilité, mettez un linge humide sous les portes pour ralentir la progression. Nous viendrons chercher les gens avec des échelles, avec une corde et un harnais, ou avec une cagoule de sauvetage. Et en ultime recours, nous avons désormais acquis des matelas de sauvetage. C’est issu d’un retour d’expérience, lorsqu’une personne avait été coincée sur son balcon [à Nice-Est en 2018]."
Si le feu se déclare en-dessous
"Il n’y a pas de réponse type. Si le feu est juste en-dessous, on se confine, on met des linges humides et on se manifeste à la fenêtre. Si le feu est en train de toucher l’appartement, on essaie d’évacuer. Mais il faut bien connaître son immeuble: quand on sort et qu’il y a de la fumée, on risque de mourir asphyxié... On préfère localiser les gens que les retrouver morts dans les escaliers!"
En cas de brûlure ou intoxication
"Si on est brûlé, il faut se passer la main sous l’eau 5 à 10 minutes sous de l’eau tiède. Si on a été intoxiqué, il faut se signaler aux sapeurs-pompiers à notre arrivée, pour une éventuelle assistance respiratoire ou une évacuation à l’hôpital. Quoi qu’on ait, si on a évacué de soi-même, il faut se signaler aux pompiers. Il faut aussi éviter les effets de panique: on évacue plus vite dans le calme qu’en se bousculant."
Recyclage déchets électriques : Ecologic est un éco-organisme agréé par l'Etat pour la collecte et le traitement des D3E
Découvert par vidéo Brut sponsorisé
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Un appareil électroménager en panne ? Prenez rendez-vous avec lacompagnie du SAV afin de réparer votre appareil en panne.
Découvert par vidéo Brut https://www.facebook.com/1757782394471400/posts/pfbid02TDbb1TX1t2eihrDdSbU8rHjAs7YqsVcphMw9QRWGDfLzmLsGJcyguixwQD6itJK4l/?app=fbl
Le Label QualiRépar atteste d’un savoir-faire de qualité et de la fiabilité des réparateurs. C’est la signature d’acteurs engagés pour favoriser le réflexe réparation chez le consommateur, en prolongeant la durée de vie des appareils électriques et électroniques.
Découvert par vidéo brut la compagnie du SAV
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/!\ Comment utiliser cette carte /!\ 1 - Carte personnelle des stations que je juge fiables. 2 - Jouer avec les calques pour affiner vos catégories 3 - Légende : pas de pastille = ouverte pastille orange = construction confirmée pastille jaune = construction planifiée (suite AO par ex) pastille rouge = ko / maintenance programmée
Découvert par https://lehollandaisvolant.net/?id=20221209175209
Anthea Comellini, ingénieure italienne de Thales Alenia Space à Cannes, a été sélectionnée par l'Agence Spatiale Européenne la semaine passée. Elle fait partie des 17 astronautes choisis parmi 23.000 candidats.
"Ne pas y aller en touriste"
Il y a deux mois, elle a expliqué dans sa lettre de motivation ne pas craindre les déménagements et les changements d’environnement… Et surtout, s’est posée une question essentielle: "Si je suis retenue, est-ce que je suis capable d’aller jusqu’au bout?". La réponse a été oui. Et ça tombe bien.
Retenue dans un premier groupe de 1.350 sélectionnés sur dossier, elle a réussi l’étape des tests psychométriques en Allemagne, puis celle des tests psychologiques, où il ne restait que 400 candidats, "par exemple pour vérifier que l’on est capable de vivre loin des siens, avec des mises en situation".
Les cent derniers encore en lice ont ensuite subi une batterie de tests médicaux car la vie en orbite peut être contre-indiquée, sans oublier les facteurs psychologiques. Mais, là encore, Anthéa s’était préparée, notamment "à rester calme, et j’ai plutôt un bon souvenir de cette étape".
Réduite à cinquante membres, la cohorte d’astronautes potentiels a alors rencontré le jury de l’Esa, pour une ultime mise à l’épreuve de sa motivation… "Je leur ai expliqué que cela ne m’intéresserait pas d’aller dans l’espace en touriste, comme cela s’entend déjà parfois… Ce qu’on fait dans l’espace, pour moi, est positif, dans la mesure où cela aura des retombées pour l’humanité tout entière!" C’était en septembre dernier.
Un mois plus tard, la jeune femme faisait partie de la trentaine d’appelés à rencontrer le directeur général de l’Esa. "Et après un mois d’attente, dix-sept d’entre nous ont été contactés", se souvient, encore émue de la nouvelle, la désormais membre de la réserve des astronautes.
Si elle ne fait pas partie des astronautes de carrière, destinés à rejoindre dès à présent les rangs de l’Esa, elle se voit déjà dans le cosmos, à moyen terme.
"J’espère être contactée très vite pour aller m’entraîner sur le site de Cologne. Dans les années qui viennent, on va vivre un changement de paradigme, il y aura davantage de vols, des stations spatiales commerciales, donc il faudra avoir en permanence quelqu’un de prêt à partir!" Anthéa l’est déjà.
Marine Calmet a renoncé à devenir avocate, après avoir constaté que "le droit de l’environnement est structurellement défaillant". Une désillusion, au moment de rentrer dans sa vie professionnelle. À ses yeux, le droit occidental "permet une destruction de la nature, qui est seulement considérée comme une ressource inerte, à disposition des activités humaines".
Alors, la juriste a ouvert d’autres voies, bien plus personnelles, et s’est investie en Guyane française contre l’industrie minière.
En 2019, Marine Calmet a cofondé l’association Wild Legal, qui œuvre à la reconnaissance de "droits propres à la nature, les droits du vivant, des milieux de vie et des éléments naturels qui les composent, animaux, forêts, rivières…"
Une démarche inédite en France, mais qui vient de trouver une application concrète en Espagne, ce qui est une première à l’échelle de l’Union européenne. Pour Marine Calmet, il s’agit de poser des limites, en s’appuyant sur un nouveau cadre démocratique. Et de réellement protéger des écosystèmes menacés.
C'est la première semaine de dépistage de la myopie en France. Le trouble de la vision de loin touche quatre Français sur dix, et d'ici 2050 il pourrait en atteindre un sur deux. À Nice, une ophtalmologue donne des conseils pour tenter de limiter les risques d'aggraver la myopie.
Dans le cadre de la cession d'un bien immobilier et depuis le 1er janvier 2022, le contrôle du raccordement à l'aissainissement collectif est devenu OBLIGATOIRE sur la commune de Mougins.
Il sera demandé par le notaire, sans quoi la vente ne pourra être faite.
C'est Veolia qui est missionné par la CACPL pour réaliser le contrôle de conformité sur Mougins. Il est facturé 178,97€ TTC et doit être réalisé aussi bien pour les maisons que pour les appartements.
Ce nouveau contrôle supplémentaire consiste à vérifier que tous les rejets domestiques des installations intérieurs (toilettes, cuisine...) voir extérieures (lavage filtre piscine...) du bien immobilier sont correctement raccordés au réseau public des eaux usées (assainissement) et non au réseau des eaux pluviales / voir sur le terrain / ou sur la voie publique ; et inversement que les eaux pluviales ne se déversent pas dans le réseau d'assainissement (gouttières, vidange piscine...)
Astuce nettoyage pour enlever le tartre
1) Gros sel + un peu d'eau et secouer
=> retrouver les bouteilles comme neuve
2) Un goupillon ou une "éponge" et une grosse cuillère en bois
3) Des plombs de chevrotines ??
Source Groupe Facebook Gestion Budgétaire entraide et minimalisme
Les risques de coupures d'électricité en cas d'alerte rouge ECOWATT sont possibles en janvier sur Nice et dans tout le département des Alpes-Maritimes selon RTE. Mais ce ne sera que quelques heures par jour.
Quentin, un apiculteur amateur qui dispose de deux ruchers (à Coursegoules et à Gréolières-les-Neiges), souhaite alerter sur la présence du frelon asiatique dans le département. Et, surtout, sur les dangers qu’engendre la prolifération de cet insecte.
Même sujet France bleu azur
https://www.francebleu.fr/infos/environnement/le-frelon-asiatique-fait-un-carnage-chez-les-abeilles-en-ce-debut-d-automne-dans-les-alpes-maritimes-1669275532#xtor=RSS-106
Article complémentaire France bleu azur
https://www.francebleu.fr/infos/environnement/le-frelon-asiatique-tue-des-milliers-d-abeilles-sur-la-cote-d-azur-en-plein-mois-de-novembre-1669220793#xtor=RSS-106
Cette crainte a été relayée le 15 novembre sur Twitter par Mac Lesggy, le présentateur de l'émission "E=M6". Il évoque une "bulle d'air froid arctique beaucoup plus importante que l'année dernière, laissant présager, après une année anormalement chaude sur l'hémisphère nord, un hiver rigoureux" en s'appuyant sur ce post publié par un ingénieur en chimie.
Doit-on donc s'attendre à un "méga hiver"? Interrogé par nos confrères de France Info, le climatologue Christophe Cassou confirme bien la présence d'un vortex polaire, "une masse d'air froid ceinturée par des vents très puissants" qui se constitue actuellement au niveau du pôle Nord.
En revanche, le spécialiste explique que ce phénomène n'a rien d'"anormal" et qu'il ne peut pas en soi être considéré comme le signe précurseur d'un hiver rigoureux. Si l'air se refroidit au-dessus de l'Arctique, "c'est tout simplement parce qu'en hiver, il n'y a pas de soleil aux latitudes polaires".
À l'inverse, il précise qu'un vortex polaire favoriserait plutôt "des températures plutôt chaudes en Europe".
Quelles prévisions pour cet hiver, donc?
Météo France a publié un bulletin sur les grandes tendances pour les trois mois à venir.
"Le scénario le plus probable pour le trimestre novembre - décembre 2022 - janvier 2023 est la prédominance de conditions anticycloniques, avec un temps calme et sec, sur le continent européen. Les perturbations auront tendance à être rejetées plus au nord de l’Europe ou au sud-ouest de la Méditerranée", peut-on lire ici.
Météo-France rappelle que ce bulletin de prévoit pas le détail jour par jour ou même semaine par semaine. Ce sont uniquement des "tendances attendues en moyenne sur le trimestre".
sélection des meilleurs produits alimentaires des terroirs de France, fromage, viande, boeuf, agneau, porc, charcuterie, volailles, poisson, olives, vins, mie
Découvert par article presse https://www.nicematin.com/economie/comment-la-place-du-marche-du-bon-chez-vous-relie-les-producteurs-a-votre-assiette-808662
Le service
Viandes, charcuterie, desserts, miels, condiments... Eymeric de Kerhor a sélectionné avec soin des producteurs dans la France entière.
La grande différence de Du Bon chez Vous avec les autres sites de vente en ligne de produits du terroir est son système de livraison, via la solution de La Poste Chronofresh afin d’acheminer le produit directement depuis le producteur, lequel édite son bon de transport, vers le consommateur, mais aussi son système de paiement.
L’entreprise toulousaine Lyra, prestataire, a en effet construit une architecture qui permet le paiement direct au fournisseur et même chez deux professionnels différents dont les produits sont contenus dans la même commande.
Le principe? Regrouper plusieurs acheteurs pour qu’ils se fassent livrer à une même adresse, tout en recevant chacun leur colis personnel. "La livraison est gratuite à partir de 90€ pour une personne seule et à partir de 45€ si elle se groupe avec d’autres. Au moment du paiement, la livraison groupée est proposée et il faut renseigner l’adresse mail des autres acheteurs qui reçoivent alors un code donnant accès à la livraison groupée."
À première vue, il peut faire penser à une petite salamandre. Mais son petit nom à lui, c’est le spéléomante de Strinati (aussi appelé spélerpès de Strinati). Il mesure entre 8 et 13 cm, sa peau est lisse et luisante, son dos brun-noir avec des marques irrégulières jaunâtre, vert-jaune, cuivré ou brun pâle. Ses petites pattes sont accompagnées de doigts palmés. Il a de grands yeux globuleux et une tête légèrement aplatie.
Pour se nourrir, il chasse et capture ses proies (araignées, larves d’insectes, etc.) grâce à sa langue protactile (comme celle des caméléons). Mais vous ne le verrez pas faire facilement car il est très discret. De plus, il vit la nuit et est actif au printemps et à l’automne quand les êtres humains préfèrent se calfeutrer, c’est-à-dire lors d’épisodes de pluie, brouillard ou bruine. Il recherche des lieux avec un taux d’humidité supérieur à 75 % et apprécie quand la température est comprise entre 1° et 19°C.
Quand elle pond, la femelle spéléomante reste autour de ses œufs (de 6 à 14) pour les protéger et elle peut transporter les nouveau-nés sur son dos.
Où vit-il ?
C’est une espèce endémique de l’extrême Sud-Est de la France et de la région Ligure en Italie. Son aire de répartition n’est pas connue avec précision, d’où l’intérêt de cette opération de recensement, même si on sait que le parc naturel des Préalpes d’Azur abrite une partie de la population.
Pour vivre, il a simplement besoin de fissures où il peut se cacher et qui ont un fort taux d’humidité, comme les cavités, les parois rocheuses, les éboulis rocheux, les pierriers, les gabions, ou encore les vieilles restanques...
De quoi est-il menacé?
Des nombreux travaux d’aménagement comme la rénovation ou la consolidation de murs, ou encore la sécurisation de parois rocheuses. Sans le savoir, en colmatant un mur, on peut le piéger.
S’il n’est pas possible d’éviter les sites où l’espèce est présente lors de la construction d’un mur, le parc des Préalpes d’Azur* conseille de prévoir la création d’espaces interstitiels de 2 à 4 cm sans colmatage entre les pierres au sein de la fondation du mur (voir photo ci-dessous).
S’il s’agit d’une restauration de joints, il est préconisé de laisser des espaces de 2-3 cm entre les pierres sur certaines parties du mur. Et enfin, le parc recommande de laisser le maximum de végétation sur le mur.
Les créations de nouvelles routes ou de pistes forestières peuvent aussi les détruire.
Comment l’observer?
Jusqu’au 30 novembre, vous pouvez tenter d’observer le spéléomante à la nuit tombée, principalement dans des caves, des grottes, sur les falaises mais surtout dans les murets en pierres sèches.
La vidéo ci-dessous vous explique comment utiliser l’application "INPN Espèces" dédiée sur votre mobile.
Si l'animal que vous avez observé est bien un spéléomante, vos données envoyées seront validées par les experts et vous aurez aidé la science à en apprendre plus sur cette espèce.
Les fournisseurs d’énergie (autre qu’EDF) ont donc obtenus auprès de l’Autorité de la concurrence — ie : la loi — qu’EDF leur transmette les données de ses clients dans un but purement commercial afin de vous prospecter.
En gros : la loi autorise le démarchage commercial ciblant les clients Tarif Bleu d’EDF et par des fournisseurs d’énergie tiers (Total Énergie, ENI, SueZ, etc.) grâce aux données que vous avez chez EDF.
on peut s’y opposer mais pour un truc aussi simple que dire oui / non, il y a encore des complications à la con :
Certaines données sont donc en opt-in et d’autres en opt-out.
C’est-à-dire que certaines données SONT transmises sauf si le client dit non, et d’autres NE SONT PAS transmises, sauf accord du client.
Vous commencez à être perdus ? C’est normal.
Car pour le même résultat « on ne veut pas être démarché », il faudra dire oui dans un cas et non dans l’autre. Ça s’appelle un dark-pattern, et c’est un procédé plus ou moins malhonnête destiné à obtenir le consentement pour un truc que vous ne voulez pas, mais dont la question est tournée de telle sorte que vous finissez par consentir à des trucs que vous ne voulez pas.
Un autre exemple de ces magouilles sont les questions à double ou triple négative, du style : « refusez-vous que j’arrête de ne pas vous spammer ? Oui / Non ».
Lisez donc bien le courrier et les intitulés des questions.
Si vous refusez tout et que ces enseignes vous démarchent, menacez-leur de déposer une plainte RGPD parce que vous avez activement refusé tout ça.
Face à un avenir assombri par la crise climatique, le réalisateur et militant écologiste Cyril Dion parcourt le monde à la rencontre d’acteurs qui ont révolutionné une région, un pays ou une activité, et esquisse un nouveau récit : celui d’un monde plus juste et plus écologique.
Dans l'épisode 2 du documentaire, autour de 16min, il y a Pablo Sevigne qui est interviewé. Il explique que pour lui la collapsologie est une façon de se mettre en action. Si la catastrophe à venir est incertaine, il vaut mieux la considérer comme certaine pour se donner une chance de l'éviter. Le paradoxe étant que plus on agit bien, moins il se passera les choses anticipées.
https://pabloservigne.com/
Dans 13 ans, il sera en théorie impossible d’acquérir en Europe un véhicule neuf à moteur essence, diesel ou hybride. C’est ce qu’a décidé, en juin, le Parlement européen, même si le ministre français des Transports Clément Beaune et le commissaire européen chargé du Marché intérieur Thierry Breton penchent pour une clause de revoyure des objectifs en 2026.
Une bonne nouvelle pour le climat? "Oui, mais cela ne suffira pas" ont répondu les experts conviés aux Assises de l’électro-mobilité, organisées par le conseil départemental des Alpes-Maritimes (ces mardi et mercredi) à Nice, en partenariat avec l’association pour l’avenir du véhicule électrique (Avem).
Son ambition? Accompagner le développement de l’électro-mobilité dans le département et "relever le challenge", a introduit le président Charles Ange Ginésy.
Des zones interdites aux véhicules les plus polluants
Pour préserver la qualité de l’air, les collectivités ont la possibilité de définir des zones à faibles émissions mobilité (ZFE-m), où la circulation des véhicules les plus polluants est interdite. C’est le cas, depuis le 31 janvier, sur la Promenade des Anglais et dans l’hypercentre de Nice pour les poids lourds, bus et autocars les plus polluants.
Interdiction étendue au 1er janvier 2023 aux véhicules légers en Crit’air 5 (diesel immatriculés jusqu’au 31 décembre 2000) puis, au 1er janvier 2024, aux véhicules légers en Crit’air 4 (diesel immatriculés jusqu’au 31 décembre 2005).
Dans la métropole Toulon Provence Méditerranée, la mise en place d’une ZFE-m est en cours de réflexion.
"Pas neutre en carbone"
Alors que l’offre explose chez les constructeurs et que les aides de l’État, cumulables avec celles des collectivités, perdurent et incitent de plus en plus d’automobilistes à sauter le pas, des freins subsistent.
Les véhicules sont encore trop chers, le réseau de bornes électriques rechargeables insuffisant, et la fabrication des batteries est source de pollution. "Un véhicule électrique n’est pas neutre en carbone" confirme Nicolas Doré, coordinateur carburants alternatifs à l’Ademe, établissement public qui accompagne la transition écologique et énergétique sous la tutelle du ministère de la Transition écologique. Son impact carbone est néanmoins trois fois inférieur à celui d’un véhicule à moteur thermique".
"Consommation accrue de ressources minérales"
"Le nerf de la guerre, c’est la batterie. La course à l’autonomie du véhicule électrique se traduit par des batteries de plus en plus grosses", rappelle Igor Hazanavicius, manager chez FEV Consulting, spécialisé dans la conception de véhicules électriques. "Leur fabrication induit une consommation accrue de ressources minérales", prévient Yannick Gomez, ingénieur à la cellule Innovation au Commissariat à l’énergie atomique. Cuivre, lithium, cobalt, manganèse, graphite...
"Or il y a des tensions sur ces matières premières. Nous devons également tenir compte des enjeux géopolitiques car aujourd’hui la majorité de ces batteries est produite en Chine. Leur recyclage sera donc un enjeu clé de souveraineté territoriale" conclut-il.
500 bornes publiques dans les Alpes-Maritimes
À ce jour, le département compte près de 500 bornes de recharge pour véhicules électriques et hybrides. Plus de 300 se trouvent sur le territoire de la Métropole Nice Côte d’Azur (réseau Prise de Nice).
L’objectif est de doubler le parc, avec 600 points de charge majoritairement accélérés pour 2025.
À l’est, la Communauté d’agglomération de la Riviera française dispose d’une trentaine bornes (réseau Alizé Liberté - Bouygues).
Le réseau WiiiZ propose un maillage de 134 bornes de recharge dans l’ouest.
Trois Superchargeurs Tesla Motors, compatibles avec les véhicules de la marque américaine, ont été déployés près des grands axes, Mougins, Cagnes, Nice.
Voici ses conseils pour booster sa mémoire en misant (aussi) sur le contenu de son assiette.
1- Protéines et vitamines du groupe B
"La première chose, indique Sophie Schaeffer, c’est de consommer des protéines qui vont permettre de fabriquer ces neurotransmetteurs. Plus spécifiquement, on va veiller à un apport suffisant de vitamines du groupe B, en particulier les B1, B6, B9 et B12. Essentielles au bon fonctionnement des cellules nerveuses, elles permettent au cerveau de transformer le glucose en énergie." On les trouve dans les viandes, notamment la volaille, les abats, mais aussi dans les légumes à feuilles et les produits céréaliers bruts. "Il faut bien noter, insiste la micronutritionniste, qu’elles sont souvent absentes des produits transformés!"
2- Les antioxydants
"Véritables boucliers de l’organisme, les antioxydants protègent les cellules du système nerveux central en limitant le stress oxydatif. Un bon apport passe par la consommation de fruits et légumes riches en vitamine C, A, en zinc, en sélénium, en polyphénols et en flavonoïdes." Dans l’assiette, on pense donc aux brocolis, choux, épinards, au raisin, aux fruits secs ou oléagineux notamment, au curcuma et aux épices en général.
3- Le magnésium
"Cofacteur incontournable dans un grand nombre de réactions enzymatiques, il est aussi impliqué dans le fonctionnement de la mémoire car il stabilise les connexions neuronales et optimise les neurotransmissions."
Au menu: cacao, oléagineux, fruits à coques et céréales complètes.
4 - Les oméga 3
"Ils assurent la fluidité des membranes cellulaires, favorisant ainsi les échanges dans le cerveau", résume Sophie Schaeffer. On les trouve dans les huiles (colza, noix, lin ou cameline) et les petits poissons gras.
5 - Les phospholipides
Moins connus que le magnésium ou les oméga 3, les phospholipides sont indispensables à la bonne synthèse de l’acétylcholine, le neurotransmetteur nécessaire au stockage des informations dans la mémoire. Ils sont présents principalement dans les œufs, dans la lécithine de soja ou dans des compléments alimentaires (lécithine de soja et phosphatidylcholine).
6 - Quelques plantes utiles
Sophie Schaeffer conseille le ginkgo biloba, pour ses effets neuroprotecteurs. "Il améliore la vascularisation cérébrale et les performances du cerveau."
La rhodiole stimule les fonctions cognitives, "surtout en cas de stress".
Après deux éditions réussies dans les Hauts-de-France (en 2021) et en Ile- de-France (au 1er semestre 2022) qui ont réuni plus de 3 000 apprenants, le DigiTruck, un camion reconverti en salle de classe connectée, fait escale à Mougins. Le DigiTruck de Huawei sera présent du lundi 21 novembre au samedi 3 décembre, sur le parking des Cabrières (1517 avenue maréchal juin).
Le but : favoriser l'inclusion numérique. Pour ce faire, des cours gratuits y seront dispensés par les formateurs de WeTechCare du lundi au samedi de 10h à 11h à 18h à 19h30 (selon les jours).
Faire son CV, postuler en ligne, réserver une consultation médicale…
N’hésitez pas à vous inscrire auprès du formateur, par téléphone (06 46 75 98 25) ou sur Internet ici.
Les ateliers du DigiTruck se concentrent sur trois objectifs : utiliser pleinement et en toute sécurité les outils informatiques, avoir accès aux services administratifs numériques et améliorer sa compétitivité en matière d’emploi. Les participants peuvent notamment se familiariser avec un ordinateur, configurer leur smartphone, utiliser les services de messagerie ou les outils de conférence en ligne. Certains ateliers répondront également à des besoins spécifiques tels que « mettre en forme son CV », « postuler à des offres d’emploi sur Internet » ou « réserver une consultation avec un professionnel de santé via une application ».
Les apprenants sont orientés en fonction de leurs besoins et de leurs niveaux : débutant, intermédiaire ou avancé.
Alors que 35 % des Français éprouvent « au moins une forme de difficulté les empêchant d’utiliser pleinement les outils numériques », le programme DigiTruck a été conçu pour favoriser l’inclusion des personnes éloignées du digital : jeunes adultes, demandeurs d’emploi et seniors.
Article France bleu https://www.francebleu.fr/infos/education/le-digitruck-un-bus-ecole-pour-le-numerique-est-a-mougins-1669182167#xtor=RSS-106
La Région Paca devient officiellement Région pilote en matière de planification écologique. Désormais, il y aura "des critères climats qui seront incontournables pour chaque centime dépensé", déclare Renaud Muselier, le président de la Région.
Élisabeth Borne s'est exprimé à la tribune face aux maires de la région PACA ce lundi en fin de matinée, lors de leur convention annuelle au Pharo. Pour son premier déplacement officiel à Marseille depuis qu'elle est installée à Matignon, la Première ministre est venue affirmer la place de la Région Provence-Alpes-Côte-d'Azur dans "le déploiement de la planification écologique" en France. Ainsi, la Région forte "mobilisatrice de fonds européens", devient "pilote" dans le cadre d'un "protocole d'expérimentation", a confirmé Élisabeth Borne.
Ce "protocole d'expérimentation entre l'État et la Région" Paca est "une initiative conjointe pour planifier la transition écologique" dans le territoire, d'après le document présenté publiquement par la Première ministre à Marseille ce lundi.
Plusieurs actions seront testées dans la région dans des domaines aussi divers que la décarbonatation de l'industrie, le développement de transports moins polluants, ou encore la préservation des ressources en eau et des forêts.
Chaque action sera guidée par un "comité de pilotage" dirigé conjointement par le préfet de Région Christophe Mirmand et le président de la Région, Renaud Muselier. Se présentant comme "grand décentralisateur", ce dernier a affirmé lors d'un entretien à l'AFP croire "en la capacité de l'expérimentation et elle passe par le préfet de Région et le président de Région qui sont les deux à même de traiter au mieux le dernier kilomètre" pour l'application concrète des mesures environnementales sur le territoire.
Ce statut de "Région pilote" est dû, selon Renaud Muselier à la capacité de l'institution locale à "savoir mettre en place la politique européenne sur le territoire donc à co-financer".
Découvert par article Nice Matin https://www.nicematin.com/insolite/une-video-impressionnante-du-vttiste-fabio-wibmer-qui-parcourt-la-cote-dazur-fait-deja-1-million-de-vues-sur-youtube-807613
Pour la journée mondiale du diabète, le Docteur Stéphanie Pallé Defille diabétologue au CHU Nice détaille la nouvelle prise en charge depuis quelques jours au CHU de Nice du système d'auto-contrôle de diabète de type 1 pris en charge par un logiciel équipée d'intelligence artificielle (IA).
Une avancée majeure dans le traitement du diabète de type 1 attendue : les personnes atteintes de diabète de type 1 peuvent bénéficier d'un traitement révolutionnaire qui allie "une pompe à insuline à un logiciel d'Intelligence Articifielle (IA) " qui calcule et régule en permanence le taux de glycémie sans que le patient n'intervienne.
Pour l'instant, seulement une trentaine de patients ont été équipés du dispositif au CHU de Nice car le système est remboursé seulement depuis le 2 novembre 2022 par la sécurité sociale.
Le diabète de Type 1 est le plus redouté, il apparaît tôt dans la vie des malades et nécessite de prendre de l'insuline.
Traitement efficace pour le diabète de type 2
Le diabète de type 2, qui représente 90 % des malades, le plus courant, est souvent lié " à une histoire familiale : des personnes d'une même famille sont souvent touchées. Il peut être évité avec du sport et une alimentation contrôlée avec moins de gras et de sucre. On le dépiste en l'absence de symptômes grâce à une simple prise de sang. Les premiers symptômes sont une grande fatigue mais aussi une soif et une envie d'uriner toutes les deux excessives. Mais pour ce diabète il existe aussi un traitement novateur proposé au CHU de Nice dans le service diabétologie et endocrinologie : on propose un traitement thérapeutique qui en même temps protège le cœur et les reins qui peuvent être affectés par le diabète. C'est un double intérêt."
Pour cette journée mondiale de lutte contre le diabète, de nombreux centres vous accueillent pour un dépistage.
Le train qui relie Nice à Digne-les-Bains fonctionne grâce à un mélange entre du charbon et des grignons d'olives. Explications avec le président de l'association de ce train historique.
Un carburant très calorique
"Le grignon d'olive, c'est ce qu'il reste des olives quand on les a pressées pour faire de l'huile : un peu de pulpe et le noyau concassé" détaille Jean-Michel Delphino, président de l'association GECP, qui gère le train des Pignes. Invité ce vendredi France Bleu Azur, il détaille comment cela fonctionne : "L'avantage, c'est qu'il reste toujours de l'huile d'olive dessus, et l'huile d'olive est de l'éthanol."
Le mélange s'effectue à peu près à 50-50. "L'huile d'olive est beaucoup plus calorique que le bois, par exemple. C'est aussi plus calorique que les pellets par exemple. Cela pourrait servir dans les cheminées ou les poêles", ajoute le président, qui a pu rencontrer des élus locaux le 5 novembre, au moment du dernier voyage de l'année du train des Pignes. "Ils sont emballés, mais on cherche à remuer tout le monde. L'intérêt de cette filière, c'est qu'il faut la créer. Nous sommes demandeurs." Car actuellement, les grignons qui ont servi à faire rouler ce train viennent de Tunisie.
La Ville de Mouans-Sartoux (Alpes-Maritimes) a été récompensée du plus haut niveau du label régional "Territoire durable, une Cop d'avance", notamment grâce à la gestion de ses cantines.
100% bio, mais pas plus cher, comment ?
"La cantine est 100% bio depuis 10 ans, à la fois pour la santé des enfants et le bien-être de l'environnement, rappelle Gilles Pérole. L'approvisionnement est à 80% régional. Les légumes eux sont entièrement cultivés à Mouans-Sartoux. C'est ça qui nous permet de ne pas augmenter les prix actuellement."
Pourtant, les aliments certifiés bio sont plus chers, mais comment ne pas répercuter le prix sur les parents ? "Nous avons réussi à ne pas augmenter notre budget d'achat alimentation, en diminuant par exemple de 80% le gaspillage alimentaire, et en servant 50% de repas à base de protéines végétales et d'œufs, et le reste à base de viande et de poissons, répond l'élu. En cherchant des économies vertueuses pour la santé et l'environnement, nous avons réussi à manger 100% bio sans dépenser plus."
La chasse au gaspillage passe notamment par un savant travail sur les quantités cuisinées, adaptées à l'appétit de chaque enfant. Les déchets des cantines sont pesés tous les jours, pour être sûrs de ne pas gaspiller.
Entraunes, loin de tout, près de l'essentiel ? Cela pourrait être le "slogan" du petit village azuréen. Nichée dans la montagne, la commune assume sa ruralité, tout en misant dessus.
"Je suis maire d'une commune exceptionnelle" sourit Pierre Tardieu, maire d'Entraunes et amoureux "du paysage et de la biodiversité" du territoire de son village, qui s'étend sur plus de 80 kilomètres carrés.
Un développement basé sur le tourisme de randonnée
Entraunes se développe grâce au tourisme de randonnée, à la fois hivernale et estivale, détaille l'élu. "Plusieurs personnes sont venues s'installer pour développer des activités en lien avec la randonnée. Il y a même une montée en gamme, avec des hébergements de plus en plus attractifs." Résultat, la population augmente lentement, mais sûrement, que ce soit l'hiver ou l'été.
À titre d'exemple, l'école du village : "Il y avait seulement trois élèves en 1980. Actuellement, il y en a 19, et à la prochaine rentrée, ils seront 22".
Un laboratoire à ciel ouvert... et protégé
Pour préserver ses atouts, Entraunes a décidé, avec le Parc du Mercantour et les différentes réglementations, de créer un îlot de sénescence, c'est-à-dire la mise sous cloche d'une forêt de façon à la laisser vieillir naturellement.
"La réserve naturelle de Roche Grande a été créée il y a un an" ajoute Pierre Tardieu. "L'homme n'y mettra plus les pieds, de façon à voir l'évolution du changement climatique sur la faune et sur la flore."
Une sorte de laboratoire à ciel ouvert, où des scientifiques viendront sur autorisation, pour mener des expérimentations encadrées dans les milieux naturels. Certaines seront d'ailleurs retransmises en direct dans le village, "pour voir ce que l'on ne peut plus voir" indique le maire.
Qui est-ce?
Olivier Ciais est professeur des écoles et cofondateur de l’association Shilakong, qui œuvre pour l’éducation à l’environnement, notamment grâce à la permaculture.
Pourtant, c’est une vieille passion, le football, qui guide ses premiers pas. Ne sachant trop quoi faire après le bac, il intègre une école de commerce, puis exerce dans le marketing du football, avant de se reconvertir dans l’éducation.
Ce retour aux sources, Olivier l’explique par les influences de son enfance. "Je passais mes étés chez mon grand-père, qui était à la fois ancien directeur d’école et qui jardinait beaucoup avec des méthodes traditionnelles."
Le déclic
Des déclics, Olivier en a eu plusieurs. Le premier a lieu en 2004, lorsqu’il part en Inde, dans le massif de l’Himalaya. Il était jusque-là peu sorti de l’Europe. Il y découvre une nature encore extrêmement sauvage "qui fait recomprendre ce qu’est la terre".
Mais surtout, il rencontre un peuple et un mode de vie en symbiose avec la nature, où chaque ressource est utilisée, réutilisée, et où l’entraide est reine. Il comprend que "la vie sur Terre est possible autrement".
Il passe des jours dans une école lamaïste, et réalise que la méthode d’éducation française est limitée, car "un enfant est fait pour faire des liens". Ce sont aussi ses premiers contacts avec la permaculture. Mais il n’a "pas compris tout de suite son importance".
Il lui faudra d’autres prises de conscience, notamment sur le changement climatique, avec la publication du rapport du GIEC en 2008 pour commencer à lier les choses entre elles.
"C’est là que je me dis, on a vraiment un problème et c’est urgent de revenir vers ces modes de vie là".
Pour Olivier, il s’agit dès lors de transformer cette angoisse en action. De rebondir. Pour ça, la permaculture est "idéale", car elle montre que le problème - la dégradation de la nature - peut aussi être la solution - la substitution grâce à l’interdépendance entre tous les éléments, où l’on peut "voir en chaque déchet potentiel la ressource pour quelque chose d’autre".
Après la naissance de son fils en 2012, son "dernier déclic“, il comprend qu’il devient central de lier l’interdépendance à la nature et l’éducation.
Il découvre le jardin du Petit Pessicart en 2015. "Tout de suite, j’ai un coup de coeur et je dis "j’y vois un jardin pédagogique"".
L'action
Dans cette école, l’apprentissage se fait sur des cycles de 3 ans. Le but est de"faire comprendre les grands mécanismes qui régissent les systèmes", explique Olivier.
Loin de remettre en question les programmes actuels de l’éducation, ce qu’il veut changer, c’est la manière d’apprendre. La pédagogie, donc. Grâce à la permaculture, l’enfant comprend la notion interconnectée des choses, qui régit aussi bien la nature que la numération, la grammaire…"Une fois qu’on comprend ça, on comprend tout", assure-t-il.
Des études ont montré les effets positifs de la nature sur le développement neuronal, physiologique et immunitaire de l’enfant. Selon Olivier Ciais, si troubles de l'attention et de l’apprentissage se révèlent de plus en plus aujourd’hui, c’est parce que nos modes de vie sont très déconnectés de la nature.
"Être dans la nature, ça fait partie de notre hygiène émotionnelle", explique-t-il. Alors, même quand il pleut, les enfants mettent leur petite combinaison et restent dehors. Une pratique inspirée des écoles scandinaves.
Pour le professeur, cette école est aussi un moyen de "réintroduire l’humain dans la forêt". Une "forêt-jardin", qui apporte fraîcheur et aliments comestibles, que les enfants apprennent à goûter.
Une manière d’apprendre, mais aussi d’habiter différemment.
Résultat ? A la fin de la journée, lors des stages proposés, les enfants ne veulent pas partir du jardin. "Je ne reconnaissais presque pas les visages de certains enfants", qui avaient "perdu leur rituel de stress", témoigne Olivier.
Et maintenant ?
L’école devrait ouvrir prochainement, une fois l’agrément école privée hors contrat obtenu. Les enfants apprendront grâce à des projets concrets, sur de petits volumes horaires, par petits groupes. Tout pour éviter que les élèves ne se sentent dans la contrainte d’apprendre.
En attendant, l’association Shilakong a lancé un appel aux dons pour financer tous les travaux, en particulier le bâtiment principal de l’école, qui reste à construire.
Pourquoi pas aussi, proposer sur Airbnb des nuits dans la petite maison en chanvre bâtie en contrebas du jardin, face aux collines niçoises. Un habitat insolite pour faire découvrir ce cadre idéal et naturel, en plein coeur de Nice.
En attendant, Olivier Ciais pense à d’autres manières d’accompagner pédagogiquement vers la transition écologique, toujours dans la bienveillance.
Il aimerait écrire un livre avec Rob Hopkins, enseignant britannique en permaculture, qui a pensé la transition des villes. Avec toujours la même idée : inspirer, et montrer qu’il est possible à chacun d’insuffler le changement, même à son échelle.
A Olivier de conclure. "Un seul exemple réussi a beaucoup de chances de changer les choses", résume-t-il.
Toute habitation émet des gaz à effet de serre. Non seulement pendant son usage, mais aussi à sa construction. "Pendant un chantier, c’est la totalité de l’énergie primaire nécessaire à la production et l’acheminement des matériaux de construction qui est en jeu, écrivent les experts du Grec, le groupe sur le climat en Paca, déclinaison régionale du Giec. La solution est de privilégier les matériaux bio-sourcés ou à faible énergie grise (1)."
Ce constat est aussi le point de départ d’un Varois passionné, qui a poussé la démarche au point de rénover, à partir de matières premières "les plus locales possible", une vieille bâtisse en pierre, dans le golfe de Saint-Tropez. Son "idée de base est d’avoir une climatisation naturelle en été et des murs très isolés en hiver".
André a aimé le principe "de se débrouiller avec ce qu’on peut trouver à proximité", ce qui a commencé par des troncs achetés à l’Office national des forêts. Pas forcément un mauvais calcul, car "le bois a pris un tel coût" dans les filières traditionnelles. La charpente est en sapin varois, le sous-sol comblé de pierres extraites d’une carrière toute proche. Et il se sert aussi des qualités isolantes et hydrofuges d’un béton "chaux-liège".
Projet de coopérative
Ce qu’a fait André n’est pas à la portée de tout le monde: ramasser du liège sur son terrain, faire venir une broyeuse, pour monter un gros tas très léger. "Nous avons fait 5 m3 en une journée, c’était facile." C’est même lui qui a fait tourner la bétonnière pour obtenir cette pâte grumeleuse qui a durci comme n’importe quel béton. Surprise, quand on se saisit d’un bloc, on croit avoir la force d’Obélix.
Cette démarche de puriste est rare, mais il existe une volonté de recréer une filière dans la forêt varoise. Le principe est de créer une coopérative pour stocker des matériaux, bois, liège, et les rendre disponibles auprès des chantiers. "Ce sont les projets qui font les filières, observe Loïc Frayssinet, consultant en thermique du bâtiment dans l’association Permabitat. Les gens ne sont pas forcément conscients qu’il y a d’autres possibilités. Surtout dans la rénovation thermique."
Si des artisans se montrent intéressés, il reste complexe de passer le pas. "Notre démarche est de former les professionnels, pour essayer de les aider à s’emparer de ces techniques."
Et puis il y a aussi la terre crue: "Quasiment toute la terre du Var est utilisable". Chez André, ce sera son enduit extérieur, avec une terre argileuse qu’il prévoit de chercher dans le Haut-Var.
Un territoire qui s’adapte au changement climatique garde ses terres agricoles et les cultive. Or, partout dans nos départements, elles ne cessent d’être grignotées.
Depuis 1950 dans le Var, l’espace agricole est passé de 35% à 12%. La friche s’est installée, là où le paysan est parti. Le béton s’est coulé le long d’axes routiers.
"Le constat national se vérifie ici, soupire Fanny Alibert, chef du service foncier à la Chambre d’agriculture varoise. Cette forte baisse a deux causes : le recul de l’agriculture et l’exode rural d’une part ; l’urbanisation et l’étalement urbain d’autre part." "Depuis 2005, on dit qu’il ne faut plus perdre de terre agricole", plaide la sous-directrice de la chambre d’agriculture varoise. Un vœu pieux.
"Dans les Alpes-Maritimes, la perte a été plus importante, et cela pose des soucis en termes de repositionnement des filières." Positionner une filière, c’est permettre à l’agriculture d’atteindre une surface suffisante pour être viable.
"L’intérêt de la COP"
Maraîchage, élevage, viticulture "ont besoin d’espace". "On a de la chance d’avoir des filières qui fonctionnent sur le plan économique." Mais les nouveaux exploitants se heurtent à un mur. "La flambée des prix est en lien avec l’urbanisation, il est de plus en plus compliqué de trouver des terres, constate Sylvain Apostolo, à la tête de la Confédération paysanne du Var. Un peu partout, les pouvoirs publics n’ont pas préservé les terres agricoles. Aujourd’hui encore, des zones commerciales sortent sur des terres agricoles."
Pourtant, le contexte évolue. "On constate une prise de conscience sur le foncier agricole, estime Fanny Alibert. C’est aussi l’intérêt d’événements comme la COP27. Reste ensuite à mettre en place des actions concrètes." Et, "des élus à convaincre", car ce sont eux qui ont la main sur les documents d’urbanisme.
"Au-dessus de la moyenne nationale"
"Le problème est dans la différence entre les discours et les actes. Pour beaucoup, l’enjeu économique sera prépondérant", analyse la Confédération paysanne, selon qui la prise de conscience avance "moyennement".
Pourtant, "on ne va pas manger du béton !", s’exclame Sylvain Apostolo, qui se souvient d’une bataille emblématique autour d’un projet d’extension de centre commercial sur 16 hectares à Rocbaron, dans le centre Var. Promesse de plusieurs centaines d’emplois.
"Ils ont essayé d’obtenir l’utilité publique. On avait des terres plates, arables, un vrai scandale", narre Sylvain Apostolo. Finalement, c’est la justice administrative qui a sonné le glas du projet, en 2021. Sur le point essentiel de l’expansion des crues et du risque d’inondations. La terre agricole absorbe l’eau de pluie, le béton la fait ruisseler.
Voilà une autre donnée, dans un département vulnérable au risque inondations, où le pourcentage de surfaces artificialisées "est au-dessus de la moyenne nationale".
C’est ce qu’a calculé l’association France nature environnement (FNE), dans une étude récente sur la "Sobriété foncière". Aujourd’hui encore, "un tiers des artificialisations nouvelles se fait sur les terres agricoles, note Paul Naglik, chargé de mission aménagement à FNE Paca. Cela a un impact sur la production alimentaire et la biodiversité".
1,5 million d'euros l’hectare
En soi, le classement en terre agricole n’a rien d’immuable. "Nous sommes à un tournant, où il faut essayer de se limiter et de construire sur ce qu’on a déjà consommé, plaide Paul Naglik. Cela veut dire changer de paradigme. On ne peut pas toujours être dans l’extension."
Près de Toulon, le domaine des Olivades a lutté pendant 25 ans contre le tracé d’un tramway, devenu "bus en site propre". "Les terres étaient coupées en tranches par le passage des voies", résume Daniel Vuillon. Grâce à une intense mobilisation citoyenne, le domaine a fini par obtenir, en septembre, la garantie de ne plus être exproprié. Mais ce ne fut pas le seul combat pour ces 6,5 hectares de champs, qui étaient passés constructibles en 1987. Pas un choix, mais la conséquence de l’arrivée d’un hypermarché et d’un échangeur autoroutier.
"Les décideurs nous ont considérés comme des arriérés", rigole encore Daniel Vuillon, installé en Amap (Association pour le maintien d’une agriculture paysanne). Les sillons de légumes auraient pu rapporter "1,5 million d’euros l’hectare pour un futur centre commercial". La famille a tenu bon. La terre continue d’être nourricière, depuis 1804. Bientôt classée zone agricole protégée.
Sofiane a 23 ans et est étudiant en fac de lettres à Nice. Assis à une table, il profite du soleil pour déjeuner et lire un peu. Avec une voix douce et timide, il évoque ses sources d’anxiété. "Ce sont l’écologie et l’environnement… La situation est grave, dramatique même." Il poursuit : "Les saisons sont en décalé"... Avant de s’interrompre. "Il n’y a plus vraiment de saisons en fait… Sans compter les tornades, les cyclones, les intempéries… Et les incendies aussi…"
Pour parer à la situation, le jeune homme prend sur lui. Comme manger plus de légumes qu’il essaie d’acheter bios et sans emballage, "dans la limite de mes moyens d’étudiant", sourit-il.
"Le climat c’est de notre faute… Je ne me déplace plus du tout en voiture, j’ai acheté une voiture et j’essaie de la vendre pour utiliser seulement les transports en commun…"
Pour venir de Mougins à Nice, le jeune homme utilise désormais le train.
45% de jeunes souffrent d’éco-anxiété
Comme Sofiane, ils sont nombreux à se préoccuper de l’environnement. Selon une étude menée dans une dizaine de pays dont la France et relayée par la revue scientifique The Lancet, ils sont même 45% à souffrir d’éco-anxiété, un terme utilisé pour désigner "la peur chronique des catastrophes environnementales".
En Italie, en 2019, une enquête a été réalisée auprès de 800 jeunes adultes. Il en est ressorti que pour 51% d’entre eux, le changement climatique représentait la principale source de leur détresse.
"L’éco-anxiété est une anxiété qui concerne surtout l’avenir", explique Célie Massini, médecin psychiatre et auteur d’une thèse sur le sujet. "Un stress pré-traumatique", précise encore Véronique Lapaige, chercheure en santé publique belgo-canadienne, qui a théorisé le phénomène dès 1997.
Grandir avec la crise climatique
Le sujet s’est, depuis, largement imposé dans la recherche. Les préoccupations environnementales? Les jeunes baignent dedans depuis presque toujours. Comme "un bruit de fond depuis l’enfance", qualifie même la Fondation Jean Jaurès à l’origine d’une étude intitulée "Dans la tête des éco-anxieux. Une génération face au dérèglement climatique".
Dans le cercle familial, tout au long de leurs parcours scolaires ou encore sur les réseaux sociaux ou dans les médias traditionnels, difficile de passer outre ces problématiques.
Publiée en 2020, une enquête du CREDOC (Centre de recherche pour l'étude et l'observation des conditions de vie) désignait la cause environnementale comme la première préoccupation des jeunes adultes de 18 à 30 ans.
"Depuis quarante ans que cet indicateur est suivi (…), la proportion n’a jamais été aussi forte", détaillait encore l’organisme tout en remarquant que le phénomène Greta Thunberg n’était probablement que la pointe de l’iceberg d’un mouvement de fond concernant les jeunes face au climat.
Boom de consultations
De jeunes adultes préoccupés, la psychologue Charline Schmerber en voit défiler dans son bureau. Depuis 2019, cette psychothérapeute a fait de l’éco-anxiété sa spécialité. "Les rapports du Giec m’ont particulièrement alertée et j’ai eu, on va dire, un réveil écologique compliqué."
A Montpellier où elle exerce, de plus en plus de jeunes franchissent le pas, "parce qu’ils prennent conscience des difficultés." Cet été, avec son lot de températures caniculaires, a poussé bon nombre d’entre eux à consulter.
"Aujourd’hui? Je ne prends plus de patients, note Charline Schmerber. Et nous sommes de nombreux psys spécialisés sur ce thème dans le cas."
"Faire le deuil de son avenir"
Charline Schmerber raconte : "J’ai des patients qui ont moins de 25 ans, engagés dans des parcours d’études et qui remettent tout en question."
Avoir des enfants, orientation professionnelle, foi en l’avenir, vivre ensemble, la jeune génération n’en finit pas de s’interroger.
"Le pire que j’ai entendu, c’est "J’ai fait le deuil de mon avenir", raconte la psychothérapeute qui note également, une tendance, parfois, à l’isolement "car ils se sentent incompris par leur entourage".
Dans une étude réalisée par Qare, la plate-forme de téléconsultations médicales en ligne, on peut lire également que les jeunes ont une tendance à "s’agacer des pratiques anti écologiques de leurs parents et être anxieux de leur avenir."
Stratégies mises en place
S’exprimer sur le sujet, explorer ses émotions, réussir à les nommer, c’est le travail que mettent en place les professionnels pour contrer l’éco-anxiété.
Comment agir? Voici la question que se posent le plus les personnes qui ont participé à l’enquête réalisée par Charline Schmerber. Et celle pour laquelle ils ont passé le plus de temps à répondre.
Verbaliser la souffrance, ne pas culpabiliser, définir ce qui fait sens pour soi, aller au contact de la nature sont autant de pistes qu’elle recommande d’explorer.
Charline Schmerber encourage également à s’informer et partager son expérience avec d’autres personnes concernées, notamment au travers de groupes de paroles.
Elle-même a d’ailleurs écrit un ouvrage sur le sujet, "Petit guide de survie pour écoanxieux".
Elle ajoute : "Il faut créer des lieux propices à la verbalisation, se rapprocher de réseaux qui vont permettre d’agir ensemble".
Un guichet unique d’information et d’assistance pour vous aider à faire des économies d’énergie.
Découvert par article nice Matin https://www.nicematin.com/environnement/ce-dispositif-du-conseil-departemental-des-alpes-maritimes-vous-aide-a-faire-baisser-votre-facture-energetique-805501
Ce péage ne serait pas indispensable, car il se trouve entre deux autres péages, celui de la Turbie et celui d'Antibes sur l'A8.
Les tarifs sur l'autoroute ne devraient pas changer, puisque les deux péages qui entourent celui de Saint Isidore pourraient augmenter.
Sur le site vous trouverez des informations sur les cosmétiques et un moteur de recherche INCI pour connaitre la composition de vos produits de beauté
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Liste des ingrédients INCI classés par ordre alphabétique - Moteur de recherche ingrédients.
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