Le rapport pointe un paradoxe: l’agriculture est à la fois victime et coupable du réchauffement climatique...
Toutes les activités contribuent, à des degrés divers, au changement climatique et tous les individus et organisations vont devoir en subir les effets. L’agriculture est responsable de 18% des émissions de la France, et l’alimentation de 22% de son empreinte carbone.
"La problématique du revenu agricole est centrale"
Et les agriculteurs sont en première ligne: car le changement climatique cause sécheresses, baisses de rendement, stress thermique sur les animaux, pertes de récoltes, sans parler des zoonoses.
Les consommateurs, eux aussi, vont subir les effets de ces impacts sur le prix de l’alimentation qui va nécessairement augmenter.
Le secteur est le 2e plus émetteur en France. Cette donnée n’est pourtant pas au centre du débat. Une erreur?
Les difficultés du monde agricole sont de très grande ampleur et cela ne date pas d’aujourd’hui. Pour une grande partie, il est difficile de vivre de son activité et beaucoup d’exploitations agricoles sont dans une situation économique fragile. La problématique du revenu agricole est centrale. Mais penser qu’il suffit d’abandonner les politiques environnementales pour régler les difficultés est illusoire.
Les agriculteurs ont besoin de politiques de lutte contre le changement climatique et d’adaptation pour faire face aux risques qui pèsent sur eux. Celles-ci doivent les accompagner, les aider dans les transformations profondes des systèmes alimentaires.
Quels sont les verrous qui bloquent la transition vers un modèle plus vertueux et surtout plus résilient?
Quand on évoque la transition agricole, on renvoie dos à dos exploitants et consommateurs. Comme si la transition ne se faisait pas à cause de leur résistance au changement. C’est simpliste et faux. Les systèmes alimentaires sont des organisations complexes, avec des interdépendances entre les décisions aux différentes étapes de la filière.
Outre les agriculteurs et les consommateurs, ils engagent conseil agricole, banques, coopératives, transformateurs, distributeurs, restaurateurs et bien d’autres acteurs. Pour changer les choix des agriculteurs comme ceux des consommateurs, il faut que tous ces acteurs intermédiaires s’impliquent et intègrent les enjeux environnementaux.
Comment donner l’envie et la possibilité aux agriculteurs de se transformer?
Le monde agricole a tout à fait compris les enjeux de cette transition, il est faux de dire que les agriculteurs n’ont pas conscience de la question climatique. L’enjeu est vraiment l’accompagnement pour faire cette transition et le partage de son coût entre les différents opérateurs, de l’amont à l’aval.
Diminuer l’impact des transports dans le secteur agricole, c’est aussi réduire la part de nos importations et exportations. Donc les accords de libre-échange?
Le rapport met en avant la problématique cruciale des importations. Dans l’empreinte de l’alimentation, 46 % des émissions sont importées et ces importations sont pour plus de la moitié le fait de produits qui sont vendus directement par les industriels, les restaurateurs et la distribution.
Les systèmes alimentaires sont globalisés et il faut penser la question des émissions importées, ou de la déforestation importée, à tous les niveaux, y compris lors des discussions et négociations commerciales.
Le Haut conseil dit que ces changements incluent une "prise de risque". Est-ce à l’État, à l’Europe de les prendre quand les agriculteurs sont souvent précaires, épuisés?
Bien sûr. Les pouvoirs publics ont un rôle central à jouer, ainsi que les acteurs de l’aval, comme la transformation, la distribution et la restauration, mais aussi les banques et les assurances.
"Les discours qui polarisent sont au service de l'inaction"
En outre, le secteur agricole est très hétérogène, avec certains agriculteurs qui sont en plus grande difficulté que d’autres. Une transition juste doit tenir compte des situations de plus ou moins grande vulnérabilité économique et climatique, aux inégalités d’effort à consentir.
Le remembrement, entamé en 1968, a détricoté toutes les petites exploitations pour basculer vers une agriculture mécanisée, intensive, vers la monoculture. L’État doit-il dire qu’on a fait fausse route?
La modernisation agricole qui a été mise en œuvre dans l’après-guerre a jeté les bases d’un système qui montre aujourd’hui ses limites. Mais dans le même temps, cette expérience nous montre que des politiques volontaristes et qui accompagnent le secteur peuvent le transformer profondément.
Comment réconcilier défenseurs du climat et agriculteurs, débat très instrumentalisé notamment par l’extrême droite?
Encore une fois, penser que le monde agricole ne se soucie pas du climat ou que les défenseurs du climat n’ont pas conscience de leurs difficultés est faux. Ces discours qui polarisent sont au service de l’inaction, qui fait perdre du temps et accroît les menaces sur les plus vulnérables, agriculteurs comme consommateurs. Le statu quo n’est une option pour personne.
Les mesures-clés du rapport du Haut conseil pour le climat sur l'agriculture et l'alimentation
Pour lever les verrous qui freinent la transition:
Les pratiques à privilégier "une fois les verrous levés":
Pour consulter le rapport en intégralité, rendez-vous sur le site du Haut conseil
Les pesticides sont des poisons qui détruisent tout ce qui est vivant. Ils sont dans l’eau de pluie, dans la rosée du matin, dans le nectar des fleurs
Renseignements: 07.83.15.17.72., coquelicots.mouans@outlook.fr
Découvert par article
https://www.nicematin.com/vie-locale/mouans-les-coquelicots-oui-les-megabassines-non-844029
Les Localos Bienvenue dans le "local-monde"
Découvert par article nice matin https://www.nicematin.com/faits-de-societe/a-grasse-face-aux-enjeux-ecologiques-ils-experimentent-la-democratie-participative-822908
Des solutions adaptées à tous vos problèmes dans le respect de l’environnement
L’entreprise, fondée en 2001, est dirigée par Olivier Panchaud, jardinier paysagiste et Karine Panchaud, biologiste.
En complément de l’entretien de jardins, taille, élagage, tonte, VegeTech a développé une activité de diagnostic, de traitement phytosanitaire, et une partie recherche.
Identification des maladies simples – Analyses laboratoire simple - Soins aux plantes - Restauration d’arbres anciens – Etude de résistance mécanique des arbres - Recherche – Expertise
Découvert par article Nice Matin https://www.nicematin.com/environnement/a-la-crau-ce-couple-defend-une-haie-havre-de-biodiversite-et-obtient-le-soutien-du-conseil-detat-821299
Richard Galy se veut maire médecin. Au service de la population, comme au chevet de ses patients. Mais il pourrait être aussi équilibriste, tant l’édile doit jongler avec la préservation du cadre de vie et la nécessité de loger des actifs. Avec la volonté d’investir, tout en préservant le contribuable. Malgré une conjoncture ardue, l’édile reste déterminé à résoudre l’équation, telle que définie par son programme en 2020. Quel que soit le facteur X...
2023 signifie déjà mi-mandat. État des lieux?
La crise du Covid nous a énormément impactés. Tous les chantiers ont été décalés et il a d’abord fallu gérer l’urgence, avec un soutien à l’activité économique. La guerre en Ukraine crée d’autres contraintes, notamment l’inflation du coût de l’énergie qui frappe le budget de fonctionnement de la Ville. Mais notre programme, ce ne sont pas des promesses en l’air. Il a été planifié, budgétisé et découpé en six pour les six années de mandat. Malgré les retards, on a lancé tout ce qu’on avait prévu, notamment du point de vue de la transition écologique.
C’est-à-dire?
La Ville est plus verte que jamais. L’accroissement démographique a été divisé par dix ces vingt dernières années, et l’on a encore préservé 40% d’espaces verts en 2019, pour un total de 72,5% sur la commune. Dans les années 1990, la création de Mougins le haut et Tournamy représentent 5% de notre territoire. Le Cœur de vie ne constitue que 2% d’urbanisation en plus. 93% de notre espace demeure pavillonnaire et environnemental.
Avec des panneaux photovoltaïques pour la transition énergétique?
On a déjà réalisé l’isolation extérieure de bâtiments publics et scolaires. On souhaite implanter des panneaux photovoltaïques sur des ombrières installées sur de grands parkings comme à l’école des Cabrières ou Saint-Martin, qui protègent les véhicules de la chaleur et produisent de l’électricité pour l’autonomie des bâtiments attenants et alentours. On a également repris 60% de l’éclairage de la Ville avec du LED qui nous fait économiser 150.000 e. Depuis le 1er décembre, on éteint certaines routes de 23h à 6h, sauf axes principaux.
Vous misez aussi sur la "mobilité douce"?
Nous avons réalisé 30 kms de piste cyclable depuis 2016, une nouvelle a été inaugurée au pied de Mougins le haut vers Sophia. La prochaine sera réalisée avenue de la plaine. Parallèlement, on soutient l’achat de vélo avec une subvention de 20%, jusqu’à 300 e. (Nous donnons également 100 euros pour l’achat d’un matériel de jardin électrique).
Le vélo, mais aussi le bus?
Nous allons instaurer trois lignes de bus en plus. La 26 à l’ouest (avenue de la plaine, Notre Dame de vie, le chemin des Cabrières jusqu’à la Bocca); la 28 à l’Est (chemin Belvédère, Mougins le haut, avenue du Golf, Sophia et retour au village); la 29 transversale (Tournamy, Centre et Sophia), à une cadence de 12 minutes. Mougins est un endroit de passage pour les véhicules qui viennent de Fayence, Peymeinade, Grasse ou Fréjus, Mandelieu, la Bocca par la sortie 42. C’est un entonnoir à voitures entre l’avenue Maurice-Donat et l’avenue de la Valmasque. Tous ces gens-là, j’aimerais bien les acheminer sur un mode différent, à commencer par les Mouginois!
Les écoliers devraient bénéficier de légumes et fruits bio "made in Mougins" ?
On a acquis des terrains dans les quartiers des Bréguières et d’Argeville pour créer une régie agricole. On va lancer un appel d’offres afin d’y implanter des agriculteurs, pour des premiers labours au printemps, et des produits bio en circuit court dans les cantines à la rentrée 2023.
Cœur de Vie doit aussi s’achever avec le parc paysager qui doit relier le Val à Tournamy?
Il s’étendra sur 6.000m2, là où se situent Provence et matériaux et Gamm Vert, et comportera trois parties: un espace de rencontres avec une fontaine, des jeux pour enfants, une deuxième avec des gradins pour des spectacles et une troisième avec des plantations en pleine terre d’au moins 300 arbres. Nous allons enfin avoir cette place conviviale qui manque à Mougins depuis la nuit des temps (sic) avec des restaurants, des commerces, un cinéma de trois salles qui doit ouvrir en septembre. 2023 est une année de concrétisation, avec un vrai changement de vie pour que notre commune ne soit pas une ville-dortoir.
Les logements sociaux, dont la carence s’élève à 450.000 e, c’est pour les Mouginois d’abord?
Je veux! Cécile Duflot nous a imposé 25% de logements sociaux puis la loi Alur avant de s’éclipser. Nous avons atteint 11% au lieu de 25, mais j’établis un plan triennal avec la préfecture pour en construire çà et là afin d’éviter que la pénalité ne quintuple et s’élève à deux millions. En échange, nous sommes dans la commission d’attribution, et les Mouginois sont servis en premier. Et je maintiens qu’il est de la responsabilité du maire de construire ces logements pour des jeunes actifs qui ont grandi dans nos écoles, des couples qui se défont, des agents municipaux ou des personnes âgées qui n’ont plus les moyens de se loger. Parallèlement, on modifie le PLU pour augmenter l’emprise au sol constructible de 5% afin de valoriser les propriétés existantes et de récupérer des droits à la mutation dans nos caisses lors des reventes.
Avec 50 Me d’investissements (et un report de 32 Me) l’opposition dénonce un manque d’ambition?
Que leur faut-il? Cent millions? J’aime la gestion en bon père de famille et je m’en réfère à Antoine Pinay qui expliquait ainsi la bonne santé économique de la France (il se lève et imite l’ancien Premier Ministre): "Quand j’ai cent francs dans le porte-monnaie, je ne dépense jamais plus!".
Il faut avoir le courage d’investir, mais sans jamais perdre de vue l’intérêt des contribuables.
Sustainability Podcasts
The Sustainability Agenda http://thesustainabilityagenda.com/
• Jean-Marc Jancovici et Pablo Servigne (reco gpe FB licorne)
Source SAP JAM
How We Can Make the World a Better Place by 2030 | Michael Green | TED Talks (https://www.youtube.com/watch?v=o08ykAqLOxk)
50% (3 votes)
Close the Gender Pay Gap | Jo Cribb | TEDxWellington (https://www.youtube.com/watch?v=fy1pvgChJn4)
17% (1 vote)
Why Gender Equality Is Good for Everyone — Men Included | Michael Kimmel | TED Talks (https://www.youtube.com/watch?v=7n9IOH0NvyY)
17% (1 vote)
Creating Sustainable Cities (https://www.youtube.com/watch?v=fcDDUSUbq9A)
17% (1 vote)
Sustainability of supply chains in the age of information | Tom Pathuis | TEDxYouth@Maastricht (https://www.youtube.com/watch?v=zKOkEEmtlIo)
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Re-thinking Progress: The Circular Economy (https://www.youtube.com/watch?v=zCRKvDyyHmI)
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Creating a circular economy: the challenges and opportunities for business (https://www.youtube.com/watch?v=TtR1ibE8Zt0)
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The Importance of Diversity In The Workplace (https://www.youtube.com/watch?v=Pn6WzHw7gHY)
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Chris McKnett: The investment logic for sustainability (https://www.youtube.com/watch?v=rpOwTspdwkI)
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Why sustainable tourism? (https://www.youtube.com/watch?v=JFbbKbdqoJg)
Source SAP JAM
Face à un avenir assombri par la crise climatique, le réalisateur et militant écologiste Cyril Dion parcourt le monde à la rencontre d’acteurs qui ont révolutionné une région, un pays ou une activité, et esquisse un nouveau récit : celui d’un monde plus juste et plus écologique.
Dans l'épisode 2 du documentaire, autour de 16min, il y a Pablo Sevigne qui est interviewé. Il explique que pour lui la collapsologie est une façon de se mettre en action. Si la catastrophe à venir est incertaine, il vaut mieux la considérer comme certaine pour se donner une chance de l'éviter. Le paradoxe étant que plus on agit bien, moins il se passera les choses anticipées.
https://pabloservigne.com/
Ok, donc l’Allemagne est en train de démanteler prématurément un parc de 8 éoliennes pour pouvoir extraire le charbon qui se trouve en dessous. HAHAHA.
Qu’on ne vienne plus jamais me dire que l’éolienne n’est ni une vaste blague, ni une fumisterie.
~
D’ailleurs je reviens de long trajet là. J’ai traversé la moitié de la France (500 km). J’ai dû voir une trentaine d’éoliennes en tout.
Sur tout ça, environ la moitié étaient à l’arrêt. En fait, une éolienne est à l’arrêt environ 3/4 du temps (son facteur de charge est de 25 % environ). Cela signifie que pour produire 1 MW de puissance, il faut installer quatre éoliennes de 1 MW, pour qu’en moyenne sur l’année, on puisse dire que ces éoliennes aient tournées en produisant 1 MW de puissance.
Une seule éolienne, c’est typiquement 2 ou 5 MW. Soyons généreux, disons 5. Avec ceci donc, on peut diviser ça par 4, donc 1,25 MW « réel ».
Maintenant, une centrale nucléaire, c’est typiquement 2 à 6 réacteurs (disons 4) de 1 GW chacun. Soit 4 GW. Le facteur de charge du nucléaire est d’environ 75 %. Une installation de 4 GW produit donc en réalité 3 GW électrique.
Autrement dit, pour remplacer une seule centrale nucléaire il faut 2 400 éoliennes.
Les 30 éoliennes que j’ai vu, c’est donc 1,2 % d’une seule centrale nucléaire. Il en faudrait 100 fois plus pour la compenser.. Ah, et à chaque fois qu’il y avait une ferme d’éoliennes, les panneaux, pancartes, tags « non aux éoliennes » n’étaient jamais loin. Donc oui, l’éolienne est une blague.
C’est joli, c’est moderne, c’est en fibre de verre (une matière artificielle, non-recyclabe et non dégradable), mais en vrai ça ne sert à rien car ça produit presque rien 1/4 du temps et rien du tout les 3/4 restant du temps. Voilà.
Et le solaire ? Ça produit non pas 25 % du temps, mais 15 % du temps. Et on rase de forêts pour les installer. Je ne vois qu’un seul intérêt, c’est de recouvrir les toits des maisons avec et de consommer ça sur place avec des batteries style « power wall ». Mais des fermes solaires, c’est une grosse connerie.
PS : Oui, RACG est un compte parodique, mais l’info reste exacte. On la retrouve dans les médias allemands : https://taz.de/RWE-Aktion-im-Tagebau-Garzweiler/!5889893/
Soutenez Blast, nouveau média indépendant : https://www.blast-info.fr/soutenirLa France est confrontée à une crise énergétique. Depuis le début de la guerre ...
L’agglomération Cannes Pays de Lérins a signé ce jeudi un document d’engagement avec l’État pour la réalisation et le soutien financier de 101 projets verts.
Le président David Lisnard et Anne Frackowiak-Jacobs, sous-préfète de l’arrondissement de Grasse, ont paraphé ce jeudi soir en mairie de Cannes un contrat de relance et de transition écologique pour six ans (de 2021 à 2026). Le premier s’est engagé à réaliser de projets écologiques sur le territoire des cinq communes membres de la CACPL et dans l’intérêt de ses 160.000 habitants. La seconde à apporter des aides financières.
"Ce document s’appuie sur trois axes de développement durable: le renouvellement urbain, le dynamisme économique et la cohésion sociale d’une part, la transition énergétique et la valorisation environnementale d’autre part, ainsi que la résilience du territoire et la préservation des ressources naturelles", expliquait le président de la CACPL, David Lisnard.
Dans le cadre de ce contrat, 46 projets communautaires, communaux, associatifs et entrepreneuriaux ont déjà été soutenus par l’État en 2021, à hauteur de 26,2 millions d’euros (dont 22 ME pour l’agglo et ses communes: Cannes, Le Cannet, Mougins, Mandelieu-La Napoule et Théoule-sur-Mer). 55 autres sont identifiés pour la période 2022-2026.
Sur les 46 actions lancées en 2021, 20 sont portées par l’agglo et ses communes; 26 par le monde associatif et entrepreneurial.
À titre d’exemples d’actions commencées, Michel Tani, directeur de la CACPL énumérait la poursuite du Bus à haut niveau de service, la création d’une unité de production d’hydrogène vert et d’une unité d’accueil des déchets sur le site de Bastide Rouge, l’expérimentation d’une collecte de biodéchets ou encore la réalisation de travaux de sécurisation et de prévention du risque inondation. Outre ces projets d’intérêt intercommunaux, les communes déclinent également des actions chacune sur son territoire.
Anne Frackowiak-Jacobs annonçait que les négociations allaient reprendre rapidement pour les financements 2022. Elle se félicitait également d’un document qui "offre une visibilité du territoire et de sa politique environnementale sur les années à venir."
Découvert par article nice matin https://www.nicematin.com/economie/comment-la-startup-vertuoso-piege-les-dechets-des-eaux-pluviales-723798
'Emballez c’est pesé' - Où l’on baigne dans un océan de plastique. Racontée par Jian-Sheng Sun.
L'univers des jeux coopératifs
Vous trouverez ici un vaste choix de jeux de société pour tous les âges. Les jeux coopératifs, où l'on joue tous ensemble contre un adversaire commun, sont la spécialité de la maison.
Escape Game
Vous aimez les énigmes ? Jeux de cartes coopératifs inspirés des Escape room, les Escape game font fureur, de 7 à 99 ans !
Auteur, conférencier, médiateur, formateur sur les questions de biodiversité, François Lasserre publie un inventaire personnel des petites bêtes des villes. Il a choisi 100 spécimens, communs et plus inattendus, vivants tout autour de nous, des grands centres urbains aux petits villages. Une invitation à aiguiser notre regard.
Nature et environnement - Signez la pétition : Pour un débroussaillement raisonné de la Nature sur Mougins-le-Haut et ses alentours
Titre trompeur
Non il n'y a pas 100 entreprises responsable de 71% du réchauffement climatique
Le mot clé c'est fossile pas entreprise le mot clé
C'est les fossiles qui causent 70% du réchauffement climatique
Il n'y a pas de raisons particulières d'attribuer la responsabilité des fossiles uniquement au premier maillon de la chaîne
En France les secteurs émetteurs
Et utilisateurs de fosses
Transports
Chauffage 24%
Industries BTP et électricité
Les entreprises émettrices savaient qu'elles impactaient le climat
Elles ont finances des thèses climatosceptiques
Elles continuent de dépenser des fortunes pour bloquer la transition
Suivez automatiquement l'impact carbone de votre quotidien, et maîtrisez plus facilement le bilan carbone de votre entreprise avec Carbo !
Découvert par la Banque Postale https://www.labanquepostale.fr/particulier/solutions-citoyennes/banque-planete/carbo.html
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Moyenne de 671 kgC02 / mois
👉 C’est 8% de plus que la moyenne des français
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👉 Pour atteindre l’objectif de l’accord de Paris, il te faudrait diviser ton empreinte par 4 environ. Au boulot !
=> interface sympa, le contenu est bien présenté, par contre j'ai pas activé le mode dynamique qui m'a semblé un peu trop intrusif
Le système qui s’est imposé depuis des décennies à l’échelle de la planète repose sur l’exploitation et la recherche du profit …
l’individualisme et la compétition, sur l’illusion de la croissance sans limite, sur un consumérisme qui appauvrit l’âme. Dans ce système on ne consomme plus pour vivre, on vit pour consommer sans écouter le cri du monde. Dans ce système, on a perdu le sens de la mesure, le sens du lien, le sens du vivant. Chaque crise nous montre que l’écart grandit entre la société dans laquelle nous vivons et nos aspirations profondes.
Alors il faut s’indigner, il faut critiquer, mais il faut aussi proposer, construire des alternatives.
C’est ce que nous, les sociétés coopératives avons commencé à faire. Chacune de nos coopératives dans son domaine particulier, sur des marchés qui semblaient verrouillés, avec une énergie qui nous vient du terrain, s’emploie à bâtir une proposition économique solide, concrète et vertueuse. Avec de nouveaux modèles économiques, nous faisons vivre au sein des territoires un idéal écologique, démocratique et solidaire.
Aujourd’hui, nous voulons aller plus loin et vous donner le pouvoir de transformer radicalement l’économie…
en construisant un système économique entièrement coopératif. Ainsi, nous pouvons aller au-delà de la logique de « créer de l’impact » et nous attaquer aux causes racines en construisant une réponse systémique. C’est pour atteindre cette ambition commune que nous nous allions sous le nom des LICOORNES.
MOBILISONS-NOUS
pour faire grandir ces alternatives et construire le système économique dont le XXIème siècle a besoin ! Nous avons besoin de votre engagement pour porter cette ambition. En changeant notre consommation, nous changeons le monde.
Découvert par le biais de la Banque éthique La Nef https://www.lanef.com/collectif-les-licoornes
The Ocean Cleanup is developing technologies to rid the oceans of plastic. We aim to remove 90% with ocean cleanup systems and river interception technologies.
WE AIM TO CLEAN UP 90% OF FLOATING OCEAN PLASTIC POLLUTION
The Ocean Cleanup is a non-profit organization developing advanced technologies to rid the oceans of plastic. To achieve this objective, we have to work on a combination of closing the source and cleaning up what has already accumulated in the ocean and doesn’t go away by itself. This goal means we plan to put ourselves out of business – once we have completed this project, our work is done.
Découvert par podcast Basilic https://basilicpodcast.com/bruno-sainte-rose-the-ocean-cleanup-nettoyer-les-oceans-grace-a-des-projets-innovants/episode_80_bruno_oceancleanup/
FlexFuel Company leader des solutions de décalaminage moteur, vanne EGR et FAP ainsi que des kits bio-éthanol pour une éco-conduite.
Hy-Motor, une unité mobile de nettoyage et d’entretien qui produit de l’hydrogène en grande quantité, sans aucun risque pour les humains, sans rejeter de produits nocifs dans l’environnement et sans démonter le moteur", annonce fièrement le dirigeant. Concrètement, cela signifie 30% de polluants en moins, un coût d’entretien également abaissé de 30% et -12% de consommation de carburant.
Article abonné nice matin https://www.varmatin.com/economie/flexfuel-energy-development-verdit-les-moteurs-des-navires-691547
Prenez le temps de la complexité pour mieux appréhender l’avenir ! Post-R est un voyage pédagogique sur l’état du monde. En 15 min, comprenez l’essentiel de grands enjeux pour demain (Climat, Energie, Sécurité Alimentaire,…) et découvrez les pistes de solutions qui s’esquissent ici et maintenant.
Différentes thématiques
F.A.Q (Google doc https://docs.google.com/document/d/1csb55dhE41kFt5PWa9kf4z7A3LiNqWJ-w3SGn0qTLNk/edit?ts=5bc86833)
Qui est à l’origine du site ilestencoretemps.fr ?
Ce site est une initiative commune de plusieurs ONG, associations, médias alternatifs et groupes citoyens, tous unis pour la protection du climat.
L'objectif est à la fois de montrer que tous ces acteurs peuvent s'unir pour mobiliser la société, et d'aider les citoyennes et les citoyens à se repérer dans les nombreuses initiatives.
Quels projets sont recensés ?
Tous les projets de la société civile pour mobiliser les citoyennes et les citoyens contre les dérèglements climatiques peuvent être recensés.
Les projets à but lucratif, concernant un appel à dons ou financés par des grandes entreprises ne seront pas publiés.
Les initiatives doivent être facilement et directement appropriables avec des actions concrètes et en capacité de recevoir et utiliser l’afflux correspondant à une campagne nationale.
Les initiatives doivent avoir un lien et un impact avéré sur le climat.
Les initiatives présentées doivent être indépendantes de tout parti politique ou candidat à des élections.
Les initiatives individualistes, commerciales, nationalistes, réactionnaires ou violentes ne seront pas publiées.
Comment fonctionne le moteur de suggestion ?
Chaque semaine, nous identifions les projets prioritaires, principalement en termes d’urgence de calendrier. Les réponses au moteur de suggestion permettent de définir 4 groupes de visiteurs (En ligne / Hors ligne et En groupe / Seul). Pour chaque groupe, il y a toujours entre 2 et 5 suggestions d’actions.
Si l’utilisateur s’inscrit avec son adresse e-mail, les suggestions personnalisées sont également envoyées par e-mail.
Orientation vers des actions suivant ses propres critères
Avez-vous plutôt envie d'agir
Catégories
Plateforme de crowd-acting sur le développement durable. Citoyens et entreprises agissent ensemble... et vous ?
Koom est une plateforme qui permet à chacun(e) de trouver des idées d’action pour réduire son impact carbone.
Différentes thématiques pour les actions éco-citoyennes https://www.koom.org/actions/toutes#
Koomunauté: carte permettant de voir les voisins participants et les actions sur lesquelles ils sont impliqués
La plateforme vidéo gratuite de la transition
Une sélection de plus de 3 000 vidéos inspirantes
Emissions - Docu - Podcasts - Courts
2 243 747 vidéos vues depuis le lancement
38 293 membres dans la communauté
Concepteur d'habitations écologiques, économiques et originales
Aussi pratiques que les gourdes de compote jetables mais bien plus économiques, ludiques et écologiques, les Squiz réutilisables permettent aux familles de concilier encas nomades et consommation responsable. Destinées à tous les âges (bébés, enfants, ados, adultes), elles se remplissent de recettes faites maison ou achetées en grand format et s’emportent partout. Réutilisables en moyenne 50 fois, elles permettent de varier goûts et saveurs, tout en réduisant ses déchets considérablement. Squiz est la seule marque de gourdes alimentaires réutilisables 100% Européenne.
QUI PEUT SQUIZER ?
Tout le monde peut Squizer grâce aux formats adaptés aux plus petits (90 ml) et aux plus grands (130 ml).
LES BÉBÉS Avec les collections Bébé Nature, Sophie La Girafe : dès le début de la diversification, Squiz permet de varier facilement saveurs et textures.
LES ENFANTS Son format généreux (130 ml) en fait une alliée indispensable des encas hors de la maison : finis goûters trop sucrés et biscuits écrasés au fond du cartable !
LES ADOLESCENTS ET LES ADULTES Avec les collections Foodie et City : au sport ou au travail, Squiz permet de combler les petits creux et faire le plein d’énergie en évitant les encas trop gras et sucrés.
POURQUOI SQUIZER ?
HYGIÉNIQUE ET RÉSISTANTE
Squiz se remplit et se nettoie facilement grâce à sa large ouverture, pour une hygiène irréprochable. A sa base, un double zip très résistant garantit une étanchéité parfaite. Par une simple pression des doigts, il se referme et reste scellé sans crainte de voir le contenu se renverser au fond du sac. Fabriquée en plastique extrêmement robuste constitué de 3 différentes couches, Squiz résiste aux manipulations répétées sans risque de déchirure.
AU SERVICE DES PARENTS
Contenant unique servant à stocker, réchauffer, transporter et manger, Squiz est un gain de temps appréciable pour les parents. Tout est pensé dans les plus petits détails pour leur faciliter la vie : un emplacement pour inscrire au feutre lavable la recette et la date de fabrication ; une zone transparente pour identifier facilement le contenu.
GAIN DE TEMPS, GAIN D’ARGENT
Squiz n’est pas faite que pour les adeptes du cuisiné maison ! Les parents pressés peuvent aussi la remplir de compotes, yaourts ou purées surgelées achetés en format familial. Quelle que soit sa motivation (écologique, économique, nutritionnelle), chacun a de bonnes raisons de l’adopter.
Mon avis : ça reste un achat de produit plastique, je ne sais pas combien de temps ça dure mais il faut l'utiliser suffisamment de fois pour que ça soit vraiment écologique je pense.
Créé par le Muséum national d’Histoire Naturelle dans le cadre du projet 65 Millions d’Observateurs, OPEN est co-animé par la Fondation pour la Nature et l’Homme et l’Union nationale des CPIE. De 2012 à 2017, ces deux structures ont coordonné le Collectif National Sciences Participatives Biodiversité, dont la mission est de regrouper et d’animer les acteurs qui portent des programmes de sciences participatives liés à la biodiversité en France. La FNH et l’UNCPIE poursuivent désormais cette coopération réussie à travers l’animation d’OPEN en étroite collaboration avec le Collectif National Sciences Participatives Biodiversité.
Porté par le Muséum national d’Histoire naturelle, le projet “65 Millions d’Observateurs” vise à diffuser la culture scientifique à travers les sciences participatives.
Les Sciences participatives, c'est quoi ?
On a tous eu, à un moment ou à un autre, l’occasion d’observer la nature et sa diversité, en s’en étonnant ou en s’émerveillant.
Observer pour son plaisir, c’est bien… mais observer et faire profiter la communauté scientifique de ses observations, c’est mieux ! C’est ça, les sciences participatives : des programmes scientifiques auxquels on peut tous, spécialistes ou amateurs, contribuer par de la collecte d’observations, sur la base du volontariat.
Les Sciences participatives, à quoi ça sert ?
En premier lieu à améliorer les connaissances sur la biodiversité.
Programmes de recherche scientifique, inventaires d’espèces : mieux on connaît la biodiversité, mieux on peut la protéger.
Mais aussi à éduquer et sensibiliser aux enjeux sur la biodiversité, à travers l’implication citoyenne et la pédagogie par l’action.
Les Sciences participatives, pour qui ?
Pour tous ! Que vous soyez débutant, initié ou expert dans le domaine de l’observation.
Dans tous les cas, vous bénéficiez du soutien d’observateurs experts qui pourront vérifier vos identifications.
Oiseaux, mollusques, plantes, insectes pollinisateurs… : quels que soient vos centres d’intérêt, vous trouverez forcément votre bonheur dans la grande variété des programmes de sciences participatives.
=> Trouvez le programme qui VOUS correspond !
Le virus de l'engagement et du sens passera par moi. Prenons de la distance, reinventons des cyberliens qui font du bien !
La première télé interactive, collective et contributive qui te propose de réfléchir au monde d’après sans quitter ton masque.
Exemples de programmes