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Envoyer la carte Vitale à la CPAM pour vérifier son état
Si la mise à jour de votre carte Vitale ne permet pas de résoudre son dysfonctionnement, il est recommandé de la faire parvenir à votre caisse primaire d’assurance maladie dans le but de la faire expertiser. Lors de votre envoi par courrier, pensez à préciser la nature de votre demande. Ainsi, la CPAM pourra décider si votre carte doit être remplacée ou si elle peut vous la renvoyer après analyse.
Que votre carte Vitale soit cassée, abîmée, ou que sa puce soit illisible, vous devez immédiatement prévenir votre CPAM. Cette démarche peut être effectuée en ligne, par téléphone, par courrier ou en vous rendant dans un point d’accueil.
Pour signaler le dysfonctionnement de votre carte Vitale, une déclaration est à remplir. Avant de la valider, vérifiez l’exactitude des informations vous concernant (état civil, adresse postale et adresse mail). En cas d’erreur ou d’oubli, il est impératif de contacter votre CPAM pour le lui signaler.
Demander une nouvelle carte Vitale
Si le dysfonctionnement de votre carte Vitale ne peut être réglé par la mise à jour ou l’analyse effectuée par la CPAM, une demande de renouvellement doit être réalisée.
Pour commander votre carte Vitale, rendez-vous sur votre compte Ameli, dans la rubrique « Mes démarches », puis « Commander ma carte Vitale ».
Deux documents vous seront demandés pour valider votre dossier :
une photo d’identité numérisée ;
une pièce d’identité numérisée.
Une fois la validation faite, votre commande est transmise à la caisse primaire d’assurance maladie. Vous recevez en échange un récapitulatif de vos données.
Votre nouvelle carte Vitale vous sera envoyée dans un délai de 2 semaines, accompagnée d’une copie papier des informations qu’elle contient dans sa puce électronique. Si vous perdez votre carte ou si vous avez besoin de justifier vos droits, c’est ce document que vous devez présenter.
Si vous effectuez votre demande de renouvellement par courrier, par téléphone ou dans un point d’accueil, comptez un délai de 3 semaines avant de recevoir votre nouvelle carte Vitale.
Vous pouvez suivre l’acheminement de votre carte en vous connectant à votre compte Ameli. Rendez-vous ensuite dans la rubrique « Mes démarches », puis « Suivre ma commande de carte Vitale ».
En attendant votre document définitif, vous pouvez obtenir une attestation de droits. Cette dernière vous servira de justificatif pour la prise en charge de vos soins. Elle peut être demandée par téléphone au 36 46, dans un point d’accueil ou en ligne, dans la rubrique « Mes démarches », puis « Télécharger mon attestation de droits ».
L’ensemble des propriétaires (personnes physiques et personnes morales), sont soumis à une nouvelle obligation déclarative en 2023. Pour y répondre l’espace en ligne « Gérer mes biens immobiliers » du site impots.gouv.fr s’enrichit de nouvelles fonctionnalités.
Info par la ville de Mougins
https://mougins.fr/obligation-declarative-des-proprietaires/
"Le SNU ne se raconte pas, il se vit." C’est le slogan du gouvernement pour faire adhérer les jeunes au Service national universel. N’empêche, on a quand même demandé à Maëlle, Toulonnaise de 17 ans, de nous faire le récit de son expérience.
Aujourd’hui en terminale au lycée Bonaparte, la jeune fille a fait partie des premiers Varois à effectuer un séjour de cohésion, avant sa mission d’intérêt général à l’été 2021. Dix-huit mois plus tard, elle en garde un excellent souvenir.
Pourtant, rien n’était moins sûr… Comme pour beaucoup d’autres jeunes, ce sont les parents de Maëlle qui ont insisté pour qu’elle s’inscrive au SNU. Parce qu’à l’époque de Parcoursup, ce genre d’initiative est valorisée au moment d’être accepté dans la formation de son choix dans l’enseignement supérieur.
"À force de m’en parler, ils ont fini par me convaincre", se souvient Maëlle. Mais ce dont elle se rappelle surtout, c’est qu’au bout des douze jours de cohésion dans un lycée cannois, l’adolescente et ses camarades ne voulaient plus en partir.
"Être en cohésion, c’était super!"
Si l’adolescente a mis un peu de temps à s’adapter – "Je n’étais jamais partie de chez moi plus d’une semaine de colo" –, ces quelques jours avec 300 autres volontaires sont finalement ce qu’elle a préféré dans le SNU. Elle énumère: "La journée d’appel, avec des gendarmes hypersympas, la journée des pompiers, mais aussi les sports – badminton, fitness, cross fit, randonnée, canoë… se remémore la jeune fille. On a aussi assisté à un crash test, dans le cadre de la sécurité routière ou encore fait du nettoyage de la plage." Le tout, dit-elle, "dans une ambiance militaire, avec le levé des couleurs le matin... sans les corvées qui vont avec!".
Mais ce qui a fait le sel de ces activités, c’est de les effectuer avec d’autres. "Être en cohésion comme ça tout le temps, c’était super."
Autant dire que la Toulonnaise n’a pas quitté Cannes sans s’être fait de nouveau amis. "Ça permet de se rapprocher entre personnes très différentes!"
Comme une expérience professionnelle
Maëlle a tout de suite enchaîné avec sa mission d’intérêt général, effectuée au sein du Comité départemental olympique sportif du Var.
Une seconde phase du SNU qui lui a permis d’approcher une expérience professionnelle. "J’écrivais de petits articles pour les réseaux sociaux du CDOS et devais promouvoir les Jeux olympiques dans des centres aérés." Pas une sinécure pour la lycéenne, peu encline à prendre la parole en public. Et tant pis si elle ne s’est pas découvert une vocation – la sienne serait plutôt du côté des géomètres topographes –, Maëlle assure avoir "beaucoup appris" au cours de ces trois semaines.
Un an et demi après, la jeune fille s’estime beaucoup plus sociable et indépendante. Pour elle, c’est une évidence: "Le Service national universel devrait être obligatoire!"
Et si c’était obligatoire? L’avis de jeunes de 15 à 17 ans
Ce lundi matin, sous un ciel gris, pas facile de trouver un lycéen enthousiasmé par le Service national universel. Pire, la plupart des jeunes interrogés ne voient pas vraiment ce qu’est le SNU. Alors quand, après quelques explications sur le dispositif, on leur demande ce qu’ils penseraient si le séjour de cohésion était obligatoire, ils sont dubitatifs.
Devant le lycée professionnel Claret, à Toulon, Mathis, 17 ans, estime qu’il ne devrait "pas être obligé", mais reconnaît qu’il ne le ferait qu’en y étant forcé. Inès, 17 ans aussi, ne s’y dit pas complètement fermée. "Je suis sociable, j’aime l’aventure, j’avais même envisagé de faire les Cadets de la défense", assure la jeune fille. Dorine, 17 ans, est, elle, déjà à la Préparation militaire marine. Le SNU obligatoire, elle n’y voit donc pas d’inconvénient. Au contraire: "Ça permet de faire de nouvelles rencontres!" Enzo, 16 ans, lui aussi serait d’accord. Mais seulement "à condition que ça ne dépasse pas trois jours". "Sinon, il faut qu’on soit payé!"
Devant le lycée Bonaparte, la question de la contrepartie est aussi évoquée. "Ça me donne droit à quoi?", demande Mathis, 16 ans.
"Ce serait une bonne expérience, pense tout de même Camille, 17 ans, même si c’est mieux d’avoir le choix." Et son amie Ambrine d’admettre, elle aussi, qu’elle ne ferait "un SNU que si c’était obligatoire".
"Ça ne m’a jamais traversé l’esprit", lance en écho Léa, 16 ans, tandis que Manon, 15 ans, est, elle, convaincue que l’obligation risquerait surtout de "dégoûter ceux qui ne voulaient pas le faire du tout".
Si vous faites partie des personnes concernées, vous serez prévenu par la mairie et des codes vous seront remis pour vous recenser directement en ligne. Vos données restent confidentielles.
Le recensement de la population, qui est une obligation légale, est essentiel pour connaître les besoins en termes de transports, logements, écoles, établissements de santé et de retraite… et pour construire l’avenir en déterminant le budget des communes. C’est un acte totalement gratuit. Ne répondez pas aux sites qui vous réclament de l’argent !
Source https://mougins.fr/recensement-de-la-population-mouginoise-jusquau-25-fevrier/
Article Nice Matin https://www.nicematin.com/faits-de-societe/5-questions-pour-tout-comprendre-au-recensement-qui-commence-ce-jeudi-19-janvier-en-region-paca-821494
Jusqu’à quand?
L'enquête se termine le 18 février pour les communes de moins de 10 000 habitants et le 25 février pour celles de plus de 10 000 habitants.
Comment ça se passe?
Un agent recenseur muni de sa carte officielle, siglée bleu blanc rouge, comportant sa photo, et la signature du maire, se présentera aux domiciles des foyers concernés. Pour vérifier s’il s’agit bien d’un "vrai" agent recenseur, il suffit de relever le nom de la personne et d’appeler la mairie pour le vérifier.
Pour les maisons individuelles, il dépose dès le 19 janvier des notices avec code d’accès au questionnaire internet dans les boîtes aux lettres. Pour les autres logements, l'agent se présente au domicile des personnes recensées pour remettre des notices avec code d’accès également au questionnaire internet. Le site a été relooké avec un chatbot et optimisé pour les tablettes et téléphones. Les ménages sont invités à répondre au questionnaire prioritairement par internet. "63% des habitants de Provence-Alpes-Côte d’Azur ont choisi ce mode de réponse en 2022", précise l’Insee.
"Si les habitants ne veulent pas ou ne peuvent pas répondre sur internet, l’agent dépose des questionnaires papier qu’il revient chercher quelques jours plus tard."
Quels types de questions?
Outre le nom et l’adresse, l’âge, l’emploi et autres éléments individuels, les habitants doivent aussi donner les caractéristiques du ménage pour évaluer l’évolution de la population et ses besoins futurs, décrire le logement pour connaître les besoins en habitations, ou encore exposer les habitudes de vie comme les trajets quotidiens pour se rendre au travail par exemple. Ce qui servira à évaluer les besoins en transports.
Un guichet unique d’information et d’assistance pour vous aider à faire des économies d’énergie.
Découvert par article nice Matin https://www.nicematin.com/environnement/ce-dispositif-du-conseil-departemental-des-alpes-maritimes-vous-aide-a-faire-baisser-votre-facture-energetique-805501
Découvert par cash investigations sur les sécheresses et inondations
Résultats du contrôle sanitaire de la qualité de l’eau potable en ligne, commune par commune
Cliquez sur votre région pour accéder aux résultats de qualité de l’eau potable de votre commune.
Alim’confiance vous permet de consulter les résultats des contrôles officiels réalisés en matière de sécurité sanitaire des aliments depuis le 1er mars 2017.
Chaque jour, de nouveaux résultats sont ajoutés et restent visibles pendant une durée de 1 an.
Ces contrôles sont effectués tout au long de la chaîne alimentaire.
Ils permettent de connaître le niveau d’hygiène des établissements de production, de transformation et de distribution de vos produits alimentaires.
Vous pouvez également consulter le niveau de maîtrise sanitaire des abattoirs.
Retrouvez les résultats des contrôles officiels sur cette page et sur l’application mobile Alim’confiance.
Télécharger l'application Alim'confiance sur :
- App Store
- Google Play
- Windows Store
connexion FranceConnect
PAIEMENT DE VOTRE AMENDE
Si vous souhaitez payer ou consigner en ligne, cliquez ci-dessous pour accéder au site de télépaiement.
SUIVI DE VOTRE DOSSIER
L'ANTAI simplifie vos démarches en vous permettant de consulter votre dossier en ligne.
DÉSIGNATION ET CONTESTATION
En cliquant sur ce bouton, vous accédez à un parcours de désignation ou contestation intégralement dématérialisé.
LES INFRACTIONS ET L'AVIS DE CONTRAVENTION
Le guide indispensable pour comprendre comment remplir, payer ou contester les différents avis de contravention. Voir https://www.antai.gouv.fr/dossier-infraction?lang=fr
La base de données publique Transparence - Santé
La base de données publique Transparence - Santé rend accessible l'ensemble des informations déclarées par les entreprises sur les liens d'intérêts qu'elles entretiennent avec les acteurs du secteur de la santé. Pilotée par le Ministère des Solidarités et de la Santé, cette initiative de transparence vise à préserver la nécessaire relation de confiance entre les citoyens, les usagers et les multiples acteurs du système de santé.
La transparence, condition indispensable pour préserver la confiance
La loi du 29 décembre 2011 relative au renforcement de la sécurité sanitaire du médicament et des produits de santé garantit l'indépendance et l'impartialité des décisions prises en matière de santé. Elle impose la transparence des liens entre les industries de santé et les autres acteurs du champ de la santé, professionnels de santé, étudiants, sociétés savantes, associations, médias, etc.
Lien d'intérêts ne signifie pas conflit d'intérêts. Pour développer leurs produits, les entreprises sont amenées à nouer des relations avec des experts, des journalistes et des acteurs publics. Il faut bien entendu conserver et développer cette complémentarité, qui fait avancer la science et permet le progrès thérapeutique.
Mais il faut que ces liens soient connus de tous et accessibles aisément.
En révélant l'existence de ces liens, la base de données publique « Transparence - Santé » permet à chaque internaute, à chaque citoyen, d'apprécier en toute objectivité la nature des relations qui lient les industries de santé aux autres parties prenantes du secteur.
« Conventions », « avantages » et « rémunérations » : trois types de liens d'intérêts
Les relations entre les entreprises et ces acteurs peuvent prendre la forme d'accords (appelés « conventions »), d'avantages (« en nature » ou « en espèce ») ou encore de rémunérations.
Les conventions entre les entreprises et les acteurs de la santé sont des accords impliquant des obligations de part et d'autre. Il s'agit, par exemple, de la participation à un congrès en tant qu'orateur (obligation remplie par le professionnel), avec prise en charge du transport et de l'hébergement (obligation remplie par l'entreprise). Les conventions peuvent aussi avoir pour objet une activité de recherche ou des essais cliniques sur un produit de santé, la participation à un congrès scientifique, une action de formation, etc.
Les avantages pris en compte dans la base de données Transparence - Santé recouvrent tout ce qui est alloué ou versé sans contrepartie par une entreprise à un acteur de la santé (don de matériel, repas, transport, hébergement, etc.).
Les rémunérations sont les sommes versées par les entreprises à un acteur de la santé (professionnel de santé ou personne morale) en contrepartie de la réalisation d'un travail ou d'une prestation.
Ces trois types de liens d'intérêts sont clairement distingués dans la base de données Transparence - Santé.
Pour des raisons techniques, les données relatives aux rémunérations versées avant le 31 décembre 2016 sont disponibles soit dans l'onglet "avantage" soit dans l'onglet "rémunération". Les rémunérations versées après cette date seront disponibles dans l'onglet "rémunération" à compter du 1er octobre 2017.
Que contient la base de données publique Transparence - Santé ?
La base de données publique « Transparence - Santé » précise, pour chaque type de lien d'intérêts, les informations suivantes :
Pour les conventions : l'identité des parties concernées, la date de la convention, son objet précis, le montant et l'organisateur, le nom, la date et le lieu de la manifestation le cas échéant ;
Pour les avantages en nature et en espèce, directs ou indirects : l'identité des parties concernées, le montant, la nature et la date de chaque avantage dès lors que le montant de chaque avantage est supérieur ou égal à 10 euros TTC.
Pour les rémunérations : l'identité des parties, la date du versement, le montant dès lors qu'il est supérieur ou égal à 10 euros. Le cas échéant, le bénéficiaire final de la rémunération ou de l'avantage est renseigné par l'entreprise.
Les informations contenues dans la base de données publique Transparence - Santé sont issues de déclarations réalisées par les entreprises. Elles sont mises à jour sur le site deux fois par an et y restent accessibles pendant cinq ans. Les entreprises sont responsables de l'exactitude des contenus publiés.
Source Site du Ministère des Solidarités et de la Santé
Découvrez la répartition du budget de l’État entre les différentes politiques, les priorités du gouvernement et les actions mises en place grâce à vos impôts. Et vérifier si vous avez toutes les connaissances pour être un bon ministre !
Dépenses publiques : où va l'argent ? https://www.aquoiserventmesimpots.gouv.fr/depenses-publics
Performance de la dépense
Les données de la performance visent à donner une vision synthétique de l’action de l’État et de ses principaux résultats au regard des moyens engagés.
Les données de la performance permettent de visualiser facilement au moyen d’indicateurs de performance, les objectifs poursuivis et leurs résultats, pour chacune des grandes politiques publiques financées par l’État en 2018.
Cette démarche, qui s’inscrit dans le cadre de la revalorisation de la loi de règlement, vise à compléter l’analyse des documents budgétaires, dans le but d’éclairer le débat en cours sur les finances publiques et sur la transformation de l’État.
Source budget.gouv.fr
La plateforme des finances publiques,
du budget de l’État et de la performance publique
Portail permettant de simuler les coûts d’utilisation de son véhicule et de proposer des véhicules plus adaptés à son usage. Il permet également de découvrir tous les dispositifs d’aides de l’État et des collectivités pour passer à une mobilité plus propre.
Source : site du gouvernement, Un site du Ministère de la Transition écologique et solidaire
Observatoire citoyen de l'activité parlementaire au Sénat
Observatoire citoyen de l'activité parlementaire à l'Assemblée nationale
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Plus de 800 textes de loi promulgués depuis 2008 à explorer pour mieux comprendre comment les parlementaires influent sur la loi.
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