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An independent research lab exploring new mediums of thought and expanding the imaginative powers of the human species.
Comment utiliser Midjourney ? Source https://www.justgeek.fr/midjourney-103743/
Pour générer des images avec Midjourney, suivez attentivement les quelques étapes ci-dessous.
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Si ce n’est pas déjà fait, commencez par créer un compte Discord (gratuit).
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Ensuite, rendez-vous sur le site web de Midjourney et cliquez sur « Join the Beta ».
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Vous recevrez alors une invitation pour rejoindre le serveur Discord de Midjourney, que vous pourrez accéder depuis l’application Discord sur votre smartphone ou votre ordinateur, ou directement dans votre navigateur Web.
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Une fois sur le serveur Discord, cliquez sur un salon #newbie et tapez votre « prompt » (instruction pour l’IA sur l’image que vous souhaitez générer) en utilisant la commande /imagine suivie de votre demande.
Par exemple, si vous voulez un chat cosmonaute dans un style réaliste en 4K, vous pouvez taper /imagine 4K realist cosmonaut cat. Essayez de construire votre demande de manière à ce qu’elle ressemble à une recherche Google, en précisant bien le sujet, le style que vous cherchez, et éventuellement l’angle, le cadrage, la lumière ou les couleurs que vous souhaitez. De plus, notez que pour obtenir des résultats plus précis, il est recommandé d’écrire vos prompts en anglais.
Note importante : Il est important de bien choisir vos prompts car la version gratuite de Midjourney ne vous permet que 25 tentatives. Si vous voulez continuer à utiliser l’IA après avoir épuisé votre quota, vous devrez payer 10$ par mois pour 200 prompts, ou 30$ pour une utilisation illimitée (et la création d’un nouveau compte Discord).
- Quelques secondes plus tard, vous recevrez une notification vous informant que votre image est prête ! Midjourney vous proposera toujours 4 petites images de mauvaise qualité pour commencer. Vous avez alors plusieurs options :
Si aucune image ne vous convient, vous pouvez cliquer sur le symbole pour relancer la génération d’images ;
Si une image vous plaît mais que vous pensez qu’elle pourrait être améliorée, vous pouvez cliquer sur le bouton « V » (pour « Variation ») et choisir une des images proposées ;
Si une image vous satisfait, vous pouvez cliquer sur le bouton « U » (pour « Upscale ») pour obtenir une version de meilleure qualité.
We’ve trained a neural network called DALL·E that creates images from text captions for a wide range of concepts expressible in natural language.
Retrouvez notre test de 26 jus d'orange ici
00:07 Quels jus avons-nous analysés ?
00:25 Jus frais ou a température ambiante ? => même goût et équivalent nutriotionnellement, souvent au rayon frais vendu plus cher
01:01 Pur jus ou à base de concentré ? => a priori pur jus s'annonce meilleur mais dans les résultats c'est pareil...
01:28 Que valent les jus pressés à froid ? => argument marketing, produits vendus plus chers
01:58 Que penser des jus désucrés ? => la différence est perceptible au goût, effectivement moins sucré que les autres mais ne pas en faire notre boisson quotidienne, ça reste sucré
02:43 Et le jus pressé maison ? => on sent vraiment la différence au goût et côté nutritionnel. Privilégié des oranges bio produites en Europe.
Les voitures électriques ont représenté plus d'une immatriculation sur dix en 2022. Voici les modèles plébiscités par les Français.
1 Peugeot e-208 19.222
2 Dacia Spring 18.326
3 Tesla Model 3 17.005
4 Renault Mégane 15.580
5 Fiat 500 15.163
6 Renault Twingo 12.655
7 Renault Zoé 12.182
8 Tesla Model Y 11.892
9 Peugeot e-2008 7.174
10 Hyundai Kona 6.522
'On ne s’est pas trompé de date ?' - Où l’on suit une chanson qui voyage à dos d’hirondelle. Racontée par Bohdana Liashuk.
Originale ukrainienne
https://m.youtube.com/watch?t=14&v=0UmvUy1LziE&feature=youtu.be
Version John Williams
https://www.youtube.com/watch?v=RGqVS6ONO4Y
'Des colis qui ne manquent pas d’R' - Où l’on rencontre des chercheuses en solutions. Racontée par Citeo.
Hipli
emballage ultra résistant qui se replie et se glisse dans une boîte aux lettres, une fois le colis déballé.
Ainsi remis en circulation, il peut resservir au moins cent fois. Dans le e-commerce, de nombreuses entreprises adhèrent à cette solution, réduisant ainsi de 83 % l’empreinte carbone de leurs colis, tout en évitant 25 kg de déchets pour chaque emballage réutilisable.
le numéro spécial sur l’économie circulaire
Face aux défis d'une recharge de véhicules électriques plus simple, Mercedes participe au lancement d'un robot innovant dans cette fonction.
Une partie non négligeable de la population semble détester la voiture électrique. Y a-t-il des raisons rationnelles à cela ?
Si vous lisez régulièrement Automobile Propre c’est que vous êtes probablement un utilisateur convaincu de la voiture électrique, et peut-être même de longue date. Mais il se peut aussi que vous veniez ici pour vous documenter en vue d’une « conversion » prochaine à l’électrique. Autre cas de figure, vous parcourez ces pages par simple curiosité, afin d’enrichir vos connaissances sur le sujet, sans projet précis ni immédiat.
Ou alors vous faites partie de ceux qui détestent cordialement tout ce qui touche la voiture électrique, mais vous ne pouvez vous empêcher de venir voir ce qui se passe car le sujet vous fascine autant qu’il vous agace. Ne serait-ce que pour le plaisir de troller ? Mais non, voyons.
Quoiqu’il en soit, alors que les ventes de voitures électriques ne cessent de croître, on entend de plus en plus cette petite musique qui consiste à dénigrer ce type de motorisation, son écosystème et tout ce qui a un rapport avec l’électromobilité. On dirait même que cette musique joue de plus en plus fort avec la progression des parts de marché de la voiture électrique.
Résistance au changement ? Allergie à l’innovation ? Soupçons autour d’un mode de déplacement « pas si propre que cela » ? Autres raisons ?
Si à Automobile Propre nous sommes des électromobilistes convaincus – pas forcément pour les mêmes raisons ni avec les mêmes attentes – il n’en demeure pas moins que nous sommes à l’écoute des voix divergentes. Nous sommes aussi parfaitement conscients qu’aucun mode de propulsion n’est totalement « propre », et que la meilleure voiture est celle qui ne roule pas (bonjour tristesse). Sans pour autant renier le fait que la voiture électrique soit certainement la moins « sale ».
Alors, pourquoi certains semblent-ils développer une allergie viscérale à la voiture électrique ? Voici quelques hypothèses, qui n’engagent que nous bien évidemment.
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Voiture électrique, pourquoi tant de haine ?
Eric Dupin / 29 Nov 2022 11:00 / 142
Zone Verte
Jeune femme en colère
Une partie non négligeable de la population semble détester la voiture électrique. Y a-t-il des raisons rationnelles à cela ?
Si vous lisez régulièrement Automobile Propre c’est que vous êtes probablement un utilisateur convaincu de la voiture électrique, et peut-être même de longue date. Mais il se peut aussi que vous veniez ici pour vous documenter en vue d’une « conversion » prochaine à l’électrique. Autre cas de figure, vous parcourez ces pages par simple curiosité, afin d’enrichir vos connaissances sur le sujet, sans projet précis ni immédiat.
Ou alors vous faites partie de ceux qui détestent cordialement tout ce qui touche la voiture électrique, mais vous ne pouvez vous empêcher de venir voir ce qui se passe car le sujet vous fascine autant qu’il vous agace. Ne serait-ce que pour le plaisir de troller ? Mais non, voyons.
Quoiqu’il en soit, alors que les ventes de voitures électriques ne cessent de croître, on entend de plus en plus cette petite musique qui consiste à dénigrer ce type de motorisation, son écosystème et tout ce qui a un rapport avec l’électromobilité. On dirait même que cette musique joue de plus en plus fort avec la progression des parts de marché de la voiture électrique.
Résistance au changement ? Allergie à l’innovation ? Soupçons autour d’un mode de déplacement « pas si propre que cela » ? Autres raisons ?
Si à Automobile Propre nous sommes des électromobilistes convaincus – pas forcément pour les mêmes raisons ni avec les mêmes attentes – il n’en demeure pas moins que nous sommes à l’écoute des voix divergentes. Nous sommes aussi parfaitement conscients qu’aucun mode de propulsion n’est totalement « propre », et que la meilleure voiture est celle qui ne roule pas (bonjour tristesse). Sans pour autant renier le fait que la voiture électrique soit certainement la moins « sale ».
Alors, pourquoi certains semblent-ils développer une allergie viscérale à la voiture électrique ? Voici quelques hypothèses, qui n’engagent que nous bien évidemment.
La voiture électrique est un truc de bobo
Si l’on fréquente un peu réseaux sociaux et forums, on rencontre ce genre de remarque de plus en plus fréquemment. Sans exactement savoir ce que contient ce terme, on sait que « bobo » (étymologiquement « bourgeois bohème ») est souvent utilisé dans un sens péjoratif, symbolisant à la fois une certaine aisance financière, un habitat urbain de « grandes villes » assortis d’une pointe d’arrogance, voire de mépris de classe. Bref, l’antithèse du gilet jaune, qui lui représente la France des territoires et de la périphérie. Et de la voiture diesel. Si le constat est probablement erroné, son interprétation est sans appel : le possesseur de voiture électrique est la parfaite cible de toutes les rancœurs.
La voiture électrique est un truc de riche
Une remarque qui rejoint un peu la précédente, de façon légèrement plus clivante. Fidèle à la tradition de lutte des classes qui contribue toujours à animer le débat public dans notre cher pays, la ligne de démarcation entre « France d’en bas » et « privilégiés » se trace aussi dans les discussions autour de l’électrique. Il faut reconnaitre cependant que ce n’est pas tout à fait faux, et que proposer des voitures « potables » – c’est à dire suffisamment équipées et capables d’emmener une famille en vacances sans avoir à recharger tous les 120 km – coûtant au bas mot entre 35 000 et 60 000 euros dans un pays où nombre de nos concitoyens peinent à entretenir une vieille thermique de 2005 avec un SMIC à 1600 euros peut presque être vu comme une provocation. Patience, des modèles abordables arrivent, et ils coûteront moins cher à l’entretien et au roulage que leurs équivalents thermiques.
La voiture électrique est un truc chinois
Notre rapport à la Chine à travers son industrie est très ambigu. Nous adorons détester leur « soft power » mais nous nous ruons comme des morts de faim sur les promotions du Black Friday, où la plupart des produits vendus proviennent directement ou indirectement (via Amazon) de l’Empire du Milieu. Idem pour la voiture électrique : nous pointons l’invasion chinoise à venir, mais nous réclamons en même temps des véhicules bon marché. C’est tout le paradoxe de la MG4 ou de la Dacia Spring, qui représentent parfaitement cette petite schizophrénie automobile.
La voiture électrique est l’invention d’Elon Musk, le démon en personne
S’il est une personnalité clivante, qui représente tout ce que nous adorons détester, a fortiori depuis qu’il a viré les trois quarts du personnel de Twitter par e-mail, c’est bien Elon Musk. Or, son nom est désormais indubitablement, intimement et éternellement lié à l’avènement de la voiture électrique auprès du grand public. Une voiture chère et légèrement marquée d’un point de vue sociologique (voir premier et deuxième paragraphe ci-dessus) qui est détestée par plusieurs catégories de personnes : celles qui n’aiment que les fumantes, celles qui conchient l’overdose de puissance, les écolos purs et durs, et celles qui aiment l’électrique mais ne jurent que par un design léché et des finitions de style haute couture. Mine de rien, même si les Tesla se vendent très bien, ça fait quand même un peu de monde du côté des contempteurs de l’électrique.
La voiture électrique n’est pas écologique
Ce refrain est certainement le plus entendu, avec souvent une petite pincée de mauvaise foi. Certes, aucune voiture n’est totalement écologique mais on ne peut nier que l’électrique est ce qui se fait de « moins pire » quand on parle de l’impact environnemental au roulage. Et il semblerait que réduire les émissions de gaz à effet de serre soit l’urgence officielle et absolue par les temps qui courent. Dans cette logique, rouler en voiture électrique reste la moins mauvaise des solutions, même si elle n’est pas parfaite. A chaque époque ses priorités, non ? Reste la question de l’extraction des minerais et autres terres rares pour la fabrication des batteries, et le recyclage de celles-ci. Là aussi il reste des progrès à faire, mais on avance, et surtout il se raconte beaucoup de bêtises sur le sujet.
La voiture électrique va ruiner notre capacité énergétique
Le sujet est on ne peut plus d’actualité, et les questions qui se posent autour de la capacité à fournir l’électricité pour des millions de voitures électriques peuvent sembler légitimes. A fortiori en ces temps de crise et de pénurie annoncée ne serait-ce que pour faire cuire des pâtes al dente ou prendre une douche tiède. Mais les différents rapports sur le sujet sont sans ambiguïté : une fois revenue à la normale, la fourniture d’électricité permise par notre parc nucléaire devrait être suffisante à l’horizon 2035, même avec 15 millions de voitures électriques sur les routes. Ou alors RTE et l’AVERE racontent n’importe quoi, ce qui paraitrait quand même assez improbable. Après, on est d’accord, même les meilleurs peuvent se tromper.
La voiture électrique manque d’autonomie
Sachez-le, il existe des personnes qui se targuent de « faire 1000 km d’une traite » avec leur diesel. Pour elles, forcément, une voiture électrique, même avec 500 km d’autonomie, sera toujours une hérésie. Alors avec 350, n’en parlons pas. Mais pour l’immense majorité, celle qui de toute façon fait une pause toutes les 2 ou 3 heures, cela devrait être suffisant, sachant que les réseaux de recharge haut débit se développent désormais avec un rythme soutenu de plusieurs ouvertures chaque mois sur tout le territoire. Tesla, Ionity, Electra, Fastned, Bump, Power Dot, TotalEnergies, Engie, Izivia et autres, tous les acteurs sont au taquet et les ouvertures vont se multiplier et représenter des milliers de points de charge supplémentaires dans les mois à venir. Pendant que notre conducteur diesel aux mille bornes soignera son lumbago, sa sciatique et sa vessie.
La voiture électrique manque de transparence
Là on ne peut pas donner tort à ceux qui font ce reproche. Entre les tarifs des stations de recharge au kW ou à la minute où rien n’est indiqué, les autonomies très optimistes annoncées par les constructeurs, le flou des normes WLTP et EPA, les chiffres de puissance de recharge un peu fantaisistes et l’absence d’information sur la disponibilité des bornes par les opérateurs, on peut dire que le petit monde de la voiture électrique reste un truc assez opaque, voire limite ésotérique pour le consommateur moyen. Si l’on veut évoluer vers plus de transparence, tous les acteurs du métier vont devoir se retrousser les manches et travailler de concert en fournissant de l’information fiable Ou, tout simplement… de l’information.
En conclusion
Le domaine de la voiture électrique est toujours en phase de maturation, et comme tous les marchés émergents, c’est encore un secteur fait d’incertitudes et de fantasmes où l’irrationnel et les croyances le disputent aux faits et à la science. Inutile de blâmer qui que ce soit, chacun a sa part de responsabilité, qu’il s’agisse des constructeurs et de leur communication, des opérateurs de recharge, des médias et du public. Il y a donc encore un peu de travail pour que ceux qui détestent la voiture électrique changent d’avis et l’adoptent de leur plein gré et sans coercition.
En gros il reste 12 ans.
Une nouvelle étude s’est intéressée aux habitudes d’usage et de recharge des conducteurs de véhicules électriques.
Enedis vient de publier les résultats de sa troisième étude sur le comportement des utilisateurs d’autos branchées. Elle a été menée auprès de 1000 propriétaires de véhicules électriques et hybrides rechargeables, avec une répartition semblable à celle du parc actuel de véhicules électrifiés (ce qui a donné 63 % d’électriques, 37 % d’hybrides).
L’enquête confirme l’évolution de l’usage de la voiture 100 % électrique. Pour 75 % des sondés, c’est le véhicule principal du foyer, une progression de 10 points par rapport à 2020. L’auto est utilisée en moyenne 6 jours par semaine (et même tous les jours pour 45 % des répondants). La distance moyenne parcourue au quotidien est de 42 km, un résultat stable par rapport à la précédente enquête. Pour les habitants de zone rurale, c’est 46 km. A noter que l’usage du véhicule électrique en dehors des trajets du quotidien progresse de 9 %, preuve que les Français commencent à faire confiance à ces modèles pour partir plus loin.
D’ailleurs, Enedis indique que la place de la borne publique pour la recharge prend de l’importance. 40 % des répondants en utilisent au moins occasionnellement. Mais ce type de recharge reste largement minoritaire dans les habitudes des conducteurs. L’étude confirme qu’une très grande majorité (85 %) des recharges principales se fait à domicile. Au point que 65 % des conducteurs qui n’utilisent pas de bornes publiques déclarent ne pas avoir besoin de ce type d’infrastructures. Mais il en faut pour ceux qui habitent notamment en immeuble. Avec eux, la recharge à domicile ne représente que 49 % des recharges.
A noter que les Français ne veulent pas jouer avec le feu. Moins d’un sur cinq lance la recharge quand la batterie passe sous la barre des 20 % de charge. 41 % branchent quand il reste 20 à 39 % d’autonomie, 26 % entre 40 et 59 %. La recharge du véhicule électrique s’intègre bien dans le foyer, car peu de personne ont revu à la hausse la puissance de leur contrat d’électricité. Le rapport confirme que les conducteurs vont favoriser la nuit pour profiter des prix heures creuses.
Dans son dernier baromètre, l’Avere donne le taux de disponibilité des points de recharge.
Chaque mois, l’Avere (l’association nationale pour le développement de la mobilité électrique) publie, en collaboration avec le ministère de la Transition Ecologique, son baromètre des infrastructures de recharge ouvertes au public.
Au 31 octobre 2022, il y avait 75.279 points de recharge, contre 71.630 au 30 septembre. Cela fait désormais 112 points pour 100.000 habitants. Par points, on parle du nombre de prises disponibles et non du nombre de stations. Ce dernier est de 28.737 à fin octobre.
L’Ile-de-France reste très avantagée, avec plus de 200 ouvertures de stations au cours du mois d’octobre, ce qui porte son total à près de 4.000 (3.951 pour être précis). Cela donne plus de 14.200 points de recharge pour cette région, soit 1.200 de plus en quelques semaines !
Vaste territoire, l’Auvergne-Rhône-Alpes est sur la deuxième place des régions les mieux dotées, avec 3.624 stations et 8.930 points. Vient ensuite l’Occitanie (3.184 stations, 7.559 bornes).
35 % des points se trouvent au niveau de commerces, 34 % sur des parkings, 26 % sur la voirie. Une large majorité (55 %) correspond à des bornes courant alternatif triphasé 7,4 à 22 kW. 35 % sont des points courant alternatif monophasé jusqu’à 7,4 kW. La recharge rapide se fait donc encore rare. 6 % seulement des points dépassent 50 kW.
Plus intéressant, l’Avere donne des données sur l’usage des points de recharge. Toutes puissances confondues, les points ont fait en moyenne 14 sessions de recharge sur l’ensemble du mois. Ce qui ne fait même pas une toutes les deux jours ! S’il y a eu une baisse après le pic estival, lié à la période de départ en vacances (16 sessions par point en juillet), il faut noter que le taux d’utilisation a doublé en un an. Il était de 7 sessions par mois en octobre 2021. Et dans le même temps, le nombre de points a augmenté de 53 %. Preuve que la mobilité électrique se développe.
Pour la première fois, l’Avere communique aussi un taux de disponibilité. Un point est considéré comme disponible s’il n’est ni en maintenance, ni hors-service. Une donnée intéressante pour répondre aux critiques sur l’état des bornes !
Ce taux est de 82 %. Les bornes sont donc indisponibles 18 % du temps. De quoi donner du grain à moudre à ceux qui ne veulent pas d’une électrique car les bornes sont trop souvent HS. Cela va toutefois plutôt gêner ceux qui se lancent dans de grands trajets, puisqu’environ 9 recharge sur 10 se font à domicile.
Mais il est vrai que cette valeur d’indisponibilité est élevée et qu’il y a des progrès à faire pour les opérateurs, d’autant qu’il y a souvent cette mauvaise surprise de la borne HS au dernier moment.
Même si les données relayées ici sont des moyennes, des stations pouvant être plus en panne que d’autres ou victimes de vandalisme, nos journalistes habitués aux périples en électrique rencontrent bien de temps en temps des bornes non disponibles, ce qui est moins souvent le cas avec une pompe à essence… du moins quand il n’y a pas de pénurie de carburant !
Innovant? Et comment! On ne présente plus le campus universitaire Georges-Méliès, à La Bocca, tant il fait parler de lui.
Le complexe, implanté au cœur du pôle technopolitain Bastide rouge, a d’abord été présélectionné parmi 300 sites identifiés pour figurer dans le classement 2022 des "25 lieux qui changent l’innovation en France" établi par la Banque des Territoires (groupe Caisse des Dépôts), France Urbaine, le groupe Patriarche et JLM Conseil.
Puis il a été classé parmi les vingt-cinq premiers.
D’ailleurs, Cannes est l’unique ville du département des Alpes-Maritimes à y être représentée.
1100 étudiants et 15 start-up
Sur quel critère se base ce classement? La capacité à dynamiser des écosystèmes locaux. Cette étude permet alors de valoriser ces initiatives, économiques, attractives et porteuses d’emploi.
Il faut dire que le campus, étendu sur quatre hectares, permet la fertilisation croisée des connaissances et favorise l’échange permanent entre étudiants, chercheurs et entrepreneurs.
Pour rappel, se trouvent sur le site une université (1.100 étudiants pour 36 formations proposées), 15 start-up, des studios de montage, de tournage et de production audiovisuelle, ainsi que Cineum, un cinéma multiplexe haut de gamme de dernière génération (Imax, ScreenX), composé de 12 salles.
"Que de chemin parcouru pour notre ville! Les formations qu’il propose répondent à un besoin concret des professionnels du cinéma et de l’audiovisuel qui s’installent ici à Cannes", a réagi le maire David Lisnard dans un communiqué. En témoigne, selon lui, "l’implantation du leader européen du son et de l’image, Novelty Magnum Dushow, qui confirme la pertinence de notre vision « Cannes on Air" ».
lutte, entre autres, contre la surpêche
s’est donné pour objectif la préservation de l’environnement marin et la pêche durable.
Rejoindre Cannes, Antibes, Grasse, ou Sophia Antipolis, ou même Nice chaque matin, quand on habite dans l’ouest du département peut vite relever du parcours du combattant. Quels sont les temps de parcours pour aller au bureau? Les principaux points noirs? Quelles solutions pour fluidifier la circulation? Nous avons lancé un sondage en ligne, et vous avez été plus de 200 à répondre. Il donnera lieu à une série de reportages, dont voici le premier volet.
Vous avez donc été 208 à répondre à notre sondage sur la circulation dans l’ouest du département il y a quelques semaines. C’est dire si le sujet mobilise.
À la question "Qui mobilise-t-il?" justement, les données statistiques sont claires quant à la parité: un parfait 50-50… autant de femmes que d’hommes ont eu envie de répondre à notre petit questionnaire.
Des automobilistes entre 22 et 66 ans. Surtout des actifs donc, résidant sur le territoire Antibes-Cannes-Grasse avec une majorité d’Antibois impliqués.
Où vont-ils travailler chaque matin de la semaine?
La majorité à Sophia (61 personnes), mais 40 personnes parmi les sondés effectuent la trentaine de kilomètres qui les séparent de Nice. Nous avons également eu des travailleurs à Cannes (22), Antibes (20) et Grasse (15).
Donnée intéressante de ce sondage: le mode de déplacement. La grande "gagnante" reste la voiture (88,5%). Certains (autour de 4%) à vélo ou à deux-roues (en même temps, quand on circule à deux-roues, on se sent moins enclins à répondre à ce genre de sondage car on se faufile, n’est-ce pas!)Très peu en train (0,5%) ou en transports en commun (1,9%).
74% prennent la route pour aller travailler quand 1,9% roulent uniquement pour accompagner les enfants à l’école. Enfin 24% font les deux: ils déposent leurs têtes blondes et filent au boulot.
Combien de temps pour rallier l’autoroute?
Si 45,7% mettent moins d’une heure à rejoindre l’autoroute et 38,9% plus d’une heure.
Et quand il pleut, c’est l’enfer… Pour 88% des personnes sondées, la météo influe sur le trafic. Les motards laissent leurs deux-roues au garage, la route est détrempée, la visibilité parfois limitée et les automobilistes inquiets. Il y a davantage d’accidents.
Jours noirs pour circuler?
Nombreux sont ceux qui pointent du doigt les mardis et jeudis. Le début et la fin de semaine étant malgré tout extrêmement chargés. Le mercredi assurant une respiration.
Enfin des réponses assez édifiantes à la question: "Avez-vous testé... Le covoiturage, les transports en commun, le vélo..."
Si 17,3% ont tenté le covoiturage, 21,6% les transports en commun, 12,5% le vélo, 62% n’ont "rien testé de tout cela"...
Pourquoi? Une réponse revient souvent: "Inadapté" les horaires des trains et bus, le covoiturage s’avèrent plus contraignants que la voiture, "C’est clair, en voiture, j’arrive plus vite et de façon plus sûre sur mon lieu de travail. La voiture reste le moyen le plus pratique" nous dit cet Antibois. Quant au vélo: "Trop loin trop dangereux, et il n’y a pas de pistes cyclables…"
Dans une prochaine édition, nous verrons toutes les galères que vous avez vécues en voiture sur le secteur.
Mon commentaire : Le texte qui accompagne le graphique "combien de temps pour rallier l'autoroute" exagère le résultat et ne correspond pas au camembert. C'est plutôt "Si 45,7% mettent moins d’une DEMI-heure à rejoindre l’autoroute et 38,9% ENTRE UNE DEMI-HEURE ET une heure." C'est plus cohérent.
Fabien Rolland, pneumologue cannois, nous présente en exclusivité une application qu'il a créé le pneumoquiz. Récompensée par une palme de la médecine, cette application permet aux étudiants en médecine, jeunes médecins et professionnels, de se perfectionner dans le domaine de la pneumologie en s'affrontant via une série de 8400 questions . Un azuréen engagé pour faire évoluer la médecine et la rendre plus ludique.
Prévenir les risques
"Dans les Alpes-Maritimes, nous avons un groupement de la citoyenneté qui diffuse l’information préventive aux comportements qui sauvent. On a ainsi sensibilisé 40.000 personnes l’an dernier. Il faut aussi rappeler aux gens l’obligation d’avoir des détecteurs de fumée, suivant un nombre adapté à chaque logement. C’est important, ça sauve vraiment des vies!"
En cas d’incendie chez soi
"S’il se déclare chez vous et que vous évacuez - puisque c’est un réflexe -, il faut penser à fermer la porte de votre appartement. À chaque porte fermée, on retarde la croissance du feu, on limite les dommages et les risques d’intoxication aux fumées. Si vous êtes sorti, vous appelez les pompiers immédiatement."
Si on est pris au piège
"Si vous êtes piégé chez vous, vous rejoignez une fenêtre, vous appelez les pompiers et vous vous manifestez pour dire où vous êtes. Précisez bien où vous vous trouvez et combien de personnes sont dans l’appartement. Si vous en avez la possibilité, mettez un linge humide sous les portes pour ralentir la progression. Nous viendrons chercher les gens avec des échelles, avec une corde et un harnais, ou avec une cagoule de sauvetage. Et en ultime recours, nous avons désormais acquis des matelas de sauvetage. C’est issu d’un retour d’expérience, lorsqu’une personne avait été coincée sur son balcon [à Nice-Est en 2018]."
Si le feu se déclare en-dessous
"Il n’y a pas de réponse type. Si le feu est juste en-dessous, on se confine, on met des linges humides et on se manifeste à la fenêtre. Si le feu est en train de toucher l’appartement, on essaie d’évacuer. Mais il faut bien connaître son immeuble: quand on sort et qu’il y a de la fumée, on risque de mourir asphyxié... On préfère localiser les gens que les retrouver morts dans les escaliers!"
En cas de brûlure ou intoxication
"Si on est brûlé, il faut se passer la main sous l’eau 5 à 10 minutes sous de l’eau tiède. Si on a été intoxiqué, il faut se signaler aux sapeurs-pompiers à notre arrivée, pour une éventuelle assistance respiratoire ou une évacuation à l’hôpital. Quoi qu’on ait, si on a évacué de soi-même, il faut se signaler aux pompiers. Il faut aussi éviter les effets de panique: on évacue plus vite dans le calme qu’en se bousculant."
Recyclage déchets électriques : Ecologic est un éco-organisme agréé par l'Etat pour la collecte et le traitement des D3E
Découvert par vidéo Brut sponsorisé
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Un appareil électroménager en panne ? Prenez rendez-vous avec lacompagnie du SAV afin de réparer votre appareil en panne.
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Le Label QualiRépar atteste d’un savoir-faire de qualité et de la fiabilité des réparateurs. C’est la signature d’acteurs engagés pour favoriser le réflexe réparation chez le consommateur, en prolongeant la durée de vie des appareils électriques et électroniques.
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