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"Quel métier je vais pouvoir désormais apprendre à mes enfants? C’est la question que tous les parents se posent", lance Anne Leroy. C’est pour accompagner les plus jeunes dans la découverte de l’intelligence artificielle (IA) que cette Cannoise d’origine a décidé de proposer un dispositif numérique, testé jusqu’à la fin des vacances scolaires.
Consultante dans le secteur de l’hôtellerie-restauration autour des problématiques digitales, Anne Leroy propose, en parallèle, différents supports web, le dernier en date au sujet de la ménopause.
Cette fois, c’est le thème de l’intelligence artificielle qui l’a questionnée: "En tant que maman, cela m’a interpellé. J’en parle beaucoup avec mes enfants. Dans mon travail, j’ai une casquette projet numérique. Donc l’IA, je l’observe au quotidien."
Depuis le mois de mai, elle lui a même dédié une plateforme en ligne, appelée Plai Ground, qui propose une véritable initiation à l’intelligence artificielle, tout en se basant sur l’apprentissage.
Entièrement gratuit, cet atelier-jeu à destination des 6 à 10 ans est accessible sur ordinateur ou téléphone portable. "Sur une fenêtre de tchat, l’objectif, pour l’enfant, est de réaliser un article de blog sur sa passion ou ses activités. Pour permettre cette production, des petites questions lui sont proposées telles que ‘Quelle est ta passion?’, ‘Quel est ton sportif préféré?’"
Un dispositif intéressant au niveau pédagogique?
L’IA regroupe ensuite toutes les réponses et en fait un article: "Il existe six niveaux d’explications et des étapes intermédiaires demandent si l’enfant connaît ce qu’est une intelligence artificielle. Tout cela est catégorisé par âge."
Appelé cahier de vacances numérique, "c’est plus un prétexte pour la période", le logiciel est à disposition des enfants jusqu’à la fin de la pause estivale.
À ce moment-là, un point sera fait pour tirer les enseignements de cette période d’essai. "C’est pour cela que j’ai besoin des retours de parents. Il y a un petit questionnaire en place dans la plateforme", explique Anne Leroy.
Et ensuite? L’idée est de créer une application dans le même esprit. Avant, peut-être, d’étendre le dispositif à l’enseignement: "J’ai poussé l’information auprès de l’Éducation nationale. Ce serait intéressant au niveau pédagogique."
http://www.plaiground.blog/
Contact Anne Leroy (cannoise)
Article de Jules Cottalorda (jcottalorda@nicematin.fr)
Lauréat du programme national Mieux manger pour tous, le CCAS a engagé une dynamique ambitieuse pour améliorer significativement l’aide alimentaire aux publics précaires. Plusieurs leviers ont été mis en place à l’épicerie solidaire Robert Moro.
À commencer par des commandes groupées en partenariat avec les partenaires locaux. Les fruits et légumes sont fournis par le producteur Vidal et l’association de la Maison du commerce équitable.
Les produits frais (beurre, œufs, crème, fromage, etc.) sont vendus à prix coûtant par Biocoop Mougins, partenaire du CCAS depuis quelques années. Résultat: la part (en poids) de produits bio vendus à l’épicerie sociale est passée de 5% à 48%.
"On ne maîtrisait pas les produits qu’on recevait"
"L’idée est venue d’un constat: nous étions tributaires de La Banque alimentaire qui avait augmenté sa tarification. C’étaient des produits qu’on ne maîtrisait pas, qui ne plaisaient pas forcément à la population qu’on recevait, et souvent aux dates limites, livre la directrice du CCAS. Comme on n’arrivait pas à vendre les produits le jour même, on redistribuait gratuitement aux associations".
Mais la vraie révolution, c’est l’implication des bénéficiaires qui peuvent eux-mêmes passer commande. "On est passé d’une démarche où ils venaient chercher les restes des magasins à une démarche ou ils commandent et paient au prix de l’épicerie sociale. C’est un vrai changement de paradigme", assure Delphine Girard.
Un maraîcher embauché
Second levier: l’embauche d’un maraîcher depuis le 1er juillet. Financé par le CCAS, ce quatrième poste d’agriculteur à la ferme municipale permettra d’augmenter le volume de production de produits bio, local, de saison et en circuit ultracourt, pour les crèches et l’épicerie sociale.
Le prix de l’Association des cadres territoriaux de l’action sociale (Actas), remporté en juin dernier par le CCAS et financé par la société Upcoop, permettra de financer une partie du poste, en expérimentation sur douze mois.
Le retour des bénéficiaires est très positif. "Ils ont été associés à la démarche, ajoute la directrice. Il y a eu une vraie participation de leur part. Ils ont réappris à cuisiner avec des légumes et des fruits frais". L’enjeu, à présent, est de pouvoir continuer... "L’accès à l’épicerie sociale dure seulement trois mois. Après, ces personnes vont se retrouver dans la grande distribution".
Un dispositif de commande groupée ouvert à tous à l’étude
Depuis deux ans, le CCAS et la Maison d’éducation à l’alimentation durable (Mead) travaillent sur un dispositif expérimental de commande groupée, ouvert à tous les Mouansois.
L’objectif: rendre accessible une alimentation de qualité aux publics éloignés des dispositifs classiques d’aide. "Un diagnostic territorial approfondi a permis d’identifier les freins à l’accès à une alimentation de qualité (budgétaires, cognitifs, socioculturels) et de mettre en lumière les publics dits « invisibles": travailleurs pauvres, familles monoparentales, retraités... », retrace Remy Giorgioni, directeur du pôle Précarité du CCAS de Mouans-Sartoux.
Prix ajustés en fonction du revenu des familles
L’expérience devrait mobiliser trente familles sur une période de six mois. Une réponse innovante, inclusive et durable à la précarité alimentaire. "Les prix seront ajustés en fonction du revenu des personnes", précise Delphine Girard, directrice du CCAS qui prévoit le lancement du projet pour 2026.
Une première réunion publique a permis d’anticiper les types de produits demandés. "Nous avons obtenu une liste très variée de produits: à la fois de l’épicerie sèche, du frais, des fruits et légumes... poursuit-elle. Cet été, nous allons à la rencontre des commerçants bio locaux pour déterminer comment travailler ensemble sans concurrence et négocier avec eux ce qu’il serait possible de mettre en place.". En septembre, l’étude de marché sera présentée aux élus.
Comment la coopérative agricole Le Marché de nos collines tire-t-elle son épingle du jeu face à l’installation de nouveaux commerces sur la commune et aux environs? "La réflexion a même mûri quelques années auparavant et nous avions lancé un appel aux communes pour accueillir un petit groupe d’agriculteurs
Coopérative agricole Le marché de nos collines, 9, route d’Opio. Tél. 04.93.77.34.21. Du mardi au samedi de 8h30 à 19 heures, le dimanche de 9h à 12h30.
À Cannes, au Cannet, à Nice, à Villeneuve-Loubet et dans le reste du département, plus de 60 ânes de Provence sont mis à disposition des municipalités et des particuliers par l'association Anesterel. Dix mois par an, ils débroussaillent des parcelles.
Depuis le début de la saison estivale, plusieurs incendies se sont déclarés en région Sud et dans le département des Alpes-Maritimes. Pour réduire les risques de feux de forêts, les ânes de l'Anesterel débroussaillent des parcelles communales et privées.
En mangeant les racines des plantes et grâce à leur piétinement, les ânes luttent aussi contre les plantes invasives et régénèrent les sols. À La Croix-des-Gardes à Cannes, par exemple, Flica et Olympe, deux ânes, sont mis à disposition de la municipalité par l'association depuis mars et jusqu'à décembre. Ils réduisent considérablement la quantité de mimosas, une espèce invasive et facilement inflammable.
À quelques rues de La Croix-des-Gardes, une particulière bénéficie des ânes de l'association. Cette maison dispose d'un jardin de deux hectares. "Il y a deux ans, il y a eu un incendie et le travail des ânes a permis de contenir le feu", explique Nicolas Turiaf, le fondateur de l'association.
Une solution économique et écologique
L'association Anesterel est née il y a 17 ans. Un ancien pompier volontaire a constaté que beaucoup de personnes ne pouvaient pas se permettre de payer de quoi débroussailler, un acte pourtant obligatoire. C'est pourquoi il a décidé de proposer une "solution économique et écologique".
Les ânes ont l'avantage de manger 25 kg de végétaux par jour, et ce, 20 heures sur 24. Ils permettent également de débroussailler tout l'été, alors que les machines sont interdites d'usage dès le 1er juillet.
Les particuliers, comme les municipalités, peuvent solliciter l'association pour un coût de 390 euros par mois. Un montant qui couvre uniquement les vivres et les soins des ânes, en aucun cas de faire du bénéfice.
À Nice, de jeunes Niçois conçoivent des panneaux pour sensibiliser à la protection de la Méditerranée. Un projet citoyen et formateur, soutenu par la Métropole Nice Côte d'Azur et l’Afpa.
Yann Saint-Pé et sa compagne, parents de trois enfants, connaissent bien les contraintes d’une journée à la plage. "On s’est demandé pourquoi il n’existait pas un lieu où déposer ses affaires en toute sécurité, surtout dans une ville touristique", confie-t-il.
De cette réflexion sont nées deux consignes installées sur des plages cannoises très fréquentées: Bijou plage et La Croisette.
Le concept est simple: libérer les vacanciers de leurs sacs, valises, portefeuilles ou téléphones, le temps d’une baignade ou d’une promenade.
Moins de plastique, plus d’humain
Pas de casiers à code impersonnels, mais un accueil chaleureux et une approche artisanale. L’entreprise, autofinancée, repose sur la location à petit prix de chaises, parasols ou jouets de plage au multiple couleurs, le tout en échange d’une pièce d’identité. L’objectif est clair: éviter les achats compulsifs et limiter les déchets.
Les objets sont réutilisables, les équipements solaires permettent de recharger une vingtaine de téléphones par jour. "C’est du service, pas de la vente", insiste Yann.
Pour tous, et sans stress
Chaque jour, entre soixante et quatre-vingt personnes passent par ces consignes.
Locaux et touristes y trouvent un espace où poser leurs affaires, demander un renseignement ou louer du matériel adapté y compris des chaises XXL pour les personnes âgées ou en surpoids.
"On œuvre aussi pour les couples, sourit Yann. Ici, on peut nager ensemble sans que l’un reste à surveiller les sacs".
Un service de proximité, utile et humain, qui redonne à la plage son air de vacances.
Pour valoriser les bonnes pratiques et bénéficier de retours d’expériences
Offrir un téléphone à son enfant fait aujourd’hui partie des rituels de l’adolescence, souvent en lien avec l’entrée au collège. Mais ce petit objet soulève de grandes questions, notamment pour les parents: à partir de quel âge? Avec quelles règles? Et surtout, comment s’assurer que leurs enfants en fassent bon usage? Pour répondre à ces questions, les boutiques Orange de la région organisent depuis plusieurs années des ateliers numériques dans leurs boutiques. Ces derniers ne sont pas réservés aux clients mais ouverts à tous, sur inscription. À l’occasion de la sortie d’un nouveau forfait, comprenant un pack Protection Enfant, la boutique de l’opérateur située rue d’Antibes a organisé un moment dédié à la bonne prise en main du premier téléphone de l’enfant.
Pendant plus d’une heure, trois familles ont pu échanger avec les professionnels et partager leurs expériences. Chacun encadre l’usage du téléphone à sa façon: applications de divertissement limitées à 30 minutes par jour et contrôlées par un chronomètre, notification reçue par mail dès que l’enfant installe une application, téléphone en dehors de la chambre la nuit, ou carrément une utilisation de ce dernier uniquement le week-end.
Savoir faire face aux contenus inappropriés
Pour Rachelle Savoie, ambassadrice numérique volontaire chez Orange, "l’enjeu n’est pas de se demander combien de temps les enfants passent sur leur téléphone, mais ce qu’ils y font et ce qu’ils y voient".
L’atelier met par exemple l’accent sur le fait de ne pas parler à n’importe qui en ligne et de garder ses comptes en privé, mais aborde aussi les questions de cyberharcèlement, et de contenus violents ou pornographiques, qui sont loin d’épargner les plus jeunes. "Les enfants, il est primordial que vous vous inscriviez en tant que mineur sur les réseaux sociaux quand vous créez un compte. Grâce à ça, vous ne tomberez pas sur des contenus inappropriés", conseille l’ambassadrice numérique aux enfants, avant de s’adresser à leurs parents.
"Un garçon sur deux regarde régulièrement des contenus pornographiques, et une fille sur trois. Il faut oser aborder ces sujets avec eux, sans tabou. Ce n’est pas pour leur faire peur, mais pour qu’ils aient conscience des risques, et pour qu’ils sachent qu’ils peuvent venir en parler s’ils y sont confrontés un jour", poursuit-elle.
Communiquer et instaurer un climat de confiance
Pour aider les parents à veiller sur l’activité de leurs enfants en ligne, le pack proposé par Orange inclut entre autres un système de contrôle parental ajustable, et un partenariat avec SafeBear, qui détecte les messages potentiellement liés à du harcèlement. Le système ne dévoile pas le contenu exact des échanges pour respecter l’intimité de l’enfant, mais alerte les parents en cas de problème. "Cela permet d’agir sans fouiller dans le téléphone de son enfant; c’est son espace, sa bulle personnelle. On reste dans le dialogue, pas dans l’intrusion. Si jamais quelque chose d’anormal est détecté par SafeBear, vous pouvez aller en discuter avec votre enfant, et, s’il le souhaite, il pourra ensuite vous montrer les messages problématiques", souligne Rachelle.
À l’issue de ce moment d’échange, Julie Maré, mère de Noé, 11 ans, se dit séduite par cette approche. "L’atelier nous a permis de lui montrer que les règles qu’on met en place ne sont pas là pour le brider, mais pour le protéger", déclare-t-elle.
Les parents doivent aussi montrer l’exemple
L’un des messages forts de l’atelier est aussi destiné aux parents. "Il ne faut pas toujours blâmer les enfants, parce qu’ils reproduisent aussi ce qu’ils voient, alerte l’ambassadrice numérique. On ne peut pas demander à un ado d’être raisonnable si nous-mêmes on ne l’est pas."
Car non, la nouvelle génération n’est pas la seule à se faire piéger par les algorithmes de TikTok ou d’Instagram. "Parfois, on défile les contenus les uns après les autres et on passe des heures dessus sans même s’en rendre compte", avoue Brigitte, grand-mère de Lou, 10 ans.
Pour changer cela, quelques activités simples peuvent aider à déconnecter, et à créer de vrais moments en famille: couper les notifications pendant les repas, utiliser un vrai réveil pour ne pas utiliser son téléphone à peine sorti du lit, pratiquer un sport, jouer à des jeux de société, ou même regarder un film en famille. Se détacher de son téléphone, c’est possible, la preuve à la fin de l’atelier: personne ne s’est aperçu que plus d’une heure s’était écoulée… sans que personne n’ait touché son téléphone.
La Ville de Mougins crée le kit « Un animal m’attend chez moi ».
L’objectif est simple : en cas d’urgence, cette carte permet aux propriétaires de signaler la présence de leurs animaux chez eux.
Accidents, malaises…, la vie réserve parfois des coups durs, sans prévenir. Si vous vous retrouvez dans l’impossibilité de faire savoir que votre animal de compagnie est seul à la maison, le kit se compose d’une carte « Mon animal m’attend chez moi » à garder sur vous afin de le signaler, ainsi qu’un adhésif à apposer à l’entrée de votre domicile. Sur la carte figurent votre nom, celui de votre ou vos animaux ainsi que les personnes à contacter.
N’hésitez pas à vous procurer le kit auprès de certains cabinets vétérinaires, les associations de protection animale (SPA Espoir et ASA 06), les pharmacies, les accueils publics mairie (CCAS, pôle administratif, mairie annexe Mougins-le-Haut, îlot de police municipale de Tournamy, guichet unique, Scène 55, médiathèque, service des sports), les résidences et foyers seniors.
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découvert par article nice matin https://www.nicematin.com/economie/quelles-sont-les-pepites-du-reseau-entreprendre-cote-d-azur-992615
Nous sommes en 2022. Laura est assistante vétérinaire. Depuis quelque temps, elle a remarqué que certains clients se retrouvent embêtés lorsqu’ils doivent emmener leur animal à la clinique.
Il y avait cette petite dame qui n’arrivait plus à se déplacer, ou encore ces personnes qui me disaient qu’elles travaillaient et qu’elles étaient coincées. D’autres ne pouvaient pas laisser les enfants seuls à la maison. Leur seule possibilité, c’était de prendre un taxi. Et c’est très cher sur la Côte d’Azur."
Alors une idée commence à germer dans sa tête. L’idée d’aider à transporter tous ces patients à quatre pattes. De devenir une sorte d’ambulancière pour animaux.
Elle en parle à son collègue vétérinaire qui lui dit que c’est une bonne idée et que "ça manque dans le coin".
Pour concrétiser ce projet, Laura investit près de 70.000€. Elle achète un fourgon, l’aménage totalement, l’équipe d’un brancard, d’une climatisation réversible, de grandes et petits cages en fonction de la taille des chiens ou des chats qu’elle devra transporter.
Elle s’équipe également de tout ce qu’il faut pour respecter les protocoles de désinfection. Sa maman la soutient, ainsi que son conjoint qui l’aide pour l’aménagement.
Elle se forme pour obtenir l’ACACED, qui est un peu le sésame pour travailler avec les animaux. Elle y ajoute la formation TAV pour Transport d’animaux vivants.
Il ne reste plus que les démarches auprès de la DDPP (Direction départementale de la protection des populations).
"Grâce à la rapidité de l'intervention, il s'en est sorti"
L’activité a débuté il y a un mois. Laura, qui pensait au départ couvrir le Golfe, s’est vite retrouvée à se déplacer dans tout le département. "Je suis dispo 7 jours sur 7, 24h/24. Il m’est arrivé d’aller sur Toulon, Saint-Laurent-du-Var ou Nice." Il peut s’agir de transporter du domicile à la clinique, mais aussi entre deux cliniques pour des cas compliqués.
Dans son "ambulance pour animaux", elle a tout pour pratiquer les premiers secours. Récemment, elle est intervenue pour un chat qui était tombé du 3e étage. "En arrivant sur place, la scène était tendue. Aslan gisait au sol, immobile, derrière une haute grille qui barrait l'accès. (…) Sans hésiter, j'ai escaladé la grille (…). Il était là, étendu, le regard un peu perdu, mais vivant. Avec une extrême délicatesse, je l'ai soulevé et l'ai passé par-dessus la grille à sa propriétaire, qui l'attendait de l'autre côté. Nous avons filé vers la clinique vétérinaire la plus proche, où une équipe nous attendait déjà. Aslan a été pris en charge immédiatement. (…) Grâce à la rapidité de l'intervention et aux soins des vétérinaires, il s'en est sorti. Le soir même, il était de retour chez lui", raconte-t-elle sa page Facebook.
Pour Laura, "les animaux ont le droit à ce genre de services" car ce sont des membres de la famille à part entière. "Qu’on leur donne une chance d’être transportés dans les meilleurs conditions, comme on le ferait pour des humains."
Contact: 06.69.63.12.80. Page FB: Secours Animalier du 83; compte Instagram: @secours.animalier.du.83
Reprenez le contrôle de vos nuits. Participez au 1er séminaire 100% Sommeil sur la Côte d'Azur. Offrez-vous une parenthèse unique pour comprendre votre insomnie, expérimenter des solutions concrètes et retrouver l’espoir d’un sommeil réparateur.
Les 28 et 29 juin, le Fort Royal accueillera un séminaire immersif 100% dédié au sommeil sur l’île Sainte-Marguerite: une quinzaine d’intervenants, venus d’horizons variés, proposeront conférences et ateliers pour mieux comprendre et traiter les troubles du sommeil. La Mouginoise Claire Thomas, docteure en sciences et fondatrice d’Objectif sommeil, en est l’initiatrice.
Pourquoi ce séminaire?
J’étais moi-même une insomniaque chronique. J’ai été brinquebalée d’un expert à un autre, entre médecines conventionnelles et pratiques alternatives. J’aurais eu besoin d’un endroit ou je pouvais faire une photo de mon problème, connaître tout ce qui aide le sommeil et comprendre à quel moment ça marche ou pas. C’est le premier séminaire du genre en France.
Qu’est-ce qui rend ce rendez-vous unique?
Il existe des congrès internationaux du sommeil uniquement à destination des médecins et chercheurs, ou bien des salons bien-être. Je voulais quelque chose de transversal. L’idée est de véhiculer les dernières avancées et préconisations pour un parcours de soin optimal, en sécurité. Le problème du sommeil est hypercomplexe, multifactoriel. On a besoin de faire les choses dans un ordre très précis. On ne va pas voir un hypnothérapeute, un coach ou un géobiologue si on a potentiellement un risque d’apnée.
Comment avez-vous conçu le programme?
En élaborant un vrai parcours de soins, pluridisciplinaire. Un psychiatre somnologue commencera par évoquer des causes médicales possibles comme l’apnée. Une psychologue experte en neuropsychologie abordera les différents accompagnements comme les thérapies cognitives et comportementales. Viennent ensuite les approches alternatives: sophrologies, hypnose, nutrition, coaching, géobiologie, art-thérapie...
Un mot sur le contenu?
Il y aura des conférences, des ateliers, des démonstrations courtes de chaque intervenant, des moments pour expérimenter librement: dégustation des nourritures du cerveau avec une micronutritionniste, expérience sensorielle au djembé et chant pour accueillir la nuit, mise en énergie au yoga, conférences en neurosciences ou neuropsychologie, ateliers thématiques de coachings, intervention vidéo d’un mentaliste... Il y aura aussi des temps de repas, de relaxation ou encore des temps libres pour visiter l’écomusée sous-marin.
Et votre rôle dans tout cela?
Mon approche est de venir nourrir d’informations notre cerveau pour le mettre à notre service, au lieu de le subir. Les neurosciences sont la brique de base qui surplombe tout: le fonctionnement du cerveau, ses besoins, ses blocages, les recommandations... Elles apportent une nouvelle vision par rapport au sommeil. On ne force pas le sommeil, on crée les conditions pour qu’il revienne.
Savoir+
Tarif : 290 euros (inclut bateau, conférences, ateliers, coachings personnalisés, repas, hébergement, activités bien-être).
Rens. sur objectif-sommeil.com/seminaires ou par téléphone au 06.68.62.20.27.
Ces abeilles ne vivent pas en colonie, ne piquent pas et ne fabriquent pas de miel. Elles sont passionnantes à observer et ont besoin de nous.
Découvert par Ici Azur https://www.francebleu.fr/emissions/le-chiffre-du-jour/4-initiatives-ecoresponsables-dans-les-alpes-maritimes-grace-aux-abeilles-5592386#xtor=RSS-106
À Blois, un collectif citoyen a mis sur pied un service d’autopartage. Une mise en commun économique pour ses usagers, qui permet de réduire le nombre de voitures en ville.
découvert par https://www.nicematin.com/vie-locale/quel-est-ce-cabinet-dentaire-ambulant-qui-sillonne-les-alpes-maritimes-et-le-var--982852
Ces bus vont directement à la rencontre des patients. Ceux qui ont du mal à se déplacer, ceux pour qui les soins dentaires ne sont pas une priorité. Ceux qui sont âgés ou en situation de handicap.
L’association départementale Handident – qui a vu le jour en 2005 – a pour mission de "faciliter l’accès aux soins dentaires des personnes handicapées [dans la région] en fédérant des chirurgiens-dentistes au sein d’un réseau". Et, la semaine dernière, l’un des bus a stationné sur le parvis de la Fondation Pauliani à Nice qui héberge des personnes âgées, souvent dépendantes ou atteintes de maladies telles Parkinson ou encore Alzheimer. Mis en fonction en septembre 2024, ce véritable cabinet dentaire ambulant est déjà intervenu dans 10 établissements et a permis de soigner plus de 350 patients soignés. Le bus assure des tournés toute l’année.
Donner une heure par mois pour aider sa commune ou son voisin, c'est à la portée de tous et cela peut tout changer !
La Fédération Française des Trucs qui Marchent met en lumière des initiatives portées par des élus locaux qui ont fait leurs preuves sur le terrain et qui sont duplicables partout en France.
découvert par article ICI Azur https://www.francebleu.fr/emissions/bienvenue-chez-vous-ici-azur/la-federation-francaise-des-trucs-qui-marchent-mettez-en-avant-vos-initiatives-locales-positives-1202413#xtor=RSS-106
Avec des vidéos visionnés plus de sept millions de fois, l'influenceur azuréen "Mr Compliment" ne cesse de surprendre. Son concept : se filmer à Nice en faisant des compliments à des inconnus. Un élan de bienveillance relayé dans notre émission spéciale "ici ça marche".
Depuis quelques années, le troc est devenu un système très prisé pour ceux qui souhaitent renouveler leur garde-robe sans débourser un centime.
Un club qui ferme, mais un concept qui perdure
Il y a quelques années, nous avions fait la connaissance d'une boutique de troc à Nice : Le Club des Simone, dont le principe consistait tout simplement à récupérer des vêtements d'occasion en échange de ceux qu'on ne porte plus.
Une mauvaise nouvelle cependant, puisque faute de rentabilité, le "Club" a fermé ses portes. Mais pour ses clients, hors de question d'abandonner le principe. C'est le cas de Sandie Crayne, qui propose aujourd'hui des événements mensuels pour continuer le troc de vêtements.
Tout se fait au Restaurant Alter Natives, à Nice, rue Pierre Devoluy.
Pour 5€ d'adhésion seulement, vous pouvez donc procéder aux échanges de différents habits en bon état.
Les prochaines dates d’événement, de 11h à 17h sont :
Samedi 5 avril
Samedi 17 mai
Samedi 14 juin