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Publié le 20 mars 2025
Investir des montants limités auprès d’intermédiaires fiables vous évitera de grosses déconvenues.
Le nombre d’investisseurs en cryptomonnaies ne cesse de croître, et chaque période haussière en attire de nouveaux. Aborder ce marché nécessite toutefois un minimum d’effort afin d’en comprendre le langage (lire le lexique ci-dessous) et le fonctionnement. Pour éviter les désillusions brutales, il faut, en outre, respecter quelques règles.
1 - Ne placer en cryptos qu’une faible portion de son patrimoine
Entre novembre 2021 et novembre 2022, le bitcoin a perdu 74 % de sa valeur, avant de repartir à la hausse. Les autres cryptos enregistrent des fluctuations encore plus fortes. En une journée, il est possible de perdre 10 %, mais aussi de les regagner le lendemain. Face à cet environnement instable, on prend facilement de mauvaises décisions, dictées par l’émotion. Pour éviter cet écueil, les cryptos ne doivent pas représenter plus de 5 % de votre patrimoine financier. « Il ne faut investir que ce que l’on pourrait se permettre de perdre en totalité », conseille Guillaume Eyssette, fondateur du cabinet Gefinéo.
2 - Miser régulièrement de petites sommes
Entrer sur un marché à la veille d’un krach est la hantise de tout investisseur. Idéalement, on va acheter au plus bas pour vendre au plus haut. Dans les faits, c’est très compliqué à réaliser en Bourse. Sur les cryptomonnaies, cela relève carrément de la mission impossible ! Le plus simple consiste à miser de petites sommes régulièrement, afin d’entrer progressivement sur le marché de son choix et de lisser son prix d’entrée. « Pour investir 20 000 € en bitcoins, on va réaliser des achats toutes les semaines ou tous les mois sur un an ou deux », détaille Guillaume Eyssette.
3 - Sélectionner des acteurs fiables
Véritable far west, l’univers des cryptoactifs est le paradis des pirates et des escrocs. Qu’importe de gagner des fortunes si la plateforme d’échange utilisée pour les acheter et les stocker est hackée, ou si elle fait faillite en emportant avec elle vos jetons. La déroute, en 2022, de FTX, la deuxième plateforme mondiale, l’a rappelé à ses clients… Idem avec le piratage, le 21 février dernier, de la plateforme Bybit, qui s’est fait dérober environ 1,4 milliard de dollars en cryptoactifs. Afin de rester sur des chemins balisés, mieux vaut privilégier un intermédiaire installé dans l’Union européenne, soumis à une réglementation stricte. Pour opérer sur le marché français, les sociétés spécialisées doivent a minima s’enregistrer auprès de l’Autorité des marchés financiers (AMF) comme prestataire de services sur actifs numériques (Psan). Et, d’ici mi-2026, elles devront décrocher le statut, plus exigeant, de prestataire de services sur cryptoactifs (PSCA). Sur son site, l’AMF tient à jour deux listes : une blanche, des plateformes autorisées, et une noire, de celles agissant illégalement.
Étudiez l’offre (de 1 à plus de 450 cryptos) et les services, notamment la possibilité de mettre en place des plans d’investissements programmés. Certaines plateformes intègrent aussi d’utiles modules de formation. « Il ne faut pas faire l’impasse sur les frais », recommande par ailleurs Alexis Bouvard, directeur France de Bitpanda. À commencer par ceux de dépôt lorsque vous versez des euros, ainsi que les frais de transaction, appliqués sur chaque ordre d’achat ou de vente. Ces derniers ne doivent pas dépasser 1 à 1,5 %, selon cet expert.
Toutes les plateformes proposent un service de conservation, afin de stocker vos cryptos dans leurs coffres. « Si l’on possède des montants élevés, pour éviter tout risque de piratage, mieux vaut investir dans un portefeuille matériel », préconise toutefois Guillaume Eyssette. Prenant la forme d’une clé USB, ce wallet est déconnecté d’Internet, pour une plus grande sécurité.
4 - Opter pour les bonnes cryptomonnaies
L’investisseur rodé à la Bourse sait qu’il ne faut pas mettre tous ses œufs dans le même panier. Avec les cryptomonnaies, cet adage a toutefois du plomb dans l’aile. En effet, tous les cryptoactifs sont extrêmement liés entre eux, ce qui implique que quand le cours du bitcoin flambe, les autres cryptos sont tirées vers le haut, et inversement. Les multiplier a donc peu d’intérêt en matière de diversification. D’autant que plus vous allez sur des jetons exotiques, plus vous prenez de risque. « Et moins vous êtes dans une logique de long terme », abonde Guillaume Eyssette. En outre, détenir quelques-unes des 5 ou 10 plus grosses cryptos suffit largement. « Si le bitcoin joue un rôle de baromètre du reste du marché, Ether et Solana [des cryptomonnaies] disposent d’une technologie blockchain différente, utilisée par plusieurs autres cryptos », cite Alexis Bouvard. De ce fait, elles peuvent afficher des performances distinctes à court terme. Les débutants auront de quoi travailler avec ces quelques actifs numériques. « Au-delà, cela requiert des connaissances plus poussées, car il faut comprendre les projets, les risques et les opportunités si l’on veut investir un montant significatif sur un altcoin [un cryptoactif autre que le bitcoin], car chaque crypto a ses spécificités », indique Alexandre Baradez, d’IG France.
5 - Prendre en compte l’impact fiscal
Ils ont beau reposer sur la blockchain, les actifs numériques n’échappent pas à l’impôt. Tout du moins lorsqu’ils sont convertis en monnaie fiduciaire telle que l’euro. Les détenteurs de cryptos doivent déclarer leurs comptes via un imprimé spécifique, qu’ils soient sur des plateformes étrangères ou françaises. D’ailleurs, les Psan transmettent automatiquement des informations au fisc. Les plus-values sur cryptos sont soumises à l’impôt sur le revenu (12,8 %) et aux prélèvements sociaux (17,2 %) au-delà de 305 € de cession sur l’année. « Une bonne pratique consiste à utiliser les stablecoins pour échapper à la volatilité du bitcoin, sans pour autant sortir du monde de la crypto et ainsi éviter de matérialiser un gain », indique Guillaume Eyssette. Ces jetons sont en effet arrimés à une devise, souvent le dollar. Les deux plus importantes sont l’USDT (Tether) et l’USDC (USD Coin).
Bon à savoir Applicable depuis le 30 décembre 2024, la nouvelle réglementation européenne concernant les cryptoactifs, nommée Markets in Crypto-Assets (MiCA), harmonise les règles et offre plus de sécurité aux investisseurs.
3 plateformes de confiance
→ Trade Republic rassure avec sa licence bancaire décrochée en Allemagne. Il propose une cinquantaine de cryptos, des plans d’investissement et une tarification simple. De quoi contenter des débutants. Les bémols ? L’impossibilité de détenir ses cryptoactifs hors de la plateforme et l’absence de contenu pédagogique.
→ eToro est un intermédiaire chypriote qui permet d’investir sur les cryptoactifs et offre de nombreux types de placements (actions, devises…), ce qui s’avère un bon moyen de tous les rassembler. Plus de 100 cryptos y sont référencées et de nouvelles fonctionnalités, régulièrement présentées. Le site fonctionne en dollars.
→ Bitpanda, d’origine autrichienne, cette plateforme dispose d’un vaste choix avec plusieurs centaines de cryptoactifs. L’offre de services est également complète, et les frais restent mesurés. Intéressant pour explorer toutes les possibilités de l’univers crypto.
Être notifié quand un site Web de votre choix est changé. Fonctionne même avec les connexions!
Publié le 04 mars 2025
Mal entretenus ou mal utilisés, nos appareils électroménagers souffrent. Voici les gestes à bannir, et ceux à adopter, pour éviter les pannes et prolonger la durée de vie des aspirateurs, machines à café, centrales vapeur…
Mieux vaut prévenir que guérir. Célèbre, l’adage vaut aussi pour les pannes des petits appareils électroménagers. « Environ 40 % des produits rapportés au service après-vente ne le seraient pas s’ils avaient été utilisés dans le respect des consignes d’usage et d’entretien », estime Vincent Martin, responsable après-vente du groupe Seb, qui réunit notamment les marques Calor (repassage), Moulinex (cuisine), Rowenta (aspirateurs) et Krups (café, etc.). D’autres acteurs de la réparation d’électroménager avancent un ordre de grandeur similaire.
Si les utilisateurs rechignent souvent à lire les consignes, à leur décharge, elles ne sont pas toujours simples d’accès : les notices fournies sur papier étant de plus en plus succinctes, il faut parfois se rendre sur le site web du fabricant.
Voici nos conseils pour éviter des pannes prématurées de ses petits appareils de cuisine, de repassage ou d’entretien des sols. L’enjeu est autant économique qu’écologique : « Prolonger leur durée de vie, c’est retarder un nouvel achat », souligne Anne-Claire Tran, directrice durabilité du groupe Fnac Darty.
Conseil n° 1 - Entretenir ses appareils
Les appareils fonctionnant avec de l’eau sont les plus sujets à des pannes évitables. Machines à café et appareils de repassage subissent les effets du tartre, dû au calcaire présent dans l’eau du robinet, de façon plus ou moins importante selon les régions (1).
Un détartrage régulier s’impose. « Quand la dose de café qui coule diminue, c’est que les tuyaux ont commencé à s’obstruer », indique Anne-Claire Tran. « Pour y penser, on peut se donner des repères dans le temps, en prévoyant par exemple un détartrage à chaque début de mois, ou à chaque début de saison selon l’intensité d’usage et le degré de calcaire dans l’eau de sa région », conseille Laurent Chéron, réparateur à Caen et délégué à la réparation de la fédération professionnelle Fedelec.
Les modèles les plus sophistiqués, notamment les cafetières à expresso avec broyeur, indiquent lorsqu’un détartrage est nécessaire. Mieux vaut réaliser l’opération sans tarder dès l’allumage du voyant. Même chose sur les centrales vapeur, qui disposent souvent de fonctions de détartrage, à lancer à intervalles réguliers.
Pour les aspirateurs, les négligences les plus courantes concernent les filtres… dont certains utilisateurs ignorent l’existence. Or, le défaut d’entretien pose problème : « Les poussières qui ne sont pas filtrées atterrissent dans le moteur et finissent par le détériorer », prévient Thierry Colonna, dont l’entreprise de réparation, 2AM, est installée à Marsac-sur-l’Isle (24).
Selon les modèles, les filtres sont à changer ou à laver. Attention à ne rien oublier : la plupart des aspirateurs sont dotés d’au moins deux filtres différents ‒ la notice indique où ils se situent et leur fréquence d’entretien, très variable selon les cas (parfois une fois par an, parfois une fois par mois !). Périodiquement, pensez aussi à vérifier que rien n’obstrue les tuyaux et à ôter les cheveux emmêlés dans la brosse, notamment s’il s’agit d’une électro-brosse. Ce n’est pas une simple question d’efficacité : tout ce qui freine l’aspiration accroît la sollicitation du moteur, donc le fragilise. Ces gestes d’entretien doivent être encore plus scrupuleux avec les aspirateurs balais sans fil et les aspirateurs robot : ces modèles bourrés d’électronique sont plus sensibles et plus compliqués à réparer.
Conseil n° 2 - Attention aux erreurs communes
Le souci de protéger du calcaire certains appareils conduit parfois à commettre des erreurs. Pour éviter d’utiliser une eau du robinet très calcaire, certains remplissent leur centrale vapeur avec de l’eau déminéralisée. Problème : « Elle est corrosive et peut détériorer certains éléments internes », alerte Vincent Martin, du groupe Seb. Un mélange moitié eau déminéralisée, moitié eau du robinet est un bon compromis.
Une fois les appareils entartrés, le piège consiste à user et abuser du vinaigre. Utilisé pur, le produit est tellement efficace qu’il attaque aussi les joints à l’intérieur des fers à repasser ou des machines à café, notamment. De quoi mettre les appareils hors service ! « Mieux vaut utiliser du détartrant en poudre ou en liquide prêt à l’emploi, disponible en grande distribution », conseille Vincent Martin.
Côté aspirateur, une autre erreur guette l’utilisateur de bonne volonté, qui effectue le lavage des filtres (pour les modèles concernés). L’impatience peut conduire à les remettre en place trop rapidement. Un séchage des filtres pendant 24 h est généralement conseillé pour éviter d’introduire de l’humidité dans l’appareil.
Conseil n° 3 - Utiliser ses appareils avec précaution
C’est parce qu’ils sont parfois soumis à rude épreuve, que certains articles flanchent. Aspirer de l’eau ou des poussières trop fines (plâtre, sciure de bois) peut s’avérer catastrophique pour l’appareil lorsqu’il ne s’agit pas d’un modèle dédié à ces usages (aspirateur eau et poussière). Sur les aspirateurs traîneaux, « une des interventions les plus classiques concerne l’enrouleur du câble électrique, qui s’abîme avec le temps », assure Laurent Chéron. Pour éviter son usure prématurée, il faut perdre la mauvaise habitude de le dérouler au maximum pour atteindre tous les recoins à aspirer sans changer de prise. Autre geste à bannir : débrancher en tirant sur le câble car la prise à l’extrémité en souffre.
Pour les aspirateurs balais sans fil, c’est le recours au mode turbo qui pose problème. « Ils ne sont pas conçus pour fonctionner en mode turbo de façon prolongée », explique Anne-Claire Tran, du groupe Fnac Darty. Cette utilisation excessive occasionne des pannes… et des retours injustifiés en magasin de nouveaux utilisateurs, qui pensent la batterie défectueuse. Il faudrait donc que fabricants et distributeurs cessent de communiquer sur l’autonomie maximale de ces aspirateurs sans préciser qu’elle n’est disponible qu’à puissance minimale, afin d’éviter ces retours en magasin, quand les clients s’aperçoivent que l’autonomie ne dépasse pas quelques minutes en mode turbo.
En cuisine, la plupart des bols et accessoires des robots ménagers sont prévus pour passer au lave-vaisselle. Néanmoins, ils s’y abîment – un critère pris en compte dans nos tests de robots ménagers. Pour retarder les problèmes, évitez d’utiliser les programmes les plus chauds. Et placez-les de préférence dans le panier du haut : la pression de l’eau y est moins forte.
Quant aux fers et centrales vapeur, ils gagnent à être vidés au maximum après utilisation : « L’eau stagnante dans le réservoir finit par s’évaporer, et les résidus accélèrent la détérioration de l’appareil. Cela vaut aussi pour les bouilloires », avance Vincent Martin.
(1) Le degré de dureté de l’eau peut être fourni par votre distributeur d’eau. Parmi les régions les plus touchées (eau dure ou très dure) : le Nord-Pas-de-Calais, le Jura et les Alpes. Parmi les régions les plus épargnées, le Massif central et la Bretagne.
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Les 8 meilleures applications gratuites pour numériser et scanner ses notes
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Voici une vidéo YouTube pour apprendre les bases de la numérisation gratuite avec Genius Scan :
Comment se servir de Genius Scan ?
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#2 Adobe Scan
Adobe Scan
Adobe Scan se distingue comme une application de numérisation de documents incontournable. Que vous optiez pour une numérisation automatique ou manuelle, cette application intelligente détecte astucieusement les bords du papier, recadre automatiquement et permet même une rotation manuelle si nécessaire. Après la numérisation, vous avez la flexibilité d'enregistrer vos fichiers au format PDF, avec une reconnaissance de texte facilitant l'édition grâce à Adobe Document Cloud.
La fonction OCR est également disponible pour la numérisation de textes manuscrits, ajoutant une dimension supplémentaire à son arsenal de fonctionnalités.
Mode livre : scannez des textes longs dans une qualité irréprochable.
#3 CamScanner
application pour scanner des documents
CamScanner a plus de 750 millions d'utilisateurs. Numérisez reçus, contrats, et cartes d'identité simplement.
Dans sa version gratuite, CamScanner offre déjà une super expérience. Même si certaines fonctions avancées sont payantes, elle reste top pour vos besoins quotidiens. Scannez tout, même avec des modes spéciaux pour les cartes d'identité et les QR codes.
Le convertisseur PDF vous permet de créer des PDF depuis des sites web ou convertir d'autres fichiers. Partagez facilement vos scans sur WhatsApp ou par e-mail. Le scanner PDF reconnaît le texte, et vous pouvez même signer électroniquement.
#4 Evernote scannable (sur IOS uniquement)
#5 Scanbot
Si vous cherchez une application de numérisation 100 % gratuite à la fois simple et puissante, Scanbot est votre alliée. Cette application permet de scanner gratuitement vos documents et de les convertir en fichiers numériques haute qualité. Grâce à sa fonction automatique, elle identifie et capture vos documents.
Points Forts :
→ Interface Intuitive : L'interface bien pensée rend la numérisation et l'édition simples.
→ Outils d'Annotation Avancés : Personnalisez vos documents avec des annotations, des signatures, et plus encore.
→ Compatibilité Cloud : Stockez vos numérisations sur des services populaires tels que Dropbox, Google Drive, ou Evernote.
Points à Considérer :
Certaines fonctionnalités avancées disponibles via des achats intégrés.
Scanbot se distingue par sa simplicité d'utilisation et ses fonctionnalités avancées d'annotation, en faisant un choix solide pour ceux qui recherchent une application de numérisation polyvalente.
#6 Microsoft Lens, la meilleure application gratuite pour scanner sur Android
#7 L'application Notes sur Iphone
#8 Photo Scan de Google
Photos Scan
Google PhotoScan est l'outil idéal pour numériser vos photos imprimées, éliminant efficacement les reflets et les halos lumineux qui peuvent altérer la qualité de vos numérisations. Grâce à sa méthode unique, l'application capture l'image sous plusieurs angles, corrige automatiquement les défauts, et enregistre les photos directement dans la galerie de votre smartphone. Cependant, bien que performante pour les photographies, elle pourrait ne pas être la meilleure option pour la reproduction de documents textuels. On trouvait malgré tout intéressant de vous notifier son existence, car c'est une pépite pour le scan de photos imprimées.
C’est la saison qui veut ça. Janvier est là, avec son cortège de maladies hivernales prêtes à malmener nos organismes, déjà fragilisés par les abus pendant les fêtes de fin d’année. Grippe ou Covid, gastro-entérites, infections ORL et pneumopathies: comment organiser la résistance et repousser virus et bactéries? Suivez le plan de bataille de Sophie Schaeffer, micronutritionniste, pour booster les défenses d’un système immunitaire qu’elle présente comme le château fort qui nous protège des agressions.
"Les forces – et faiblesses – de notre système immunitaire sont liées notamment à l’hygiène de vie. La qualité de l’alimentation, du sommeil et le niveau de stress (un ennemi du système immunitaire) contribuent à une immunité plus ou moins importante", explique-t-elle en préambule.
Elle poursuit avec la même image du château fort: la peau et les muqueuses – dont les muqueuses digestives – sont les remparts de nos forteresses immunitaires, également protégées par une armée: les cellules nommées macrophages, qu’on peut comparer aux soldats de première ligne, et les anticorps, qui font figure de tireurs d’élite. En cas d’agressions par un virus ou une bactérie, ce sont ces "soldats" qui déclenchent toute la cascade immunitaire.
Deux stratégies
De cette présentation très "guerrière" découlent deux stratégies dans lesquelles l’alimentation joue un rôle essentiel: la première pour entretenir et soutenir le système immunitaire, et éviter de tomber malade, la seconde pour l’aider à se remettre d’un épisode infectieux.
Pour renforcer son immunité, la vitamine C, le fer et le zinc sont les micronutriments stars. "Mais le nerf de la guerre, c’est la vitamine D, un acteur fondamental. Contrôler son taux de vitamine D à l’entrée de l’hiver et se supplémenter si besoin est la première des précautions, sachant que 80% de la population est carencée", souligne Sophie Schaeffer.
Après une infection, bien manger est encore plus important qu’à l’accoutumée, pour remettre à niveau son statut nutritionnel. Elle rappelle en effet que "60% des cellules immunitaires sont localisées dans l’intestin, siège du microbiote, de la muqueuse intestinale et du système immunitaire, un écosystème dont l’intégrité, primordiale, passe par l’alimentation".
Premiers alliés: les antioxydants. "Globalement, il faut une alimentation riche en micronutriments, en vitamines et en minéraux pour relancer le métabolisme." Ce qui se traduit dans l’assiette par la consommation de végétaux, de fibres et de probiotiques (type choucroute, miso, kombucha, kéfir).
Dans l’assiette, selon la maladie
Pour reprendre des forces après une grippe ou la Covid, il faut miser en priorité sur la vitamine C et sur les protéines de qualité: volailles, poisson et œufs.
Au contraire, après une gastro-entérite, on évitera les œufs et toutes les protéines grasses (viandes rouges...). "La bonne recette, c’est le bouillon de nos grands-mères: il apporte des protéines, des minéraux, il est riche en micronutriments, facile à digérer et il réhydrate. Boire suffisamment est essentiel."
Il peut être intéressant également d’éviter la consommation de sucres et de produits laitiers, moins faciles à digérer: "En soulageant le système digestif, on contribue aussi à une meilleure immunité. Au cours d’une infection ORL, les produits laitiers ont par ailleurs tendance à épaissir les sécrétions."
Une alimentation adaptée contribue à reprendre rapidement des forces, mais rappelle encore Sophie Schaeffer, il ne faut pas négliger le repos… du guerrier!
Des plantes à la rescousse
Les propriétés antioxydantes et anti inflammatoires de l’échinacée, du sureau et du cassis (qui a également des vertus fluidifiantes) en font des alliés intéressants pour booster son immunité et lutter contre les virus de l’hiver. Il faut y ajouter l’éleuthérocoque, une plante adaptogène qui agit sur les états de fatigue. Elle est idéale en période de convalescence.
Après un épisode infectieux durant lequel l’organisme a surconsommé des micronutriments, le plasma d’eau de mer, une solution riche en minéraux et en oligo-éléments peut contribuer à remettre à niveau un statut nutritionnel déséquilibré.
Laver sa voiture est une activité polluante, mais les risques sont nettement réduits si l’on n'utilise pas d’eau. Voilà comment faire.
En raison des produits chimiques utilisés, le nettoyage d’une voiture avec de l’eau est une opération très polluante. Voilà pourquoi il est strictement interdit de procéder de la sorte à domicile, afin de ne pas déverser des eaux polluées dans les sols. Dès lors, le lavage auto classique n’est autorisé que dans les stations de lavage, qui disposent de leur propre système de traitement des eaux usées. Mais, malgré les précautions prises pour réutiliser au maximum les ressources, le lavage auto est gourmand : un lavage au jet haute pression consomme en moyenne 50 l, alors qu’un passage au rouleau représente 170 l. Le lavage sans eau est donc une solution plus écologique et économique. Voici comment procéder.
Que dit la loi ?
Laver sa voiture en dehors d’une station prévue à cet effet pollue sévèrement les sols, et l’activité est punie par la loi. Ainsi, que ce soit sur la voie publique ou à domicile, l’article 99-3 du règlement sanitaire prévoit un PV de 450 € pour les contrevenants. De plus, s’il est prouvé que le lavage est à l’origine d’une pollution locale, la peine peut grimper jusqu’à 75 000 € et deux ans d’emprisonnement. Enfin, dans le cas d’une restriction d’eau en période de sécheresse, le Code de l’environnement prévoit une amende de 1 500 € en cas de contrôle. Voilà qui fait réfléchir avant d’allumer le robinet devant chez soi.
La liste des produits
Pour laver sa voiture sans eau, il faudra vous équiper de produits spéciaux. Très généralement biodégradables et sans solvants, ces nettoyants utilisent leur pouvoir lubrifiant pour décoller les saletés de la carrosserie. Ils sont à pulvériser directement sur les parties à nettoyer, puis à essuyer avec un chiffon microfibre doux après avoir laissé agir quelques minutes. Pour cela, il vous faudra à portée de main :
- Un nettoyant carrosserie sans eau
- Une lustreuse de type Nénette
- Un kit de polissage (polish + pad)
- Des lingettes nettoyantes
- Une dizaine de chiffons microfibres
Nettoyer sa voiture sans eau, la procédure
Avant de commencer, prenez soin de stationner votre voiture à l’ombre et à l’abri de la poussière. Si la carrosserie de la voiture est chaude, laissez-la refroidir : au contact des surfaces chaudes, le produit séchera rapidement et laissera des traces très difficiles à faire partir. Lorsque vous avez pris ces précautions, commencez par enlever le plus gros des saletés à l’aide d’un chiffon microfibre sans appuyer. S’il y a de la poussière, vous risquez de rayer la carrosserie. Si la voiture est très sale, préférez un passage au jet haute pression avant de continuer. En dehors des périodes de sécheresse, vous pouvez utiliser un tuyau d’arrosage de jardin pour faire partir la poussière, mais en veillant à n’appliquer aucun produit avant !
À l’aide de la lustreuse, chassez la poussière collée à la carrosserie. Passez d’un seul geste et dans le même sens pour ne pas étaler à nouveau les saletés, au risque de rayer le vernis. Si la face de la voiture est constellée d’insectes écrasés, vous pouvez utiliser des produits spéciaux, ou préparer un démoustiquant écologique. Mais vous aurez besoin d’un peu d’eau dans ce dernier cas, en mélangeant de l’eau chaude à du jus de citron ou du vinaigre blanc. Dans tous les cas, appliquez le produit, laissez agir, puis nettoyez en appuyant raisonnablement avec un chiffon microfibre. Pour les vitres et les phares, utilisez un mélange d’eau chaude et de bicarbonate de soude, puis nettoyez avec une éponge à maille spéciale ou une éponge classique entourée d’un collant en nylon.
Ensuite, appliquez généreusement du produit nettoyant sans eau directement sur la carrosserie, en vous concentrant sur de petites zones afin de ne pas laisser le temps au produit de sécher. Essuyez sans attendre avec un chiffon propre avec des mouvements circulaire et sans appuyer. Sur les plastiques noirs, pulvérisez d’abord le produit sur le chiffon. Vous pouvez également utiliser des lingettes nettoyantes, qui seront dans tous les cas plus adaptées pour nettoyer en profondeur les joints et interstices.
Quand toute la voiture a été nettoyée, pulvérisez le produit lustreur. La cire permettra de lubrifier encore la surface. Appliquez le produit avec la face noir du pad fourni dans le kit, laissez sécher, puis enlever le surplus à l’aide de l’autre face. Si un chiffon microfibre lustrant est compris dans le pack, utilisez-le à la fin de l’opération pour étaler au maximum la cire et protéger la carrosserie pour quelque temps. À noter que la procédure est identique pour les jantes. Pour la touche ultime de brillance, vous pouvez appliquer un nettoyant spécial sur les pneus.
Une voiture propre dans le respect de l’environnement
Outre les sanctions pécuniaires, le lavage sans eau permet d’économiser de grandes quantités d’eau et de prendre davantage soin de la planète. Cependant, il est vrai que la mise de départ peut être importante pour se procurer tous les produits, mais vous pourrez effectuer au moins trois lavages complets de la voiture avec ceux-ci. Enfin, en fonction de l’état de votre voiture, la tâche est fastidieuse et il faudra prévoir au moins deux heures devant vous. Si vous n’avez pas le temps, mais que ces considérations écologiques vous tiennent à cœur, vous pouvez vous adresser à un professionnel contre 50 € en moyenne le lavage complet.
Alimentation, tabac, hygiène bucco-dentaire ou simplement érosion de l’émail avec l’âge... il arrive que les dents jaunissent ou ternissent avec le temps.
Dans un monde où le sourire est souvent synonyme de confiance et d’attrait, le "blanchiment" des dents est devenu une méthode tendance.
Mais attention, ce n’est pas aussi simple que d’ouvrir un tube de dentifrice! Entre les techniques des professionnels et les promesses alléchantes des réseaux sociaux, il est essentiel de s’y retrouver.
Quelles techniques les dentistes utilisent-ils vraiment? Existe-t-il des contre-indications? On fait le point avec le Dr Ludovic Barbry, chirurgien-dentiste et président du conseil de l’ordre des chirurgiens-dentistes du 06.
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On parle d’éclaircissement plutôt que de blanchiment
Tout d’abord, il vaut mieux parler d’éclaircissement des dents que de blanchiment. "L’ultra blanc n’existe pas. Ainsi, la technique d’éclaircissement utilisée par les dentistes vise à réduire les taches et des pigments accumulés sur l’émail afin de retrouver une couleur plus claire. Il n’est donc pas question d’opérer une transformation radicale de la couleur des dents. Une personne qui souhaite opter pour cette méthode doit se préparer à un résultat qui correspondra en réalité à sa teinte d’origine", prévient le Dr Ludovic Barbry. -
Avant le traitement, un bilan dentaire est essentiel
Avant toute procédure d’éclaircissement dentaire, un point avec un professionnel est indispensable afin de s’assurer qu’aucune infection ou inflammation n’est présente.
"Il y a également des cas ou l’éclaircissement n’est pas si simple. Par exemple, il faut savoir que des couronnes dentaires ne peuvent pas être blanchies. Dans ce cas, le patient doit être conscient que les implants et autres prothèses conditionneront le changement de couleur possible."
- Une méthode avec des gouttières sur mesure
Les chirurgiens-dentistes utilisent deux méthodes principales pour éclaircir les dents. Tout d’abord les gouttières sur-mesure. "Fabriquées pour s’adapter à la dentition du patient, elles permettent d’appliquer un produit blanchissant, à base de peroxyde d’hydrogène. Grâce à un petit espaceur sur les gouttières, le gel pénètre l’émail plus facilement."
Le dispositif se porte la nuit et le traitement dure entre 4 jours et une semaine. "Certaines personnes peuvent ressentir une sensibilité accrue au froid durant le traitement, un effet temporaire mais parfois inconfortable."
Très efficace, cette méthode s’estompe néanmoins avec le temps. "En moyenne, l’éclaircissement dure deux ans, mais cela dépend des habitudes de vie du patient; boire par exemple régulièrement du café ou du thé peut ternir la dent plus rapidement."
- Une technique spécifique pour les dents dévitalisées
Deuxième option: l’éclaircissement interne. "Cette méthode est réservée aux dents dévitalisées (1) qui peuvent changer de couleur et foncer après un choc ou un traitement et nuire à l’esthétique du sourire."
Dans ce cas précis, la technique consiste à appliquer un produit à base de peroxyde d’hydrogène directement dans la dent afin de l’éclaircir, puis à sceller l’accès avec un matériau de remplissage définitif (comme la résine composite) pour empêcher toute infiltration de bactéries ou de substances colorantes à venir.
"Le blanchiment interne peut parfois être insuffisant suivant la coloration de départ et la récidive est assez rare."
- Une dent dévitalisée est une dent qui a subi une intervention chirurgicale à la suite d’une carie profonde ou d’une infection de la dent.
Bicarbonate de soude, dentifrice... quelle efficacité?
Avant de réaliser un blanchiment dentaire, de nombreuses personnes se tournent vers les dentifrices "blanchissants" afin de retrouver un sourire plus brillant.
"Ces dentifrices permettent de prolonger l’effet d’un détartrage polissage au cabinet dentaire, mais ils ne feront pas mieux: aucune pâte ne peut éclaircir la couleur des dents."
D’autres se brossent avec du bicarbonate de soude (également appelé bicarbonate de sodium), car il est présenté comme un moyen efficace de blanchir les dents.
"En effet, le bicarbonate peut avoir un effet nettoyant antitache mais attention, en cas d’utilisation fréquente et en fonction du produit utilisé et de sa composition, il risque d’avoir une fonction abrasive et d’abîmer l’émail des dents. Il vaut mieux demander conseil à un dentiste avant d’utiliser un produit à base de bicarbonate de soude."
Gare aux dérives sur Internet
Les kits en vente libre: sur Internet, des kits de blanchiment des dents sont en vente libre et promettent un sourire de star en quelques minutes. Mais attention, ces produits sont souvent inefficaces car ne dépassant pas 0,1% de peroxyde d’hydrogène dans leur composition. "Les chirurgiens-dentistes disposent de gels concentrés à 6%. Une différence qui explique que seuls les traitements effectués en cabinet dentaire ont une réelle efficacité sur la durée." Loin d’être inoffensives, ces kits de blanchiment peuvent également être dangereux car mal dosés. "A contrario, une concentration trop importante de peroxyde d’hydrogène peut entraîner un risque de brûlures et de lésions dentaires."
La méthode "dent de requin": le sourire "blanc lavabo" qui fait fureur sur les réseaux sociaux n’est pas le résultat d’un éclaircissement des dents mais d’une technique dangereuse et que l’on appelle la tendance "dent de requin". "Cela consiste à se limer les dents à l’extrême pour y poser des facettes (technique de restauration partielle qui prend la forme d’une fine lamelle, Ndlr) et avoir les dents blanches et bien alignées. Cette méthode est très dangereuse; limer une dent saine peut avoir les conséquences catastrophiques."
À la suite d’incidents de piratage d’IBAN, de nombreux particuliers et professionnels se demandent comment protéger leurs comptes bancaires contre les prélèvements non autorisés. Peu connue mais très efficace, la liste blanche de prélèvements est un moyen simple et gratuit pour les particuliers de bloquer toute transaction indésirable sur leur compte. Qu’est-ce qu’une liste blanche de prélèvements
La liste blanche de prélèvements est une fonctionnalité qui permet aux titulaires de comptes bancaires de restreindre les prélèvements uniquement aux entreprises ou fournisseurs de leur choix. Toute tentative de prélèvement provenant d’un émetteur qui ne figure pas sur cette liste est automatiquement refusée par la banque. Cette mesure est particulièrement efficace contre les tentatives de fraude où des informations bancaires, comme un IBAN, auraient été compromises.
Gratuit pour les particuliers
Pour les particuliers, la mise en place d’une liste blanche de prélèvements est gratuite. La loi impose aux banques d’offrir cette option sans frais supplémentaires. Néanmoins, peu d’établissements bancaires mettent cette solution en avant. Il est donc conseillé de contacter directement son conseiller bancaire pour activer cette option. Une fois en place, cette mesure permet de sécuriser le compte contre les tentatives de prélèvement non autorisé.
Le responsable des objets trouvés de Cannes, Michel Grippi, est fier. Fier de son taux de restitution: 16%, contre 3% pour la moyenne française.
"On a créé un compte Facebook, on est les seuls en France. Ce n’est pas un site de dialogue, mais une vitrine", pour présenter les objets trouvés. Seuls les objets sans nom, qu’on ne peut pas identifier, comme les clefs, les sacs, les parapluies, sont mis sur Facebook. "Mais pas les téléphones!"
Trop compliqué. Le but étant de restituer un maximum: "Je veux arriver au moins à 20%."
Pour le reste, "on fait des recherches". Alors, Madame Quereda appelle assurance, banque, laboratoire, médecin… Tout ce qui est possible et inimaginable pour retrouver les propriétaires.
"Pour l’année 2023, on a rentré 4.415 objets." Avec un pic important juste après la période du Festival du film – "le Palais nous ramène les objets par cartons" –, et jusqu’à la fin des vacances scolaires d’été: juin, juillet et août, "on est entre 500 et 600 objets au mois, le reste de l’année entre 250 et 300".
Une fois que les objets sont ramenés au service des objets trouvés, au 45, boulevard Carnot, toussont photographiés, étiquetés et stockés.
Chaque municipalité décide du délai de garde. Pour Cannes, c’est 6 mois (les documents d’identité, eux, sont détruits après un mois).
Une montre à 15.000 euros
Ensuite, si les objets n’ont pas retrouvé leur propriétaire, ils sont vendus à un commissaire-priseur. "Il le revend ensuite à des sociétés" (Cash converters, par exemple).
Et même si 90% du stock est à jeter, "il y a des beaux lots, quasiment tous les téléphones lui reviennent. La dernière fois, il y avait 11 trottinettes. La moins chère doit valoir 700 euros et la plus chère dans les 3.000." Mais l’argent de la vente va à l’état, pas à la municipalité.
Et l’argent présent dans les portefeuilles perdus va, lui, au Trésor public. Ce que regrette le responsable, car "un service des objets trouvés coûte assez cher à l’administration communale".
D’autant plus que le service peut expédier, à ses frais, certains objets trouvés dans toute la France (métropolitaine et Dom Tom). "Mais seulement de mairie en mairie!" Si un propriétaire veut recevoir l’objet chez lui, c’est à ses frais!
Et des objets insolites, il y en a? "On a ramené à mon prédécesseur une enveloppe avec 10.000 euros dedans." Pour Monsieur Grippi, c’est une montre Chopard à 15.000 euros. "Après on a quelques godemichés dans les valises, puisqu’on ouvre tout." Et quand les gens viennent les chercher, "moi j’aime bien leur dire: ‘‘y’a TOUT dedans’’ (rire)".
Page Facebook https://www.facebook.com/profile.php?id=100050022469976
Mail: pmobjetstrouves1@ville-cannes.fr. objets-trouves@ville-cannes.fr
Tél. 04.97.06.40.00. 45, boulevard Carnot.
Parfois impressionnant mais le plus souvent bénin, un saignement de nez se traite à l’aide d’une simple compression. Et, contrairement à une idée reçue, sans pencher la tête en arrière !
Le saignement de nez (épistaxis en langage médical) concerne, dans 90 % des cas, la « tache vasculaire », cette zone située sur la cloison nasale, en avant, où différentes petites artères se rejoignent entre elles. Le saignement est le plus souvent sans gravité et peut facilement être maîtrisé. Ne pas pencher la tête en arrière est une priorité, car l’écoulement de sang continuerait dans la gorge, avec une gêne, une impression de gorge sèche, un goût métallique, des nausées, voire des vomissements. On garde la tête droite, on peut aussi la pencher légèrement vers l’avant, avec un mouchoir à proximité pour éviter les taches.
Comprimer
Pour arrêter tout saignement, il faut comprimer la plaie. Pour le saignement du nez, c’est la même chose. On se mouche doucement une première fois au-dessus de l’évier ou du lavabo pour éliminer des caillots qui entretiennent le saignement, puis on comprime fermement la cloison nasale. Cela implique d’appuyer sur les deux narines jusqu’en haut du nez avec deux doigts, par exemple les deux index. Si on ne comprime que la narine qui saigne, la compression peut être insuffisante, car la cloison nasale, un cartilage souple, se déforme aisément. La compression doit durer dans l’idéal 10 minutes – et c’est long. Au bout de 5 minutes environ, un nouveau mouchage, qui ne sera pas trop énergique, est utile pour évacuer les caillots formés qui peuvent faire durer le saignement. Puis on effectue une nouvelle compression de 5 minutes. Le saignement est alors arrêté. On n’oubliera pas, évidemment, de respirer par la bouche durant tout ce temps ! En complément, on peut appliquer du froid qui permettra la constriction des vaisseaux. Cette application se fera en comprimant le nez avec un gant de toilette ou un linge mouillé en utilisant l’eau la plus froide possible.
Mèche ou pas mèche ?
Introduire une mèche dans les fosses nasales est efficace, mais il faut maîtriser la technique. Le méchage fait à la maison, qui consiste à introduire dans la narine du coton ou un mouchoir roulés en cône, est à éviter. En effet, il comporte deux risques : déclencher un nouveau saignement en retirant la croûte en même temps que la mèche ; être la cause d’une infection si la mèche est laissée trop longtemps. Devant un saignement qui ne s’arrête pas, un professionnel de santé pourra effectuer un méchage avec des mèches spéciales, résorbables ou enduites de vaseline. À noter : dans tous les cas, les pommades hémostatiques n’ont pas d’intérêt.
Et si c’est plus grave ?
Si vous prenez de l’aspirine ou un anticoagulant, le principe est le même à ce détail près : la compression doit être beaucoup plus longue, au moins 20 minutes, voire plus. Il faut savoir que l’aspirine augmente le temps de saignement jusqu’à 7 à 10 jours après la dernière prise.
Si le saignement persiste ou reprend malgré la manœuvre décrite ci-dessus, s’il coule dans la gorge malgré la tête en avant, s’il se produit des deux narines en même temps, s’il s’accompagne de douleurs de tête, de fièvre, de vertiges ou d’autres symptômes généraux, mieux vaut appeler le 15 pour avoir un avis en urgence.
Si les saignements récidivent régulièrement du même côté, au moindre traumatisme, voire spontanément (en cas de fortes chaleurs ou dans la nuit, par exemple), il est utile de consulter un médecin ORL. Il examinera les fosses nasales et pourra procéder à une cautérisation de la tache vasculaire, devenue trop fragile.
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Voici une technique que j'utilise au jardin pour éliminer les ronces dans les plates bandes de fleurs ou dans les haies. Pas chère et facile à reproduire.
Potentiellement vectrice de la fièvre du Congo, la "tique géante", qui peut atteindre deux centimètres de diamètre, est présente dans 11 départements du pourtour méditerranéen. Santé publique France appelle à la prudence.
Ça n'est vraiment pas ragoûtant, mais ça pourrait aussi être dangereux : si vous habitez ou que vous partez en vacances dans le sud de la France ou en Corse, attention à la "tique géante", présente dans 11 départements du pourtour méditerranéen. Hyalomma marginatum, de son vrai nom, peut atteindre deux centimètres de diamètre. Alors que certains spécimens peuvent être porteurs de la fièvre du Congo ou de la maladie de Lyme, Santé publique France rappelle les mesures de prévention à adopter
Une tique "chasseuse"
La tique Hyalomma marginatum mesure environ 5 mm de long "à jeun", et peut atteindre près de deux centimètres une fois pris son "repas sanguin", décrit l'Anses, l'Agence nationale de sécurité sanitaire de l'alimentation, de l'environnement et du travail. Ses pattes rayées la rendent particulièrement reconnaissable.
Contrairement aux tiques ordinaires, Hyalomma marginatum sont des "tiques chasseuses". Alors que les tiques classiques se positionnent "en hauteur dans la végétation", celles-ci se cachent au sol, "dans les débris végétaux", et "se dirigent activement vers l’animal qu’elles ont repéré". Si elles peuvent piquer l'homme, leurs proies de prédilection sont d'abord les "petits vertébrés" pour les larves : lièvres et lapins, hérissons, oiseaux, etc. "Les adultes quant à eux ont une prédilection marquée pour les grands vertébrés : chevaux, bovins, ovins et caprins, mais aussi sangliers ou chevreuils", poursuit l'Anses.
Des "observations" laissent penser que "les adultes grimperaient sur le sabot des animaux au pâturage et se fixeraient rapidement, de façon lâche, sur la peau située à proximité immédiate de la corne. Elles ne gagneraient les sites de prédilection que plus tard, lorsque les hôtes sont immobiles ou couchés".
Présente dans 11 départements
Originaire d’Afrique et d’Asie et introduite principalement par les oiseaux migrateurs en provenance d’Afrique, elle est présente en Corse depuis plusieurs décennies et endémique des pays méditerranéens (Maghred, péninsule ibérique, Italie, Turquie, etc.). Mais elle a fait son apparition en France continentale plus récemment, en 2015, selon l'Anses. Le transport des animaux domestiques favorise également sa propagation.
En France, sa présence est désormais confirmée dans 11 départements : Pyrénées-Orientales, Aude, Hérault, Gard, Ardèche, Drôme, Bouches-du-Rhône, Var, Alpes-Maritimes, Haute-Corse et Corse-du-Sud.
À l'origine de sa propagation, le réchauffement climatique est l'une des hypothèses privilégiées par l'Anses : ces tiques, "régulièrement introduites par des oiseaux migrateurs" ont "peut-être fini par trouver les conditions nécessaires à l’installation de l’espèce (climat, végétation, présence des hôtes des immatures et des adultes,…), conditions qui ont pu devenir favorables suite aux changements climatiques en cours".
"Le changement climatique est avéré comme l'un des facteurs qui favorise la circulation du virus", rappelle également une étude parue en 2023 dans la revue Emerging Infectious Diseases.
Vectrice de la fièvre du Congo
Hyalomma marginatum est l'un des vecteurs de la "fièvre hémorragique Crimée-Congo". Jusqu'à récemment, malgré la présence avérée de tiques géantes en France, rien n'indiquait que le virus soit, lui, présent dans notre pays. Mais il a été détecté en France à deux reprises ces derniers mois. D'abord dans les Pyrénées-Orientales, fin 2023, puis en Corse, début 2024. Le virus n'a pour l'heure été repéré en France que dans des tiques géantes collectées sur des bovins. Un seul cas de fièvre hémorragique chez l'humain a été recensé dans le pays, et le patient l'avait manifestement contractée à l'étranger.
Reste que "le fait d'avoir détecté ce virus dans des tiques dans le Sud de la France suggère quand même une possibilité d'émergence de cette maladie dans les prochaines années", estimait en juin dernier la vétérinaire Laurence Vial, lors d'un point presse de l'ANRS, une agence spécialisées dans les maladies infectieuses émergentes.
Une maladie parfois mortelle
La majorité du temps, une personne infectée par la fièvre du Congo n'a pas ou peu de symptômes, ces derniers s'apparentant à syndrome grippal (fièvre, douleurs musculaires, frissons, raideurs, maux de tête) avec troubles digestifs. "Généralement, les symptômes apparaissent de façon brutale", précise Santé Publique France (SpF).
Toutefois, "dans de rares cas", elle peut provoquer "des formes graves avec des saignements incontrôlés". Elle peut alors être mortelle dans "5 à 30%" des cas, même si ce chiffre est à relativiser en fonction du système de santé du pays.
Aucun traitement n'a, par ailleurs, vraiment fait ses preuves contre cette maladie.
Comment s'en protéger ?
Même si le risque de transmission à l'humain est pour l'heure jugé faible sur le territoire français, les autorités sanitaires appellent déjà à des précautions de bon sens. "La principale manière de se protéger contre la fièvre hémorragique Crimée-Congo est d'éviter les piqûres de tique en adoptant les mesures de protection individuelle, au printemps et en été, dans les lieux où la tique est installée", souligne l'agence Santé publique France.
Ces précautions sont de toute façon utiles contre d'autres maladies transmises par les tiques, telles celle de Lyme.
Ainsi, dans les endroits exposés, il vaut mieux porter des chaussures et des vêtements couvrants, "de couleur claire afin de mieux repérer les tiques sur la surface du tissu" et "enfiler le pantalon dans les chaussettes". SpF recommande aussi de "privilégier les chemins balisés" et d'"éviter de marcher au milieu des herbes, des buissons et des branches basses". Certains répulsifs existent également même si leur efficacité reste "limitée".
De retour de balade, pensez à examiner avec attention si une tique s'est installée sur votre peau ou celle de vos enfants, "notamment au niveau des plis de la peau sans oublier le cuir chevelu".
En cas de piqûre, "détachez immédiatement les tiques fixées". Pour cela, utilisez un tire-tique, une pince fine "ou à défaut vos ongles", préconise même Spf. Désinfectez ensuite et prenez la bestiole en photo. "Dans les 14 jours après la piqûre et si vous déclarez brutalement" les symptômes de la fièvre du Congo, "consultez un médecin en indiquant avoir été piqué par une tique et en lui montrant la photo".
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Open the message that you want to recall. You must double-click to open the message. Selecting the message so it appears in the reading pane won't allow you to recall the message.
If you have the Classic Ribbon, from the Message tab, select Actions > Recall This Message.
Recall a message in Outlook on the web or New Outlook
Select Sent Items in the left folder pane, then double-click the sent message to open it in a separate window.
From the ribbon, select The Recall Message button. Recall Message, then select OK in the confirmation dialog box.
J’ai roulé 3 ans en hybride rechargeable (PHEV) et depuis 1 an maintenant je roule en 100 % électrique (EV), pour un total roulé avoisinant les 100 000 km.
Je fais beaucoup de retours sur ça, essentiellement parce que le sujet est intéressant, mais aussi parce que ça reste une nouveauté (relative) et que beaucoup de gens se posent des questions. Beaucoup de questions, et parfois certaines inattendues.
Y répondre est intéressant, surtout quand les seules réponses qu’on trouve sont du troll de gens qui n’ont jamais roulé en EV de leur vie, ou des idées reçues d’il y a 10 ans.
Un premier constant, pour commencer : ces questions sont légitimes. Les réponses peuvent sembler évidentes quand on y est habitué, mais quand on n’a jamais eu une voiture électrique au quotidien, ces questions sont totalement normales.
Ensuite, le brouillard d’incertitude qu’on avait au début des voitures électriques il y a 10 ans commence à se dissiper. De la durabilité des batteries, leur qualité, leur réparabilité, et même leur recyclage ou réemploi, les performances en hiver, à comment recharger au mieux, au le coût d’utilisation, à leur entretien… globalement, on y voit aujourd’hui bien plus clair. À la fois pour l’utilisateur que pour le constructeur des véhicules.
À ceux qui se posent des questions, j’ai voulu faire un petit article qui les regroupe.
Il n’y a pas vraiment d’ordre dans la liste ci-dessous, mais j’ai essayé de les regrouper en sections :
Recharge d’une voiture électrique
Écologie
Concernant le coût
Les EV et le réseau EDF
La surconsommation électrique (et la facture d’électricité)
La voiture elle-même, l’usure, les spécificités…
Cet article n’est pas pour convaincre qui que ce soit. Vous faites ce que vous voulez, vraiment je m’en fiche. Je veux juste répondre à quelques questions et débunker des idées reçues et les mensonges.
En ce qui concerne l’usage d’une voiture électrique, ci-dessous, cela reflète mon usage et ma voiture (une Ioniq 6), pour lesquelles les informations ci-dessous sont données en toute honnêteté.
Recharge
Faut-il obligatoirement pouvoir charger chez soi ?
Pas forcément, mais c’est quand-même un confort.
Charger chez soi est de loin le plus pratique, et aussi de loin le moins cher.
Si vous ne pouvez pas charger chez vous, il y a toujours les bornes publiques, mais c’est moins pratique (et moins fiable, et plus cher). L’autre solution, est de charger au travail, si ce n’est pas trop cher.
Faut-il une borne chez soi ?
Non.
Pas besoin de borne chez soi : une prise 220 V suffit et permet de recharger ~100 km en une nuit.
La prise et la ligne jusqu’au compteur doivent être adaptées aux fortes charges électriques (prise « 16 ampères »).
Une borne dédiée peut être utile si vous devez charger plus que 100 km chaque nuit (si vous êtes chauffeur de taxi par exemple).
Peut-on utiliser une rallonge ?
Oui.
Tant que tout est aux normes et adapté à l’usage.
La rallonge doit être capable d’encaisser de fortes charges, tout comme la prise. Typiquement on peut prendre une rallonge prévue pour 3 700 W (ce qui fait 16 A sous 220 V). Pensez à toujours dérouler votre rallonge complètement pour éviter l’accumulation de chaleur.
Peut-on utiliser une multiprise ?
À éviter.
Brancher trop de choses sur une multiprise peut la faire chauffer. Et une voiture tire beaucoup de courant à elle seule. Ajouter des appareils en plus serait dangereux.
Est-ce que ça charge vite à la maison ?
On gagne 10 à 15 km par heure, en chargeant sur le 220 V en 10 A. Si vous roulez moins de 100 km par jour au quotidien, alors c’est largement suffisant.
On n’a pas besoin que ça charge vite, si ça charge pendant qu’on dort.
C’est la galère de charger !
Non.
On arrive chez soi, on branche, et la voiture chargera durant les heures que vous programmez. Le lendemain, on débranche et on a une batterie pleine. On n’a pas à se poser de questions.
Quant aux bornes, on branche, on passe sa carte, et ça charge après 15 à 30 secondes de communication entre la voiture et la borne.
Les bornes sont surchargées !
Elles le sont moins que les stations essence. Vous pouvez aller voir avant d’acheter une EV, y compris un week-end ou un jour de départ. Passez-y une heure et décomptez le temps où toutes les bornes sont prises et où un arrivant devra attendre. Y a de grandes chances que ça soit de zéro minutes.
Subjectivement, après 30 000 km avec la voiture, j’ai attendu une seule fois, et ça a duré 3 minutes, un jour de départ en vacances d’hiver sur un grand axe proche de Lyon, France. Lors d’un quart des sessions de charge, j’étais seul à charger.
On peut dire — sur autoroute en tout cas — que vous attendrez moins votre tour en électrique qu’avec une thermique. En revanche, oui, la charge elle-même sera plus longue (30-40 minutes). Seuls quelques modèles de voitures chargent tellement vite (< 15-20 minutes) qu’on a à peine le temps d’aller boire un café et de revenir qu’on a fini la charge et qu’on doit débrancher.
En dehors des autoroutes, les bornes rapides aux supermarchés sont généralement bien remplies (même si rarement à 100 %), et le problème est souvent qu’une voiture thermique bloque la place. Ailleurs, en ville, les bornes « lentes » sont souvent libres (mais aussi souvent en panne ou bloquées).
Faut-il des abonnements à des bornes publiques ? Des cartes ? des badges ? des applications ?
C’est conseillé.
Je vous conseille de prendre la carte et l’application Chargemap. C’est l’une des plus connues en France et avec ça vous pourrez charger partout et même comparer les tarifs avec d’autre réseaux, qui varient d’une carte à l’autre.
Les bornes qui prennent la carte bancaire directement existent, mais ne sont pas les plus courantes. Pour charger à la maison, pas besoin de carte.
Un câble de recharge d’une marque A fonctionne-t-il sur un véhicule de marque B ?
Oui.
C’est le type de connecteur qui importe, pas la marque. Aujourd’hui, la norme est le port « Type 2 ».
Et NACS ?
La norme NACS ne concerne que l’Amérique du Nord (NACS : North American Charging Standard). C’est le connecteur Tesla et qui a remporté de facto la guerre des standards aux USA et au Canada.
En France et en Europe, cela ne nous concerne pas : on reste sur du Type-2 et CCS2.
Dois-je acheter des câbles en plus ?
Pas forcément.
Seulement si vous voulez recharger sur les bornes AC en ville, ou si vous installez une bornez chez vous : il vous faudra alors un câble Type-2 mâle vers Type-2-femelle.
Le câble pour charger chez vous sur une prise 220 V est normalement fourni avec la voiture, et le câble pour la charge rapide CCS est toujours attaché à la borne.
Je conseille de prendre les câbles sur cette boutique.
https://wattsattitude.fr/categorie-produit/cables/
Le gérant répondra aussi à toutes vos questions.
D’une façon générale, je conseille de prendre un câble Type-2 et de le laisser dans la voiture, au cas où, et d’en prendre un de 5 mètres (3 mètres c’est trop court).
Tous les câbles Type-2 se valent-ils ?
Non.
Certains câbles sont limités à du 32 A en monophasé (donc 7 kW). D’autres permettent du 16 A en triphasé (11 kW) et d’autres en 32 A triphasé (22 kW).
Un câble 22 kW permettra de tout faire en termes de puissance (« qui peut le plus, peut le moins ») mais sera aussi plus cher. Quoi qu’il arrive, le chargement se limitera toujours automatiquement à la vitesse du composant le plus lent : câble, voiture ou borne.
Doit-on charger à 100 % ?
Il faut se renseigner sur le type de batterie :
Les batteries de type LFP (lithium-fer-phosphate) peuvent être chargées à 100 % toutes les nuits.
Les batteries de type Li-Ion ou Li-polymer devraient être chargées à maximum ~80 % pour un usage quotidien (référez-vous au manuel utilisateur).
Peut-on charger à 100 % ?
Bien-sûr !
La plage d’utilisation de toutes les batteries est de 0 à 100 %. Les Li-Ion et Li-Po ne doivent simplement pas rester en dessous de 20 % ni au-dessus de 80 % trop longtemps. Si votre limite habituelle est 80 % mais que vous souhaitez partir le lendemain, levez la limite la veille et chargez jusqu’au départ : la batterie sera pleine pour partir.
Mais ne stockez pas une batterie Li-Ion à 100 % pour plusieurs semaines (ce conseil sert également aux concessionnaires).
Ça charge plus lentement quand il fait froid ?
Oui et non.
Ça charge plus lentement (voir très lentement) si la batterie est froide. Mais si la batterie est chaude (même en hiver), alors la charge sera tout à fait rapide.
C’est pour cela qu’il faut vérifier que votre voiture a le préchauffage de la batterie (et de l’activer 10-15 minutes avant l’arriver à la borne en hiver, si ce n’est pas automatique).
Concernant l’écologie
Est-ce écologique ?
Voir là https://lehollandaisvolant.net/?d=2021/10/27/19/55/56-est-il-ecologique-de-changer-de-voiture-pour-une-voiture-electrique
Concernant le climat : sur tout le cycle de vie, une EV émettra beaucoup moins de CO₂. Le bilan est donc très positif sur ce plan.
Concernant les autres formes de pollution : cela utilise des ressources dont les processus de fabrication ne sont pas encore bien durables (voir ici https://www.youtube.com/watch?app=desktop&v=dEMKVFbO5V0), même si ça s’améliore petit à petit, et que le recyclage des matériaux augmente lui-aussi à grand pas.
Et le lithium ?
Le lithium n’est pas un composé rare : il est plus commun que le cuivre. Un EV contient environ une dizaine de kilos de lithium.
Le principal souci de ce minerai est géopolitique : l’essentiel du lithium est produit par ou pour la Chine, qui est une dictature protectionniste envers son marché intérieur.
Il est probable que le marché passera sur des batteries au sodium dans la majorité des applications. Ces batteries sont beaucoup moins chères, car le sodium est 1 000 fois plus abondant que le lithium, sur Terre. Et le sodium est disponible partout sur Terre et dans les océans.
Et le cobalt ? Et les enfants dans les mines au Congo ?
Depuis 2021, plus de la moitié voitures électriques dans le monde n’utilisent pas de cobalt. La technologie des batteries LFP, permet de s’en passer totalement. Cette proportion ne fait que croître.
Pour les batteries au cobalt, près de la moitié du cobalt ne vient pas du Congo.
Enfin, la plupart des constructeurs refusent désormais d’acheter du cobalt provenant de mines illégales utilisant des enfants. Aussi, ces mines représentent moins de 10 % des mines congolaises (source).
Dans l’ensemble, donc, au moins 98 % des batteries pour voitures électriques n’ont jamais vu le travail d’un enfant.
Le problème existe, et aura existé, mais le marché aujourd’hui est tel que ces mines ne sont pas viables et ne concernent qu’une très faible part des batteries. Si le sujet vous tient à cœur, tournez-vous vers un véhicule ayant des batteries de type « LFP », sans cobalt.
Et les terres-rares dans les batteries ?
Voir là
Les terres rares sont dans les aimants des moteurs, pas dans les batteries. Les batteries ne contiennent pas de terres-rares. Et environ la moitié des véhicules utilisent des moteurs inductifs sans aimants, et donc sans terres rares.
Enfin, les terres rares n’ont de rares que le nom : là aussi, le principal problème est géopolitique.
Et les particules fines du freinage et des pneus ?
Les EV sont plus lourdes, donc aussi plus lourdes à freiner et à accélérer. Cependant : la grande majorité du freinage est effectué par le frein moteur régénératif, cela n’utilise pas les plaquettes, qui s’usent vraiment très peu sur une EV.
Concernant les pneus, ils peuvent s’user plus rapidement, à cause de la puissance des moteurs et des accélérations. Une conduite souple et des pneus spéciaux (plus résistants) mitigent fortement cela.
Concernant le coût
Les voitures électriques coûtent plus cher ?
À configuration et équipement équivalent, actuellement, oui.
Ceci dit, la différence n’est pas énorme (10 à 20 % sur le moyen de gamme, à équipement équivalent). Aussi, les EV débutent à un prix plus élevé. Il n’y a pas (ou très peu) d’EV basiques et bon marché, et qui ne soient pas des voiturettes.
Recharger sa voiture coûte plus cher que l’essence ?
Non.
Le coût se mesure pour 100 km roulés.
Pour une voiture essence ou Diesel on se retrouve à payer 10-15 €/100 km. Le GPL peut descendre à 5-6 €/100 km.
Pour une voiture électrique, le prix varie selon où l’on charge (prix début 2024) :
7-12 €/100 km si on recharge sur les bornes super-rapides sur autoroute (0,40 à 0,70 € / kWh) ;
4 à 7 €/100 km si on recharge sur les bornes publiques en ville (0,25 à 0,40 € / kWh) ;
<4 €/100 km si on recharge chez soi en tarif normal ;
<2 €/100 km si on recharge chez soi au tarif TEMPO bleu la nuit.
J’ai ici pris comme référence une consommation de 17 kWh / 100 km pour l’électrique (source) et 5 à 7 L/100 km (source) pour le thermique.
Il est difficile de s’y retrouver dans les tarifications ?
Oui.
L’essence, est plus chères sur autoroute. L’électricité c’est pareil, mais ce n’est que le début.
Certaines cartes / bornes / réseaux facturent à la minute, d’autres à l’acte, d’autres au kWh, d’autres encore avec une combinaison de tout ça, le tout variant selon qu’on soit abonné ou non.
Ajoutez à ça le fait qu’une tarification peut être avantageuse pour une voiture et pas une autre en fonction des performances de recharge, et on ne s’y retrouve plus.
Dans l’ensemble, Charger n’est pas difficile, mais charger au meilleur tarif, c’est encore compliqué.
Et si l’électricité augmente ?
Comme montré un peu plus haut, il faudrait >500 % d’augmentation de l’électricité pour qu’elle coûte aussi cher que l’essence. On a un peu de marge. Sans compter que l’essence aussi fluctue et globalement augmente dans le même temps.
Ma facture EDF va exploser ?
Oui.
On va payer 25 € d’électricité à la place de 80 € d’essence. En quoi est-ce un problème ? :-)
Est-ce qu’ils vont taxer l’électricité pour les voitures ?
Ça va arriver, oui. L’essence est fortement taxée, l’électricité pour les EV le sera aussi. C’est une certitude. La question est de savoir quand et comment.
Il n’y a pas de projet officiel sur ça pour le moment en France, mais certains pays ont eu des projets de taxer les EV au kilomètres roulés (comme l’Australie, mais qui a fini par faire machine arrière depuis, mais aussi la Suisse, le Japon, le Royaume-Uni ont des idées dans les placards pour ce point…).
Y a-t-il des aides et subventions ?
Oui.
En plus du bonus écologique (si éligible), il y a des avantages un peu partout :
la carte grise coûte 3 € quelle que soit la voiture ;
la vignette crit'air 0 permet de rouler n’importe où ;
on peut rouler sur les voies faibles émission ou covoiturage ;
certains badges télépéages sont moins chères pour les EV ;
le calcul des frais réels pour les impôts est majoré de 20 % (on paye donc moins d’impôts) ;
certaines régions, départements, communes subventionnent l’installation de bornes de recharge ;
au travail, l’installation d’une borne de recharge peut constituer un avantage (fiscal) pour l’employeur et la recharge peut être un élément négociable sur son contrat (pour l’employé) ;
certaines banques proposent (mais de moins en moins) un taux préférentiel sur les crédits pour l’achat d’une EV.
À l’inverse, les voitures électriques sont moins réparables (la moindre atteinte à la batterie risque d’envoyer la voiture à la casse). Les assurances sont généralement plus chères également.
Les EV et le réseau électrique EDF
Et les coupures de courant ?
En cas de coupure de courant, je peux utiliser ma voiture pour alimenter ma maison durant plusieurs jours. Les EV ne sont donc pas un problème, mais une solution.
Toutes les voitures ne le proposent pas, c’est une options à vérifier lors de l’achat (sous le nom de V2L (vehicule-2-load) ou V2H (vehicule-2-home), ou même V2G (vehicule-2-grid)).
Si c’est ce qui vous fait peur : demandez-vous quand a eu lieu la dernière coupure d’électricité, et combien de temps elle a duré. On parle probablement de quelques heures seulement et il y a bien longtemps. La dernière pénurie d’essence, elle, a duré un mois, et y en a pratiquement chaque année.
Qui plus est, en cas de coupure, les stations essences ne fonctionnent pas non plus.
Quid de la charge électrique sur le réseau ?
Il suffit de charger la nuit, quand la demande d’énergie est très faible et disponible.
Le problème n’est pas question d’énergie à produire, mais de puissance à fournir. La nuit, la puissance consommée à l’échelle d’un pays est faible par rapport à ce qui est consommé le jour. Même en chargeant toutes les voitures la nuit on sera toujours en dessous de la puissance demandée en journée.
EDF et RTE ne s’inquiètent d’ailleurs pas de ça (source). La seule condition est de charger la nuit. C’est le plus important.
Concernant la consommation électrique lors de la conduite
En hiver ça consomme plus ?
Oui.
En ville sur les petits trajets, comptez une surconsommation de 20-25 % (à cause du chauffage et de la baisse de performance de la batterie).
Sur autoroute, et sur les longs trajets, comptez une surconsommation de 5-8 % entre l’été et l’hiver (toujours à cause du chauffage).
L’effet est plus contenu lors des longs trajets, car le chauffage représente moins d’énergie par rapport au trajet parcouru.
En été, la clim consomme un peu plus, mais on parle de 1 à 3 % environ pour climatiser 4 personnes. Ceci n’est pas spécifique aux EV : un véhicule essence consomme également davantage, et dans des proportions similaires, en dehors des conditions idéales (20-25 °C).
Et si je suis coincé dans les bouchons ?
Si la voiture est arrêtée, le moteur ne consomme plus rien. Seul le chauffage ou la clim et l’électronique consomme un peu.
On parle alors de 1 à 2 kW environ, soit 1 à 3 % de la batterie par heure selon les voitures.
À l’usage : usure et entretien
Les EV ont moins d’entretien
Oui.
Pas de vidange, de filtre à huile, à gazole, de bougies ou je ne sais quoi.
En prime, vu que le freinage passe essentiellement par le frein moteur régénératif, les plaquettes s’usent nettement moins et font parfois la durée de vie de la voiture.
En revanche, le poids élevé des EV et leur puissance importante induit souvent une usure plus rapide des pneus (chose qui peut être limitée très facilement avec une conduite souple, ie : éco-conduite).
De plus, les forfaits de révisions sont facturés plus chers par les garages (chose objectivement injustifiée, mais c’est comme ça ; pensez à négocier la première révision lors de l’achat).
La batterie se dégrade-t-elle ?
Oui, mais il s’avère que c’est largement moins important que ce que l’on a tendance à penser.
On perd généralement 1 à 3 % la première année, mais ensuite cela se stabilise et la dégradation est très lente.
Certaines voitures ont fait 300 000 km avec la même batterie, et les nouvelles batteries LFP sont prévues pour faire encore plus. La batterie est un des composants qui résiste le mieux au temps et à l’usure.
Hormis les usages intensifs (taxi, par exemple, qui font plus de 100 000 km par an) où l’usure pourra monter à 7-15 % après 2 ans, une usure supérieure traduit une batterie défectueuse, qu’il peut être possible de faire passer sous garantie.
On peut limiter la dégradation avec des bonnes pratiques ?
Oui !
chargez à 70-80 % au quotidien (les voitures permettent de configurer une limite automatique ; pour les batteries autres que LFP) ;
chargez quotidiennement, n’attendez pas d’avoir une batterie vide pour charger ;
optez pour une voiture avec une bonne gestion thermique de la batterie.
Et c’est tout.
Les charges rapides ne posent plus de problème que les charges AC. Certains constructeurs (Porsche) retirent, via une mise à jour, les limites de recharge qu’ils avaient mises pour économiser l’usure, car ça s’avère inutile.
Et les voitures électriques qui brûlent ?
Les voitures électriques brûlent moins que les voitures thermique. Point.
La sécurité routière en Suède déclare que les EV ont 29 fois moins de risque de brûler qu’un véhicule thermique. La NTSB (sécurité routière aux USA) parle de 61 fois moins de risque, en se basant sur les statistiques des véhicules brûlés.
Les EV qui s’embrasent est un problème, mais c’est beaucoup plus rare que sur un véhicule thermique. Si l’on en parle, c’est juste qu’on est encore dans la phase où les EV qui brûlent font la une des journaux. C’est tout.
Avant l’achat
Des choses à faire vérifier avant d’acheter ou de choisir une EV ?
Aujourd’hui, si vous prenez une voiture électrique, d’autant plus si vous comptez faire des longs trajets avec, il y a des choses à prendre en compte. La charge rapide, notamment : sans ça, oubliez vos roadtrips car recharger prendra des heures (avec la charge rapide, vous chargez en 15 à 30 minutes pour rouler 250 à 400 km, selon les voitures).
D’autres technos sont également utiles parfois :
Préchauffage de la batterie : permet de chauffer la batterie en hiver pour charger vite par temps froid. Cela permet aussi de la refroidir en été. C’est également [très] important pour la durabilité de la batterie.
Présence d’une pompe à chaleur : la pompe à chaleur consomme bien moins d’électricité en hiver pour une même quantité de chaleur produite. Y compris quand il fait très froid.
Sièges et volants chauffants : consomment bien moins d’électricité encore tout en réchauffant décemment les passagers.
V2L / V2H / V2G : permet d’utiliser la voiture comme batterie de secours pour votre maison ou un appareil, en camping par exemple.
On peut être tenté de se dire qu’il faut que la voiture embarque un planificateur de trajet. D’expérience, je dirais que non. D’une part parce que les planificateurs des voitures sont absolument merdiques, et d’autre part parce que vous aurez bien plus vite fait d’utiliser une application sur votre téléphone.
Si vous comptez faire de l’autoroute en France, sachez que toutes les aires de service en France — en tout cas une fois qu’on est derrière le péage — ont désormais des bornes de recharge rapide. Les planificateurs ne sont plus réellement utiles.
Quant à rouler sur les petites routes, y a pas mal de bornes (lentes) et de plus en plus de bornes rapides.
Pour donner un cadre : les magasins Lidl ont un bon réseau de bornes, les Hypermarchés Carrefour sont pratiquement tous équipés de chargeurs très rapide depuis 2023. Mc Donalds est également en train d’installer des bornes partout, tout comme IKEA. Les magasins E.Leclerc et Cora ont également des projets d’installation de bornes lentes et rapides, pour certains déjà en place.
Et sinon, un bon nombre de concessions automobiles ont des bornes accessibles durant leurs heures d’ouverture, tout comme les parking sous-terrains.
Oui, les choses ont changées très vite ces 1 à 2 dernières années, pour le mieux.
Téléviseur fixé au mur ou éléments de cuisine, c'est lourd, il faut que ça tienne .. Il existe de nouveaux systèmes de fixation pour supporter du très lourd.
Nous répondons à la question de Valentin de Nice " une entreprise de chauffage a fait le forcing pour rentrer chez moi pour regarder la chaudière. Ils sont repartis en remettant de travers une partie du chauffe eau. Que puis-je faire ?
Me Martine Wolff, avocate évoque ce sujet des démarchages abusifs :
"Il faut faire très attention. Il y a eu des sociétés de dépannage à domicile qui ont fait l'objet de procédures devant le tribunal correctionnel. Si une personne se sent entrainée dans un contrat ou une démarche sans réussir à s'en sortir, il faut même qu'elle appelle tout de suite les services de police pour dire voilà, 'je suis avec quelqu'un qui est trop insistant et je voudrais que qui s'en aille.' En général, c'est efficace.
Il faut savoir qu'il est impératif d'avoir un avant contrat avant que la société qui démarche ne fasse une réparation. Un document qui mentionne notamment l'adresse de banque du dépanneur, le prix de l'intervention, le prix de l'heure. Il y a toute une série de mentions qui sont obligatoires. Sans cela c'est une infraction pénale pour laquelle la personne démarchée pourra saisir la Direction Départementale de la Protection des Populations.
Ensuite, il faut savoir que l'entreprise de démarchage à domicile n'a pas le droit de percevoir d'argent avant un délai de sept jours.
Le bon de commande doit mentionner la possibilité d'un délai de rétractation du client.
Si toutes ces mentions ne figurent pas, il faut saisir ou le procureur de la République ou la Direction départementale de la protection des populations parce que ce sont des infractions pénales.
Si la personne est âgée ça peut être considéré comme un abus de faiblesse. Et une plainte peut aussi être déposée en ce sens.
Démarcher à domicile quelqu'un qui a demandé à ne pas l'être démarché à domicile, c'est une infraction.
Et le démarcheur peut être poursuivi. Donc mettre sur sa porte (ou même dans la copropriété ) "Interdiction de démarchage à domicile". Ça peut être un bon élément qui peut être dissuasif.
Comment penser l'entretien de son espace vert en respectant la biodiversité... et sa propre santé? Quelles pistes suivre pour jardiner au naturel?
Alice Piacibello, chargée de mission pour le site Jardiner autrement, lancé il y a 13 ans par la Société nationale d’horticulture de France, livre quatre conseils.
#1 Bien choisir ce qu’on plante
Exposition, ombre générée par des arbres, type de terre... Plutôt que d’acheter au coup de cœur, "la devise, c’est la bonne plante au bon endroit."
"Une variété inadaptée à son jardin ne se développera pas bien et sera plus sujette aux maladies."
Conseil: livrer ces caractéristiques au pépiniériste ou au vendeur en jardinerie pour faire les bons choix.
#2 Changer sa vision du jardin
Oublié le jardin au carré. "Il faut le voir comme un ensemble où favoriser les interactions. Par exemple: laisser l’herbe pousser en maîtrisant sa croissance plutôt que de tondre."
Cap aussi sur "de la végétation en strates, avec différentes hauteurs de plantes, certaines pouvant faire de l’ombre aux autres. Il faut également améliorer la vie du sol. Plutôt qu’une terre nue en plein soleil, la couvrir avec un paillage ou en semant un mélange de graines attirant insectes et pollinisateurs, plutôt que du gazon qui ne résistera pas à la chaleur. Plus l’écosystème est riche, plus le jardin s’autorégule."
#3 Favoriser la biodiversité
Objectif: lutter contre les nuisibles grâce aux services rendus par la faune. "La coccinelle ou les larves de syrphe (mouche rayée jaune et noire au vol stationnaire) et de chrysope (insecte vert aux yeux dorés) aiment les pucerons; les chauves-souris sont friandes de papillons de nuit dévoreurs de végétaux, comme les oiseaux dont on peut favoriser la présence avec des nichoirs, à installer hors de portée des chats."
#4 Traiter en dernier lieu et au naturel
Les ravageurs sont trop présents? "Depuis 2019, une loi interdit aux particuliers l’usage des produits phytosanitaires. D’autres, utilisés en Agriculture biologique et estampillés Emploi autorisé dans les jardins (EAJ), sont disponibles. À utiliser en dernier recours car ils peuvent avoir un impact sur la biodiversité."
L’outil Sauve ta plante du site Jardiner autrement aide à choisir le bon traitement. Et si vous confiez l’entretien de votre jardin à un professionnel, rien n’empêche de lui faire les mêmes demandes. En acceptant le temps qu’implique un jardinage plus vertueux pour l’environnement... et notre santé.
*Plus d’infos sur le site Jardiner autrement.
En mai dernier, Free a surpris le marché en enrichissant son forfait mobile à 2 € (0 € pour les abonnés Freebox) avec l’introduction de l’option Booster. Cette option révolutionne l’usage des forfaits mobiles à bas prix en offrant une enveloppe data et des appels largement étendus, allant bien au-delà des 2 heures d’appels et des 50 Mo d’Internet mobile