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Chiens, chats, oiseaux exotiques, serpents, chevaux, vaches ou chevreuils… Il y a peu d’animaux que ne connaissent les 24 sapeurs-pompiers, professionnels et volontaires, du GSA, le Groupe de sauvetage animalier des Alpes-Maritimes. Cette équipe a été créée en 2007 par le capitaine Stéphane Augier...
Que faire ?
Votre animal de compagnie est en mauvaise posture ou alors vous avez repéré une bête sauvage qui semble en danger, que faire ? Appelez les pompiers au 18. Le capitaine Augier et ses deux adjoints sont conseillers techniques pour le GSA. Le standard pourra leur transférer votre appel (il y a toujours quelqu’un d’astreinte). Ils pourront ainsi évaluer la situation, déclencher le dispositif approprié le cas échéant et surtout vous conseiller en attendant l’arrivée des secours.
"Il faut être très prudent et éviter de s’approcher ou de manipuler un animal en danger. A cause de la panique il pourrait chercher à se débattre ou à s’enfuir, risquant au passage de blesser la personne. Et s’il s’agit d’une espèce sauvage, ne surtout pas la toucher car elle pourrait être porteuse de maladies. Mieux vaut rester en surveillance afin de pouvoir guider les pompiers jusqu’au lieu d’intervention."
A quels animaux cela s’applique ? Absolument tous sans exception: à poils, à plumes, à écailles, qui nagent, qui marchent ou qui volent.
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Contrairement à la plupart des navigateurs, il n’y a pas d’option dans Google Chrome pour démarrer le navigateur par défaut en navigation privée. Il est vrai qu’une bonne partie du bizness de Google repose sur l’exploitation des données personnelles via ses publicités (Googe Ads). Mais heureusement, il existe une astuce pour ouvrir Google en mode privé.
Direction le bureau de Windows 10 : cherchez le raccourci vers Google Chrome, faites un clic droit puis cliquez sur Propriétés.
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On peut aussi copier le SMS et l’envoyer (par SMS) au 33700.
FAIRE SON CHOIX
Le choix d’un produit repose sur un compromis entre l’efficacité et le risque pour la santé de l’homme et l’environnement. Le DEET, par exemple, provoque des irritations sévères des yeux et est nocif pour les organismes aquatiques, avec des effets néfastes à long terme.
En zones tropicales où les moustiques sont vecteurs de maladies terribles (paludisme, dengue, chikungunya ou Zika), les produits les plus concentrés, plus toxiques mais plus efficaces, comme le DEET de 30 % à 50 %, sont recommandés. Les femmes enceintes ne doivent normalement pas s’exposer à de tels produits, mais cet usage est toléré en zones à risque élevé de transmission de maladies.
En France métropolitaine où, à l’exception de très rares cas, ni les moustiques « classiques » ni les moustiques tigres ne transmettent de maladies, une protection plus « légère » est appropriée. On choisira des produits à base d’icaridine ou d’huile d’eucalyptus citronné. L’IR3535 a une efficacité souvent moindre, mais son innocuité en permet l’usage sur les petits enfants.
L’âge est un critère. Les répulsifs sont à éviter avant 6 mois. Des protections type moustiquaires sont préconisées. Ensuite, les recommandations varient selon les dosages (voir tableau). Attention aussi chez les femmes enceintes.
En théorie, plus le produit est concentré, plus il est efficace. Mais les tests réalisés par Que Choisir montrent que la formulation joue un rôle crucial. Ainsi le Forclaz spray jaune à 20 % d’icaridine protège plus de 8 h tandis que l’Insect Écran spécial tropiques, malgré ses 25 % d’icaridine, ne protège qu’une demi-heure - c’est clairement insuffisant !
À noter : tous ces produits sont également efficaces contre les tiques.
APPLIQUER CORRECTEMENT
Les répulsifs peuvent réduire l’efficacité des protections solaires. Si vous devez user des deux conjointement, commencez par la crème solaire, puis attendez 20 min avant d’appliquer l’antimoustique.
Quand vous utilisez un spray, ne vaporisez pas directement sur le visage mais dans vos mains, puis étalez en évitant la bouche et les yeux.
Respectez les doses. Pour être bien protégé, plusieurs pulvérisations par application sont nécessaires, à répéter sur chaque zone du corps. Ces indications sont généralement indiquées sur l’emballage. Mais attention, inversement, à ne pas multiplier la fréquence des applications : au maximum 3 fois par jour pour les adultes, parfois moins.
Ne mettez pas de répulsif sur une peau lésée (plaie, brûlure…).
https://www.quechoisir.org/conseils-moustiques-bien-utiliser-les-produits-antimoustiques-n101940/
Avec la belle saison, fruits à croquer et crudités s’invitent à table. Mais ils peuvent être lourdement assaisonnés de pesticides. Comment éviter ces toxiques ?
LAVER OU PELER
→ Rincer à l’eau courante durant 30 secondes élimine de manière très variable les pesticides. Selon leur nature, certains disparaissent totalement, d’autres pas du tout. Des bains de vinaigre ou de bicarbonate d’une dizaine de minutes ou le fait de frotter peuvent améliorer l’élimination. La technique du lavage suffira donc pour les végétaux peu exposés aux pesticides.
→ Ôter la peau est préférable pour les plus contaminés, comme les poivrons, les aubergines, les pêches et même les tomates. Se munir d’un couteau ou d’un économe est donc l’arme la plus efficace, même s’il peut rester des pesticides à l’intérieur du fruit – c’est le cas des pommes et des oranges, entre autres. En cas de besoin de zeste ou d’écorce, préférer les agrumes bios.
SE TOURNER VERS LE BIO
En agriculture biologique, l’usage de pesticides est fortement restreint. Cela se traduit directement dans le panier : plus de 85 % des végétaux bios sont exempts de résidus de pesticides dangereux. Néanmoins, ils peuvent être contaminés indirectement par des pesticides anciens (interdits aujourd’hui mais persistants dans l’environnement) ou venus des champs voisins lors des épandages. Pour ceux qui ne s’épluchent pas et qui sont souvent contaminés (cerise, fraise, haricot, salade…), le bio est donc intéressant. Les labels « sans pesticides » sont également fiables.
C’est souvent l’une des premières choses que l’on essaie de cultiver sur son balcon quand arrive la belle saison. Pourtant, les jardinières de plantes aromatiques sont souvent un fiasco. Pour quelle raison ? Comme l’éviter ? Pour Mireille Auda, c’est très simple : "Il faut mettre ensemble les plantes qui ont des besoins similaires."
Si vous essayez de mettre ensemble de la ciboulette et du thym, ça risque de coincer. En effet, rapidement, vous verrez que l’une des deux plantes va dégénérer : le persil va faner par manque d’eau, le thym va pourrir par excès d’eau. Ainsi, on va distinguer les feuilles tendres des feuilles dures.
"On peut mettre ensemble le persil, la ciboulette et la coriandre par exemple. Et dans un autre bac, on peut mettre la sauge, le romarin, le thym et l’origan."
À la plantation, on se contentera du minimum : "Les plantes qu’on achète en pot ont souvent déjà de l’engrais dedans. On peut les rempoter dans un mélange de terreau et de terre de jardin, ou juste du terreau si vous n’avez pas de jardin."
Avec les fortes chaleurs et les faibles précipitations, de nombreux animaux sauvages - notamment les oiseaux - peuvent se retrouver en difficulté. On vous donne des conseils pour les aider.
Non, nous ne sommes pas les seuls à souffrir de la chaleur et du manque d’eau. Cela n’aura échappé à personne, le mercure est monté ces dernières semaines et les alertes sécheresse ne cessent de se prolonger et de s’étendre. Mais ce ne sont pas seulement les hautes températures qui inquiètent, les faibles précipitations sont également dans les esprits.
Si la population a encore accès à l’eau, ce n’est pas toujours le cas de tout le monde. Certains animaux sauvages, eux, n’ont pas cette chance. "Ils ont du mal à trouver de l’eau, à se rafraîchir, explique Laura Diaz, de l’association UPA06. Beaucoup d’oiseaux sautent des nids ou des toits pour essayer de trouver un peu de fraîcheur. Il y a quelques jours, on nous a signalé une maman goéland qui a poussé ses petits d’un palmier parce qu’ils étaient en train de mourir de chaud."
"Une année particulière"
Un phénomène récurrent? Pas vraiment. "Cette année, c’est très tôt, poursuit Laura Diaz. On a beaucoup plus d’oiseaux pas encore plumés qui se retrouvent au sol. Là, c’est vraiment une année particulière. On a énormément de signalements de la part de particuliers."
Les oiseaux sont les principaux concernés, mais ils ne sont pas les seuls. "Des sangliers ont essayé de descendre dans le Paillon à Nice. Beaucoup de cours d’eau sont à sec. On a de l’eau stagnante dans certaines embouchures parce que l’eau n’est pas renouvelée."
Et cela entraîne des problèmes dus aux bactéries qu’on retrouve dans les eaux croupies. "Ils n’ont pas d’autre solution, ils sont obligés de s’hydrater dans ces points d’eau."
Difficile de lutter contre la sécheresse. En revanche, il est possible d’apporter un peu d’aide aux animaux en difficulté. Comment? "On conseille aux particuliers de mettre des coupelles d’eau chez eux. Il faut les remplir de pierres ou de branches pour éviter que les insectes - qui sont aussi en manque d’eau - ne se noient. Il faut renouveler l’eau tous les jours pour qu’elle soit fraîche et pour que cela évite la présence de moustiques."
Attention, il faut respecter scrupuleusement les consignes données lorsqu’un animal est recueilli.
Les gestes qui sauvent
Outre la sécheresse, de nombreux animaux sauvages sont régulièrement recueillis par des particuliers. Petit rappel du protocole strict à appliquer:
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Si vous voyez une blessure, que l’animal est en boule, amorphe ou qu’il n’est pas vif, il ne faut pas le laisser. Mettez-le dans un carton de type boîte à chaussure. Mettez du sopalin au fond du carton, faites des trous dans le couvercle, mettez-le au calme et dans le noir. Il ne faut pas lui donner à boire ou à manger.
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Ne mettez pas l’animal en cage car elle ne maintient pas la chaleur, contrairement à un carton, et cela stresse la faune sauvage.
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Vous pourriez rencontrer un jeune oiseau plumé au sol. S’il n’est pas blessé, il est seulement en émancipation et en apprentissage. Ce qui signifie que ses parents ne sont pas loin et s’occupent de lui. Il ne faut donc pas le prendre en pensant l’aider. S’il est dans un endroit dangereux il faut le remettre en hauteur dans un rayon de 30 mètres pour que ses parents puissent l’entendre et continuer de s’en occuper.
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Vous pouvez contacter la clinique vétérinaire référent faune sauvage, à Nice Lingostière au 04 93 29.84 11.
Voici les conseils de l’Ademe, l’Agence de transition écologique, et Claude Aubert, pour comprendre comment rester au frais sans pour autant être équipé en climatisation.
Fermer fenêtres et volets
"Il faut empêcher l’air chaud et le soleil de rentrer, explique Claude Aubert. Si par exemple, vous êtes exposés sud, votre appartement peut vite devenir une serre." Dès que la température augmente, poursuit ce spécialiste, "il faut tout fermer, les fenêtres comme les volets". Seule exception, s’il est possible de créer un courant d’air, "notamment dans les appartements traversants".
"Quand la température extérieure est moins élevée que celle du logement, faire entrer et circuler l’air extérieur permet de refroidir les murs, les plafonds, les planchers qui emmagasineront la fraîcheur pour la restituer dans la journée", explique l’Ademe.
Favoriser l’évaporation de l’eau
"Pour cela, explique Claude Aubert, il y a une technique qui est d’étendre un drap mouillé sur la fenêtre. Vous pouvez également placer une serviette mouillée devant votre ventilateur." L’évaporation permet d’absorber la chaleur et de rafraîchir la pièce.
"Attention car cette technique augmente l’humidité de l’air et donc fonctionne bien seulement si l’air de base est sec", poursuit le spécialiste. Egalement, pulvériser de l’eau sur le sol est fortement recommandé pour rafraîchir la pièce et favoriser l’évaporation de l’eau.
S’hydrater
"C’est du bon sens mais buvez de l’eau... fraîche, pas trop froide", explique Claude Aubert. Utilisez également un brumisateur sur votre corps et votre visage. "Pour cela, précise-t-il, on peut utiliser les brumisateurs en vente dans les jardineries." Une courte douche de quelques secondes permet également de se rafraîchir. "L’eau qui est sur votre peau s’évapore à son tour et donc absorbe de la chaleur."
Éteindre les objets qui chauffent
Le four, la gazinière, l’éclairage, l’ordinateur sont autant de source de chaleur. "Evitez d’utiliser les pièces où vous avez des appareils qui produisent de la chaleur, souligne Claude Aubert. Et pensez à éteindre vos ordinateurs ou autre."
Utiliser les plantes
"Si vous avez des plantes qui ont de grandes feuilles, vous pouvez les vaporiser d’eau, elles absorbent ainsi la chaleur", conseille Claude Aubert. Egalement, vous pouvez en placer devant les vitres, car elles empêchent la chaleur de passer.
Si vous avez une fenêtre ou une terrasse orientée à l’ouest ou au sud, planter des végétaux ou arbres à feuilles caduques en face des fenêtres permet de protéger de la chaleur en été sans pour autant priver de la lumière en hiver.
Utiliser des couleurs claires
"Privilégiez les protections solaires extérieures pour plus d’efficacité, écrit l’Ademe. Un store situé en façade préserve mieux de la chaleur qu’un store placé à l’intérieur. Optez pour des couleurs claires qui réfléchissent la lumière et la chaleur (blanc, jaune, orange, rouge clair...)."
"Les couleurs claires renvoient la chaleur", précise Claude Aubert. De plus en plus de villes repeignent d'ailleurs leurs surfaces en blanc, constate l’Ademe.
Utiliser un rafraîchisseur d’air
"Cela permet de baisser la température d’1 à 2 degrés. Mais il faut le prendre assez grand si on a de l’espace", précise Claude Aubert. A mi-chemin entre le ventilateur et la climatisation, on peut le disposer devant soi la nuit afin de rafraîchir son corps.
Une méduse, qu’est-ce que c’est?
La méduse appartient au groupe des cnidaires. Des organismes urticants où l’on retrouve aussi les coraux et l’anémone de mer. Ce groupe, qui comprend environ 3.000 espèces, est apparu il y a 600 millions d’années.
Celle qui nous pique étant la pelagia noctiluca?
Oui, quasiment uniquement celle que l’on voit sur nos côtes. On peut la trouver dans de nombreux océans, avec une grande population en Méditerranée, principalement occidentale. En fait, quand on la voit ici, elle ne fait que passer.
Au large de Nice avant d’aller jusqu’en Catalogne et aux Baléares avant de revenir par la Corse et le golfe de Gênes. Une sorte de tour permanent, au gré d’un courant qui la maintient dans cette boucle.
Cette méduse "n’habite" donc pas ici?
Non, elle se laisse porter par les courants en se nourrissant d’un peu de tout. Depuis la larve de poisson jusqu’aux crustacés vivant dans ce qu’on appelle le plancton. En somme, elle mange ce plancton, dont elle fait d’ailleurs partie, c’est-à-dire tous les organismes nageant dans la "colonne d’eau", entre la surface et deux à trois cents mètres de profondeur.
On la voit petite, peut-elle être grosse?
À la naissance, ces méduses font de 1 à 3 mm. Ensuite, elles peuvent aller jusqu’à 30 cm pour les plus grosses. La moyenne étant de 6 à 7 cm. Je parle du diamètre de l’ombrelle. Autrement dit, de la cloche. Les filaments, eux, peuvent atteindre plusieurs mètres.
Filaments redoutables…
Si l’on touche le dessus de la cloche, on n’a aucune réaction urticante. Quand une méduse "pique", c’est principalement pour attraper une proie, la ramener à sa bouche et la digérer.
Chez tous les cnidaires, la technique de chasse consiste à attendre qu’une proie touche les tentacules. Dans ce cas, un processus complexe et extrêmement rapide se met en route et des cellules qu’on appelle cnidocytes, spécialisées dans la production d’une petite capsule urticante, s’activent.
Sous pression, elles explosent, d’une certaine façon, en projetant un filament dans la proie. Ce filament va permettre d’inoculer du venin pour la paralyser. Le problème, avec la pelagia, c’est qu’elle est capable de capturer une grande variété d’organismes, dont de très petits poissons, et que, pour paralyser ces poissons, elle utilise des toxines qui réagissent aussi chez nous.
Ce n’est pas le cas de toutes les méduses?
Non, la nôtre mange de tout, d’ailleurs, au laboratoire, elle réduit en taille si son régime alimentaire n’est pas suffisamment varié. Elle peut détecter que le baigneur est "comestible", puisque la décharge n’est pas automatique lorsque des tentacules se touchent ou entrent en contact avec la paroi d’un aquarium.
Il y a donc une sorte de reconnaissance de ce qui peut être une proie et de ce qui ne l’est pas. Des recherches ont été entreprises pour mettre au point des crèmes empêchant le déclenchement des cellules urticantes. Notamment des crèmes solaires développées par des Israéliens, et qui fonctionnent plutôt bien.
Pourquoi, sur notre peau, une brûlure aussi vive?
C’est le résultat d’un cocktail de toxines pouvant générer de la douleur et, chez certaines autres espèces, de la paralysie. Par exemple, sur la côte est de l’Australie, la "box jellyfish", ou méduse-boîte, mange des poissons assez gros et se révèle capable de tuer un baigneur, rapidement.
Notre pelagia ne le peut pas: avec elle, le problème le plus important, c’est une éventuelle réaction anaphylactique. Une réaction violente du système immunitaire.
Rien de dangereux?
Hormis ce risque de réaction, il peut rester une cicatrice durant une période assez longue si la peau est sensible et si la piqûre s’est produite sur une partie où elle est particulièrement délicate.
Un traitement efficace?
Des pommades fonctionnent bien, contrairement à l’urine, qui relève plutôt de la légende. Une recommandation utile : ne pas nettoyer la peau à l’eau douce, ce qui aurait pour effet d’activer les capsules qui n’auraient pas encore "explosé". Donc, laver à l’eau de mer.
En essayant de retirer les tentacules qui pourraient rester accrochés et décharger d’autres substances. Ce qui ne marche pas si mal, c’est la mousse à raser, qui empêche le contact, une carte de crédit permettant de retirer les filaments relativement facilement. Enfin, sur la brûlure, la biafine est intéressante.
Comment détecter la présence et la circulation des méduses?
Au large de Nice, encore une fois, ces méduses passent en permanence dans le courant ligure et il est possible d’en trouver à tout moment de l’année. Ce qui est clair, c’est que l’on voit une augmentation de la population au printemps, où la nourriture est plus abondante. Cette population décroît au fil de l’été.
Quant à la présence ou non sur le littoral, elle est principalement due au courant et au vent. Si celui-ci souffle vers le sud/sud-est, il pousse les méduses vers la côte. La courantologie et le régime des vents sont donc deux paramètres précieux pour anticiper les mouvements.
Barrages et filets sont-ils efficaces? Ou faut-il éradiquer les méduses?
Les filets, pourquoi pas ? Mais la logistique est assez lourde. Éliminer les méduses, non, ce serait une catastrophe écologique. Elles ont un rôle important dans la chaîne alimentaire. D’abord, elles régulent le plancton.
Ensuite, de nombreux poissons s’en nourrissent. Et, si elles sont presque les seules sur nos côtes, ce ne sont pas les seules méduses de Méditerranée. Donc, s’en débarrasser, je n’ai pas ce point de vue, même si c’est embêtant pour le baigneur. Le préjudice, sur le plan touristique, est indéniable, mais la pelagia noctiluca a vraiment un rôle à jouer.
*Entretien réalisé et paru en juin 2020
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des pommes des roses sans taille
Astuce : en formant un arc avec les branches d'un rosier ou d'un arbre fruitier type pommier mûrier, on fait "souffrir" la plante comme la sève a du mal à atteindre le bout de la branche (la sève monte et là on la contraint à descendre), de ce fait, la plante va fleurir en vue de produire des fruits pour sa reproduction.
:: Site officiel des Syndicats Pharmaceutiques de France en charge de l'organisation des gardes ::
Dans 99 % des cas, ces arguments ne vous seront d’aucune utilité, un simple « non, merci » étant suffisant pour décliner le sac plastique
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Lorsque vous utilisez des liens vers des vidéos hébergées sur YouTube avec vos apprenants, pensez à cette astuce (repérée sur le fil Twitter de @JessyRoody) : en ajoutant un trait d’union (-) entre le « t » et le « u » de YouTube dans l’URL de partage, la vidéo se visionnera en plein écran sans distracteurs !
exemple :
– lien classique : https://www.youtube.com/watch?v=jDh7HQtjmhQ
– lien direct plein écran : https://www.yout-ube.com/watch?v=jDh7HQtjmhQ
Attention cependant : cette astuce fonctionne avec le lien de visionnage (celui qui se trouve dans la barre d’adresse URL) et non celui de partage (qui se trouve au dessous de la vidéo).