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"La sécurité privée existe déjà mais à prix d’or et pour une clientèle très aisée. Avec Léon, ce que je souhaite faire, c’est démocratiser ce concept, que cela puisse être accessible à tous, et qu’on arrête de ne pas se sentir en sécurité." Julien Crozet est Niçois, il crée Léon en 2020. Malgré un siège social à Paris, l’application mobile a démarré en force ici sur la Côte d’Azur, sur les terres natales du fondateur. Léon dispose déjà de près de 800 chauffeurs bodyguards inscrits sur son application, dans toute l’Europe, une centaine, de Saint-Tropez à Menton.
À partir de 28 euros de l’heure
Une fête d’anniversaire d’ado en l’absence de parents, quelques heures de shopping pendant les soldes, récupérer ses affaires chez un ex-conjoint peu aimable, faire ses courses quand on est âgé et fragile, amener les enfants à l’école en cas de harcèlement scolaire, etc, voici pêle-mêle des événements qui peuvent nécessiter la présence de bodyguards. La cible de Léon? Un public business, particuliers ou entreprises. 28 euros de l’heure pour un garde du corps entraîné qui "met un coup de pression physique par sa seule présence", c’est rassurant. Léon intervient à pied ou bien en véhicule. Comme un VTC classique mais avec un professionnel de la sécurité au volant. Voiture de luxe, costard, politesse..., le package est là. "Sauf que mes gars, précise Julien Crozet, ils sont focus sur votre sécurité. Ils ne sont pas armés en France mais connaissent les techniques d’immobilisation qui conviennent et savent les limites à ne pas dépasser. Ils ne sont pas là non plus pour courtiser les clientes. Parce que là aussi, c’est dramatique. Trop de “dragues” ou d’agressions dans ce genre de transport. C’est inadmissible. On l’a vu avec le mouvement #UberCestOver. "
Superentraînés
Son équipe vérifie qui est "apte à devenir un Léon. Ce sont tous sont d’anciens militaires, anciens légionnaires, anciens gendarmes ou policiers, sportifs de haut niveau. Nous avons quelques femmes aussi, championnes en sport de combat. Chacun dépose sa carte professionnelle sur " Léon agent " et s’ils n’en ont pas, nous les redirigeons vers les centres de formations adéquats pour travailler dans les règles." Julien Crozet en a marre de l’insécurité. "En France comme dans le monde, ça explose, c’est insupportable. Je n’ose imaginer le lot de pickpockets et autres voleurs que vont drainer les JO de Paris, c’est pourquoi j’aimerais qu’il y ait des milliers de Léon en France. Que l’on ne soit pas focus sur son sac, ses clés, sa jupe..."
Il a déjà investi 800.000 euros dans sa startup et « compte bien devenir une des prochaines licornes françaises, envisage-t-il. Afin de déployer sa solution à Paris, le fondateur cherche des investisseurs pour un premier tour de table autour de deux millions d’euros. "Les chiffres officiels indiquent qu’il manque plus de 50.000 agents de sécurité et plus de 30.000 chauffeurs VTC en France. Léon peut créer des dizaines de milliers d’emplois. En CDD, en CDI ou à la mission. Il faut revaloriser cette profession, en première ligne de jour comme de nuit. Léon ne marge qu’à 15% pour que les agents soient le mieux payés possible."
Un bip d’urgence
En attendant, Julien Crozet ne se repose pas sur les lauriers. Il a pris contact avec une startup implantée à Sophia Antipolis pour développer son application sous forme de bip connecté à votre smartphone. Un bouton pour un bodyguard "à pied" qui vous géolocalise et vous rejoint pour sa mission. Un autre bouton pour un bodyguard véhiculé et un troisième pour une urgence.
"Au départ, le côté “bip”, c’était pour les personnes âgées qui n’ont pas de smartphone et sont mal à l’aise avec le digital. Mais j’y ai vu une réelle utilité pour tout le monde. Notamment le bouton “urgence” qui peut être actionné par un particulier comme un professionnel. Par exemple une bagarre éclate dans un bar dans le Vieux-Nice, l’agent de sécurité est seul ce soir-là, il appuie et d’autres Léon à proximité peuvent le rejoindre en deux minutes. Quand il y a beaucoup d’agents de sécurité, il y a moins de malins qui tentent le coup. C’est mathématique."
C’est ce qu’il aimerait démontrer avec les JO de Paris. Fédérations, stades, athlètes, particuliers... tous peuvent faire appel à Léon pour que Paris soit sur la première du podium sécurité à la fin de l’été.
Leon l’application/ 1 EyeOnU
Your personal security'
Buy Your Less Expensive Races!
Découvert par article France Bleu Azur
https://www.francebleu.fr/infos/societe/5-bons-plans-dans-les-alpes-maritimes-qu-il-faut-absolument-partager-au-plus-grand-nombre-8908525#xtor=RSS-106
3- Comparer les prix dans les magasins facilement pour nous aider à faire des économies
Simeon, un jeune Niçois nous a présenté l'appli qu'il a créé pour nous aider à dépenser moins. Elle permet de comparer les prix des supermarchés en quelques secondes et de trouver les produits les moins chers à proximité.
les fichiers importés étaient introuvables que ce soit dans la bibliotheque ou dans la rubrique Ajouts. On les retrouve la rubrique 'Ajouts' avec la sous catégorie 'Titre'
pas du tout intuitif cette interface
En 2019, le Pays de Grasse se posait comme précurseur du covoiturage domicile-travail dans l’ouest du département en scellant son partenariat avec Klaxit, l’opérateur numéro un dans ce domaine. Rejoint plus tard par Cannes Pays de Lerins puis la Communauté d’agglomération Sophia Antipolis.
Ils sont aujourd’hui 3.500 inscrits sur le Pays de Grasse dont 2.000 covoitureurs réguliers et 27.000 trajets réalisés au 1er trimestre 2023. Sur Cannes Pays de Lerins, il y a 5.000 covoitureurs inscrits sur Klaxit, dont 50% sont des utilisateurs réguliers. Enfin sur la Casa, qui a rejoint le dispositif au mois de juin, on dénombre déjà 8.000 inscrits et 22.000 trajets réalisés en cinq mois, soit entre 500 et 600 trajets par jour. Et un très fort potentiel à développer encore avec le bassin d’emplois de la technopole.
Alors comment relever ce challenge?
"Pour que ça marche, il faut créer très vite une masse critique d’utilisateurs qui permettent à la communauté de fonctionner", explique François Fantin, le directeur Régional du Développement chez BlaBlaCar Daily qui a racheté il y a peu Klaxit.
Gratuit pour le passager, le conducteur rémunéré
Et pour cela le levier le plus efficace, "c’est l’implication des collectivités territoriales à travers le subventionnement des trajets qui se font via l’application Klaxit", comme c’est le cas ici à l’ouest du département des Alpes-Maritimes.
Explications. Sur le Pays de Grasse, Cannes Pays de Lerins et la Casa, la course est gratuite pour le passager, indépendamment de la distance parcourue. Et le conducteur est subventionné: 1,5 euro pour un trajet entre 2 et 15km, 10 centimes de plus par km entre 15 et 30km et 3 euros pour les trajets de plus de 30km. Ainsi, le maximum journalier pour un conducteur est de 24 euros par jour s’il prend 4 passagers pour l’aller et le retour.
Quand on part par exemple de Nice Nord pour le Plan-de-Grasse, un trajet (47km pour un aller simple) c’est 8 euros en moyenne entre les péages et l’essence. En covoiturant, le conducteur divise donc ses frais par 2 ou 3. Le covoiturage devient alors un moyen pérenne, durable et écologique de maîtriser son budget automobile en réduisant son empreinte carbone.
L’appui des entreprises
À l’incitatif financier, s’ajoutent aussi la communication des collectivités mais aussi, et surtout même, un réseau d’entreprises du secteur qui peuvent elles aussi communiquer auprès de leurs salariés. "S’appuyer sur des entreprises c’est en effet se donner le plus de chances de développer le covoiturage, car au départ vous vous adressez à des salariés qui vont aller au même endroit et qui aiment covoiturer ensemble car ils appartiennent à la même boîte. On crée ainsi le socle plus facilement." Sur le Pays de Grasse, une dizaine d’entreprises jouent ce jeu-là, comme le centre hospitalier ou le groupe Robertet. Sur la Casa, Amadeus ou encore Air France ont aussi adhéré.
"La clé de la réussite, c’est bien une alliance entre les différentes collectivités et les gros employeurs du secteur, confirme François Fantin. Nous ne sommes qu’au début de l’histoire. Le potentiel de développement du covoiturage de courte distance est énorme par rapport au nombre d’autosolistes, les 3/4 des conducteurs, sur les routes."
Et à l’avenir, il faudra aussi sans doute le combiner avec d’autres démarches comme les parkings dédiés au covoiturage et des voies de circulation réservées.
Être étudiant, c'est bien sûr s'investir dans le travail, mais c'est aussi bouger et profiter...A condition de savoir où aller.
Ploufff est la première application dédiée aux leçons de natation. Et ça, c'est super pratique pour apprendre à nager ! Ploufff vous permet de réserver, en toute simplicité, des leçons de natation auprès de maîtres-nageurs certifiés.
Découvert par article nice matin
https://www.nicematin.com/technologie/vous-ne-savez-pas-nager-lapplication-ploufff-vous-trouve-un-maitre-nageur-prive-en-quelques-clics-866114
Découvrez le nouveau service de livraison collaborative ! Devenir coursier ou se faire livrer n'a jamais été aussi simple. DIsponible sur iOS et Android.
Decouvert par article nice matin https://www.nicematin.com/economie/quatre-startups-de-la-region-sud-recompensees-pour-leur-hypercroissance-836725
application de livraison entre particuliers qui mêle l‘esprit de communauté de BlaBaCar et l’instantanéité d’Uber.
"Ce sont des particuliers qui livrent à d’autres particuliers des colis à domicile en deux heures en ville comme à la campagne."
Déjà référencée auprès d’Intermarché, Auchan, E. Leclerc, Systeme U, Leroy Merlin..., Tut Tut répond aux défis climatiques et sociaux actuels en permettant aux particuliers-livreurs de rentabiliser leurs trajets et de satisfaire les besoins de livraison des commerçants. "Nous sommes aussi écologiques puisque les véhicules sont déjà en circulation et cochons les cases sociale et sociétale. Avec notre la livraison instantanée dans un rayon de 30km du point de retrait, nous apportons une innovation en zone rurale là où cela n’existait pas."
Google Maps fait partie des applications incontournables, à connaître absolument. Voici toutes les meilleures astuces pour mieux l'utiliser.
SAUVEGARDER VOS LIEUX PRÉFÉRÉS
Imaginez par exemple que vous vous rendez dans un endroit dans lequel vous souhaiterez retourner, mais que vous n'êtes pas sûr de retrouver l'adresse. Pour cela, il vous suffit de le sauvegarder au sein de l'application en procédant de la manière suivante :
Cliquer sur l'adresse en bas
Cliquez sur l'étoile « Enregistrer »
Une fois le lieu sauvegardé, l'étoile bleue deviendra jaune et l'application vous indique que le lieu a été enregistré dans vos adresses
DONNER DES NOMS PERSONNALISÉS À VOS LIEUX PRÉFÉRÉS
Votre domicile et votre lieu de travail sont les deux lieux les plus importants à rentrer dans l'application, mais ils ne sont pas les seuls. Heureusement, il est totalement possible de personnaliser d'autres lieux dans lesquels vous vous rendez régulièrement, comme votre coiffeur ou l'adresse de vos amis. Pour cela, il vous suffit de :
Entrer une adresse dans la barre de recherche de l'application ou épingler un lieu à l'aide du point bleu
Toucher l'adresse
Cliquer sur le bouton « Trois points » en haut à droite pour ouvrir les paramètres
Sélectionner « Ajouter un libellé » et saisir le nom de votre choix
N'OUBLIEZ PLUS OÙ VOUS AVEZ GARÉ VOTRE VOITURE
google maps parking
Vous avez tendance à oublier où vous avez garé votre voiture, surtout lorsque vous voyagez dans une ville que nous connaissez pas ? Google Maps peut enregistrer l'emplacement exact où vous avez laissé votre véhicule. Pour ça, il vous suffit de :
Garer votre voiture quelque part
Cliquez sur le point bleu qui représente votre localisation sur la carte
Choisissez Définir comme lieu de stationnement
Un message Vous êtes garé près d'ici s'affiche alors à cet endroit
Vous pouvez effacer l'emplacement en cliquant simplement dessus
L’un est sapeur-pompier, l’autre cardiologue. Le cœur de leur métier, c’est sauver des vies. Et tous deux militent sans relâche et depuis des années pour combattre une réalité dramatique: chaque année, des milliers de personnes victimes d’un arrêt cardiaque meurent, faute de gestes ou d’actions adaptées.
"Parmi les 15.000 à 20.000 décès pour ce motif dénombrés chaque année en France, beaucoup sont imputables à l’absence d’intervention ou à des actions inappropriées de la part des premiers témoins", martèle le commandant Philippe Cecconi, infirmier anesthésiste sapeur-pompier.
"Moins de 4% des Français victimes d’un arrêt cardiaque sont aujourd’hui ‘‘ressuscités’’, contre 35 à 45% dans d’autres pays, en grande partie grâce à l’intervention efficace de témoins", complète le Dr Claude Mariottini, cardiologue à l’Institut Arnault-Tzank de Saint-Laurent-du-Var et président de l’association 20.000 vies.
Une fois encore, ils appellent les citoyens à se mobiliser en s’inscrivant sur l’une ou l’autre des applications capables de sauver des vies, à commencer par Staying Alive.
Pourquoi est-ce aussi essentiel de s’inscrire sur ce type d’appli?
Grâce à l’application, on a accès à une carte des défibrillateurs les plus proches, mais on permet aussi aux services d’urgence de déclencher les sauveteurs de proximité, "les bons samaritains" en cas d’arrêts cardiaques. Or, dans les faits, il n’y a pas assez de personnes qui s’inscrivent sur les applications qui permettent de sauver des vies ou passent à l’acte.
Pourtant, le délai d’intervention est crucial dans ces situations
Absolument. Les services de secours arrivent sur les lieux en moyenne 7 minutes plus tard, mais il est fréquent, notamment lorsque l’accident s’est produit dans un lieu très éloigné, que ce delta temps soit beaucoup plus important.
Il est alors trop tard?
Généralement, on dit qu’au-delà de 4 à 5 minutes d’arrêt du cœur, si on ne fait rien, les lésions cérébrales sont irréversibles; on a donc un délai très court pour réaliser les premiers gestes et/ou poser un défibrillateur. Et il faut savoir que, statistiquement, dans 70% des cas de mort subite, il y a un ou des témoins.
Un témoin doit-il s’empêcher d’intervenir si le délai de 5 minutes est dépassé?
Non, dans la mesure où il peut se produire des faits étonnants; il arrive ainsi que des personnes, dont le cœur a été à l’arrêt pendant un temps assez long, reviennent très vite à la vie quand on les masse. À l’opposé, malheureusement, certaines, même massées précocement, ont des séquelles au niveau cérébral.
Vous vous êtes beaucoup mobilisés pour augmenter le parc de défibrillateurs. Quelle est la situation aujourd’hui?
Il y a de plus en plus de défibrillateurs dans les lieux publics. La nouvelle urgence, c’est qu’il y en ait davantage à proximité des domiciles, en particulier dans toutes les copropriétés.
Pourquoi est-ce si important?
La majorité des morts subites se produisent au domicile. Si dans la cage d’escalier, à côté de l’extincteur, se trouve un défibrillateur, un proche, un voisin, peut intervenir en moins de 5 minutes.
Un message en conclusion?
Il n’y a pas assez de passages à l’acte des témoins, pas assez de personnes formées et inscrites sur les plateformes de citoyens sauveteurs; il faut qu’on incite le public à le faire, pour que lorsque les secours déclenchent un appel à agir, ils aient du répondant. Aujourd’hui, quand les sapeurs-pompiers déclenchent ce type d’appel, au mieux, obtiennent-ils une, deux ou trois réponses.
Et il faut rappeler ces chiffres terribles; en cas de gestes inadaptés, de non-recours à un défibrillateur dans les premières minutes, le taux de survie est de 3%. Avec pour ces 3%, un risque majeur de séquelles neurologiques très graves. Par contre, si on fait ce qu’il faut, ce taux de survie grimpe à 30, 40% voire au-delà. C’est énorme. En France, l’hôpital, les pompiers viennent à votre chevet vous soigner. Mais à condition qu’ils y aient des personnes à proximité. Sinon, on ne sert à rien.
Pour devenir Bon Samaritain, vous devez simplement télécharger l’application Staying Alive, disponible sur Google Play (Android) et l’App Store (iOS), et vous inscrire.
Des révisions automatisées pour une famille sereine et si ton enfant apprenait ses maths en allant sur Tiktok, Insta ou Youtube.
Découvert par article France Bleu https://www.francebleu.fr/emissions/l-invite-qui-fait-du-bien/l-appli-nanaba-reconcilie-les-enfants-et-les-parents-2368994#xtor=RSS-106
Nanaba est une application "maligne" pour le smartphone de vos bambins. L'appli "bloque et débloque les applications préférées de votre enfant, en échange de révisions et en suivant les programmes scolaires". Presque sadique et en même temps bien utile pour booster la concentration de vos pitchounes.
"Lâche ton téléphone et va réviser", une phrase type des parents en 2023. L'utilisation des écrans, c'est 72 % des conflits au sein du foyer. C'est une application qui va permettre aux parents de venir bloquer et débloquer les applications préférées de leurs enfants Tik Tok, YouTube, Instagram, en échange de quoi ils vont devoir bosser.
L'appli "utile" au parents, qui cartonne
Ça fait deux ans jour pour jour que l'appli est lancé, le succès est au rendez-vous. Le nombre d'utilisateurs est croissant, les résultats sont au rendez-vous, à tel point que Nanaba est passé par plusieurs incubateurs, comprenez structures d'accompagnement de projets innovants dans le but de les aider à développer leur start-up.
Percez les mystères des derniers écrins de nature protégés du littoral azuréen.
Appli iOS https://apps.apple.com/fr/app/les-explorateurs-des-parcs/id1578261567
Pour contribuer à l'amélioration du climat, Google Maps propose désormais des itinéraires plus économes. Mais le sont-ils vraiment ? Nous faisons le test.
Yuka : pour évaluer les défauts et qualités des produits
Elle permet de scanner un produit pour comprendre son impact sur la santé.
L’objectif est double : donner un coup de pouce au consommateur pour qu’il consomme au mieux pour sa santé et induire les industriels à améliorer leurs produits.
On place le code-barre sous l’application et celle-ci note le produit. Vert, si le produit vaut le coup, rouge si la note est mauvaise. Le consommateur se voit alors proposer des produits alternatifs.
Lancée en janvier 2017, cette application est régulièrement utilisée par 5,5 millions d’utilisateurs. Elle est financée par des dons et l’achat de programmes de nutrition développés par la société qui l’a créée.
Par ailleurs, signe que les temps changent, Yuka confie que de nombreux industriels contactent l’équipe, pour améliorer leurs produits. Un mouvement de fond.
Y a quoi dedans : pour mesurer la teneur en gras, sels, sucres de vos produits
Développée par les magasins U, cette application permet de scanner les produits et d’obtenir les ingrédients qui le composent.
Cette appli permet donc de comprendre la teneur en sels, en sucres et en gras de ce que vous glissez dans votre caddie, teneur qu’elle établit en s’appuyant sur la base de données d’Open food facts.
Contrairement à Yuka cependant, les produits ne sont pas notés.
Quel produit : pour détecter les additifs présents dans les aliments
Financée par l’UFC-Que choisir, Quel Produit est une application qui permet d’évaluer la composition des produits alimentaires, ménagers et cosmétiques. Scannez le code-barre du produit, une note apparaît sur l’écran.
Pour ce qui est des produits alimentaires, ils sont évalués selon la qualité nutritionnelle exprimée par le Nutri-Score et la présence d’additifs évaluée par l’UFC-Que choisir.
Participative, cette application demande aux usagers scannant un produit qu’elle n’aurait pas en stock de lui fournir les informations le concernant.
Siga : pour connaître le degré de transformation des produits
"L’indice Siga indique à quel point un aliment est transformé, grâce à une note allant de 1, pour les produits bruts, à 7 pour les plus ultra-transformés", peut-on lire sur le site de l’appli. Pour les plus curieux, une analyse plus détaillée de la composition est aussi disponible : nombre d’ingrédients ultra-transformés, additifs à risque, seuils nutritionnels, etc. Des alternatives sont ensuite proposées.
Open food facts : pour décrypter les étiquettes de fond en comble
Cette application s’appuie sur la base de données alimentaires collaborative d’Open Food Facts. "Plus de 9000 contributeurs comme vous ont ajouté 600 000 produits de 200 pays en utilisant notre app ou leur appareil photo pour scanner les codes barres et envoyer des photos des produits et de leurs étiquettes", se vantent ses créateurs sur Internet.
Car tout repose sur le volontariat.
"Ce projet associatif et citoyen, né en France en 2012 et porté depuis par des milliers de bénévoles dans le monde entier", explique encore le site.
Scan up : une appli qui décrypte les étiquettes et appellent les consommateurs à créer les produits de demain
Souvent mise en concurrence avec Yuka, cette application va un peu plus loin. Non seulement, elle décrypte les étiquettes mais en plus, elle invite les consommateurs à participer à l’élaboration des produits de certains industriels.
Co-créer un jus d’orange pressé à froid, des desserts végétaux Bio en poudre, des produits laitiers, le consommateur est appelé à mettre la main à la pâte.
In the new desktop app version 1.1.86 and the Web Player, you can now see the full release date (month, day, year) at the bottom of the release page just like you can in the mobile app. You can still hover over the year at the top of the release page as well to see the full release date.
Une équipe de professionnels de santé à vos côtés 7 jours sur 7 de 8H à 22h pour vous aider à prendre soin de votre bébé.
Abonnement mensuel 7€/mois accès au chat + contenus adaptés à l'âge de l'enfant
L'appli qui vous aide à changer le monde, un défi à la fois. Utilisée par plus de 500 000 personnes, c'est la plus grosse communauté d'acteurs du changement en France.
Toujours un oeil sur vous
Découvert par article Nice Matin https://abonnes.nicematin.com/article/une-appli-anges-gardiens-pour-sortir-le-soir-en-toute-securite-728146
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Découvert par une suggestion d'article sur Facebook https://www.latheoriedespetitspas.fr/application-anti-gaspillage-alimentaire/