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Publié le 26 juin 2025
L’assurance multirisque habitation est obligatoire. Cependant, si tous les contrats offrent un même socle de garanties, leur mise en application diffère. Faites le point, pour ne pas débourser un euro de trop.
Mauvaise nouvelle : en 2025, les tarifs des assurances multirisques habitation (MRH) ont augmenté sur tout le territoire, avec des progressions moyennes de plus de 10 %. Cette flambée est principalement due aux hausses des coûts d’indemnisation. En effet, la guerre en Ukraine a fait bondir le cours des matières premières, renchérissant les réparations. Le nombre de sinistres a, lui aussi, suivi une courbe ascendante, notamment dans les copropriétés anciennes peu ou pas entretenues. En outre, à cause de l’aggravation des risques climatiques, l’État a imposé une majoration de la prime catastrophe naturelle (Cat-Nat), qui finance le régime d’indemnisation des victimes et pèse sur tous les contrats. Le 1er janvier 2025, elle est passée de 12 à 20 %. Alors, pour être certain que le prix de votre MRH correspond bien à la couverture dont vous avez besoin, suivez nos conseils.
Analysez la qualité de votre contrat
Les compagnies d’assurances fixent leurs tarifs en fonction de leur perception du risque (incendie, dégât des eaux, cambriolage…). Or, leurs calculs sont réalisés à partir de statistiques qui leur sont propres. C’est la raison pour laquelle, par exemple, un assureur qui s’avère bon marché à Lille (59) peut afficher des tarifs moins intéressants à La Rochelle (17), ou qu’une compagnie comptant une majorité de propriétaires de maisons dans son portefeuille n’aura pas les mêmes montants moyens de sinistres qu’une société qui assure surtout des petits appartements.
Il est donc important d’intégrer cette donnée avant de choisir son assureur. Toutefois, attention : si le prix d’une MRH est un point capital, ne vous laissez pas séduire par le tarif le plus bas possible, car il faut impérativement examiner un deuxième paramètre : la couverture offerte par le contrat en cas de sinistre. Là également, le marché est très hétérogène, car certaines compagnies insèrent de hauts niveaux de franchises, quand d’autres limitent les garanties, ou encore en incluent en option payante, ce qui fait grimper la note.
Avant de souscrire, il convient donc d’analyser la qualité du contrat et, surtout, de vérifier qu’il correspond à ses besoins. « Le principal sujet avec l’assurance est son utilité réelle, et non sa rentabilité immédiate », met en garde Carole Thoumelin, responsable du pôle offre et marketing chez Pacifica (une filiale du Crédit agricole). Inutile de disposer d’options facturées si vous ne vous en servez jamais ou, a contrario, de risquer des franchises élevées alors que votre budget serré ne vous permet pas d’assumer une série de petits sinistres.
Le dernier facteur jouant sur le prix des contrats est le type et la qualité du service. Fréquemment négligé, ce critère s’avère pourtant essentiel. De fait, si vous avez souscrit via un courtier de proximité, ce dernier sera apte à vous conseiller sur les formules, et à vous épauler en cas de problème. Si vous n’êtes pas technophile, que vous habitez un bien qui sort de l’ordinaire (maison de caractère, nombreuses dépendances, secteur à risque…) ou que votre patrimoine est particulier (collection d’ouvrages anciens, matériel hi-fi ou électronique dernier cri…), mieux vaut opter pour cette solution.
En revanche, pour un petit appartement sans mobilier ni objet de valeur, vous aurez intérêt à préférer une assurance basique ou celle d’un néoassureur, souscrite en ligne en trois clics, bien moins coûteuse. La condition ? Accepter un conseil générique et un règlement de sinistres dématérialisé, ou réalisé via une plateforme téléphonique.
Faites jouer la concurrence
Pour toutes les raisons précédemment évoquées, les écarts de cotisation annuelle varient, sur une formule comparable, du simple au triple. Malgré tout, beaucoup de consommateurs se contentent, lorsqu’ils reçoivent leur échéancier de primes chaque année, de relever les hausses et de les accepter avec fatalisme. C’est une erreur ! Dans le domaine de la MRH comme de l’automobile, la fidélité n’est pas récompensée. En effet, pour attirer de nouveaux clients, tous les assureurs appliquent des prix d’appel la première année. Ensuite, ils augmentent les tarifs et les anciens contrats perdent leur compétitivité. Si on veut éviter de se retrouver piégé, « il faut régulièrement, c’est-à-dire a minima tous les deux ans, faire le tour de la concurrence, afin de vérifier que sa couverture n’est pas facturée trop cher par rapport au marché, qui évolue assez rapidement », conseille Julien Fillaud, directeur d’Hyperassur. Pour cela, passez par des comparateurs (LeLynx, Lesfurets, Meilleurtaux, UFC-Que Choisir…), ou rendez-vous sur le site de votre assureur, pour mettre votre contrat en balance. À la clé : des économies atteignant parfois 40 %.
Regarder ce que propose le marché a un autre avantage majeur : cela vous donne l’occasion de réévaluer vos besoins et d’adapter votre couverture en choisissant, éventuellement, une formule qui vous convient mieux. Le but ? Éliminer les options, anciennes ou nouvelles, inadaptées à votre profil, et en souscrire d’autres correspondant à l’évolution de votre situation (immobilière, mobilière…). À titre d’exemple, de plus en plus de contrats MRH disposent désormais d’une garantie, souvent payante, qui assure les vélos électriques contre les vols. Séduisante sur le papier, elle s’avère inutile si vous roulez avec une bicyclette musculaire. « L’analyse méticuleuse et régulière de son contrat permet de trouver de nouvelles assurances plus protectrices à tarif équivalent, ou d’autres, moins chères, qui offrent des garanties comparables », affirme Julien Fillaud.
Soyez aussi vigilant sur les garanties incluses dans la MRH, car « il existe des formules qui n’intègrent pas de couverture vol. Elles sont destinées à ceux qui estiment que le contenu de leur habitation ne mérite pas cette protection particulière », souligne Carole Thoumelin. Il s’agit essentiellement des contrats d’entrée de gamme, surtout adaptés aux petits logements avec peu de valeurs mobilières à assurer. Évitez-les si vous possédez beaucoup de meubles, du matériel hi-fi, de l’électroménager et que vous vivez dans une grande maison.
Adaptez les garanties de base
Un contrat multirisque habitation assure a minima contre les dégâts des eaux, l’incendie et les catastrophes naturelles. Il donne, en outre, une garantie responsabilité civile qui couvre les dommages que vous ou un membre de votre foyer assuré pourriez provoquer chez autrui. À cela s’ajoute, dans la grande majorité des cas, une garantie vol. Cependant, malgré un tel socle commun, chaque contrat prend en compte de manière différente, ensuite, les sinistres et leur règlement.
Premier point : les montants couverts diffèrent. Le capital mobilier assuré peut aller du simple au triple pour la même surface de logement. Les assureurs l’évaluent entre 10 000 et 30 000 € en moyenne par pièce. D’autres ajoutent parfois à ce montant un plafond global d’indemnisation qui peut être très bas, et largement insuffisant pour une grande maison. À ce propos, vérifiez la définition du nombre de pièces, car certaines compagnies considèrent qu’un grand séjour de plus de 30 ou 40 m2 compte pour deux, et d’autres non.
Attention, en cas de déclaration erronée de votre part, votre indemnisation risque d’être réduite proportionnellement. Soyez bien attentif sur ces points, parce que même si les plafonds d’indemnisation paraissent importants, ils ne seront pas forcément suffisants pour remplacer tout ce que vous pourriez perdre lors d’un sinistre grave (un incendie, notamment). Si vous possédez des meubles de valeur ou encore un niveau élevé d’équipement (bibliothèque de livres anciens, écran plat dernier cri, matériel informatique coûteux, électroménager haut de gamme, vêtements griffés…), choisissez sans hésiter une formule qui garantit des montants supérieurs. Vous paierez plus cher, toutefois vous serez mieux protégé en cas de grosse catastrophe.
Deuxième point : examinez si le capital couvert inclut les objets de valeur. En général, ils dépendent d’une couverture à part, avec un plafond différent. La plupart du temps, il s’agit des biens en métal précieux, de ceux qui intègrent des pierres précieuses, mais aussi des œuvres d’art (tableaux, statuettes, tapisseries, fourrures, montres onéreuses…) et de collection. Certains contrats intègrent, en plus, les caves à vins avec des grands crus. Sachez que « ne sont jamais considérés comme des objets de valeur le matériel hi-fi, vidéo, informatique et les appareils électroménagers », énonce Julien Hue, directeur de l’offre assurance dommages à la Macif. Voyez également s’il existe un plafond par bijou ou objet de valeur, car c’est parfois le cas.
Pour être certain d’être parfaitement couvert, faites une évaluation rapide de ces biens spécifiques et, si besoin, demandez à votre assureur d’augmenter les plafonds de couverture. En outre, ménagez-vous des preuves de leur existence : photographiez-les et, surtout, faites-les expertiser assez régulièrement par un professionnel qui vous délivrera un avis de valeur. Cette précaution est salutaire. « Si conserver des factures est utile pour l’indemnisation, cela ne donne qu’une indication du prix initial du bien, et pas forcément de la valeur actualisée », remarque un courtier en assurances.
Troisième point : après un sinistre, vérifiez si votre assureur va vous rembourser vos affaires pour leur valeur à neuf ou de remplacement, ou s’il calculera le dédommagement après avoir déduit une vétusté – en général, de 5 à 25 % si c’est le cas. « Une grille de vétusté doit être précisée dans le contrat. Elle indique les taux appliqués, qui varient selon la nature des biens. Elle ne sera pas la même, par exemple, sur du mobilier et du matériel électronique », précise Carole Thoumelin.
Gare à la garantie équipement à neuf, car il existe des subtilités : certaines formules, les plus chères, vous protègent de façon illimitée quel que soit l’âge du bien sinistré ; d’autres ne couvrent que quelques biens à neuf ; d’autres encore les soumettent à un coefficient de vétusté. Ces dernières fixent des durées au-delà desquelles le mobilier n’est plus remboursé, s’il a plus de 10 ans par exemple. À fuir si vous êtes adepte de meubles chinés et de pièces vintage. Enfin, regardez le montant des franchises du contrat, car si elles sont élevées et que vous subissez un petit sinistre, comme un dégât des eaux sans gravité, votre assurance ne vous indemnisera rien, ou très peu.
Tenez compte des conditions particulières
Avant de signer, lisez les conditions qui précisent les modalités à remplir pour être pris en charge. Par exemple, si votre logement se trouve en rez-de-chaussée, les fenêtres doivent fréquemment être munies de barreaux ou de volets pour que la garantie vol s’applique. Même obligation, parfois, sur votre porte d’entrée, à doter d’une serrure trois ou cinq points, voire d’une porte blindée au-delà d’un certain capital assuré. Autre exemple : vous êtes tenu de prouver que vous faites ramoner chaque année vos conduits de cheminée et débroussaillez votre terrain. Prêtez attention à ces points car si vous ne les respectez pas, l’assureur peut refuser de vous dédommager ou minorer votre indemnisation. Pensez aussi à lui déclarer tout changement dans votre domicile – par exemple, si vous installez une véranda, construisez une piscine ou créez un petit studio au-dessus de votre garage. Le montant de votre prime augmentera parfois légèrement, mais vous serez correctement protégé. Si vous quittez votre logement durant plusieurs semaines, les assureurs exigent également que l’eau soit coupée, afin de vous couvrir en cas de dégât des eaux. Examinez bien ce point, car les exigences en matière de durée d’inoccupation varient selon les contrats.
Pour finir, si vous avez une maison, vérifiez que votre assurance couvre bien les dégâts ou les vols susceptibles d’avoir lieu dans votre jardin et vos dépendances (mobilier d’extérieur, vélos…). Mais aussi les dommages touchant les murs de soutènement, les portails, les plantations…
Profitez, ou pas, des « petits plus »
La plupart des assurances proposent des petits « plus ». Privilégiez ceux qui vous faciliteront la vie. Par exemple, l’intervention d’un serrurier si vous avez perdu vos clés. A contrario, d’autres s’avéreront inutiles ou inefficaces. C’est parfois le cas de la garantie protection juridique : certaines mettent en relation avec un service de conseil, mais uniquement pour ce qui relève de l’habitation (conflit de voisinage, problème de bail…), tandis que d’autres offrent une couverture dans divers domaines (soucis avec une administration…) et vous épaulent dans vos démarches. À vous de voir si vous avez besoin de cette aide, quelquefois en doublon avec une autre police d’assurance déjà souscrite.
Il existe aussi toute une panoplie de garanties que les assureurs ont intégrées au fil du temps. Si votre contrat a plus de 10 ans, il n’est plus au goût du jour et vous avez peut-être intérêt à en changer pour en profiter. À titre d’exemple, la garantie tout risque accidentel va couvrir un téléviseur heurté par la fenêtre à cause du vent ou un appareil photo abîmé en vacances. La garantie dommage électrique permet d’obtenir le remplacement de machines victimes de courts-circuits ou de surtension. La garantie perte de denrées remboursera le contenu de vos réfrigérateur et congélateur en cas de panne de courant. La garantie bris de vitre prend parfois en charge le remplacement de la porte vitrée de votre insert ou de votre four… Les contrats les plus haut de gamme assurent également les instruments de musique contre la casse et le vol hors du domicile, sous certaines conditions. Ils sont à privilégier lorsqu’on est musicien ou que son enfant prend des cours au conservatoire.
Enfin, des assureurs proposent une garantie civile dans le cadre des loisirs ou des séjours à l’étranger. Elle couvre vos enfants s’ils pratiquent une activité extrascolaire, et la famille si vous partez en week-end ou au sport avec votre matériel. Elle fonctionne souvent, mais mieux vaut le vérifier si vous voyagez hors de France. Très utile pour les foyers actifs et les globe-trotteurs, elle aura un intérêt moindre si on est célibataire et sédentaire.
Mobilier et immobilier - 3 points de vigilance
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Dans le détail des clauses
Avec une garantie valeur de reconstruction matériau à l’identique (pierres de taille, ardoises vernissées…), l’assureur règle les réparations d’un sinistre sur la même base. Mais s’il s’agit d’une garantie valeur de reconstruction (matériaux modernes), il rembourse sur la base de ce qui est actuellement utilisé (parpaings, tuiles usinées…). -
Recours à l’expert d’assuré
Vous êtes victime d’un sinistre grave dépassant plusieurs milliers d’euros ? Faites-vous assister d’un expert d’assuré. Mieux vaut recourir à ses services dès la déclaration du sinistre, mais il peut aussi intervenir en cours de route, jusqu’au règlement du dossier. Ce professionnel indépendant connaît les subtilités des contrats, maîtrise le droit des assurances et possède de solides connaissances techniques. Il discutera donc d’égal à égal avec l’expert de la compagnie d’assurances et négociera votre indemnisation. Il fera aussi en sorte que votre affaire ne traîne pas pour toucher rapidement ses honoraires. Ces derniers oscillant entre 5 et 12 % du montant du sinistre, il a intérêt à ce que la somme proposée par votre assureur soit juste. Pour choisir un expert, privilégiez les cabinets adhérents de l’Upemeic ou de la Fedexa : ces deux syndicats vous fourniront une liste d’affiliés respectant un code de déontologie. -
Couverture pour les bailleurs
Si vous mettez un bien en location, votre locataire doit souscrire une multirisque habitation (MRH). En complément, prenez une assurance propriétaire non occupant (PNO). C’est elle qui couvre les dommages immobiliers du logement et ceux que le locataire pourrait causer à un tiers. Selon la nature du sinistre, vous la ferez jouer en complément ou non de la MRH. Vous l’actionnerez, par exemple, si le locataire est responsable d’un dégât des eaux alors qu’il a dénoncé son bail, si le bien est inoccupé entre deux locataires ou si une fuite sur une canalisation privative abîme votre parquet et le plafond des voisins. Les contrats PNO (environ 10 €/mois pour un deux-pièces) offrent une responsabilité civile avec une garantie défense pénale et recours (DPR), ainsi qu’une couverture classique (incendie, dégâts des eaux, catastrophe naturelle…). Certains intègrent une protection contre les vices de construction, utile s’il s’agit de neuf. Enfin, les plus pointus (souvent les plus chers) proposent la garantie perte de loyers en cas de sinistre rendant l’appartement inhabitable. Ils vous donnent aussi accès à une plateforme juridique spécialisée pour répondre à vos questions (résiliation de bail…).
https://www.quechoisir.org/comparateur-assurance-habitation-n44712/
GALICE (Groupement, d’Acteurs pour le Logement, l’Insertion, la Citoyenneté et l’Emploi) est une association de la loi 1901 d’intervention sociale, compétente en termes d’accès au logement, d’insertion sociale et professionnelle et d’accès à la citoyenneté. Les missions de l’association visent ainsi à satisfaire les besoins sociaux en matière d’habitat, d’emploi, de prévention de l’exclusion, de santé globale des populations, de citoyenneté et de vie sociale
découvert par ICI Azur https://www.francebleu.fr/emissions/une-commune-une-info/anthony-maubecq-directeur-general-de-galice-association-engagee-dans-l-inclusion-sociale-et-l-acces-au-logement-2918657#xtor=RSS-106
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Kivala est une solution d'interphone connecté. Elle permet de gérer les accès à votre résidence et de gérer les visiteurs.
Ces dernières années, plusieurs effondrements de balcons ont ému et inquiété nos concitoyens. En octobre 2016, quatre personnes ont trouvé la mort à Angers (49), puis en 2018 d’autres effondrements ont eu lieu à Yvetot (76) laissant des blessés graves, à Nanterre (92), à Saint-Malo (35), à Marseille (13) et à Courchelettes (59) en 2019, sans faire de victimes.
Précautions à prendre pour bien utiliser votre balcon
D’abord une évidence : plus vous mettrez du poids, plus le balcon devra résister. Dès lors :
• Evitez de disposer des objets lourds (bacs à plantes avec de la terre...) en particulier sur le bord extérieur du balcon (illustration 1) : les bacs à plantes avec de la terre disposés contre les façades sont aussi générateurs d’humidité et le cas échéant favorisent l’introduction de l’eau dans les fissures et la corrosion des armatures.
• Evitez de disposer des objets volumineux (bacs à plantes avec grands arbustes, ...) ou ayant une grande surface (pare-vue...) : ils sont sensibles aux effets du vent qui se reportent sur le balcon ou le garde -corps.
• Evitez d’être très nombreux sur un balcon et de sauter
• Evitez d’utiliser votre balcon comme un lieu de stockage de matériau/matériel, en particulier de matière combustible ou de liquides inflammables susceptibles de propager le feu en façade
• Evitez la stagnation d’eau en surface de balcon et nettoyez-la régulièrement pour l’évacuer, si possible du côté opposé à la façade, ceci afin de limiter les salissures qui pourraient apparaître sur le mur extérieur. Tout dispositif pouvant créer ou favoriser les stagnations d’eau (dalles sur plots, gazons synthétiques...) doit être régulièrement inspecté et entretenu
• Entretenez les dispositifs d’évacuation d’eaux pluviales s’il y en a (grilles, siphons, etc.) pour qu’ils évacuent l’eau efficacement.
• Observez si des éléments ne risquent pas de se détacher et de tomber de votre balcon mais aussi de celui de l’appartement du dessus (carrelage en façade, enduit ...)
Pour tous les balcons
• Le garde-corps ou la balustrade doivent être résistants et donc en bon état général ; en aucun cas les fixations ne doivent bouger
• Dans le cas d’un balcon en bois, ce dernier doit conserver son intégrité, ne pas être dégradé par des insectes ou champignons ni par l’humidité
• Si le balcon est en pierre, il faut un bon état général ; l’eau ne doit pas pouvoir s’introduire entre les éléments, au niveau des joints par exemple
• Si le balcon est en acier, il ne doit pas y avoir de rouille en profondeur
Les points complémentaires à signaler sur un balcon en béton
En cas d’apparition des phénomènes exposés ci-dessous, demandez rapidement conseil à un professionnel du bâtiment ou à votre gestionnaire d’immeuble (syndic, bailleur...) :
• Si le béton s’écaille sur les bords et la surface de la dalle du balcon et ce type de dégradation est réparti sur toute la surface (illustration 2)
Sonaid | 1 268 abonnés sur LinkedIn. Sécuriser les personnes en permettant aux objets connectés de détecter les situations de détresse grâce au son. 👵👴 | We develop an AI algorithm detecting distress alerts. ⛑ With our partners we provide a full solution to detect distress from sound (40 m2 per device). The solution detects distress situations on device. The alert is sent to a call center (telecare) checking the alert by discussing through the device with the elderly person.
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La boule extinctrice Block’Fire® incarne une nouvelle génération d’extincteur automatique qui réinvente la sécurité et la protection incendie,
Découvert par Article France Bleu Azur https://www.francebleu.fr/emissions/la-belle-histoire/hugo-le-nicois-qui-sublime-l-intime-avec-les-toilettes-trone-4537150#xtor=RSS-106
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Quinze millions de Français ont souscrit des contrats d’électricité coupant leurs journées en deux, entre heures creuses et heures pleines, les premières étant marquées par des prix très bas du kWh et inversement. Jusqu’alors, ces heures creuses étaient le plus souvent placées la nuit. Il y en aura désormais dans l’après-midi.
Lancer son lave-linge ou recharger sa voiture la nuit pour faire des économies… c’est l’intérêt des contrats d’électricité en heures pleines/heures creuses (HP/HC). Ce dispositif fera peau neuve en 2025 pour mieux l’adapter au nouveau contexte de production d’énergie en France. Ainsi l’a confirmé Emmanuelle Wargon, présidente de la Commission de régulation de l’énergie (CRE), l’autorité en charge du bon fonctionnement des marchés du gaz et de l’électricité, au micro de RMC le 30 décembre dernier. Les modifications, toujours en cours d’élaboration, devraient entrer en vigueur à l’été prochain, a-t-elle précisé.
Faire en sorte que l’option « reste durablement attractive »
Lancée en 1965, cette option HP/HC coupe en deux la journée des 15 millions de Français qui y souscrivent aujourd’hui. Pendant les heures pleines – 16 au maximum, dont obligatoirement les plages 8 h-13 h et 17 h-20 h (forte demande) –, le prix du kilowattheure (kWh) est plus élevé que celui d’une offre de base, avec un seul tarif. À l’inverse, aux heures creuses – 8 au minimum, placées entre 12 h et 17 h et 20 h et 8 h (demande faible) –, le coût du kWh baisse. C’est Enedis, le gestionnaire du réseau, qui fixe les horaires dans chaque localité.
Emmanuelle Wargon dit tenir à ce que cette option HP/HC reste « durablement attractive », en faisant en sorte qu’elle devienne économiquement intéressante dès lors qu’on est en mesure de placer 25 % de ses consommations électriques en heures creuses. « Chose relativement facile lorsqu’on a un chauffe-eau électrique ou une voiture électrique », estime la présidente de la CRE.
S’adapter à l’essor de la production d’électricité solaire
Mais cette option rend-elle toujours autant service au réseau électrique ? C’est l’un de ses objectifs initiaux : lisser au maximum la demande d’électricité pour éviter au maximum les pics de consommation (lorsque la production peine à couvrir la consommation). La majorité des heures creuses des foyers en HP/HC sont encore aujourd’hui concentrées entre 20 h et 8 h. Logique à une époque où le dispositif visait à inciter les Français à décaler leurs consommations la nuit, lorsque nos centrales nucléaires continuent de produire mais que les usines sont à l’arrêt.
Depuis, le contexte a changé, avec l’essor des énergies renouvelables. Les jours ensoleillés notamment, la production d’électricité photovoltaïque est abondante aux heures méridiennes (11 h-16 h), soit des moments où justement on a peu de consommations à mettre en face, les Français étant le plus souvent au travail. Les cours du kWh sur les marchés chutent alors drastiquement, au point de basculer dans le négatif certains jours. Rien qu’au premier semestre 2024, la France avait connu 233 heures de prix négatifs, comptait Enedis. Un record.
Tout l’enjeu est de repenser l’option HP/HC, afin que les heures creuses collent mieux à ces pics de production solaire et inciter ainsi les particuliers à placer leurs consommations programmables sur ces plages horaires. C’est ainsi la principale évolution annoncée par Emmanuelle Wargon pour cet été. Le nombre d’heures creuses restera plafonné à 8 par jour. « On en gardera toujours de nuit, 5 ou 6 heures, ce n’est pas encore décidé », a-t-elle détaillé. Les 2 ou 3 heures restantes seront donc placées l’après-midi.
Ce nouveau découpage pourrait tout de même faire des mécontents. Notamment du côté des propriétaires de véhicules électriques qui profitaient, pour certains, de leurs 8 heures creuses de la nuit pour recharger leurs voitures à domicile. Emmanuelle Wargon assure que 5 ou 6 heures « permettent normalement de recharger une voiture électrique » via la plupart des wallbox (bornes de recharge domestiques dédiées). Pour des citadines avec des puissances de batteries autour des 40 kWh, oui peut-être. La recharge de 10 à 80 % se fait généralement en moins de 6 heures. En revanche, pour des modèles plus imposants avec des batteries plus puissantes (autour des 80 kWh), on approche bien plus les 8 heures minimum.
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Découvert par une publication Facebook sur groupe MLH
Nous répondons à la question de Valentin de Nice " une entreprise de chauffage a fait le forcing pour rentrer chez moi pour regarder la chaudière. Ils sont repartis en remettant de travers une partie du chauffe eau. Que puis-je faire ?
Me Martine Wolff, avocate évoque ce sujet des démarchages abusifs :
"Il faut faire très attention. Il y a eu des sociétés de dépannage à domicile qui ont fait l'objet de procédures devant le tribunal correctionnel. Si une personne se sent entrainée dans un contrat ou une démarche sans réussir à s'en sortir, il faut même qu'elle appelle tout de suite les services de police pour dire voilà, 'je suis avec quelqu'un qui est trop insistant et je voudrais que qui s'en aille.' En général, c'est efficace.
Il faut savoir qu'il est impératif d'avoir un avant contrat avant que la société qui démarche ne fasse une réparation. Un document qui mentionne notamment l'adresse de banque du dépanneur, le prix de l'intervention, le prix de l'heure. Il y a toute une série de mentions qui sont obligatoires. Sans cela c'est une infraction pénale pour laquelle la personne démarchée pourra saisir la Direction Départementale de la Protection des Populations.
Ensuite, il faut savoir que l'entreprise de démarchage à domicile n'a pas le droit de percevoir d'argent avant un délai de sept jours.
Le bon de commande doit mentionner la possibilité d'un délai de rétractation du client.
Si toutes ces mentions ne figurent pas, il faut saisir ou le procureur de la République ou la Direction départementale de la protection des populations parce que ce sont des infractions pénales.
Si la personne est âgée ça peut être considéré comme un abus de faiblesse. Et une plainte peut aussi être déposée en ce sens.
Démarcher à domicile quelqu'un qui a demandé à ne pas l'être démarché à domicile, c'est une infraction.
Et le démarcheur peut être poursuivi. Donc mettre sur sa porte (ou même dans la copropriété ) "Interdiction de démarchage à domicile". Ça peut être un bon élément qui peut être dissuasif.
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Découvert par article France bleu azur
https://www.francebleu.fr/infos/societe/5-bons-plans-dans-les-alpes-maritimes-qu-il-faut-absolument-partager-au-plus-grand-nombre-8908525#xtor=RSS-106
4- Faire de la coloc entre seniors et jeunes
Emma à Nice a tenté l'aventure depuis 2015 avec l'association Ensemble 2 générations. "Rester dans le coup, avoir de la compagnie, échanger,...", elle nous a raconté son expérience de senior qui accueille des jeunes qui font face à la crise du logement.
Dans la catégorie nuisible, la punaise de lit a volé la vedette aux cafards et autres souris depuis plusieurs mois. Les vagues d’infestation font craindre le pire aux hôteliers, stressent les vacanciers et affolent les bailleurs. S’en débarrasser n’est pas impossible mais c’est, comme souvent, un
Le concept est simple: tuer les punaises de lit par la chaleur. Cette solution a été inventée au Canada. Ce pays avait fait face à une vague d’infestation il y a une quinzaine d’années. Une société a mis au point ce système."
De l’air chaud pour tuer punaises et sécher les œufs
Concrètement, le principe consiste à chauffer l’appartement pendant quelques heures à 60 °C. C’est tout.
"Nous disposons de deux chaudières au glycol alimentées par un générateur dans un camion de moins de 20 m3. Nous amenons les tuyaux jusqu’à l’appartement, ici par la façade. Cela permet d’alimenter des radiateurs auxquels nous ajoutons des ventilateurs afin de faire circuler l’air au maximum.".
Les habitants n’ont, eux, pas grand-chose à faire, ni en amont ni en aval. "Ils doivent juste débrancher les appareils électroménagers et ouvrir en grand tous les placards, éventuellement sortir une partie des vêtements s’ils sont rangés trop serrés dans les penderies. Toujours dans l’idée que la chaleur s’infiltre partout. Pour nous en assurer, nous disposons des sondes afin de contrôler en temps réel la température. Si un coin est mal chauffé, on déplace les ventilateurs", préconise Israel Marciano.
Garantie de deux mois
Durant les quatre à cinq heures de chauffe, l’équipe de Heat Assault vérifie que toutes les zones du logement sont bien ventilées. "Il n’y a pas de danger pour le mobilier", assure le patron. Et à la fin de la journée, les cadavres de punaises de lit et leurs œufs (qui ont séché et donc ne risquent pas d’éclore) sont aspirés.
"Après le traitement, nous faisons venir un chien détecteur de punaises pour nous assurer qu’il n’y en a plus, précise Israel Marciano. De toute façon, nous le garantissons deux mois."
Côté tarif, il faut compter tout de même environ 2.000 euros pour un studio de 30 m² et 4.500 euros pour un 5 pièces de 100 m². Visiblement la solution semble intéresser car à l’heure de la démonstration, de nombreux représentants de bailleurs sociaux et autres institutionnels étaient présents.
Les punaises de lit sont des insectes parasites qui vivent à l'abri de la lumière, dans les espaces sombres.En cas d'infestation d'un logement, il est nécessaire de procéder à des mesures strictes pour limiter leur prolifération jusqu'à l'élimination.