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Seriez-vous parti à Bali ou aux Maldives sans la publication de votre influenceur préféré ? Aujourd’hui, l’organisation des vacances passe essentiellement par les réseaux sociaux. 40% des millenials (les personnes nées entre 1980 et 2000) choisissent leur prochaine destination à l’aide d’Instagram,
selon une étude du cabinet Schofields.
Pour Rémy Knafou, géographe, spécialiste du tourisme et membre du comité d’experts de notre dossier "Destination 2050", le vacancier "s’est toujours documenté pour ses voyages", mais les pratiques ont changé : "Au XIXème siècle, les premiers touristes s'accompagnaient d’un Baedeker. Les célèbres Guides Bleus ont pris la relève, rédigés par des experts et des spécialistes. Puis le fameux Guide du Routard est arrivé. Les contributeurs n’étaient plus des experts reconnus dans leur discipline (l’histoire, l’archéologie, la géographie, etc.), mais des voyageurs professionnels souhaitant partager leurs découvertes et bons plans. La parole experte a progressivement disparu jusqu’à être complètement effacée par l’arrivée d’Instagram et des influenceurs dont la légitimité n’est plus fondée sur un savoir mais sur un nombre d’abonnés et un savoir-communiquer. C’est une transformation profonde du secteur qui s’est imposée d’elle-même."
Le globetrotter rattrapé par la prise de conscience
En pleine pandémie mondiale, difficile de partir à l’étranger. La crise du Covid a cassé cette image du voyage à l’autre bout du monde et certains influenceurs partagent leur déception avec leur communauté. Roxane et Yoann sont partis dans les Cyclades en Grèce durant l’été 2021. Sur leur compte instagram "Roxandyo", le jeune couple de voyageurs montre l’envers du décor et les effets du surtourisme sur cet archipel à leur petite communauté de 3 000 abonnés. "On se croyait dans un parc d’attractions", explique Yoann. "On voyait les gens faire la queue pour la photo Instagram qu’on a tous déjà vu", celle du coucher du soleil sur les toits bleus de Santorin.
Ce couple de voyageurs slow-travelers ont pris le dernier avion de leur vie en 2019, pour la Suède. "Ce voyage a été révélateur et a accéléré notre prise de conscience", témoigne Yoann. "Quand on voit la beauté du lieu, on se dit qu’on participe à sa dégradation en prenant l’avion, ça n’avait pas de sens", ajoute Roxane. Désormais, ces aventuriers ont fait une croix sur ce moyen de transport et ont même parcouru l’Europe sans avion, notamment l’Islande en bateau ou la Norvège en train et en ferry. "Il faut pouvoir se le permettre", reconnaît le couple.
Amanda et Camille ont fait le même constat. A travers leur compte "1duvetpour2", ils publient leurs photos de vacances et leur passion pour la randonnée auprès de 42 000 abonnés. Sensibles à leur impact écologique et à leur mode de vie, ils s’autorisent tout de même un voyage en avion par an. Cette année, leur choix s’est porté vers la Nouvelle-Zélande. Le dépaysement était présent, les paysages magnifiques, mais ils étaient "un peu déçus" de leur expérience. "Au final, on se rend compte qu’on est pas plus mal dans les Alpes ou en Europe là où l’on passe la majorité de nos vacances", se confie Amanda.
Enfin, Aurélie et Yann, connus comme les "amoureuxdumonde" sur Instagram ont partagé leurs voyages aux quatre coins du monde à plus de 150 000 abonnés. Aujourd’hui séparés, Aurélie se confie sur ses nombreux déplacements : "J’ai conscience de faire partie du problème, je ne peux pas l’ignorer. Quand une agence me propose un projet, je regarde toujours si le déplacement peut se faire en train. Je compense comme je peux avec d’autres actions : j’ai réduit la viande, je consomme responsable. J’essaye de faire le maximum."
Dubaï, le mirage du tourisme mondial
Zanzibar, Bali, le Mexique, les Caraïbes, Dubaï … Certaines destinations sont de véritables vitrines internationales du tourisme et la promotion des célébrités y est probablement pour quelque chose. "C’est difficile de quantifier le poids des influenceurs sur une destination comme Dubaï", estime Rémy Knafou, géographe. "Cette ville a été conçue et pensée pour le tourisme avec des moyens financiers colossaux. Dubaï, c’est quand même le comble de l’artificialisation et du conformisme. Si on est un amoureux de la planète, c’est presque une anti-destination".
Lorsqu’on pense aux influenceurs, on pense, entre autres, à certaines stars qui ont posé leurs valises aux Emirats Arabes Unis, mais aussi à Miami, Bali ou encore Hawaï, récemment frappé par des incendies. Ces comptes à plusieurs millions d’abonnés font souvent la promotion d’un mode de vie très polluant. "C’est un imaginaire inaccessible pour une écrasante majorité de la population qui perpétue une représentation délétère des voyages et des destinations touristiques", analyse le géographe.
Une influence qui se paye chère
Mais le tourisme d’influence a aussi, et surtout, un impact écologique. L’empreinte carbone d’un Français moyen est estimée à 9 tonnes de CO² par an. Pour respecter les accords de Paris et maintenir le réchauffement climatique à + 2°C par rapport à l'ère industrielle, nos émissions de CO² ne devraient pas dépasser 2 tonnes par personne et par an. Un simple aller-retour Paris-Dubaï rejette environ 1,7 tonnes de CO² dans l’atmosphère, selon ce calculateur. Ce vol représenterait donc 70 % du budget annuel d’émission de CO² d’un Français.
Un aller retour pour Bali et vous avez déjà atteint votre quota de l’année. Envie de découvrir Sydney ? Certes, mais vous aurez explosé votre empreinte carbone pour les 2 prochaines années. Autrement dit, le voyage au bout du monde, mais surtout le voyage en avion, n’ont pas d’autres choix que de devenir des exceptions.
Certains influenceurs font preuve de transparence dans leurs déplacements et montrent l’envers du décor, mais il y a encore énormément de boulot", estime le géographe. "Je suis malheureusement assez pessimiste sur leurs capacités à transformer leurs habitudes."
Pourtant, la tendance, encore minoritaire, du slow tourisme prend de l’ampleur. Le hastag #slowtravel rassemble plus de 920 000 publications sur Instagram. "Cette tendance devrait naturellement s’imposer car si on continue comme ça, on court à la catastrophe. On n'a pas d’autres choix", insiste Rémy Knafou. D’après lui, ces comportements excessifs et parfois déconnectés de la réalité devraient être "ringardisés d’ici 5 à 10 ans".
Un imaginaire très loin de la réalité
Pourtant, cette image ne représente pas la majorité du touriste lambda. Rappelons qu'environ 80% des Français qui partent en vacances restent en France. Et pour ceux qui partent à l’étranger, les destinations sont souvent tournées vers l’Europe ou l’Afrique du Nord. Les voyages en Thaïlande, aux Etats-Unis ou aux Caraïbes représentent "la minorité d’une minorité" précise Rémy Knafou, mais leur impact sur l’environnement reste colossal.
Une autre réalité, plus récente, est venue frapper le quotidien du touriste : celle du portefeuille. Un voyage de l’autre côté du globe coûte évidemment plus cher que des vacances en France. Certains font donc le choix d’un dépaysement proche de chez soi, pour sortir des circuits touristiques classiques.
Corinne Escaich entretient un blog et un compte Instagram "le boudu.monde" sur la région Occitanie. A 39 ans, cette ancienne institutrice partage ses bons plans et astuces pour montrer la richesse et la culture du sud-ouest à ses 4 000 followers : "Avant, je tenais un blog international de voyage. Je me suis rendu compte que je n'apportais rien de plus que les autres. J’avais donc une carte à jouer sur le tourisme local", explique t-elle, derrière son accent chantant du sud-ouest.
Et ça fonctionne, même si les touristes se montrent parfois plus exigeants : "Je suis une enfant du pays, je connais ma région par cœur, donc ils attendent une expertise de ma part et des connaissances qu’ils ne trouveraient pas ailleurs".
Même chose pour Laetitia Palloure, 33 ans, ou "kikimagtravel", qui montre la richesse des Pyrénées Orientales à son audience. "Je veux montrer qu’on a plein de choses à faire autour de chez soi. Depuis le Covid, j’ai vraiment ressenti un boost d’audience. Les gens veulent retrouver de l'authenticité, connaître leur territoire et je suis toujours très heureuse de leur montrer mes découvertes locales."
Melissa Tavares Gomes, rando.06 sur Instagram, partage les meilleures randonnées du Var et des Alpes-Maritimes à 2600 personnes : "J’ai vu qu’il n’y avait pas d’offre là-dessus. Je choisis toujours des randonnées accessibles en transport en commun. C’est dépaysant, pas cher et ça permet de se dépasser physiquement. Le Parc du Mercantour ou la Vallée des Merveilles sont des endroits magnifiques".
La jeune femme de 28 ans précise les difficultés rencontrées, la durée ou encore le dénivelé de chaque parcours pour s'adapter à tous les publics et ne s’ennuie pas. "Je ne pense pas avoir fait le tour, il y a encore pleins de randonnées à documenter et des sentiers sont ouverts régulièrement".
Enfin, des collectifs insufflent un nouvel imaginaire du voyage. "Itinéraire bis" https://www.itinerairebis.eco/ regroupe des professionnels des médias, du voyage et des influenceurs et met en place des initiatives comme les micro-aventures, les déplacements en train ou le cyclotourisme, pour que "le voyage retourne dans le droit chemin".
Faut-il pour autant faire une croix définitive sur un tour du monde ? Certains prouvent que non, comme Céline, ou "Iznowgood" sur les réseaux. Accompagnée de son van qui tourne à l’huile de friture recyclée, la jeune femme démontre, avec son compagnon, que le voyage peut sortir du continent tout en étant éco-responsable.
"Il va falloir former une nouvelle génération d’influenceurs, conscients de leur impact écologique, qui informent et sensibilisent leur communauté", termine le géographe, "faute de quoi l’avenir sera à la “désinfluence” (cf. hashtag "deinfluencing", sur Tiktok), ce récent et salutaire mouvement d’émancipation des followers".
Message de Karine
Un autre truc, je me disais que ça serait bien d'ajouter un post avec nos valeurs et nos règles de modération, qu'on epinglerait en haut de notre page FB, ou alors dans le A propos. Comme ca c'est clair. Quelles sont selon vous nos valeurs ? Moi je dirais
- bienveillance
- engagement (pour la protection de l'environnement)
- ancrage dans le quartier de MLH
- constructivité (je suis pas sûre que ça existe 😅 j'arrive pas à trouver le bon mot)
Merci d'avance pour vos suggestions (4-5 valeurs max je dirais)
Jessica, reprise et ajustement des idées de Karine
- engagement pour la protection de l'environnement
- ancrage dans le quartier de MLH
- échanges constructifs
- bienveillance
Épisode 1 Aux origines des algorithmes du WEB
De la naissance d'internet aux outils les plus modernes: une grande bataille qui mène jusqu'aux algorithmes de suggestion dont chaque entreprise a sa propre recette aussi secrète que celle du Coca.
Épisode 2 GUERRE de l'attention et sciences du comportement
https://youtu.be/X1dJGyjp2d0
L'économie du gratuit des grandes compagnies du web a besoin de l'attention des internautes pour fonctionner, mais étant de plus en plus saturée, il faut réussir à capter cette attention par tous les moyens. Pour comprendre comment y arriver, retour au début du 20ème siècle qui voit naître les premières recherches sur les sciences du comportement.
Épisode 3 Comment INTERNET Vous MANIPULE!
https://youtu.be/cxKp-3t0-2Y
Comment construire un site, une application ou un service, en s'inspirant des sciences du comportement, pour influencer celui des internautes? Un siècle de recherches et d'expériences a mené à des domaines d'étude modernes comme la "Captology". Mais la popularisation de ces techniques donne lieu à de plus en plus de dérives...
Épisode 4 Des algorithmes bien biaisés!
https://youtu.be/UYMNgWuOeQI
Face aux algorithmes du web, souvent opaques, le danger pour le "web-citoyen" est de ne pas avoir conscience de leur influence, et de s'enfermer dans ce qu'Eli Pariser nomme la bulle de filtre. En étant soumis à nos propres biais de confirmation, et à d'autres effets cognitifs comme la chambre d'écho, nous risquons de rester coincés dans nos propres opinions de plus en plus renforcées par l'illusion d'un monde numérique ouvert et fidèle au monde réel.
Épisode 5 INTERNET veut-il faire de moi un COMPLOTISTE?
https://youtu.be/chkcEMtwmow
Comment le développement du web-journalisme a mené à une cacophon ie médiatique et forcé les médias d'autorité à pencher vers le sensationnalisme ? Une recette qui aurait de véritables impacts sur la société : de Trump et l'affaire Cambridge Analytica à la radicalisation de YouTube, cet internet "algorithmé" est de plus en plus accusé de manipuler les masses. Entre vérité et fantasme, il faut faire le tri.
Épisode 6 Vers un internet plus sain ?
https://youtu.be/dc2zLRc3gZk
Après avoir dressé un constat pas vraiment rassurant de l'internet moderne, il est temps de se poser la question : Que faire ? Comment avoir un internet un peu plus sain ? Entre transparence des algorithmes et éducation des jeunes internautes, il existe pléthore de solutions, mais les mettre en place n'est pas toujours si simple.. Merci beaucoup à Lê de la chaîne @Science4All d'avoir accepté de répondre à quelques questions !:) J'en doute, mais si vous ne connaissez pas, foncez voir sa chaine: https://youtube.com/c/Science4Allfran%C3%A7ais
Tristan Harris
Effectuez votre veille, programmez vos contenus et analysez les retombées de vos Posts sur les réseaux sociaux à partir d'un unique tableau de bord.
Article Nice Matin https://www.nicematin.com/economie/comment-la-startup-toulonnaise-swello-a-decroche-letat-comme-client-pour-ameliorer-ses-performances-sur-les-reseaux-sociaux-688057
2023 Nouvel article Nice Matin https://www.nicematin.com/economie/la-toulonnaise-swello-gere-aussi-les-stories-de-ses-110000-utilisateurs-850303
gestion automatisée des réseaux sociaux pour le compte de quelque 110.000 utilisateurs. Qui propose donc depuis quelques jours, en plus de la programmation de posts sur Twitter, LinkedIn, Facebook et Instagram, la possibilité désormais de programmer aussi des stories.
Join the Flickr community, home to tens of billions of photos and 2 million groups.
Flickr - almost certainly the best online photo management and sharing application in the world - has two main goals:
1. We want to help people make their photos available to the people who matter to them.
Maybe they want to keep a blog of moments captured on their cameraphone, or maybe they want to show off their best pictures or video to the whole world in a bid for web celebrity. Or maybe they want to securely and privately share photos of their kids with their family across the country. Flickr makes all these things possible and more!
To do this, we want to get photos and video into and out of the system in as many ways as we can: from the web, from mobile devices, from the users' home computers and from whatever software they are using to manage their content. And we want to be able to push them out in as many ways as possible: on the Flickr website, in RSS feeds, by email, by posting to outside blogs or ways we haven't thought of yet. What else are we going to use those smart refrigerators for?
2. We want to enable new ways of organizing photos and video.
Once you make the switch to digital, it is all too easy to get overwhelmed with the sheer number of photos you take or videos you shoot with that itchy trigger finger. Albums, the principal way people go about organizing things today, are great -- until you get to 20 or 30 or 50 of them. They worked in the days of getting rolls of film developed, but the "album" metaphor is in desperate need of a Florida condo and full retirement.
Part of the solution is to make the process of organizing photos or videos collaborative. In Flickr, you can give your friends, family, and other contacts permission to organize your stuff - not just to add comments, but also notes and tags. People like to ooh and ahh, laugh and cry, make wisecracks when sharing photos and videos. Why not give them the ability to do this when they look at them over the internet? And as all this info accretes as metadata, you can find things so much easier later on, since all this info is also searchable.
Bodyguard, solution de modération pour protéger en temps réel les individus, familles et entreprises des contenus toxiques en ligne
A quoi sert Bodyguard ? L'application gratuite imaginée à Nice
Premièrement c'est hyper simple d'utiliser l'application Bodyguard, une fois installée sur votre téléphone elle s'occupe de modérer vos réseaux sociaux ou ceux de vos enfants avec une dose d’Intelligence artificielle et aussi pas mal de modération manuelle. L'appli détecte tout type de contenus haineux : insultes, moqueries, trolls, harcèlement moral ou sexuel, racisme, homophobie. Elle décrypte aussi le langage sms propre au réseau sociaux, même les fautes d'orthographe. La protection est instantanée et sur mesure puisque vous pouvez choisir le niveau de "protection". Elle gère, pour l'instant les réseaux Twitter, Youtube, Instagram et Twitch.
Découvert par article France Bleu Azur https://www.francebleu.fr/emissions/l-invite-positif-de-france-bleu-azur-matin/azur/bodyguard-une-application-nicoise-gratuite-pour-lutter-contre-le-harcelement-numerique#xtor=RSS-106
Busuu est le plus grand réseau social pour l'apprentissage des langues au monde.
Connecte-toi gratuitement avec des personnes de langue maternelle du monde entier depuis ton ordinateur, ta tablette ou ton téléphone.
COMMENT ÇA MARCHE ?
1 - SIGNALER
Vous signalez la route dangereuse en renseignant le lieu le plus précisément possible. Vous avez la possibilité de décrire l’endroit dangereux : cela nous permettra de mieux évaluer le problème. Vous pouvez également joindre une photo à votre signalement. Votre signalement sera par la suite modéré puis vérifié.
2 - PARTAGER
Une fois le signalement validé, c’est le moment de faire connaître notre initiative en la partageant sur les réseaux sociaux ! Nous avons besoin de l’aide de tous pour répertorier les routes dangereuses qui nécessitent d’être remises en état. Faites passer le mot sur Twitter [#JaiMalaMaRoute](http://jlionne.com/shaarli/./add-tag/JaiMalaMaRoute)
3 - RÉPARER
« 40 millions d’automobilistes » transmet les signalements des routes dangereuses aux autorités en charge de l’entretien des routes afin que les travaux nécessaires soient engagés. Le classement des routes dont l’état est le plus alarmant sera établi par l’association.
« 40 MILLIONS D’AUTOMOBILISTES » S’ENGAGE
L’association « 40 millions d’automobilistes » intervient dans l’ensemble des débats de fond lié à l’usage de l’automobile, notamment face aux grands enjeux sécuritaires. Ainsi, parmi les nombreuses missions qui nous incombent, nous avons souhaité nous attaquer aux problèmes que représente un réseau routier mal entretenu. Pour cela, nous avons besoin de l’aide de tous pour répertorier les routes dangereuses afin de remédier aux risques d’accidents liés à une infrastructure routière négligée.
En signalant les routes délabrées et dangereuses que vous connaissez sur ce site, vous nous permettez d’établir la longue liste des travaux nécessaires à engager pour restaurer les infrastructures routières. En pointant du doigt les différentes routes dangereuses, les autorités en charge de l’entretien des routes ne pourront plus prétendre ignorer les problèmes de sécurité qui sévissent. Nous veillerons à ce que les travaux nécessaires soient entrepris.
Page Facebook associée à l'initiative https://www.facebook.com/40millionsdautomobilistes
Communecter : un réseau sociétal innovant, au service des citoyens acteurs du changement
peu de contenu pour les communes de Mougins et Cannes...
Découvrez le 1er réseau social de votre quartier : entraide entre voisins, bons plans, prêt d’objets, activités et événements près de chez vous.
Indigo est un réseau social vertueux, au service de l'intérêt général.
Un projet social, mené par une équipe engagée. D'abord financé grace au crowdfunding, le projet s’est constitué en entreprise solidaire en 2019. Elle redistribue 10% de son bénéfice au monde associatif.
La plateforme est détenue en partie par l'association à but non lucratif, La Coopérative Indigo, ayant pour mission d'innover dans la création de lien social.
JobIRL, le 1er réseau social pour l'orientation professionnelle qui réunit les 14-25 ans et des pros de tous métiers.
Témoignages métiers, rencontres de Pros dans la vie réelle pour aider les jeunes à choisir leur métier.
Communauté JobIRL
- pour les jeunes, pour se renseigner sur les formations et les métiers
- pour les pro, aider les jeunes en leur parlant de mon métier
Statut: non testé à ce jour