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De prime abord, on pourrait penser que le sapin artificiel, utilisable plusieurs années, émet beaucoup moins de gaz à effet de serre que le naturel. Mais quand on regarde en détail, rien n’est moins sûr…
C’est avec lui que commence Noël. Depuis fin novembre déjà, les sapins sont bien mis en évidence dans les échoppes, du petit fleuriste de quartier à l’hypermarché. Chaque année, il s’en écoule autour de 6 millions en France pour un prix moyen de 34 €. Autrement dit, un foyer sur cinq en achète un. Une tradition qui ne faiblit quasiment pas. Tout aussi stable est le ratio entre sapins naturels et sapins en plastique : les premiers accaparent chaque année autour de 85 % du marché.
D’un point de vue environnemental, lequel des deux présente la meilleure empreinte carbone ? On pourrait se dire que l’artificiel part avec un net avantage en pouvant être conservé d’une année sur l’autre. Mais c’est bien souvent son seul atout. Car il est très majoritairement fabriqué en plastique (un dérivé du pétrole, donc) et en Asie, ce qui pèse lourd sur son empreinte carbone.
8,1 kg de CO2 pour le sapin artificiel
En 2009, le cabinet de conseil québécois spécialisé en développement durable Ellipsos publiait l’analyse du cycle de vie d’un sapin naturel et d’un sapin artificiel. L’exercice consistait à calculer l’ensemble des émissions de gaz à effet de serre qu’ils génèrent tout au long de leur existence, de leur culture jusqu’à la gestion de leur fin de vie. Ellipsos prenait comme hypothèse que le naturel avait poussé dans un rayon de 150 km autour de Montréal où il avait été acheté. Bilan : 3,1 kg d’équivalent CO2 (eqCO2) par sapin, à racheter chaque année. Du côté de l’artificiel, produit en Chine et acheminé à Montréal par bateau puis train, le bilan était plus lourd : 48,3 kg eqCO2 par sapin, mais que l’on peut garder plusieurs années. En faisant l’hypothèse que le sapin était conservé 6 ans, le cabinet estimait alors 8,1 kg eqCO2/an pour l’artificiel.
Dans son guide pour organiser un Noël plus écolo (1), l’Agence de la transition écologique (Ademe) ne bannit pas le sapin en plastique, à condition seulement qu’il soit gardé longtemps pour compenser les impacts liés à sa fabrication et son acheminement. Or, en moyenne, les sapins artificiels sont gardés 8 ans, pointait déjà l’agence en décembre 2022. Il faudrait au moins le double pour qu’il devienne avantageux par rapport à un sapin naturel en termes de bilan carbone.
Privilégiez le sapin naturel local
Avantage donc au sapin naturel, avec ses 3,1 kg eqCO2. Pas si surprenant. « En moyenne, de la graine à son abattage, il s’écoule 10 ans, dont classiquement 5 à 6 ans passés en plein champ », explique Vincent Houis, ingénieur et conseiller technique à l’Association française du sapin de Noël naturel (AFSNN). Or, pour grandir, comme n’importe quel arbre, le sapin absorbe du CO2‒ ingrédient clé de la photosynthèse ‒ et le garde captif même une fois abattu, à moins qu’on le brûle. »
Selon une étude danoise de décembre 2022, le Nordmann, espèce emblématique du pays, aurait même un bilan carbone négatif jusqu’à son arrivée en point de vente, où qu’il soit en Europe. Il aurait, sur cette première partie de sa vie, absorbé 0,6 kg de CO2. Ce n’est qu’ensuite que les émissions passeraient dans le positif, en particulier lors du transport du sapin de son point de vente jusqu’au foyer où il passera les fêtes. Si le consommateur parcourt 10 km dans une voiture à essence pour le récupérer, alors l’impact carbone du sapin, sur l’ensemble de sa vie, s’élèvera en moyenne à 2,6 kg de CO2, calcule l’étude danoise.
Précisons tout de même que cette dernière a été commandée par l’association de producteurs de Nordmann danois, très tournée vers l’export, et que ses conclusions l’arrangent bien. En France, 20 % en moyenne des sapins naturels achetés chaque année sont importés. Essentiellement, justement, des Nordmann venus du Danemark et de Belgique. Une espèce cultivée aussi en France. On allège alors forcément l’empreinte carbone de son sapin en l’achetant local, au plus près d’où il a été cultivé.
Des cultures plus écoresponsables que d’autres
Mais la proximité est une chose. Les conditions de production influent aussi, pas seulement d’ailleurs sur l’impact carbone mais sur l’empreinte environnementale en général (biodiversité, pollution des sols, de l’eau, etc.). Sur ce point, Vincent Houis précise que, contrairement à une idée reçue, « les sapins de Noël ne sont pas prélevés en forêt, leur production n’est pas facteur de déforestation. Il s’agit d’une culture agricole, classée comme telle, et réalisée en plein champ, de la même façon que le blé, le maïs, la betterave… »
Entre 5 000 et 6 000 ha y sont consacrés, en France. À comparer aux 28 millions d’hectares de notre surface agricole utile (SAU), on ne peut pas dire que la culture du sapin soit expansive… En revanche, la majorité des 200 producteurs sont en agriculture conventionnelle, méthode autorisant l’utilisation d’herbicides. « Les trois premières années seulement », tempère Vincent Houis.
Tout de même, pour éviter toute exposition, on peut se tourner vers les producteurs de sapins bio français. Ils sont onze à s’être regroupés dans l’association Les Sapins bio de France, lancée après le Covid. Leur production labellisée AB est ainsi certifiée « sans aucuns traitements phytosanitaires, engrais chimiques, pesticides, hormones de croissance ». D’autres marques et labels existent (Plante bleue, MSP, Label rouge), mais ils sont moins ambitieux.
Neige artificielle et colorations à proscrire
Voilà côté producteur. Mais l’empreinte carbone de son sapin dépendra aussi de la façon dont on le traite chez soi. À éviter, par exemple, les colorations et le saupoudrage de neige artificielle. Ainsi recouvert de produits chimiques, le sapin n’aura d’autre choix que d’être incinéré avec les ordures ménagères, met en garde l’Ademe. La moins pertinente des fins de vie, à égalité avec celle de le brûler dans le jardin, interdite au passage (comme tout déchet vert, sous peine d’amende). À la rigueur, le sapin coupé en bûche pourra servir à alimenter son chauffage au bois. « Mais les résineux s’y prêtent mal, rappelle Vincent Houis. Ils brûlent vite et ont ainsi un faible pouvoir calorifique. »
Les fêtes finies, mieux vaut déposer son sapin en déchetterie ou dans un point de collecte dédié. Le plus souvent alors, il est composté ou broyé, les copeaux servant de paillage pour retenir l’eau au pied des arbustes ou les protéger du froid. La meilleure valorisation en fin de vie, notamment d’un point de vue carbone. Mais rien ne vous empêche de retarder le plus possible ce moment fatidique. Les sapins se trouvent désormais facilement vendus en pot, avec leurs racines. Si vous avez la main verte et que vous le cajolez bien (en le rempotant régulièrement), il pourrait très bien vous accompagner plusieurs Noëls. Son bilan carbone n’en sera que plus réduit.
Le fabriquer soi-même ?
Un sapin artificiel peut être fabriqué à partir d’autres matières moins carbonées que le plastique. On voit de plus en plus de sapins en bois dans les jardineries par exemple. Rien ne vous empêche non plus de fabriquer vous-même votre sapin artificiel à partir de matériaux récupérés. Sur les réseaux sociaux, plusieurs vidéos donnent ainsi quelques idées et conseils. On en trouve fabriqués avec des chutes de bois mais aussi des bouteilles, un escabeau, une pile de livres… Environnementalement, il n’y a pas mieux !
Ne pas faire du sapin écolo l’arbre qui cache la forêt
Enfin, s’il est louable de chercher à avoir le sapin de Noël avec la plus faible empreinte carbone possible, il faut tout de même garder en tête qu’il ne représente qu’une part infime des émissions de gaz à effet de serre générées par les fêtes de fin d’année. Dans un rapport paru en décembre 2022, l’Ademe les a passées en revue. Le sapin est rangé dans la catégorie décoration qui ne compte, elle-même, que pour 2 % dans le bilan carbone de ces fêtes. L’essentiel des émissions est généré par l’alimentation (15 %), les déplacements (25 %) et surtout les cadeaux (57 %). C’est bien sur ces postes qu’il faut agir en priorité.
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00:07 Quels jus avons-nous analysés ?
00:25 Jus frais ou a température ambiante ? => même goût et équivalent nutriotionnellement, souvent au rayon frais vendu plus cher
01:01 Pur jus ou à base de concentré ? => a priori pur jus s'annonce meilleur mais dans les résultats c'est pareil...
01:28 Que valent les jus pressés à froid ? => argument marketing, produits vendus plus chers
01:58 Que penser des jus désucrés ? => la différence est perceptible au goût, effectivement moins sucré que les autres mais ne pas en faire notre boisson quotidienne, ça reste sucré
02:43 Et le jus pressé maison ? => on sent vraiment la différence au goût et côté nutritionnel. Privilégié des oranges bio produites en Europe.
Seuls les modèles de moins de 47 000 € ont maintenant un bonus écologique. Parmi eux, voici ceux qui annoncent les meilleures autonomies WLTP.
Cupra Born : 550 km
La cousine espagnole de la Volkswagen ID.3 mérite l’intérêt. Son prix de base est de 44.500 € avec un bloc de 204 ch et une autonomie de 426 km. Mais il faut ajouter seulement 2.000 € pour avoir la grosse batterie, avec un bloc de 230 ch. Ainsi dotée, la Cupra Born VZ Batterie XL affiche une belle autonomie en cycle mixte WLTP de 550 km.
Avec un prix de 46.500 €, il ne faut en revanche pas prendre d’option, sinon on dépasse 47.000 €. L’équipement de série est cependant riche : phares full LED, jantes 19 pouces, écran tactile 12 pouces, volant chauffant, régulateur adaptatif… Toutefois, la remise de 2.000 € évoquée dans les offres de Cupra peut servir à se faire offrir quelques suppléments.
La seule ID.3 « bonussée » est la Pro Performance First, avec 204 ch et 425 km d’autonomie (46.750 €).
Volvo XC40 Recharge : 515 km
Tesla Model 3 : 510 km
Au 1er janvier, plus aucune Tesla n’avait le bonus (celles qui coûtaient moins de 60.000 € avaient 2.000 € d’aide en 2022). Mais Tesla a fait fondre les tarifs des Model 3 et Y le 13 janvier. Résultat, la déclinaison Propulsion des deux modèles a de nouveau droit au bonus. Mais forcément, avantage ici à la berline : elle est moins chère et propose plus d’autonomie grâce à son aérodynamique plus favorable. En cycle mixte WLTP, avec les jantes aéro 18 pouces, elle annonce une autonomie estimée de 510 km (491 km certifiés avec les jantes 19 pouces optionnelles). Le prix est de 44.990 €, soit 39.990 €. Bon point : il y a maintenant un choix entre noir ou blanc pour la couleur gratuite.
Hyundai Kona : 483 km
Il est en fin de vie, mais il a de très beaux restes. Avec sa grosse batterie 64 kWh, le Kona électrique promet jusqu’à 484 km avec la finition de départ Intuitive, déjà bien dotée : jantes 17 pouces, instrumentation numérique, accès mains libres, clim auto, caméra de recul, aide au maintien dans la voie. Son atout : un prix de base plus accrocheur que le reste de cette selection, à 41.700 €. Et ce prix peut être négocié dans la mesure où le véhicule est en pré-retraite.
Renault Mégane : 470 km
Pour avoir 470 km d’autonomie mixte WLTP avec la Mégane, il faut opter pour la version Evolution ER, plutôt taillée pour les clients business. Son look est ainsi plus basique, avec des enjoliveurs et une signature lumineuse moins techno. Mais il y a le bel écran tactile 12 pouces avec services connectés Google, l’accès mains libres, le chargeur à induction, les feux de route automatiques… Le véhicule coûte 43.000 € avec le bloc de 130 ch, la recharge AC 7 kW et la recharge DC 130 kW (il faut ajouter 2.000 € pour la recharge AC 22 kW).
Car Labelling Ademe : Graphique - Évolution de la consommation moyenne
le hollandais volant / December 10, 2022 at 07:10PM
De 1995 (début des données) à 2015, on note une baisse de la consommation en carburant (L/100 km) des voitures.
De 2015 à 2018, on note une stagnation de la consommation des voitures.
Est-ce parce qu’on atteint un plancher technologique ? Oui. Il y a de ça. Mais c’est pas tout…
Dès 2018, on note une explosion de la consommation moyenne des véhicules. On passe de 5,10 L/100 km à 6,80 L/km, soit une augmentation de 30 % environ.
Je ne veux pas accuser les SUV d’être trop gros, trop peu aérodynamiques et de consommer beaucoup trop, mais je le fais quand-même.
Y a peut-être aussi le fait qu’on utilise drastiquement plus la voiture pour des tout petits trajets (<2 km), mais c’est à confirmer.
Perso je vois que quand j’étais petit, personne n’allait à l’école [primaire] en voiture. Aujourd’hui, personne n’y va à pied. Les écoles sont devenus des drives.
L’augmentation de la taille des voitures est lui réel.
Le poids n’évoluant pas beaucoup entre 2010 et 2021 (source), je dirais que c’est surtout l’aéro merdique des SUV qui est responsable de ça.
Et ça tend à confirmer ce que je dis depuis longtemps : hormis en ville, le poids ne joue que peu sur la conso, contrairement à l’aérodynamisme (et sur une électrique conduite correctement, avec la régen, l’influence du poids est absolument négligeable : la régen est plus efficace avec le poids, en fait, donc l’influence positive au freinage compense l’influence négative à l’accélération).
Pour preuve de l’influence de l’aéro, on peut comparer deux véhicules avec exactement la même motorisation mais des aéro différentes. Je prends l’exemple de la Ioniq 5 et 6 de chez Hyundai : la première est un SUV tout carré. L’autre est taillée comme une Porsche. La même plateforme, la même batterie fait passer l’autonomie de 507 à 614 km (soit 20 % de différence). C’est suffisamment parlant, je pense, et encore, la Ioniq 5 (le SUV) est relativement petite et mieux taillée qu’une Peugeot 5008 ou une BMW x5/x7.
~
Aussi, on peut voir que garder une vieille voiture pré-2000 n’est pas forcément positif en terme de coûts et d’émissions non plus. D’autant que des progrès considérables ont été fait en termes de particules et autres polluants À un point où les particules issues de la combustion du carburant est abaissées au niveau de ceux des freins et des pneus.
Découvert par LHV https://lehollandaisvolant.net/?id=20220819142507
Juste parce que j’en ai marre de rechercher tout le temps les mêmes liens et les mêmes chiffres, voici un récap de trois chiffres clés à à propos du charbon, soi-disant préférable au nucléaire en matière d’énergie. Vous verrez : même en ce qui co…
Yuka : pour évaluer les défauts et qualités des produits
Elle permet de scanner un produit pour comprendre son impact sur la santé.
L’objectif est double : donner un coup de pouce au consommateur pour qu’il consomme au mieux pour sa santé et induire les industriels à améliorer leurs produits.
On place le code-barre sous l’application et celle-ci note le produit. Vert, si le produit vaut le coup, rouge si la note est mauvaise. Le consommateur se voit alors proposer des produits alternatifs.
Lancée en janvier 2017, cette application est régulièrement utilisée par 5,5 millions d’utilisateurs. Elle est financée par des dons et l’achat de programmes de nutrition développés par la société qui l’a créée.
Par ailleurs, signe que les temps changent, Yuka confie que de nombreux industriels contactent l’équipe, pour améliorer leurs produits. Un mouvement de fond.
Y a quoi dedans : pour mesurer la teneur en gras, sels, sucres de vos produits
Développée par les magasins U, cette application permet de scanner les produits et d’obtenir les ingrédients qui le composent.
Cette appli permet donc de comprendre la teneur en sels, en sucres et en gras de ce que vous glissez dans votre caddie, teneur qu’elle établit en s’appuyant sur la base de données d’Open food facts.
Contrairement à Yuka cependant, les produits ne sont pas notés.
Quel produit : pour détecter les additifs présents dans les aliments
Financée par l’UFC-Que choisir, Quel Produit est une application qui permet d’évaluer la composition des produits alimentaires, ménagers et cosmétiques. Scannez le code-barre du produit, une note apparaît sur l’écran.
Pour ce qui est des produits alimentaires, ils sont évalués selon la qualité nutritionnelle exprimée par le Nutri-Score et la présence d’additifs évaluée par l’UFC-Que choisir.
Participative, cette application demande aux usagers scannant un produit qu’elle n’aurait pas en stock de lui fournir les informations le concernant.
Siga : pour connaître le degré de transformation des produits
"L’indice Siga indique à quel point un aliment est transformé, grâce à une note allant de 1, pour les produits bruts, à 7 pour les plus ultra-transformés", peut-on lire sur le site de l’appli. Pour les plus curieux, une analyse plus détaillée de la composition est aussi disponible : nombre d’ingrédients ultra-transformés, additifs à risque, seuils nutritionnels, etc. Des alternatives sont ensuite proposées.
Open food facts : pour décrypter les étiquettes de fond en comble
Cette application s’appuie sur la base de données alimentaires collaborative d’Open Food Facts. "Plus de 9000 contributeurs comme vous ont ajouté 600 000 produits de 200 pays en utilisant notre app ou leur appareil photo pour scanner les codes barres et envoyer des photos des produits et de leurs étiquettes", se vantent ses créateurs sur Internet.
Car tout repose sur le volontariat.
"Ce projet associatif et citoyen, né en France en 2012 et porté depuis par des milliers de bénévoles dans le monde entier", explique encore le site.
Scan up : une appli qui décrypte les étiquettes et appellent les consommateurs à créer les produits de demain
Souvent mise en concurrence avec Yuka, cette application va un peu plus loin. Non seulement, elle décrypte les étiquettes mais en plus, elle invite les consommateurs à participer à l’élaboration des produits de certains industriels.
Co-créer un jus d’orange pressé à froid, des desserts végétaux Bio en poudre, des produits laitiers, le consommateur est appelé à mettre la main à la pâte.
FAIRE SON CHOIX
Le choix d’un produit repose sur un compromis entre l’efficacité et le risque pour la santé de l’homme et l’environnement. Le DEET, par exemple, provoque des irritations sévères des yeux et est nocif pour les organismes aquatiques, avec des effets néfastes à long terme.
En zones tropicales où les moustiques sont vecteurs de maladies terribles (paludisme, dengue, chikungunya ou Zika), les produits les plus concentrés, plus toxiques mais plus efficaces, comme le DEET de 30 % à 50 %, sont recommandés. Les femmes enceintes ne doivent normalement pas s’exposer à de tels produits, mais cet usage est toléré en zones à risque élevé de transmission de maladies.
En France métropolitaine où, à l’exception de très rares cas, ni les moustiques « classiques » ni les moustiques tigres ne transmettent de maladies, une protection plus « légère » est appropriée. On choisira des produits à base d’icaridine ou d’huile d’eucalyptus citronné. L’IR3535 a une efficacité souvent moindre, mais son innocuité en permet l’usage sur les petits enfants.
L’âge est un critère. Les répulsifs sont à éviter avant 6 mois. Des protections type moustiquaires sont préconisées. Ensuite, les recommandations varient selon les dosages (voir tableau). Attention aussi chez les femmes enceintes.
En théorie, plus le produit est concentré, plus il est efficace. Mais les tests réalisés par Que Choisir montrent que la formulation joue un rôle crucial. Ainsi le Forclaz spray jaune à 20 % d’icaridine protège plus de 8 h tandis que l’Insect Écran spécial tropiques, malgré ses 25 % d’icaridine, ne protège qu’une demi-heure - c’est clairement insuffisant !
À noter : tous ces produits sont également efficaces contre les tiques.
APPLIQUER CORRECTEMENT
Les répulsifs peuvent réduire l’efficacité des protections solaires. Si vous devez user des deux conjointement, commencez par la crème solaire, puis attendez 20 min avant d’appliquer l’antimoustique.
Quand vous utilisez un spray, ne vaporisez pas directement sur le visage mais dans vos mains, puis étalez en évitant la bouche et les yeux.
Respectez les doses. Pour être bien protégé, plusieurs pulvérisations par application sont nécessaires, à répéter sur chaque zone du corps. Ces indications sont généralement indiquées sur l’emballage. Mais attention, inversement, à ne pas multiplier la fréquence des applications : au maximum 3 fois par jour pour les adultes, parfois moins.
Ne mettez pas de répulsif sur une peau lésée (plaie, brûlure…).
https://www.quechoisir.org/conseils-moustiques-bien-utiliser-les-produits-antimoustiques-n101940/
Spray répulsif anti moustique et tique Icaridine - 100 ml au prix de ★ 7€ ★ sur Decathlon.fr. Pour vos sports de plein air sans craindre les moustiques et les tiques
Adapté à toute la famille à partir de 2 ans y compris femme enceintes
Efficacité : 6-8h
Un bon produit anti insecte a sa place dans n'importe quelle armoire à pharmacie et doit impérativement être emmené si vous partez trekker en milieu tropical. Principe actif : 20 % Icaridine.
Découvert et recommandé par le test UFC Que Choisir https://www.quechoisir.org/conseils-moustiques-bien-utiliser-les-produits-antimoustiques-n101940/
Douches, bains, eau de boisson, vaisselle, lessive, toilettes, arrosage... Estimez votre consommation d'eau et consultez nos conseils pour économiser les ressources et éviter le gaspillage.
Découvert par article nice matin
https://abonnes.nicematin.com/article/et-si-les-nouvelles-technologies-venaient-a-notre-secours-pour-mieux-gerer-notre-consommation-en-eau-774970
Connaître l’autonomie réelle avec notre simulateur en ligne
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Autoroute (120km/h) 100% => 281km autonomie
Ville (30km/h) 100% => 552km autonomie
Mixte 75% Ville et 30% Autoroute => 498km autonomie -
Autonomie Volkswagen ID. 3 77KwH Pro S
Autoroute (120km/h) 100% => 360km autonomie
Ville (30km/h) 100% => 706km autonomie
Mixte 75% Ville et 30% Autoroute => 638km autonomie -
Autonomie BMW i3 120Ah
Autoroute (120km/h) 100% => 205km autonomie
Ville (30km/h) 100% => 403km autonomie
Mixte 75% Ville et 30% Autoroute => 364km autonomie
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