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Après un été avec une chaleur étouffante, des tempêtes et inondations en septembre et un soleil éclatant en novembre, à quoi va ressembler la météo sur la Côte d'Azur dans les prochaines années?
Le réchauffement climatique est de plus en plus perceptible par le grand public avec des vagues de chaleur très intenses et des précipitations parfois dévastatrices.
Et la Côte d’Azur est le parfait exemple de ce phénomène depuis quelques années. Météo-France a dévoilé les folles prévisions sur les températures estimées à Nice, Toulon et sur la Côte d'Azur en général pour l'année 2100. Voici ce que dit le rapport du site Climat Diag.
Les températures vont encore grimper pendant l'été
Si l'été 2024 a été particulièrement chaud, vous n'êtes pas au bout de vos peines, il faudra compter 5 degrés de plus en moyenne en saison estivale sur le bassin méditerranéen.
En plein été à Nice, au plus haut de la saison, la valeur moyenne devrait frôler les 27°C en 2100, contre une valeur référence de 22°C.
Du côté du Var, des villes comme Toulon gagneront quant à elle 3 degrés en moyenne sur l'année (toute saison confondue) et plus de 5 degrés l'été en passant d'une valeur de référence de 22,5 degrés à 27,3 degrés en plein été.
Les autres saisons ne seront pas épargnées avec une hausse significative de la température: +3°C l’hiver, +4°C l’automne. Les jours de "chaleur" devraient être de plus en plus nombreux au cours de l'année 2100.
Augmentation du nombre de "nuits tropicales"
Le nombre annuel de nuits tropicales devrait s’élever à 105 au plus haut, 91 au plus bas. À titre de comparaison, Nice a dépassé les 55 nuits tropicales consécutives en 2024.
Pour rappel, l’année 2022 avait été également compliquée une fois la nuit tombée avec la barre des 100 nuits tropicales franchie en quelques mois.
Plus de précipitations et une montée des eaux sur le littoral
Si la chaleur est de rigueur, les précipitations s’annoncent également beaucoup plus violentes dans les années à venir. Avec un cumul de pluie de 336mm au plus haut en automne, contre 311 en valeur de référence, ces données inquiètent surtout dans les régions les plus touchées des Alpes-Maritimes et du Var qui ont déjà subi de gros dégâts.
De son côté, Météo-France tire la sonnette d'alarme sur la montée des eaux et tout particulièrement du niveau de la mer Méditerranée. En effet, selon les estimations une progression de 79 centimètres au plus haut contre une valeur de référence fixée à… zéro est attendue dans les dizaines d'années à venir. Elle devrait avancer d’au moins 46 cm, selon la valeur la plus basse calculée.
À Nice, les galets sur la promenade des Anglais servent justement de digue pour protéger la ville contre la montée des eaux.
De manière plus globale, Météo-France prévient: "L’urgence climatique est là. Pour agir, il est indispensable de connaître avec précision les évolutions climatiques auxquelles il faut s’adapter".
Était-il possible de mettre en place une vigilance météo infradépartementale et de décider de ne fermer les écoles qu’aux endroits les plus critiques? Au lendemain des intempéries qui ont une nouvelle fois frappé les Alpes-Maritimes et qui ont entraîné la fermeture des écoles, c’est aujourd’hui la
Antony Brunain est météorologue amateur depuis des années. Il est le fondateur et administrateur de la page Facebook Nice Météo. Et la mise en place des vigilances infradépartementales qui seraient plus ciblées fait partie des idées qu’il porte.
"C’est une évidence qu’il faut aujourd’hui se poser cette question. D’autant plus que ce genre d’épisodes est appelé à se reproduire. Et je suis persuadé que Météo France se la pose. La vigilance infradépartementale existe pour les risques avalanches et vagues subversives. Ceci dit, poursuit ce passionné de phénomène météo, c’est loin d’être si simple quand on parle du risque inondation…"
Pour Antony Brunain, la question aurait pu se poser mercredi: "Pour cette journée, on savait que le risque des intempéries serait ciblé sur l’ouest des Alpes-Maritimes ou l’est varois. Et c’est l’ensemble de ces deux départements qui a été mis par Météo France en alerte orange pluie inondations. Cela aurait été pertinent de n’avoir qu’une partie de ces deux départements en orange."
"Mais jeudi, à mon sens, c’était plus compliqué, poursuit-il. L’ensemble des Alpes-Maritimes était en vigilance rouge. C’est vrai qu’il n’a pas trop plu sur le littoral et du coup, les gens, surtout les parents, se sont posé des questions. Mais jeudi, le risque principal c’était la saturation des cours d’eau partout dans les Alpes-Maritimes. Cela aurait été très complexe d’exclure certaines zones. Météo France a donc placé tout le département en rouge. C’était à mon sens justifié, personnellement, à midi j’étais très inquiet sur le risque de crue… Même si je reconnais que fermer les écoles c’était lourd de conséquences, donc la question mérite quand même d’être posée."
Antony Brunain met aussi en avant qu’une vigilance météo infradépartementale plus affinée, "c’est aussi plus de travail en amont. Météo France en a-t-elle les moyens? Avec moins de budget et moins de monde, c’est peut-être un peu compliqué, avance-t-il… Et on connaît l’état de Météo France, en deux ans c’est 600 postes en moins et un budget amputé en raison de la baisse des subventions de l’État."
"L’autre question qui se pose aussi, poursuit Antony Brunain, c’est: est-ce qu’on peut décider d’une fermeture partielle des écoles? Peut-on dire on ferme dans les vallées et pas sur le littoral? Mais alors quelles vallées? Et quid des transports scolaires entre territoires? C’est une usine à gaz et tout cela nécessite un temps de réflexion énorme que les services de la préfecture n’ont pas car la décision de fermeture ou pas des établissements scolaires n’est prise qu’au dernier moment, selon les dernières prévisions, pour être la mieux justifiée."
Son action pendant la sécheresse
"Pendant les mois écoulés, je me suis rendu disponible pour expliquer, vulgariser les enjeux climatiques associés à la sécheresse." Et ces sollicitations se sont multipliées.
La preuve, pour ce scientifique, que la perception de la société bouge: "Le phénomène s’est imposé comme un sujet plus transverse, qui touche à la ressource en eau disponible mais aussi à la biodiversité, à la lutte contre les incendies.."
"En 2022, quand la sécheresse a concerné tout le pays, j’ai perçu un léger déclic"
"Avant, c’était un phénomène météorologique qui arrivait de temps en temps, on ne se posait pas la question du lien avec les activités humaines et le changement climatique. Maintenant, c’est différent", observe-t-il.
Ce que cette sécheresse record lui a appris
Fouiller des notions d’hydrologie, documenter le lien entre manque d’eau et hausse des températures au fil des années… Les mois écoulés ont fait évoluer les connaissances de Gaétan Heymes.
"C'était intéressant! En tant que météorologue, on se préoccupe surtout de l'eau qui tombe et de celle qui va tomber. Moins d’enjeux transversaux, sociétaux liés au changement climatique", commente-t-il.
Sollicité comme d’autres de ses collègues pour participer à des comités sécheresse mis en place par les pouvoirs publics, il est désormais durablement en veille sur ce sujet.
A quoi être attentif à l’avenir
"Au plus fort de la sécheresse, en 2022, j’avais fait remarquer à des collègues que ce n'était pas une bonne idée d’écrire 'poursuite du beau temps' dans nos bulletins météo alors que tous les acteurs de terrain guettaient la moindre goutte d’eau."
"Écrire 'temps sec et ensoleillé', c’est un réflexe de prévisionniste"
Gaétan Heymes plaide pour gommer ces "raccourcis de langage".
Sa préconisation: "transformer le bulletin météo en quelque chose qui ne sert pas uniquement à savoir comment s’habiller demain. Faire le lien dès que c’est pertinent entre un événement météo et le changement climatique.
France 2 s’y est mis. Sur le site public de Météo France, une attention très importante est désormais portée aux mots employés, ça évolue."
Si vous avez mis le nez dehors ce mardi, vous n'avez pas pu passer à côté de la chaleur. Trois records ont été battus dans les Alpes-Maritimes, selon les données de Météo-France. Il a fait 27,7°C à Cannes et 26,6°C à Mandelieu-la-Napoule tandis que 13,6°C ont été enregistrés dans la nuit à Caussols
"Les températures maximales étaient anormalement élevées, notamment à l'ouest des Alpes-Maritimes et à l'est du Var", confirme Adèle Luy, prévisionniste à Météo France.
"À Nice par exemple, le record n'a pas été battu mais il a fait 24°C alors que la normale de saison est de 17,5°C. À Fréjus, avec 26,1°C, la température maximale était quasiment 10°C au-dessus de la normale."
Deux phénomènes peuvent expliquer ces "chaleurs extrêmes". D'une part, une masse d'air chaud stationnée sur le pourtour méditerranéen et, d'autre part, un effet de foehn localisé.
Le vent traverse la montagne
Pour simplifier, on parle d'effet de foehn quand "l'air se réchauffe en passant par les reliefs".
Dans le détail, "lorsque le vent est plus ou moins perpendiculaire à un relief, il va s'élever pour passer au-dessus, explique Adèle Luy. À l'avant du relief, on va avoir une masse d'air qui va s'humidifier tandis qu'à l'arrière, l'air s'assèche et se réchauffe."
Pourquoi foehn? Parce que c'est le petit nom d'un vent de sud localisé principalement dans les vallées des Alpes suisses et autrichiennes.
Ce phénomène est "aussi appelé "mangeur de neige" tant il peut faire fondre rapidement le couvert neigeux même pendant la nuit", précise Météo-France sur son site.
http://tempetes.meteo.fr/L-effet-de-foehn.html
Cette capacité est principalement due à la température douce qu’il engendre, mais l’assèchement de la masse d’air y participe également."
L'air descendant, "souvent violent et turbulent" à cause de son accélération dans les vallées, "peut se révéler dévastateur sur la végétation voire les habitations".
À noter, pour les amateurs de coucher de soleil flamboyant, l'effet de foehn "génère également de magnifiques nuages d'onde".
Illustration du phénomène https://fyooyzbm.filerobot.com/v7/foehn1-qoviRRCb.jpg?vh=9e8f2f&ci_seal=07e85bfd9b&w=480
Un expert du vent dans les Alpes-Maritimes était notre invité ce jeudi matin. Il répond à cette question : y-a-t-il plus de vent qu'avant ?
Et il constate une évolution des vents mais pas partout. "On estime une journée de vent à 15 nœuds c'est à dire 30 km/h explique le spécialiste avant de détailler un découpage par zone :
- De Nice à Cannes on a 70 jours de vent par an depuis dix ans et c'est stable
-De Cannes à Fréjus on observe une augmentation du vent depuis 2015, environ 15% en plus - De Saint-Raphaël jusqu'à Hyères, une augmentation plus sensible de l'ordre de 20%
On ne vous l'apprend pas, il a fait trop chaud ces derniers mois en France. La température moyenne était de 21,8°C sur la période juin-juillet-août, qui correspond à l'été météorologique, soit 1,4°C au-dessus de la normale 1991-2020, a indiqué Météo-France dans son bilan climatique saisonnier.
Nice-Matin
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Records de températures, nuits tropicales, précipitations... voici le bilan (préoccupant) de l'été dans les Alpes-Maritimes et le Var
Deux vagues de chaleur en juillet, une canicule tardive en août: l'été météorologique, qui couvre la période juin-juillet-août, a été intense en France mais surtout dans le Sud-Est.
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L. S.
Publié le 06/09/2023 à 09:30, mis à jour le 05/09/2023 à 22:59
La France traverse (encore) un épisode de chaleur tardif et inédit en ce début de septembre, selon Météo-France. Photo archives Camille Dodet
On ne vous l'apprend pas, il a fait trop chaud ces derniers mois en France.
La température moyenne était de 21,8°C sur la période juin-juillet-août, qui correspond à l'été météorologique, soit 1,4°C au-dessus de la normale 1991-2020, a indiqué Météo-France dans son bilan climatique saisonnier.
"L'été 2023 se classe au quatrième rang des plus chauds depuis 1900", derrière les étés 2003 (+2,7°C), 2022 (+2,3°) et 2018 (+1,5°), a précisé l'organisme ce lundi.
Plusieurs records battus
À l'échelle de la région Provence-Alpes-Côte-d'Azur, plusieurs valeurs remarquables ont été enregistrées lors des deux vagues de chaleur en juillet et de la canicule tardive en août.
Le record mensuel de température minimale a été battu à Fréjus avec 25,8°C le 20 juillet. Le record absolu a également été dépassé à Nice avec 28,6°C le 22 août.
Concernant les records de températures maximales, Météo-France a relevé 39,4°C à Mandelieu-la-Napoule et 39,2°C à Cannes le 19 juillet.
La vague de chaleur tardive [en août] a duré 14 jours en Provence-Alpes-Côte-d'Azur (...). En termes de sévérité, elle se classe au deuxième rang, derrière la canicule historique d’août 2003."
Températures moyennes au-dessus des normales
Dans le Var, la température moyenne était de 25°C en juillet, soit 2,21°C au-dessus de la normale, et de 24°C en août, soit 1,28°C au-dessus de la normale.
Des données similaires ont été observées dans le département voisin des Alpes-Maritimes. Il a fait 21,3°C en moyenne en juillet (+2,12°C) et 20,9°C en août (+1,62°C).
Beaucoup de nuits tropicales
Même la nuit n'a pas apporté le répit nécessaire. Météo-France a enregistré 43 nuits tropicales consécutives à Toulon entre le 1er juillet et le 31 août, alors que la normale est de 21 jours. Encore pire à Nice, où il y en a eu 51, soit le double de la normale.
Une nuit est qualifiée de tropicale lorsque la température minimale est égale ou supérieure à 20°C.
Pas de pluie en juillet, du mieux en août
Sans surprise, les précipitations ont été pratiquement inexistantes en juillet. Le déficit était de 87% dans le Var (2,5mm au lieu de 19mm) et 90% dans les Alpes-Maritimes (4mm au lieu de 49mm).
En août, les quelques passages orageux ont permis d'humidifier les sols. Le déficit a été réduit à 13% dans le Var (26,3mm au lieu de 30,2mm) et les Alpes-Maritimes ont même eu un excédent de 36% (66,4mm au lieu de 48,8mm).
Nouvelle vague de chaleur en septembre
Malheureusement, le climat ne s'améliore pas. "Les températures ont été très élevées lundi après-midi, atteignant parfois un niveau de chaleur jamais observé en septembre", souligne Météo France ce mardi.
Quelque 47 départements ont été placés en vigilance jaune canicule pour mercredi. Pour une fois, les Alpes-Maritimes et le Var ne sont pas concernés.
Découvert par blog LHV
Découvert par LHV https://lehollandaisvolant.net/?id=20220630184711
Note : EV versus le froid
le hollandais volant / December 19, 2022 at 08:27PM
Le froid a un gros impact sur l’autonomie des voitures électriques.
Quand il faisait −8 °C la semaine dernière, mon trajet A/R faisait état d’une consommation de 14,24 kWh/100 km.
Aujourd’hui, il fait +10 : le même trajet montre une consommation de 10,17 kWh/100 km.
Pour le retour, j’ai eu beaucoup de vent arrière, ce qui explique ce bon score en cette période. Pourtant, en été, c’est ce que je fais tous les jours sur ce trajet (merci les pneus été et le beau temps).
Une bonne partie de ça provient de la chimie de la batterie : elles sont moins puissantes par temps froid. Et comme j’ai une PHEV avec une petite batterie (8,9 kWh), le trajet très court ne suffit pas à la chauffer. Je ne pense pas qu’elle ait d’ailleurs un système de chauffage intégré.
Certains voitures, notamment les Tesla, prennent en compte ce facteur « froid » lors de l’estimation de l’autonomie. La voiture indique par exemple « 400 km + 70 km grisés ». Ces 70 km seront ensuite récupérés une fois que la batterie sera réchauffée (naturellement, lors de son utilisation). Bien-sûr, si on ne fait que des petits trajets, on ne fera que 400 km, mais si on part pour un gros trajet, elle aura le temps de chauffer et on fera nos 470 km. Ça évite les frayeurs.
Certains voitures ont aussi un système de préchauffage actif de la batterie, utilisé principalement en vu d’une charge très rapide, à l’approche d’un superchargeur. En effet, la technologie de batteries lithium se recharge mieux quand la batterie est chaude, en tout cas pour les charges très rapides.
L’ODB peut donc choisir de sacrifier quelques kWh en chaleur pour chauffer la batterie si c’est pour charger plus rapidement juste après. Tesla et Hyundai font ça.
Notons que si le système est bien fichu, cette chaleur est ensuite récupérée par le système de chauffage de l’habitacle. Je sais que c’est le cas chez Tesla où le circuit de régulation en température est unique, je ne sais pas comment c’est ailleurs.
Enfin, en été, la batterie est refroidie, généralement par un flux d’air passif. Hyundai utilise des volets à géométrie variable à l’avant : si la batterie est trop chaude, ça s’ouvre pour faire circuler l’air (c’est également le cas sur ses hybrides : le moteur thermique chauffe beaucoup plus vite si le refroidissement n’est là que quand il faut). Et le fait d’avoir les volets fermés augmente bien-sûr l’aérodynamisme.
Nissan, dans le Leaf, avait omis un tel système de régulation, ce qui posait de gros soucis de température de la batterie, autant en été que par temps froid, ce qui peut explique la déception dans certaines reviews
Cette crainte a été relayée le 15 novembre sur Twitter par Mac Lesggy, le présentateur de l'émission "E=M6". Il évoque une "bulle d'air froid arctique beaucoup plus importante que l'année dernière, laissant présager, après une année anormalement chaude sur l'hémisphère nord, un hiver rigoureux" en s'appuyant sur ce post publié par un ingénieur en chimie.
Doit-on donc s'attendre à un "méga hiver"? Interrogé par nos confrères de France Info, le climatologue Christophe Cassou confirme bien la présence d'un vortex polaire, "une masse d'air froid ceinturée par des vents très puissants" qui se constitue actuellement au niveau du pôle Nord.
En revanche, le spécialiste explique que ce phénomène n'a rien d'"anormal" et qu'il ne peut pas en soi être considéré comme le signe précurseur d'un hiver rigoureux. Si l'air se refroidit au-dessus de l'Arctique, "c'est tout simplement parce qu'en hiver, il n'y a pas de soleil aux latitudes polaires".
À l'inverse, il précise qu'un vortex polaire favoriserait plutôt "des températures plutôt chaudes en Europe".
Quelles prévisions pour cet hiver, donc?
Météo France a publié un bulletin sur les grandes tendances pour les trois mois à venir.
"Le scénario le plus probable pour le trimestre novembre - décembre 2022 - janvier 2023 est la prédominance de conditions anticycloniques, avec un temps calme et sec, sur le continent européen. Les perturbations auront tendance à être rejetées plus au nord de l’Europe ou au sud-ouest de la Méditerranée", peut-on lire ici.
Météo-France rappelle que ce bulletin de prévoit pas le détail jour par jour ou même semaine par semaine. Ce sont uniquement des "tendances attendues en moyenne sur le trimestre".
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Découvert par article Nice Matin https://www.nicematin.com/meteo/il-remporte-le-prix-du-public-du-photographe-meteo-de-lannee-avec-son-cliche-dun-orage-a-cannes-721061
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