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Interdire la distribution des publicités papier non adressées dans les boîtes aux lettres sauf dans celles avec un autocollant « Oui Pub ». Cette expérimentation, visant à réduire le gaspillage de papier, a été menée dans 14 territoires en France à partir de mai 2022.
C’est l’heure du bilan pour l’expérimentation « Oui Pub ». On connaît plus son contraire – « Stop Pub » ‒, cet autocollant à apposer sur sa boîte aux lettres lorsque l’on veut manifester son refus de recevoir des imprimés publicitaires non adressés. Lancé en 2004, Stop Pub visait à mettre fin à un gaspillage de papier de plus en plus décrié, alors que 760 000 tonnes de prospectus ont été distribuées en France en 2021. Une grande partie est jetée à la poubelle sans être consultée.
Mais Stop Pub a montré ses limites. Tout d’abord, son taux d’apposition sur les boîtes aux lettres est faible (autour de 17 % en 2020). Surtout, lorsqu’il est bien là, dans 57 % des cas, l’autocollant n’a pas permis une disparition totale des imprimés publicitaires, pointait un rapport de l’Agence de la transition écologique (Ademe) de février 2021.
Inverser l’approche avec Oui Pub
D’où cette volonté de revoir l’approche, quitte à l’inverser. C’est tout l’esprit de Oui Pub qui consiste à interdire la distribution de ces imprimés publicitaires non adressés, sauf dans les boîtes aux lettres sur lesquelles un autocollant Oui Pub a été collé. Ce dispositif n’existe pas encore à l’échelle nationale mais est testé depuis le 1er mai 2022 dans 14 collectivités qui se sont portées volontaires*. L’expérimentation prendra fin le 1er mai prochain, mais le gouvernement a déjà remis son rapport d’évaluation en octobre dernier au parlement et vient de le publier.
Premier constat : l’apposition de l’autocollant Oui Pub sur les boîtes aux lettres est très variable d’un territoire à l’autre. Les taux vont de 0,33 % à Bordeaux (Gironde) à 18,42 % pour la communauté urbaine de Dunkerque Grand Littoral (Nord). Est-ce dire qu’il y a si peu de Français attachés à recevoir des publicités non adressées ? Pas si vite. Une des limites du Oui Pub ‒ qui existe aussi avec Stop Pub ‒ est que l’existence de ces autocollants n’est pas toujours bien connue. La connaissance estimée de l’expérimentation Oui Pub par les habitants concernés variait ainsi de 25 % à 77 % selon les territoires avec une moyenne à 50 %, indique le rapport gouvernemental.
Des réductions importantes de déchets papier
Les 14 territoires pilotes disent également avoir constaté, dans l’ensemble, le respect des règles du dispositif Oui Pub. Les quelques manquements relevés sont des « imprimés concernant des petits commerces locaux non couverts par les dérogations », pointe le rapport. Résultat : ces territoires ont constaté des réductions importantes des tonnes de déchets papier collectés au cours de l’expérimentation. Entre 20 % et 70 % selon les endroits avec une baisse moyenne de 48 %. Et cette baisse s’explique bien, en partie du moins, par celle des imprimés publicitaires. Leur part dans le total des déchets papier collectés sur ces 14 territoires est passée d’une fourchette initiale comprise entre 17 % et 40 % à une fourchette entre 5 % et 19 % pendant l’expérimentation.
Mais faut-il attribuer tous les lauriers à Oui Pub ? Si la baisse des volumes d’imprimés publicitaires est plus marquée dans les territoires pilotes, cette diminution se vérifie partout en France et a commencé avant l’expérimentation Oui Pub. Le volume est ainsi passé de 900 000 tonnes en 2019, à 766 000 tonnes en 2021 puis à environ 400 000 tonnes en 2022 et 2023. Dès la crise sanitaire, marquée notamment par l’envolée des coûts du papier et de l’énergie, une grande partie des annonceurs ont commencé à transiter vers des modes de consommation numériques. Oui Pub n’a fait qu’accélérer un peu plus cette tendance.
Une transition vers la pub numérique pas toujours gagnante
Mais cette transition ne se traduit pas forcément par une baisse des impacts environnementaux. Car le numérique n’en est pas exempt, et génère notamment des émissions de gaz à effet de serre. Elles sont principalement liées à la fabrication des appareils numériques (ordinateurs, smartphones, tablettes…) et donc à la fréquence à laquelle on les renouvelle. Elles sont liées également aux consommations d’énergie qu’impliquent nos activités numériques (lire une vidéo, consulter une page web…) et toute l’infrastructure nécessaire derrière (serveurs, data centers…). Entre la communication papier et la communication numérique, les impacts sont ainsi différemment répartis, note le rapport gouvernemental qui estime les paramètres trop variables pour pouvoir conclure qu’un support est toujours plus vertueux que l’autre. Qu’elles soient numériques ou papier, le rapport appelle les annonceurs à une nécessaire recherche de sobriété et à l’écoconception des campagnes commerciales.
Des déçus du Oui Pub ?
L’autre biais de cette transition de la publicité du papier vers le numérique est qu’elle laisse de côté toute une partie des consommateurs éloignés du numérique. Si, dans les territoires pilotes, les habitants se disent à 44 % satisfaits de l’expérimentation et à 63 % pour son extension à toute la France, Oui Pub a tout de même fait des mécontents. Notamment parmi ceux à avoir mis l’autocollant sur leur boîte aux lettres. Certains ont malgré tout regretté une baisse des imprimés publicitaires alors qu’ils considèrent ces prospectus importants pour faire des économies dans un contexte inflationniste, pointe le rapport du gouvernement.
- Ville de Bordeaux, Smicval (Syndicat mixte intercommunal de collecte et de valorisation) Libournais Haute Gironde, agglomération d’Agen, Communauté de communes Leff Armor, Communauté urbaine de Dunkerque Grand Littoral, ville de Sartrouville, Troyes Champagne Métropole, Métropole du Grand Nancy, Grenoble Alpes Métropole, Sytrad (Syndicat de traitement des déchets Ardèche-Drôme), Sictoba (Syndicat intercommunal de collecte et traitement des ordures ménagères de la Basse Ardèche), Communauté de communes Vallée de l’Ubaye Serre-Ponçon, Univalom (Syndicat mixte de traitement et de valorisation des déchets), Syvadec (Syndicat de valorisation des déchets de la Corse).
Lors d’un achat en ligne, l’option CB est souvent proposée comme alternative à Visa ou Mastercard. Un choix qui peut s’avérer judicieux.
« Le made in France, c’est mieux si on paye in France. » La campagne, siglée CB, déployée ces derniers mois par affichage et dans la presse, a de quoi interpeller. D’abord parce qu’on ne sait pas forcément qu’un choix s’offre à nous au moment de faire un achat en ligne par carte bancaire. Ensuite parce que le slogan laisse penser qu’on pourrait, à cette occasion, faire preuve de patriotisme économique. Qu’en est-il exactement ?
Sur les quelque 110 millions de cartes bancaires qui circulent en France, 77 millions portent le logo CB, elles sont dites « cobadgées » avec Visa ou Mastercard. Ce pictogramme est la marque du groupement d’intérêt économique (GIE) Cartes bancaires, mis sur pied en 1984 par les principales banques françaises. Lorsqu’on procède à un paiement en ligne, on ne remarque pas toujours ce logo alors qu’il est fréquemment présent. Ceux de Visa ou MasterCard nous étant plus familiers, nous avons généralement tendance à cliquer dessus. Alors qu’il est possible d’opter pour le réseau national dès lors que l’on possède une carte cobadgée.
Si le GIE Cartes bancaires attire aujourd’hui l’attention sur ce point, c’est qu’il se sent menacé par la concurrence. Pendant longtemps, les paiements passant par son réseau sont restés ultradominants en France. Mais ces derniers temps, plusieurs banques, notamment les néobanques, ont renoncé au cobadging, ne permettant que les paiements via le réseau Visa ou celui de Mastercard. Un virage que n’apprécient guère les commerçants, car les commissions exigées par ces derniers sur chaque achat sont beaucoup plus élevées que celles imposées par le réseau CB. Selon notre confrère Les Échos, la différence pourrait aller de 1 à 10 !
Coûts répercutés sur les prix
En novembre dernier, Ecommerce Europe, organisme représentant les intérêts des commerçants en ligne dans l’Union européenne, a publié un communiqué déplorant qu’au vu de leur position dominante, Visa et Mastercard se permettent d’imposer des augmentations « substantielles et régulières des commissions, certains commerçants importants pointant une hausse supérieure à 75 % entre 2016 et 2021, sans que cela reflète une augmentation des coûts ou des risques » pour les réseaux. L’association réclame une transparence sur les prix et une justification des augmentations, remarquant que la France est un des seuls pays en Europe à pouvoir échapper à cette hégémonie des deux mastodontes, grâce à l’existence du réseau CB. Pour les consommateurs, circonscrire le montant des commissions dans des limites raisonnables est également impératif. Car ces coûts supplémentaires imposés aux commerçants sont inévitablement répercutés sur les prix des marchandises ou services. C’est en cela que choisir le logo CB peut s’avérer pertinent, sachant que si certaines assurances sont liées à une carte bancaire (en cas de voyage en particulier), le fait d’opter pour un réseau ou l’autre ne change rien.
Découvrez notre carte des achats de pesticides à l'échelle du département (plus d'infos sous la carte) mise à jour de nouvelles fonctionnalités.
Découvert par article UFC Que Choisir https://www.quechoisir.org/actualite-geophyto-une-carte-en-ligne-pour-connaitre-les-pesticides-utilises-dans-son-departement-n148252/
L’association Générations Futures vient de lancer Géophyto, une carte interactive permettant de se faire une idée de la quantité et de la nature des pesticides épandus près de chez soi, en partant des volumes vendus dans chaque département. Instructif.
Quels sont les pesticides les plus épandus dans les champs autour de chez vous ? Pas simple d’obtenir l’information, tant la transparence des données n’est que partielle sur ce sujet. Tout de même, il est possible de se faire une idée du volume et de la nature des substances utilisées en se penchant sur les ventes de pesticides par département.
C’est ce travail qu’a fait l’association environnementale Générations Futures en s’appuyant sur les données officielles d’achats de pesticides en France enregistrés dans la banque nationale des ventes de produits phytopharmaceutiques (BNV-D). Celle-ci est accessible à tous en ligne mais n’est pas facilement compréhensible pour le grand public. Générations Futures en a fait une carte interactive.
L’outil, intitulé Géophyto, compile ainsi les achats de pesticides en France de 2015 à 2022, dernière année pour laquelle les données sont disponibles. En quelques clics, on peut ainsi découvrir les substances les plus vendues dans son département pour chacune de ces huit années. Le résultat peut être obtenu en tonnes ou être rapporté à la surface agricole utile du département et exprimé alors en kilogramme par hectare (kg/ha).
La Gironde avec le plus gros volume de ventes, mais…
Toutes substances confondues, quelle que soit l’année, la Gironde est le premier département en quantité vendue. Sur les 66 354,5 tonnes écoulées en 2022, 3 377,9 l’ont été dans ce seul département. La Marne et la Somme complètent régulièrement le podium.
Mais Geophyto va plus loin dans l’analyse. Il est ainsi possible de trier les ventes par catégories de substances (herbicides, insecticides, fongicides, pesticides), leurs niveaux de dangerosité et d’autres paramètres encore. Ainsi, en Gironde, département très viticole, c’est surtout le soufre – un fongicide naturel utilisé dans les cultures de vignes ‒ qui tire les ventes vers le haut. Mais si on se focalise sur les pesticides de synthèse ‒ artificiels et interdits en agriculture biologique ‒ alors la Gironde descend à la 11e place des départements où ils se sont le plus vendus en 2022. La Marne, la Somme, l’Eure-et-Loir composent désormais le podium. Si on s’intéresse aux pesticides préoccupants pour la santé ou l’environnement, ceux notamment classés cancérigènes, mutagènes et reprotoxiques (CMR) ou perturbateurs endocriniens, alors d’autres départements apparaissent encore. L’Aisne, la Somme et le Pas-de-Calais où se sont vendues, en 2022, le plus de substances classées CMR1 (effets avérés). Ou encore la Charente-Maritime, troisième département en termes de quantités de pesticides CMR2 (effets suspectés).
Enfin, Geophyto propose aussi de ne rechercher qu’une seule substance. Utile quand on veut savoir, par exemple, les quantités de glyphosate vendues dans son département. Ou du flufenacet, un herbicide classé perturbateur endocrinien par l’Autorité européenne de sécurité des aliments (Efsa) depuis le 27 septembre dernier et dont on parle beaucoup en ce moment.
Des nouvelles de la colonie
450 poussins flamants bagués
Les derniers poussins ont pointé le bout de leur nez fin juillet ! Ils ont rejoint les crèches déjà constituées afin d'éviter l'agressivité des autres parents et pour se protéger des prédateurs. Ils étaient donc tous prêts début août pour recevoir leurs bagues d'identification.
Pour la 7ème fois consécutive, la Tour du Valat a coordonné le baguage des poussins de la colonie de flamants roses sur le site du salin d’Aigues-Mortes (30).
Cette propriété de la Compagnie des Salins du Midi et des Salines de l’Est est le seul lieu de nidification des flamants roses en France.
Cette année, notre équipe de chercheurs y a recensé environ 13 000 couples
nicheurs et 3 000 poussins. Ce succès reproducteur est relativement faible pour
cette espèce, principalement en raison d’un printemps orageux qui a perturbé de
nombreux couples. Toutefois, les œufs pondus plus tardivement, à partir de début
juin, ont montré un meilleur taux d’éclosion. Le baguage a donc pu avoir lieu !
3,2,1... Baguez !
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Le mercredi 7 août 2024, dès l’aube, environ 150 volontaires se sont rassemblés pour participer au baguage de 450 poussins flamants roses, une étape essentielle pour leur étude. Organisée en partenariat avec la Compagnie des Salins du Midi, cette opération consiste à équiper chaque poussin d’une bague gravée d’un code unique, lisible à une distance jusqu'à 300 mètres.
Les poussins, rassemblés en crèche, sont d’abord encerclés par les participants puis guidés vers un enclos où ils sont alors pris en charge pour être bagués, pesés et mesurés. Après avoir été manipulé quelques minutes, chaque poussin est relâché dans l’étang et rejoint le reste de la crèche qui n'a pas été capturé.
Même si le baguage des flamants roses est une opération délicate, il n’altère en rien leur comportement ultérieur et il est réalisé dans le plus grand respect du bien-être animal. De nombreuses études ont montré que ni la survie, ni le succès de reproduction n’étaient affectés par cet évènement et par le port de bague.
Pourquoi organiser le baguage des flamants roses tous les ans ?
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Ces oiseaux emblématiques, inféodés aux lagunes peu profondes d’eau saumâtre et salée, restent une espèce vulnérable car la plupart des zones humides dont ils dépendent sont menacées.
Le baguage s’inscrit dans un programme d’études lancé dès la création de la Tour du Valat en 1954, et structuré de manière plus rigoureuse à partir de 1977.
Depuis lors, chaque année, la Tour du Valat équipe plusieurs centaines de flamants roses de bagues permettant d’identifier et de suivre chaque individu.
Ces observations ont permis de constituer une base de données unique au monde, essentielle pour mettre en place des mesures de conservation adaptées au contexte local et aux besoins spécifiques de l’espèce.
En 2024, au cours de nos observations de la colonie, nous avons identifié 27 individus différents nés et bagués en 1977, soit des oiseaux âgés de 47 ans !
SAVE THE DATE
Journée des parrains "flamants idéaux"
le samedi 19 octobre 2024
Chaque année, les parrains et marraines de flamants idéaux sont invités à la "Journée des parrains" organisée en automne. C'est une belle occasion pour eux d'en apprendre plus sur le Flamant rose, d'échanger avec les autres parrains/marraines mais aussi de découvrir qui se cache derrière Adopte un flamant ! Au programme : entrée offerte au Parc ornithologique de Pont de Gau (13), visite guidée, conférence et rencontre avec les hommes et les femmes qui œuvrent au quotidien à la préservation des zones humides.
Lancement des inscriptions en septembre pour les personnes concernées.
Le statut du loup a été ce mardi au cœur des débats de la Convention de Berne qui s’est réunie à Strasbourg. En quelques heures, il a perdu un peu de son statut d’espèce protégée. Les 49 États membres de la convention ont en effet approuvé une proposition en ce sens de l’Union européenne, qui cherche ainsi à " mieux protéger le bétail dans un contexte d’augmentation de la population des loups", a indiqué dans un communiqué le Conseil de l’Europe. Une modification qui entrera en vigueur dans trois mois, "sauf si au moins un tiers des parties à la Convention de Berne (17) s’y oppose".
Sous la pression des éleveurs?
Le loup, qui avait été exterminé au début du XXe siècle dans plusieurs pays, dont la France, a en effet fait un grand retour ces dernières années, suscitant la colère d’éleveurs dénonçant des attaques de troupeaux.
Dans sa proposition, l’Union Européenne, qui assure se fonder sur "une analyse approfondie du statut du carnivore sur son territoire", fait état d’une population grandissante, atteignant les 20.300 individus en 2023, pour la plupart dans les Balkans, les pays nordiques, en Italie et en Espagne.
Crainte d’une généralisation des tirs en France
Le changement de statut qui vient d’être acté a fait bondir les associations en France qui craignent une généralisation des tirs de loups et dénoncent un "choix politique pour satisfaire les éleveurs".
"Le résultat c’est que le loup devient clairement une espèce chassable, alerte Denis Doublet le référent loup de l’association Ferus. Jusqu’ici, en France, les loups peuvent être tués dans des conditions très précises pour protéger des troupeaux. Ce sont des tirs dérogatoires avec un plafond établi à 19% de la population totale. Ce qui est déjà important. En 2024, 201 loups sur les 209 autorisés ont déjà été tués… Ce déclassement pourrait permettre aujourd’hui de généraliser la possibilité de tirer et donc de tuer plus de loups."
"D’autres manières de protéger les troupeaux"
Il existe pourtant d’autres façons efficaces de se prémunir d’une attaque de loup, plaide l’association Ferus: "Je pense aux mesures de protection autour des troupeaux mais aussi aux mesures d’effarouchement par la présence humaine, par des chiens dédiés à cela et par des tirs non létaux. Dans les faits, les éleveurs ont perdu l’habitude d’être près de leurs bêtes et les chiens d’effarouchement, comme les patous, sont quasi absents".
Quant aux tirs non létaux, ils ne sont, selon lui, quasiment pas utilisés: "Un loup effarouché par un tir à blanc fera pourtant passé plus clairement le message d’alerte à la meute qu’un loup mort… Les États auraient donc tout intérêt à accompagner les éleveurs en ce sens plutôt que de revoir à la baisse le statut du loup. Et puis, une meute déstructurée socialement par la mort d’un loup oblige les plus jeunes à chasser par eux-mêmes et donc à avoir des comportements qui ne seraient pas habituels envers les troupeaux. Les tirs sont donc parfois contre-productifs" ajoute l’association Ferus.
L’autre crainte mise en avant par les associations, c’est à terme, la fragilisation et le déclin de l’espèce. "Et c’est un très mauvais signe pour la biodiversité en général. Et la porte ouverte pour d’autres espèces protégées comme l’ours", relève Denis Doublet de l’association Ferus qui rappelle que le loup, qui avait entièrement disparu de l’Hexagone il y a un siècle, est revenu " naturellement au début des années 1990".
Combien de loups en France
En France, l’estimation du nombre de loups en 2023s’est établie à 1.003 individus et serait en baisse de 9% sur un an. Lors d’une visite au Sommet de l’élevage début octobre, le Premier ministre français Michel Barnier avait estimé que la nouvelle évaluation officielle du nombre de loups en France, attendue d’ici fin 2024, pourrait représenter un potentiel "moment clé" pour augmenter, ou pas, les abattages.
Ce mardi, la ministre de la Transition écologique Agnès Pannier-Runacher a souligné dans une déclaration transmise à l’AFP que "le loup reste une espèce protégée (...) Et toute destruction restera comme aujourd’hui très encadrée", a-t-elle poursuivi, estimant que "cette évolution permettra toutefois de faciliter la gestion de l’espèce".
Autre article
Plus ou moins de loups en France? On décortique le vrai du faux de cette guerre des chiffres
https://www.nicematin.com/animaux/plus-ou-moins-de-loups-en-france-la-guerre-des-chiffres-961600
association WWF
Traditionnellement la région PACA (Provence Alpes Côte d'Azur) n'est pas la région où l'on trie facilement les emballages. Notre région se classe 12e au niveau national d'après les chiffres de Citéo, entreprise spécialisée dans le recyclage des déchets. Mais en 2023, nous avons fait des progrès. Nous avons mieux trié (+4%) les emballages ménagers par rapport à 2022. En moyenne les habitants de la région Sud ont jeté 56 kilos d'emballages et de papier dans les containers appropriés.
47,5 kilos d'emballages triés par habitant
La collecte des emballages en plastique et en carton progresse. Dans les Alpes-Maritimes, nous trions moins qu'au niveau régional avec 47,5 kilos d'emballages jetés par habitant en 2023. C'est en hausse de plus de 5% par rapport à 2022. On trie mieux dans le 06 que dans les Bouches-du-Rhône (29,2 kg par habitant) mais nous sommes loin des 90 kilos d'emballages jetés par les Haut-Alpins.
D'après Citéo, à l'échelle nationale, les Français ont trié l'an dernier en moyenne 58 kilos d'emballages ménagers (papiers, carton et 33 kilos de verre) par habitant, soit un kilo de plus qu'en 2022.
Site de l'association Forêts Sauvages
Lancée il y a seulement quelques mois par l’entrepreneur cannois Christophe Demarest, l’application Save me a franchi les 1.000 utilisateurs. Pour rappel, elle permet d’avoir de nombreux numéros d’urgences – médicales, police secours, pompiers, médecin de garde, femmes victimes de violences, etc. – à portée de main, regroupés au même endroit dans son téléphone. Accident de voiture, chute, harcèlement de rue… L’application permet donc d’alerter, en un temps record, soit les secours, soit des contacts prédéfinis en cas de danger, avec la possibilité de partager sa position.
S’adressant tout d’abord aux particuliers, l’appli vient de franchir un nouveau cap en proposant aux mairies d’offrir un abonnement à leurs administrés. Une opportunité que la mairie de Pégomas vient d’ailleurs de saisir. C’est la première.
" Ça permet de gagner du temps"
Pour la maire Florence Simon, cette application permettrait à la mairie d’avoir une meilleure réactivité. "J’ai un Messenger qui fonctionne très bien, les Pégomassois sont déjà axés sur une communication en direct. Si on me signale un désordre sur une route, je vais tout de suite transférer le message." Save me permettrait d’éviter cette intermédiaire et d’alerter directement les services concernés. "Ça permet de gagner du temps, d’être au plus près des administrés et d’avoir plus de réactivité."
Avec cette application, les Pégomassois pourront, en temps réel, prévenir la mairie de différents problèmes et partager leur géocalisation: panne d’eau, d’électricité, éboulement… Les "alertes" sont personnalisables par chaque mairie. "Je veux qu’on puisse être alerté même s’il y a trois cailloux sur la route: un motard peut se tuer dessus."
"Rendre le plus de services en direct aux administrés"
L’alerte envoyée via l’application arrivera aux services concernés. Les vols et les cambriolages seront signalés à la police, par exemple. Et si, justement, il reste quelques détails à peaufiner (notamment quelles alertes mettre en place, car chaque mairie peut les personnaliser), le lancement de l’application auprès des Pégomassois devrait s’effectuer " le plus vite possible. On va lancer ça courant octobre, dans la première quinzaine. En attendant, on va réfléchir à comment nous, on va pouvoir développer et exploiter l’application, pour rendre le plus de services en direct aux administrés."
Chaque habitant bénéficiera d’un abonnement, qu’il pourra activer grâce à un code, que la mairie transmettra via de nombreux canaux: réseaux sociaux, newsletter…
Application Save me, disponible sur Apple Store et Android. Gratuit avec pub (bandeau publicitaire), payant à 1,99 euro par mois. https://save-me.me/fr
Instagram: saveme.app; Facebook: SaveMe.
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Découvert lecture tardive article https://www.nicematin.com/climat/pour-gerer-les-biodechets-moins-de-km-et-plus-de-solutions-locales--949177
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Découvert par article nice matin
https://www.nicematin.com/sante/je-dois-me-faire-operer-bientot-ai-je-le-droit-de-refuser-et-de-demander-un-autre-avis-944449
Sur la plateforme deuxièmeavis.fr, entreprise reconnue société à mission depuis 3 ans, des médecins spécialistes, très pointus dans leur discipline, sont recrutés pour apporter une seconde lecture d’un dossier médical. Concrètement, il s’agit de partager les pièces de son dossier et de répondre à un questionnaire patient détaillé, le tout directement sur le site. Celui-ci sera relu, en moyenne en 5 jours (une semaine maximum), par un spécialiste de la pathologie qui apportera un second avis détaillé à l’écrit, directement adressé au patient.
Côté prise en charge, cette seconde lecture est remboursée à 100% par la majorité des complémentaires santé. "Si ce n’est pas le cas, nous pouvons orienter les demandeurs vers des associations d’aide aux patients", souligne Catherine Franc.
Elle s’appelle Théa Serfaty, elle est Niçoise, étudiante en communication à Paris et déjà fondatrice de Politique Médiatique.
Un média qui invite au débat public. "Sa volonté est d’être le porte-voix entre citoyens et industriels. Ouvrir la discussion sur des sujets sensibles où il est difficile aujourd’hui d’obtenir des réponses transparentes de la part d’industriels d’envergure."
Le premier débat organisé, depuis Paris, filmé et diffusé gratuitement sur la chaîne Youtube de Politique Médiatique, portait sur la mobilité de demain. Il a mobilisé Transdev, Flexibus et Trainline. Comment cela fonctionne-t-il? Un appel à questions est lancé via les réseaux sociaux et un algorithme va choisir les citoyens qui participeront au débat, tandis qu’un public d’une dizaine de personnes peut être invité sans pouvoir interagir.
https://www.youtube.com/watch?v=8Iuuvn_68h0
Le tabac ne sera plus tabou
"Nous sélectionnons un certain nombre de questions qui permettent de balayer le sujet et de mieux cerner ces industries. Le prochain débat est filmé ce 16 septembre. Il sera diffusé sous vingt jours. C’est une première: nous faisons venir quelques grands noms de l’industrie du tabac: Philip Morris, British American Tobacco et Seita Imperial Tobacco. Des questions sur la communication invisible à mener quand on vend du tabac, leur politique RSE, le plan santé, les taxations, l’avenir de l’industrie... Nous avons hâte."
Politique Médiatique est pour l’heure une association où tous les contenus sont proposés gratuitement « pour toucher tous les publics ». Transformer l’association en société et monétiser les vidéos sera peut-être envisagé plus tard. Politique Médiatique fait son petit bonhomme de chemin avec des teasers qui dépassent les 100.000 vues sur Youtube.
Objectif de Théa Serfaty? "Eclairer le citoyen en le faisant participer au débat et pourquoi pas essayer de changer le monde." Voilà. Sans filtre.
Trouvez les zones les plus propices pour les morilles, girolles, cèpes et plein d\'autres champignons, près de chez vous !
Entendu dans le billet sciences de France Inter du 10 ou 11 septembre
hoplies bleues. Il s’agit d’un petit scarabée (1cm de long) qui arbore des couleurs irisées d’un bleu intense incroyable avec des nuances selon l’angle avec d’observation. Le spectacle des mâles perchés bien en vue au sommet des plantes laisse un souvenir inoubliable et l’envie de les revoir l’année suivante ! Mais quelle n’a pas été ma surprise encore plus grande quand j’ai voulu préparer une chronique pour présenter ce petit bijou de la nature : des dizaines de publications scientifiques consacrées à sa coloration ! J’ai du me battre avec le jargon technique propre à la physique optique mais que de découvertes inattendues que je vais essayer de vous faire partager.
Il y a 100 ans Paris accueillait déjà les Jeux olympiques. Si la France de 1924 était à bien des égards différente de celle d'aujourd'hui, ces JO ont soulevé des problématiques communes à celles de 2024 sur le financement, les transports, les équipements ou la sécurité. Cette grande manifestation mondiale s'inscrit dans un contexte sociétal, culturel et politique bien particulier... Paris 1924 c'est la reconstruction après la guerre, le développement du sport de masse, les premières luttes pour la place des femmes dans les épreuves, la « peopolisation » des sportifs. Avec deux grandes absentes : l'Allemagne et la Russie. Ces jeux seront aussi l'occasion de toute une série d'innovations comme le premier village olympique ou la retransmission en direct des épreuves grâce à la TSF.Nourri d'archives souvent inédites de Gaumont-Pathé, ce documentaire revient sur ces premiers Jeux modernes de l'Histoire qui verront le sacre de Paavo Nurmi, coureur finlandais hors norme ou de Johnny Weissmuller, nageur le plus rapide au monde et futur tarzan au cinéma.
Découvert par article nice matin
https://www.nicematin.com/sante/l-idee-de-genie-de-ce-jeune-medecin-pour-lutter-contre-les-deserts-medicaux-931141
Les déserts médicaux concerneraient, selon un rapport du Sénat, une commune sur trois en France: "entre 9 et 12% de la population française, soit 6 à 8 millions de personnes". En première ligne: les zones rurales. Et notre région n’est pas épargnée.
Ce constat-là, Martial Jardel refuse d’en faire une fatalité. En 2021, sorti de son internat, ce généraliste, fils d’un médecin de campagne en Haute-Vienne, cogite... Sur quel territoire serait-il le plus utile d’exercer?
Conscient que de grandes inégalités territoriales existent, il loue un camping-car et se lance dans un tour de France du soin. Pendant des mois, il sillonne l’Hexagone… jusqu’en Corse pour effectuer des remplacements dans les zones tendues et soulager ainsi confrères et consœurs souvent au bord du burn-out.
Demander un peu à beaucoup de médecins
De cette itinérance est née une idée: plutôt que de demander beaucoup à peu de praticiens, et si on demandait à beaucoup de médecins d’en faire un peu? En 2022, l’association Médecins solidaires naît, avec le concours de Bouge ton coq, une autre structure associative spécialisée dans la revitalisation du lien en zone rurale.
C’est en Creuse que le premier centre Médecins solidaires a vu le jour, en octobre 2022. Dans le village d’Ajain, le maire cherchait désespérément un généraliste pour remplacer celui parti à la retraite depuis plusieurs mois. Le Dr Jardel ne lui en pas proposé un… mais 50, en rotation à raison d’une semaine de remplacement.
Comment ça marche?
La ville finance le local et l’achat du matériel médical. Médecins solidaires verse 1000 euros de salaire hebdomadaire au volontaire et le loge dans un joli gîte. Pour chaque centre, des partenaires se greffent: agence régionale de santé, préfecture, collectivité locale, CAF, etc.
L’association, qui compte aujourd’hui 15 salariés, met aussi à disposition des coordinatrices qui assurent les tâches administratives et un lien humain local entre patients et médecins remplaçants. Sont proposées des consultations de 20 minutes, 40 pour des cas complexes.
Depuis, deux autres centres ont vu le jour, en Creuse puis dans le Centre-Val-de-Loire. Un quatrième ouvre en Bourgogne-Franche Comté. D’autres sont dans les tuyaux.
"Les communes peuvent nous contacter via un formulaire en ligne, puis notre pôle déploiement étudie tout cela et monte le dossier d’ouverture de centre", explique Magali Malauzat, porte-parole de l’association.
Vous êtes professionnels de santé et souhaitez donner de votre temps? Rejoignez les 450médecins solidaires volontaires, dont 7 Varois et 5 Azuréens, de l’association. "Nous avons tous les profils: de 28 à 73 ans, remplaçants, jeunes retraités, salariés hospitaliers, libéraux… Des milliers de médecins ont à cœur de s’engager. Nos calendriers de remplacements sont pleins jusqu’en 2025. Tous nous disent: ouvrez des centres!", se réjouit Magali Malauzat.
Cartographie des enjeux nidification des oiseaux et des phoques en Bretagne
découvert par Article Nice Matin https://www.nicematin.com/environnement/avec-c-monspotfr-on-fait-du-sport-en-respectant-la-nature-926108?t=1717923967
Centre Thermale Luzéa 18€/pers pour 2h
Ouvert De 15:00 à 19:30
mardi et jeudi 17H00 à 19H15 réservé aux adultes (pas famille)
https://www.luzea.fr/acheter-tarifs+espace+balneo-171.html
Cieleo spa de Barège 1h 13€/pers 2h 18€/pers
Mercredi au Samedi de 15h30 à 19h00
https://www.cieleo-bareges.com/page/spa-thermal
Pass CIEL & BULLES
1h SPA + 1 soin à l'eau thermale 24 €
1h SPA + 2 soins à l'eau thermale 33€
1h SPA + 3 soins à l'eau thermale 42€
Produits en vente sur place
Claquettes de bain : 1.50€
Location linge : à l’unité peignoir ou serviette 2.50€, duo 3.50€
Couches pour enfants spécial piscine : 2€
Maillots de bain : femme 14€, homme 12€, enfant 10€
Piscine de Luz 5€/pers
Ouverte Dimanche - Mercredi - Samedi : De 12:00 à 18:00
19 avenue de Gavarnie 65120 - LUZ-SAINT-SAUVEUR
https://www.luz.org/obt_asc/piscine/
Piscine Centre hélios 3,5€/pers
Ouverte De 13h30 à 19h30 (à vérifier)
helios.centredeloisirs@wanadoo.fr
33 Avenue du Pouey 65420 IBOS 05 62 90 07 07
leolagrange65@gmail.com
Pour les baroudeurs
https://www.luz.org/fr/nos-coups-de-coeur-du-moment/
Sillonner les sentiers ancestraux reliant chaque village du Pays Toy et admirer l’architecture des granges foraines.
Carnet de Rando
https://www.calameo.com/read/00536706081c02554efd3
Petits marcheurs
- chateau-sainte-marie 2h30 https://www.luz.org/obt_asc/le-chateau-sainte-marie/
- Promenade du Bastan 40min https://www.luz.org/obt_asc/promenade-du-bastan/
- PROMENADE NAPOLEON III ET EUGENIE 1h30 https://www.luz.org/obt_asc/promenade-napoleon-iii-et-eugenie/
Expositions https://www.maisondelavallee.org/
- D'un conflit à un autre jusqu'au 30 juin https://www.maisondelavallee.org/dun-conflit-autre
- Mémoire d'eau à partir du 2 juillet https://www.maisondelavallee.org/memoire-deau
Luz
centre historique de Luz - plan de la ville https://www.calameo.com/read/005367060eebc1005b004
marché de Luz : tous les lundis matin sur la place du Marché et autour de l’église.
Visiter les producteurs et artisans locaux
- Ferme des Cascades à Sazos (fromages de chèvre/brebis, salaisons, viandes de lait…): ouvert tous les jours de 15h30 à 18h (traite à 16h30).
- La Carde à Esquièze-Sère (fabrique de lainages) : ouvert du lundi au samedi de 9h à 12h et de 14h à 18h30.
- Rucher du Tourmalet à Betpouey (miel) : portes-ouvertes tous les vendredis toute l’année, de 9h à 12h et de 14h à 18h
- Brasserie du Pays Toy à Sassis (bières et gins artisanaux) : ouvert lundi au mercredi de 9h à 18h et du jeudi au samedi de 9h à 20h.
Zoo
Parc Animalier des Pyrénées https://www.parc-animalier-pyrenees.com/
Rafting
Parapente
AIR AVENTURE PYRENEES - SYNDICAT LOCAL
https://www.luz.org/obt_asc/air-aventure-pyrenees-syndicat-local/
3 place Augé Couffite 65120 - LUZ-SAINT-SAUVEUR
+33 (0)6 81 50 86 50
airaventurespyrenees@gmail.com
Villes voisines
Lourdes 30min
Tarbes 1h
Lourdes
- Sanctuaire Notre Dame de Lourdes
- Grotte de Massabielle
- Chateau Fort de Lourdes
- Le Petit Lourdes -> Musée mignature ouvert de 9 h 30 à 18 h 30 9€/pers
- Choco-story Lourdes => Musée chocolat 9€/pers 10h à 18h visite 1h https://choco-story-lourdes.fr/?doing_wp_cron=1717859989.4306950569152832031250
- Musee de Cire de Lourdes => explications de la vie de Sainte Bernadette et de la vie de Jésus avec des personnages grandeur nature
9€/pers Ouverture Tous les jours : 09h30 – 11h45 / 13h45 – 18h00
Le mercredi et le dimanche : 10h00 – 11h45 / 13h45 – 18h00 - Basilique de l’Immaculée Conception
Tarbes
- Jardin Massey et Musée Massey
- Le Caminadour - chemin de randonnée en ville
- Parc Bel Air
- Musée de la Déportation et de la Résistance
D’une richesse incroyable, la nouvelle application de l’Institut national de l’information géographique et forestière (IGN) permet à chacun de mieux appréhender les paysages qui l’entourent et d’observer leur évolution. Un service public gratuit qui propose une autre représentation de notre territoire que celle des géants du Web.