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Née d’un petit groupe de « pionniers », en 1987, « l’association pour l’aide aux soins palliatifs » s’est progressivement structurée et a permis la création en 1990 de l’ASP VAR (Association pour le développement des soins palliatifs dans le Var) avec pour premier président le Docteur Henri BOUTILLI
Balad'deuil information des prochaines dates sur instagram ASP_VAR https://www.instagram.com/asp_var/
Renseignement etrelaaspvar@gmail.com
Hiver comme été, si vous trouvez que la montagne est belle, c’est en partie grâce à la mobilisation de milliers de bénévoles. Chaque année, ils s’affairent pour ramasser les déchets laissés par les entreprises et les touristes.
Bilan sur les années passées
En 2024, grâce aux 82 opérations de ramassage organisées sous l’égide de Mountain Riders, 18 tonnes de déchets ont été retirées des massifs français. C’est bien, mais on est loin du compte : selon l’association, pas moins de 142 tonnes de détritus seraient abandonnées chaque année en montagne. « La situation s’améliore dans certains territoires. Malheureusement, ce n’est pas le cas partout », se désole Marion Bouhet. Et la tendance n’est pas bonne : alors que l’association anticipait une diminution globale de 10 % de la quantité de déchets sauvages collectés en 2024 par rapport à 2023, elle a finalement augmenté, à périmètre constant, de 3,3 %.
Le constat est le même chez les autres acteurs du secteur. Depuis qu’elle a été lancée, il y a 28 ans, l’opération « Nettoyons la nature », mise en place par les centres E.Leclerc dans toute la France, n’a jamais réussi à passer sous la barre des 100 tonnes de déchets récoltés par an. En 2024, le chiffre a même atteint 165 tonnes, contre 110 en 2022. Idem pour l’association World Cleanup Day. Celle-ci orchestre, à l’occasion de la Journée mondiale du nettoyage de la planète dont elle est à l’origine, des opérations de ramassage des déchets (des « clean-ups ») partout dans le monde, à la fin du mois de septembre, avec l’aide de partenaires locaux (associations, écoles, collectifs d’habitants, entreprises…). En sept ans d’existence, l’antenne française a mobilisé 180 000 participants et récupéré pas moins de 6 800 tonnes de débris dans tout le pays. « Nous serions ravis de nous autodissoudre si notre action ne s’avérait plus nécessaire, mais les choses ne s’améliorent visiblement pas, souffle la vice-présidente de World Cleanup Day France, Anne Gril. Chaque année, il y a toujours autant de détritus à ramasser, ce qui confirme qu’il y a encore beaucoup à faire en matière de sensibilisation contre les déchets abandonnés. »
Objectif zéro déchet
Pourtant, aucun d’entre eux n’imagine un instant renoncer. Mountain Riders maintient même son objectif ambitieux de zéro déchet sauvage en montagne en 2030. Afin de relever le défi, elle a notamment édité une charte que les collectivités locales, les fédérations professionnelles ou les sociétés gestionnaires de stations de ski sont invitées à adopter. L’association s’engage à accompagner les signataires dans la mise en œuvre d’un plan d’action visant à abaisser leur production de déchets. Pour l’heure, 150 structures ont intégré le dispositif, et des expérimentations voient peu à peu le jour. Ainsi, certaines stations ont commencé à instaurer des espaces sans tabac et à déployer des collecteurs de mégots. Des communes ont installé des fontaines à eau et incitent les touristes à utiliser des gourdes plutôt que d’acheter des bouteilles en plastique. D’autres ont promis de tirer moins de feux d’artifice dans l’année, de façon à limiter la quantité de résidus métalliques générés par ces spectacles pyrotechniques…
Des professionnels s’engagent également. Par exemple, des restaurateurs ont disposé sur leurs tables des sucriers pour remplacer les dosettes individuelles, tandis que d’autres accompagnent désormais leurs cafés de meringues faites maison plutôt que de carrés de chocolat emballés. D’autres encore ont adopté des systèmes d’écocups (des gobelets réutilisables) à la place des canettes en aluminium. Des actions sont aussi menées à destination des acteurs de la construction : il faut qu’ils prennent conscience de l’importance d’attacher leurs matériaux, afin d’éviter qu’ils ne s’envolent, et de remporter ceux qu’ils n’ont pas utilisés. Si elles sont rares et doivent prouver leur faisabilité, ces bonnes pratiques ont le mérite d’exister.
Le fléau des mégots
Reste également à faire comprendre aux millions de visiteurs qui fréquentent les massifs tous les ans que tous leurs gestes comptent et que le moindre déchet, aussi anodin ou petit soit-il, a un impact sur l’environnement. C’est le cas des papiers. Outre la pollution visuelle qu’ils génèrent, mouchoirs et papier-toilette peuvent mettre jusqu’à un an avant de disparaître. Or, prévoir un contenant pour ne pas les abandonner dans la nature n’a rien d’insurmontable. Quant aux mégots, en dépit de leur apparence inoffensive, ils nécessitent entre 5 et 10 ans pour se dégrader. Surtout, en se décomposant, ils rejettent des substances toxiques, dont l’arsenic et l’ammoniaque, qui polluent les sols et l’eau. World Cleanup Day France affirme en avoir ramassé plus de 8 millions en 2024 ! Un chiffre à la fois élevé et dérisoire par rapport aux 7,7 milliards de mégots jetés par terre chaque année dans l’Hexagone, selon l’Agence de la transition écologique (Ademe).
L’enjeu est pourtant de taille. « Quel que soit l’endroit où l’on se trouve, il est important de ne laisser aucune trace de son passage. Mais ça l’est encore plus en montagne, car c’est là que débute le cycle de l’eau, conclut Marion Bouhet, de Mountain Riders. Diminuer les déchets sauvages sur les hauteurs, c’est limiter leur présence en aval, dans les rivières, dans les fleuves et le milieu marin. »
Agissons ensemble pour nos montagnes. Nous sommes une association d’éducation à la transition écologique fondée en 2001.
Pays de grasse, cannes et la Casa
Au Cannet, l’association d’aide aux malvoyants Valentin Haüy a fêté ses 90 ans.
Nos bénévoles, voyants et non-voyants sont à la recherche de renfort pour soutenir notre développement.
Quelle est la mission principale ?
Accueillir les personnes qui perdent la vue pour les aider dans la vie quotidienne à se déplacer en sécurité, à utiliser leur téléphone et à lire. Elles participent à des activités adaptées qui visent à rompre la solitude, retrouver une vie sportive, culturelle ou artistique en partageant des moments agréables.
Nous avons établi de solides relations avec les communes pour leur offrir notre expertise. En participant aux commissions dans l’action sociale et rendre villes et bâtiments publics plus accessibles et sécurisés. Nos séances de sensibilisation dans les établissements scolaires pour montrer à la jeunesse comment aider les personnes aveugles et malvoyantes sont aussi très appréciées.
Notre grande évolution est de rapidement monter en compétence dans l’informatique spécialisée et pouvoir conseiller et former nos bénéficiaires dans la vie inondée par les applications numériques.
Des objectifs pour l’avenir ?
Le monde évolue très vite. Nous cherchons les moyens de faire des projets innovants.
Nos formateurs étudient ainsi la puissance des nouvelles technologies comme l’intelligence artificielle pour rendre la vie plus accessible.
"Chaque année, nous décomptons environ 2000 bateaux supplémentaires lors de nos campagnes d'information" . Jamila Poydenot est coordinatrice de la campagne Écogestes Méditerranée de l'association Inf'eau mer qui s'est donné pour mission de diffuser auprès des plaisanciers, les bons gestes à adopter..
Ancrage: protégez les herbiers de posidonie
Les herbiers de posidonie sont de véritables poumons sous-marins et un habitat essentiel pour de nombreuses espèces. Un ancrage malheureux peut arracher ces herbiers marins… qui malheureusement ne repoussent pas.
Avant de partir, téléchargez les applications gratuites Donia ou Nav&Co. Elles fournissent des cartes détaillées des herbiers marins et des zones de mouillage autorisées.
Une fois sur place, repérez les zones de sable. "Si vous n'avez pas d'application, fiez-vous à la clarté de l'eau, explique Jamila Poydenot. Les fonds clairs indiquent généralement du sable, tandis que les zones sombres sont souvent des posidonies".
Enfin, pour un mouillage respectueux, la ligne de mouillage (chaîne et cordage) doit faire au minimum cinq fois la profondeur à laquelle vous vous trouvez, afin de laisser du mou. Quand vous remontez l'ancre, faites-le verticalement. "Lorsque vous quittez la zone de mouillage, mettez votre bateau à l'aplomb de l'ancre et remontez-la à la verticale. Cela évite de la faire "raguer" sur le fond marin et de l'endommager".
À Cannes, au Cannet, à Nice, à Villeneuve-Loubet et dans le reste du département, plus de 60 ânes de Provence sont mis à disposition des municipalités et des particuliers par l'association Anesterel. Dix mois par an, ils débroussaillent des parcelles.
Depuis le début de la saison estivale, plusieurs incendies se sont déclarés en région Sud et dans le département des Alpes-Maritimes. Pour réduire les risques de feux de forêts, les ânes de l'Anesterel débroussaillent des parcelles communales et privées.
En mangeant les racines des plantes et grâce à leur piétinement, les ânes luttent aussi contre les plantes invasives et régénèrent les sols. À La Croix-des-Gardes à Cannes, par exemple, Flica et Olympe, deux ânes, sont mis à disposition de la municipalité par l'association depuis mars et jusqu'à décembre. Ils réduisent considérablement la quantité de mimosas, une espèce invasive et facilement inflammable.
À quelques rues de La Croix-des-Gardes, une particulière bénéficie des ânes de l'association. Cette maison dispose d'un jardin de deux hectares. "Il y a deux ans, il y a eu un incendie et le travail des ânes a permis de contenir le feu", explique Nicolas Turiaf, le fondateur de l'association.
Une solution économique et écologique
L'association Anesterel est née il y a 17 ans. Un ancien pompier volontaire a constaté que beaucoup de personnes ne pouvaient pas se permettre de payer de quoi débroussailler, un acte pourtant obligatoire. C'est pourquoi il a décidé de proposer une "solution économique et écologique".
Les ânes ont l'avantage de manger 25 kg de végétaux par jour, et ce, 20 heures sur 24. Ils permettent également de débroussailler tout l'été, alors que les machines sont interdites d'usage dès le 1er juillet.
Les particuliers, comme les municipalités, peuvent solliciter l'association pour un coût de 390 euros par mois. Un montant qui couvre uniquement les vivres et les soins des ânes, en aucun cas de faire du bénéfice.
L’antenne cannoise des Petits Frères des pauvres tire la sonnette d’alarme. Entre les bénévoles qui partent en vacances, ceux qui se redéploient pour pallier les absences et les nouvelles personnes isolées signalées, les quarante-cinq bénévoles actuellement engagés ne suffisent plus.
L’antenne suit trente-quatre personnes. Mais elle en compte huit sur liste d’attente. "Nous les appelons et leur demandons de patienter. Mais ce n’est pas l’idéal…", livrent Joëlle et Hélène, de l’équipe d’animation.
Inquiétant en effet, de même que l’effectif des bénévoles qui est en baisse depuis 2023. "Nous voulons juste rappeler qu’accompagner des personnes isolées n’est pas compliqué: il suffit d’être à l’écoute", reprécise Paul Simonet, responsable de l’antenne.
Disponibilité souvent limitée
La majorité des bénévoles sont en activité professionnelle, et leur disponibilité est souvent limitée. Pourtant, la solidarité et la volonté d’agir localement restent fortes. C’est sur cette motivation que l’antenne cannoise souhaite s’appuyer pour relancer l’engagement citoyen.
En 2024, dix-neuf signalements de situations d’isolement ont été reçus par l’association — contre quatorze en 2022. Près de 70% de ces alertes proviennent des services sociaux. La moitié a déjà débouché sur des accompagnements concrets: visites, appels réguliers, moments partagés.
Un peu de temps pour changer une vie
Les Petits Frères des pauvres proposent un accompagnement bienveillant et formé, pour permettre à chacun de s’engager à son rythme, selon ses disponibilités et ses affinités. " Il ne s’agit pas de faire beaucoup, mais de faire avec cœur", résume Paul Simonet.
L’association cherche aujourd’hui des femmes et des hommes de tout âge, prêts à consacrer quelques heures par mois pour rompre l’isolement des aînés.
Écouter, partager un café, marcher ensemble, fêter un anniversaire, simplement être là — des gestes simples, mais essentiels. Parce qu’aucune personne âgée ne devrait finir seule...
Les Petits Frères des pauvres, 17-19 rue Haddad-Simon, 04.93.99.89.66.
Formation en environnement avec des stages sur les thèmes oiseaux, mammifères, insectes, amphibiens, flore, entreprise et biodiversité, collectivité et biodiversité, éducation et biodiversité
Découvert par vidéo de Partager c'est sympa de juillet 2025
Les gestes sont précis et très délicats. Pour ne pas abîmer les plumes de l’oisillon qui tient dans le creux de sa main, Manon Prazuc, munie de gants ouvre délicatement son bec. Puis, à l’aide d’une pipette, la soigneuse donne à manger au martinet une bouillie de grillons et de vers. Epaulée par Sandra et Mireille, des bénévoles. Elles se relaient de 8 heures à 19 heures.
"On les nourrit toutes les deux heures, et, pour les plus jeunes c’est toutes les heures. Car les martinets ne peuvent pas manger tout seuls. Ici on supplée les parents pour qu’ils ne dépérissent pas. Et dans la nourriture on rajoute des suppléments vitamines, calcium", explique Alice Brunet, vétérinaire et présidente de l’association Totem Paca.
Blottis les uns contre les autres
Dans le centre relais de Cuers (Var), ouvert en urgence il y a une dizaine de jours, les poussins, se requinquent. A l’intérieur de grandes boîtes, posées sur des étagères das une pièce au calme, des petites cabanes en carton ont été fabriquées par Manon. "Ils adorent," sourit Alice Brunet.
Blottis les uns contre les autres, ils se nichent dans ces minuscules abris. "On essaie de reproduire un peu les conditions de leurs nids, mais évidemment ils ne sont pas dans leur environnement naturel donc ils sont assez stressés."
Plus de 220 poussins ont déjà été accueillis, dans le centre, aménagé dans l’aile d’un mas provençal au milieu des pins et des vignes.
Jusqu'à 50°C sous les toits
"On reçoit encore des dizaines d’appel tous les jours, d’habitants qui trouvent des martinets au sol. Les oisillons se jettent du nid, avant d’être en capacité de voler, pour ne pas mourir de chaleur, explique Alice Brunet. C’est une situation inédite par son ampleur. Elle est due à une canicule précoce, avec des températures records enregistrées depuis le 25 juin. A Toulon on a dépassé 43°C, sous les toits où ils nichent ça dépasse les 50°C."
Alors, dans le Var, les Alpes-Maritimes… Partout ces oiseaux migrateurs "tombent du ciel".
Et les SOS affluent.
"Cette espèce a la particularité de ne se poser que pour nicher: elle possède de toutes petites pattes qui ne lui permettent pas de sautiller ou se poser comme les autres oiseaux. Ainsi, un martinet au sol est forcément en détresse", explique la Ligue pour la protection des Oiseaux Paca.
Un vaste élan de solidarité
Face à l’urgence, l’association Totem Paca a lancé un appel sur sa page facebook. Et les renforts n’ont pas tardé à arriver. "On a réussi à mobiliser une quarantaine de bénévoles, qui viennent nous aider à nourrir les 150 martinets."
Sandra fait partie de cette "task force" qui permet aux oisillons de reprendre des forces. "Je ne me suis jamais occupé d’oiseaux, mais je veux être utile", glisse la jeune femme qui suit attentivement les consignes de Manon, la soigneuse.
De son côté, la mairie de Toulon a débloqué des fonds. "On a alloué 3.600 euros pour aider l’association à faire face aux coûts de cette situation d’urgence", note Clémence Mounier, conseillère municipale à Toulon en charge de l’animal en ville.
Tandis que l’association "Martinets d’ici et d’ailleurs", a remis lundi un chèque de 3.000 euros à Totem Paca pour soutenir son action.
"On a besoin de 3 à 4kg de grillons et de vers par jour pour l’alimentation des oisillons" note encore Alice Brunet.
Une fois que les martinets sont en capacité de voler, ils sont relâchés dans la nature. "On attend qu’ils pèsent entre 40 et 50 grammes, ce qui correspond à leur poids de forme."
Une cinquantaine d’entre eux se sont ainsi élancé dans le ciel. Non loin du centre d’urgence, dans un champ situé en bordure de vignes, Alice Brunet les aide à prendre leur envol. "Une fois requinqués, les martinets sont autonomes. Ils savent instinctivement se nourrir d’insectes, donc ils sont sauvés."
Dons, bénévolat, comment aider?
Pour venir en aide aux martinets, vous pouvez devenir bénévole au sein de l’association, qui doit faire face à une situation de crise. L’inscription s’effectuer par mail à l’adresse suivante:
contact@assototem.com
L’association lance un appel aux dons. Elle a ouvert une cagnotte en ligne.
Pour soigner et nourrir un martinet jusqu’à ce qu’il soit relâché, il faut compter 15 euros. "Les dons sont défiscalisés à 66%, seul 5,10€ resteront à votre charge après déduction d’impôts", souligne encore Alice Brunet.
Avant de lister le matériel dont ils ont également besoin: congélateur pour conserver la nourriture, caisses plastique 40×60cm, lampes et tapis chauffants, balances de cuisine, serviettes, sopalins, journaux, désinfectant Virkon®, tréteaux, tables, éponges, petits contenants…
Que faire si on trouve un martinet au sol?
Le placer délicatement dans un carton tapissé de tissu.
Garder le carton au frais, au calme.
Ne pas nourrir ni abreuver l’oiseau: son bec est extrêmement fragile.
Contacter immédiatement SOS Faune Sauvage. Tél: 04 83 65 02 79. De préférence par message whastapp assorti d’une photo de l’oiseau, ou par appel téléphonique.
Cagnotte pour vitrine réfrigérée https://www.leetchi.com/fr/c/remplacement-chambre-froide-et-vitrines-refrigerees-3633086#MoneyPot--Description
Antibes est la première ville en France à signer la charte pour la préservation de l'eau de l'association Valhor. La charte engage la ville à planter des végétaux peu gourmands en eau bien sûr mais aussi à utiliser les espaces verts pour éviter les inondations et autres gros ruissellements.
Trouvez une mission de bénévolat dans une association, organisation publique ou une collectivité territoriale, sur le terrain ou à distance. Plus de 20 000 missions disponibles partout en France dans 10 domaines d'action : solidarité, insertion, éducation, environnement, santé, sport, culture ...
Soutenez le fonctionnement du Centre de Soins pour la Faune Sauvage des Alpes-Maritimes ! Bonne nouvelle : le centre de soins pour la faune sauvage des...
L'Arche à Grasse propose un accompagnent de personnes en situation de handicap mental à travers un concept de vie partagée.
foodwatch fait la lumière sur les pratiques nuisibles de l‘industrie agroalimentaire et lutte pour le droit des consommateurs de se voir proposer des aliments de qualité.
Découvert par article
https://www.francebleu.fr/emissions/la-belle-histoire/cette-azureenne-vient-en-aide-aux-chiens-dans-le-besoin-2291193#xtor=RSS-106
L’association Au Plaisir Sam and Co, vient en aide aux personnes sans-abris à Cannes. L’équipe se lance un nouveau défi : acheter un camion pour venir en aide aux animaux errants de la ville.
Aider les plus démunis, c’est le combat de Sandrine Rousseau, présidente de l’association Au Plaisir Sam and Co.
Depuis 2024, l’association organise des maraudes avec une dizaine de bénévoles dans les rues cannoises. Sur le terrain, Sandrine pointe les nombreuses difficultés rencontrées par les propriétaires pour soigner leurs animaux.
Sandrine décide avec son équipe, de monter un nouveau projet : acheter un camion pour soigner les animaux dans la rue.
Un projet de camion itinérant
Car pour Sandrine, pas de différence entre les « Humains » et les animaux. Les soins et la bienveillance sont pour tout le monde.
Et son amour des bêtes est même tatoué sur son avant-bras.
« Tous ces chiens de la rue que nous avons rencontré font partie de notre petite famille et pour nous l’essentiel, c’est qu’ils soient bien traités. Les animaux ne doivent pas payer la facture à cause de la situation de leurs maîtres ».
Le budget de ce projet est assez conséquent : entre 10 et 20 000 euros pour l’achat d’un camion pompier réformé. Pour l’aménagement du véhicule, un budget de 3 000 euros a été estimé.
La somme permettrait de créer un espace d’accueil et de rangement pour les soins (médicaments, vaccins, accessoires vétérinaires… etc).
Avec ce camion, l’association prévoit de fournir les soins de première nécessité, mais aussi faire de l’identification et du vermifuge. L’équipe souhaiterait également faire appel à des vétérinaires bénévoles, pour délivrer des traitements.
Vous pouvez aussi venir aider l’association, en participant ponctuellement aux prochaines maraudes organisées sur Cannes. Rendez-vous sur leur page Facebook, Maraude 06 , Sam & Co.
La voile comme outil de prévention et d'accompagnement du burn-out chez les soignants. Régate + Parcours. Marseille, Sables d'Olonne
https://www.nicematin.com/sante/-guerir-en-mer-prendre-le-large-pour-mieux-soigner-988399
Prendre soin de ceux qui soignent
L’association "Guérir en mer" est née à Marseille, avant de se déployer à travers la France. Dans les Alpes-Maritimes, fondée en 2024 par Cyril Eininger, coordinateur de la Communauté professionnelle territoriale de santé (CPTS) "Pays de Lérins" et passionné de voile, elle repose sur une conviction simple: pour prendre soin des autres, les soignants doivent déjà prendre soin d’eux.
L’association offre gratuitement aux professionnels de santé la possibilité de larguer les amarres et de s’évader quelques heures en voilier, loin du tumulte hospitalier. Son objectif est clair: prévenir et accompagner le burn-out, rompre l’isolement, et recréer du lien ainsi qu’un esprit de collectif entre soignants, qu’ils soient hospitaliers ou libéraux.
Plus d’infos sur: guerirenmer.com
Fake Hair Don't Care est une association qui recueille vos dons de cheveux et créé des perruques pour les rendre plus accessible aux personnes atteintes d'un cancer