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Lancée il y a seulement quelques mois par l’entrepreneur cannois Christophe Demarest, l’application Save me a franchi les 1.000 utilisateurs. Pour rappel, elle permet d’avoir de nombreux numéros d’urgences – médicales, police secours, pompiers, médecin de garde, femmes victimes de violences, etc. – à portée de main, regroupés au même endroit dans son téléphone. Accident de voiture, chute, harcèlement de rue… L’application permet donc d’alerter, en un temps record, soit les secours, soit des contacts prédéfinis en cas de danger, avec la possibilité de partager sa position.
S’adressant tout d’abord aux particuliers, l’appli vient de franchir un nouveau cap en proposant aux mairies d’offrir un abonnement à leurs administrés. Une opportunité que la mairie de Pégomas vient d’ailleurs de saisir. C’est la première.
" Ça permet de gagner du temps"
Pour la maire Florence Simon, cette application permettrait à la mairie d’avoir une meilleure réactivité. "J’ai un Messenger qui fonctionne très bien, les Pégomassois sont déjà axés sur une communication en direct. Si on me signale un désordre sur une route, je vais tout de suite transférer le message." Save me permettrait d’éviter cette intermédiaire et d’alerter directement les services concernés. "Ça permet de gagner du temps, d’être au plus près des administrés et d’avoir plus de réactivité."
Avec cette application, les Pégomassois pourront, en temps réel, prévenir la mairie de différents problèmes et partager leur géocalisation: panne d’eau, d’électricité, éboulement… Les "alertes" sont personnalisables par chaque mairie. "Je veux qu’on puisse être alerté même s’il y a trois cailloux sur la route: un motard peut se tuer dessus."
"Rendre le plus de services en direct aux administrés"
L’alerte envoyée via l’application arrivera aux services concernés. Les vols et les cambriolages seront signalés à la police, par exemple. Et si, justement, il reste quelques détails à peaufiner (notamment quelles alertes mettre en place, car chaque mairie peut les personnaliser), le lancement de l’application auprès des Pégomassois devrait s’effectuer " le plus vite possible. On va lancer ça courant octobre, dans la première quinzaine. En attendant, on va réfléchir à comment nous, on va pouvoir développer et exploiter l’application, pour rendre le plus de services en direct aux administrés."
Chaque habitant bénéficiera d’un abonnement, qu’il pourra activer grâce à un code, que la mairie transmettra via de nombreux canaux: réseaux sociaux, newsletter…
Application Save me, disponible sur Apple Store et Android. Gratuit avec pub (bandeau publicitaire), payant à 1,99 euro par mois. https://save-me.me/fr
Instagram: saveme.app; Facebook: SaveMe.
Une femme qui se fait prendre à parti lourdement par un homme dans un transport en commun à une heure de pointe; une autre qui, dans la rue, essuie des remarques sexistes outrancières sous les yeux des passants… Dans tous ces cas, tristement banals, pourquoi les témoins de la scène n’interviennent pas ou rarement?
La faute à l’effet spectateur, qui inhibe notre capacité à agir quand on est plusieurs à assister à une scène qui nécessiterait d’intervenir.
Depuis 20 ans, l’enseignante-chercheuse Peggy Chekroun, directrice de l'équipe psychologie sociale des comportements et cognitions au sein de l’université Paris-Nanterre, étudie ce phénomène, étayé par une expérience scientifique menée en 1968 par des scientifiques américains en réaction à un fait divers sanglant.
Dans la nuit du 13 mars 1964, Kitty Genovese, serveuse à New-York, est violée et poignardée à mort au pied de son immeuble. Au New-York Times, les forces de l’ordre indiqueront avoir les noms de 38 témoins ayant assisté à la scène sans bouger le petit doigt.
Décryptage d’un processus, toujours d’actualité.
Qu'est-ce que l’expérience menée en réaction à ce fait divers met-elle en évidence?
Les chercheurs Bibb Latané et John Darley ont fait venir des participants dans un laboratoire pour échanger via des moyens de communication de l’époque (un casque et un micro) dans des box séparés.
L’expérience consistait alors à faire varier le nombre de "participants". Parmi eux, il y avait en réalité un seul vrai participant et des complices, recrutés pour l'expérience, qui échangeaient à distance. La discussion était tantôt entre deux, trois ou six personnes.
"Dès lors qu’on est plusieurs témoins à assister à une agression, un malaise ou un simple problème, on va moins être enclin à aider", Peggy Chekroun
Au bout d’un moment, l’un des faux participants, qui s’était initialement présenté comme souffrant d’épilepsie, simulait un malaise.
L'objectif de l'expérience était de mesurer ce que le seul vrai participant allait faire: sortir de son box pour essayer d’intervenir ou pas? Si oui, au bout de combien de temps?
L’expérience a démontré que plus le groupe de témoin est grand, moins le participant intervient et plus le délai pour intervenir est long.
Elle met en évidence que, dès lors qu’on est plusieurs témoins à assister à une agression, un malaise ou un simple problème, on va moins être enclin à aider.
Quels sont les processus psychologiques qui nous poussent à ne pas intervenir?
Le premier, c'est la diffusion de la responsabilité. Quand on est nombreux à assister à une scène où il faudrait aider, la responsabilité qui incombe à chacun est moins grande que quand on est le seul témoin. Quand je suis seule, cette responsabilité m’incombe à 100%. Quand on est deux, celle-ci passe à 50-50.
D'autres facteurs ont été mis en évidence, comme l’influence sociale basique. Souvent, les situations d’urgence sont un peu ambiguës et les témoins peuvent se demander: est ce que c'est vraiment une urgence? Est-ce que c'est la meilleure façon d’intervenir? Est-ce que c'est une agression ou juste un couple qui se dispute? Car dans ce dernier cas, les normes sociales nous disent que ce n’est pas à nous d’intervenir.
"Dans les situations ambiguës, on va avoir tendance à regarder les réactions des autres", Peggy Chekroun
Dans les situations ambiguës, on va avoir tendance à regarder les réactions des autres. Mais ce à quoi l’on ne pense pas à ce moment-là, c’est que les autres ont les mêmes mécanismes psychologiques que nous et donc font la même chose. D’où ce laps de temps où il ne se passe rien, de plus en plus grand à mesure qu’on est nombreux.
Connaître ce fonctionnement-là de notre cerveau suffit-il à pouvoir le contourner pour agir en tant que témoin?
Ce n’est pas vraiment étayé. Une étude, menée il y a quelques années, consistait à faire venir des gens dans un labo pour leur expliquer l’effet spectateur. À l'issue, dans l’ascenseur, quelqu'un faisait tomber ses affaires et les gens ne faisaient pas le lien avec ce qu’ils venaient d’apprendre et mettaient autant de temps à intervenir.
Moi qui travaille depuis plus de 20 ans sur ce phénomène, il m’arrive néanmoins de l'expérimenter personnellement. Au bout de quelques secondes, je m’en rends compte. Le fait d'en avoir conscience peut amener à couper plus vite les cercles vicieux mais, dans un premier temps, cela ne suffit pas à l’éviter.
Existe-t-il des moyens pour court-circuiter l’effet spectateur?
Ce qui peut le rompre, c'est le fait de se sentir responsable, capable: si quelqu'un tombe et se blesse devant moi dans la rue et que j'ai un diplôme de secouriste; si je vois quelqu'un se faire arracher un sac et que je suis policier pas en service… Je me sens alors plus légitime pour intervenir.
Dans le cas des outrages ou agressions sexistes ou sexuelles dans l’espace public, malheureusement, la clé repose beaucoup sur la victime. Car l’effet spectateur est alimenté par l'ambiguïté de la situation. Quand celle-ci est rompue, l’effet spectateur est court-circuité. Il ne faut donc pas hésiter à appeler à l'aide, voire à pointer explicitement quelqu’un du doigt en disant "venez m’aider!", même si c’est embarrassant.
"Quand on donne des clés, qu’on explique aux gens que c’est de leur responsabilité d'agir, cela peut marcher", Peggy Chekroun
Mais informer sur ces mécanismes, c’est important pour la prise de conscience. Tout comme former les gens à comprendre qu'une situation d'urgence est urgente. Il y a quelques années, une campagne gouvernementale disait explicitement: "si vous entendez des cris bizarres chez vos voisins, n’hésitez pas à appeler tel numéro". Cela permet de couper cet effet spectateur qui consiste à dire: "je ne vais pas me mêler de ce qui se passe chez mes voisins".
Quand on donne des clés, qu’on explique aux gens que c’est de leur responsabilité d'agir, cela peut marcher. C’est du ressort des pouvoirs publics, des médias, des campagnes de sensibilisation… Quand vous entendez une femme qui hausse le ton dans un transport public ou qui essaie de s’écarter, oui, c’est très probablement parce qu’elle est victime d’une agression. Et oui, vous devez l’aider. Il faut essayer au maximum de lever tous ces freins cognitifs.
Existe-t-il des profils cognitifs plus à même d'aider?
Aucune étude consolidée ne le prouve. Des travaux montrent que les femmes subissent moins l’effet spectateur car elles seraient plus dans l'empathie; d’autres, inversement, que ce serait les hommes. Globalement, il n’y a pas de profil de gens qui aident et d’autres qui n'aident pas, aucunes données fiables n’existent à ce sujet.
Ce qu'on sait, c’est que les gens qui ont un rôle social particulier de par leur fonction, leur formation ou leur métier, se sentent davantage compétents et donc responsables pour agir.
Elle s’appelle Théa Serfaty, elle est Niçoise, étudiante en communication à Paris et déjà fondatrice de Politique Médiatique.
Un média qui invite au débat public. "Sa volonté est d’être le porte-voix entre citoyens et industriels. Ouvrir la discussion sur des sujets sensibles où il est difficile aujourd’hui d’obtenir des réponses transparentes de la part d’industriels d’envergure."
Le premier débat organisé, depuis Paris, filmé et diffusé gratuitement sur la chaîne Youtube de Politique Médiatique, portait sur la mobilité de demain. Il a mobilisé Transdev, Flexibus et Trainline. Comment cela fonctionne-t-il? Un appel à questions est lancé via les réseaux sociaux et un algorithme va choisir les citoyens qui participeront au débat, tandis qu’un public d’une dizaine de personnes peut être invité sans pouvoir interagir.
https://www.youtube.com/watch?v=8Iuuvn_68h0
Le tabac ne sera plus tabou
"Nous sélectionnons un certain nombre de questions qui permettent de balayer le sujet et de mieux cerner ces industries. Le prochain débat est filmé ce 16 septembre. Il sera diffusé sous vingt jours. C’est une première: nous faisons venir quelques grands noms de l’industrie du tabac: Philip Morris, British American Tobacco et Seita Imperial Tobacco. Des questions sur la communication invisible à mener quand on vend du tabac, leur politique RSE, le plan santé, les taxations, l’avenir de l’industrie... Nous avons hâte."
Politique Médiatique est pour l’heure une association où tous les contenus sont proposés gratuitement « pour toucher tous les publics ». Transformer l’association en société et monétiser les vidéos sera peut-être envisagé plus tard. Politique Médiatique fait son petit bonhomme de chemin avec des teasers qui dépassent les 100.000 vues sur Youtube.
Objectif de Théa Serfaty? "Eclairer le citoyen en le faisant participer au débat et pourquoi pas essayer de changer le monde." Voilà. Sans filtre.
C’est une expérimentation qui pourrait faire des émules si elle fonctionne.
La Ville a voté, lors du dernier conseil municipal, la création d’un conseil de quartier responsable d’un budget participatif.
C’est le secteur Tassigny, Beauvallon, Petit Juas, Saint-Louis, Saint-Jean et avenue de Grasse qui a été choisi pour mener cette grande première.
Concrètement, la Ville va allouer 50.000 euros à cette nouvelle structure, composée d’habitants représentant la population.
Ce seront eux qui proposeront des projets visant à améliorer le cadre de vie des quelque 5.300 foyers et commerces concernés.
Culture, environnement, sport et famille
Les conditions de ces futures réalisations? Être gratuit pour les usagers, présenter un intérêt général pour le quartier et s’inscrire dans les thématiques suivantes: culture, environnement, sport, famille et cadre de vie.
Un courrier d’information devrait être adressé prochainement aux habitants pour présenter le dispositif et les modalités.
Les riverains pourront ensuite candidater.
Quelles conditions?
À condition d’être majeur, de résider, d’être scolarisé ou d’exercer une activité dans le secteur, d’être inscrits due les listes électorales.
Au total, le conseil sera composé de vingt personnes maximum reparties en deux collèges, pour une durée d’un an.
Les projets proposés seront étudiés par la Ville afin de valider la faisabilité juridique, technique et financière.
L’un est sapeur-pompier, l’autre cardiologue. Le cœur de leur métier, c’est sauver des vies. Et tous deux militent sans relâche et depuis des années pour combattre une réalité dramatique: chaque année, des milliers de personnes victimes d’un arrêt cardiaque meurent, faute de gestes ou d’actions adaptées.
"Parmi les 15.000 à 20.000 décès pour ce motif dénombrés chaque année en France, beaucoup sont imputables à l’absence d’intervention ou à des actions inappropriées de la part des premiers témoins", martèle le commandant Philippe Cecconi, infirmier anesthésiste sapeur-pompier.
"Moins de 4% des Français victimes d’un arrêt cardiaque sont aujourd’hui ‘‘ressuscités’’, contre 35 à 45% dans d’autres pays, en grande partie grâce à l’intervention efficace de témoins", complète le Dr Claude Mariottini, cardiologue à l’Institut Arnault-Tzank de Saint-Laurent-du-Var et président de l’association 20.000 vies.
Une fois encore, ils appellent les citoyens à se mobiliser en s’inscrivant sur l’une ou l’autre des applications capables de sauver des vies, à commencer par Staying Alive.
Pourquoi est-ce aussi essentiel de s’inscrire sur ce type d’appli?
Grâce à l’application, on a accès à une carte des défibrillateurs les plus proches, mais on permet aussi aux services d’urgence de déclencher les sauveteurs de proximité, "les bons samaritains" en cas d’arrêts cardiaques. Or, dans les faits, il n’y a pas assez de personnes qui s’inscrivent sur les applications qui permettent de sauver des vies ou passent à l’acte.
Pourtant, le délai d’intervention est crucial dans ces situations
Absolument. Les services de secours arrivent sur les lieux en moyenne 7 minutes plus tard, mais il est fréquent, notamment lorsque l’accident s’est produit dans un lieu très éloigné, que ce delta temps soit beaucoup plus important.
Il est alors trop tard?
Généralement, on dit qu’au-delà de 4 à 5 minutes d’arrêt du cœur, si on ne fait rien, les lésions cérébrales sont irréversibles; on a donc un délai très court pour réaliser les premiers gestes et/ou poser un défibrillateur. Et il faut savoir que, statistiquement, dans 70% des cas de mort subite, il y a un ou des témoins.
Un témoin doit-il s’empêcher d’intervenir si le délai de 5 minutes est dépassé?
Non, dans la mesure où il peut se produire des faits étonnants; il arrive ainsi que des personnes, dont le cœur a été à l’arrêt pendant un temps assez long, reviennent très vite à la vie quand on les masse. À l’opposé, malheureusement, certaines, même massées précocement, ont des séquelles au niveau cérébral.
Vous vous êtes beaucoup mobilisés pour augmenter le parc de défibrillateurs. Quelle est la situation aujourd’hui?
Il y a de plus en plus de défibrillateurs dans les lieux publics. La nouvelle urgence, c’est qu’il y en ait davantage à proximité des domiciles, en particulier dans toutes les copropriétés.
Pourquoi est-ce si important?
La majorité des morts subites se produisent au domicile. Si dans la cage d’escalier, à côté de l’extincteur, se trouve un défibrillateur, un proche, un voisin, peut intervenir en moins de 5 minutes.
Un message en conclusion?
Il n’y a pas assez de passages à l’acte des témoins, pas assez de personnes formées et inscrites sur les plateformes de citoyens sauveteurs; il faut qu’on incite le public à le faire, pour que lorsque les secours déclenchent un appel à agir, ils aient du répondant. Aujourd’hui, quand les sapeurs-pompiers déclenchent ce type d’appel, au mieux, obtiennent-ils une, deux ou trois réponses.
Et il faut rappeler ces chiffres terribles; en cas de gestes inadaptés, de non-recours à un défibrillateur dans les premières minutes, le taux de survie est de 3%. Avec pour ces 3%, un risque majeur de séquelles neurologiques très graves. Par contre, si on fait ce qu’il faut, ce taux de survie grimpe à 30, 40% voire au-delà. C’est énorme. En France, l’hôpital, les pompiers viennent à votre chevet vous soigner. Mais à condition qu’ils y aient des personnes à proximité. Sinon, on ne sert à rien.
Pour devenir Bon Samaritain, vous devez simplement télécharger l’application Staying Alive, disponible sur Google Play (Android) et l’App Store (iOS), et vous inscrire.
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Découvert par Article Nice Matin https://abonnes.nicematin.com/article/a-lieuche-comment-tanguy-en-erasmus-rural-aide-a-redynamiser-le-village-783352
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En cas d'événements climatiques majeurs, comme la tempête Alex en octobre 2020, la préfecture des Alpes-Maritimes pourra s'appuyer sur des volontaires internationaux pour un soutien opérationnel sur le web.
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COMMENT ÇA MARCHE ?
1 - SIGNALER
Vous signalez la route dangereuse en renseignant le lieu le plus précisément possible. Vous avez la possibilité de décrire l’endroit dangereux : cela nous permettra de mieux évaluer le problème. Vous pouvez également joindre une photo à votre signalement. Votre signalement sera par la suite modéré puis vérifié.
2 - PARTAGER
Une fois le signalement validé, c’est le moment de faire connaître notre initiative en la partageant sur les réseaux sociaux ! Nous avons besoin de l’aide de tous pour répertorier les routes dangereuses qui nécessitent d’être remises en état. Faites passer le mot sur Twitter [#JaiMalaMaRoute](http://jlionne.com/shaarli/./add-tag/JaiMalaMaRoute)
3 - RÉPARER
« 40 millions d’automobilistes » transmet les signalements des routes dangereuses aux autorités en charge de l’entretien des routes afin que les travaux nécessaires soient engagés. Le classement des routes dont l’état est le plus alarmant sera établi par l’association.
« 40 MILLIONS D’AUTOMOBILISTES » S’ENGAGE
L’association « 40 millions d’automobilistes » intervient dans l’ensemble des débats de fond lié à l’usage de l’automobile, notamment face aux grands enjeux sécuritaires. Ainsi, parmi les nombreuses missions qui nous incombent, nous avons souhaité nous attaquer aux problèmes que représente un réseau routier mal entretenu. Pour cela, nous avons besoin de l’aide de tous pour répertorier les routes dangereuses afin de remédier aux risques d’accidents liés à une infrastructure routière négligée.
En signalant les routes délabrées et dangereuses que vous connaissez sur ce site, vous nous permettez d’établir la longue liste des travaux nécessaires à engager pour restaurer les infrastructures routières. En pointant du doigt les différentes routes dangereuses, les autorités en charge de l’entretien des routes ne pourront plus prétendre ignorer les problèmes de sécurité qui sévissent. Nous veillerons à ce que les travaux nécessaires soient entrepris.
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Dépenses publiques : où va l'argent ? https://www.aquoiserventmesimpots.gouv.fr/depenses-publics
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Les données de la performance permettent de visualiser facilement au moyen d’indicateurs de performance, les objectifs poursuivis et leurs résultats, pour chacune des grandes politiques publiques financées par l’État en 2018.
Cette démarche, qui s’inscrit dans le cadre de la revalorisation de la loi de règlement, vise à compléter l’analyse des documents budgétaires, dans le but d’éclairer le débat en cours sur les finances publiques et sur la transformation de l’État.
Source budget.gouv.fr
La plateforme des finances publiques,
du budget de l’État et de la performance publique
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