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Découvert par https://www.quechoisir.org/actualite-reparation-un-malus-pour-le-bonus-n172484/
Depuis mai 2025, DJ Baguette propose un Tour de France des boulangeries, en posant ses platines au milieu des pains et croissants. Cette semaine, il s'installe à la Roquette-sur-Siagne et Menton.
Un bon moyen de "renforcer les liens"
C'est déjà le principe de son métier de DJ, mais lui ne se contente pas des boîtes de nuits : depuis le printemps 2025, Dorian Gamon (alias DJ Baguette) innove en proposant un Tour de France des boulangeries, avec des mix de près de 4h derrière la vitrine.
Une vraie symbolique de créer du lien social au sein d'un commerce de proximité. Pourquoi pas une boucherie ou un fleuriste ? L'idée germe déjà dans la tête de Dorian, qui projette également de sortir un single qui reviendrait sur son expérience.
En boutique, les rayons proposent thés, cafés, riz, confitures, chocolats, fromages, miels, cosmétiques et eaux florales... Les produits viennent du commerce équitable du monde entier ou de proximité, comme l’eau de fleur d’oranger et l’eau de rose, signées Jean-Noël Falcou, élaborées à partir de fleurs de Grasse et Mouans-Sartoux.
Les fruits et légumes bio arrivent chaque semaine des producteurs locaux via Uni’Vert, première coopérative bio équitable de France.
Côté gourmandises, la MCE revendique « sans doute la plus grande variété de chocolats équitables du secteur ».
Les prix se veulent raisonnables et sont affichés en toute transparence : « On détaille le prix d’achat, la TVA, la marge, servant uniquement à faire fonctionner la boutique. Elle est faible car nous n’avons aucun salarié, mais une quinzaine de bénévoles engagés. »
Artisanat du monde
La boutique propose également de nombreux articles d’artisanat issus de filières équitables du Pérou, Bangladesh, Népal, Palestine, Inde, Vietnam.... Céramiques, objets déco, maroquinerie, instruments de musique ou foulards, autant d’idées cadeaux pour les fêtes de fin d’année.
Un rayon spécial propose déjà paniers, tisanes, thés de Noël, calendriers de l’Avent... « On raisonne comme dans un grand magasin bio, avec une offre globale mais de proximité », détaille Cathy Blossier.
Acheter à la MCE, c’est aussi adhérer à son modèle associatif. La MCE est membre d’Artisans du monde et de FAIR [e], et multiplie les actions locales : stands, buvettes, interventions dans les lycées ou visites de producteurs.
Maison du commerce équitable, du mardi au samedi (19, rue Pasteur).
Rens. : 06.14.08.03.52., mce.mouans@free.fr, mcequitable.fr, adhésion à partir de 5 euros.
Équiper cent ports de Méditerranée avec des nurseries à poissons; placer des bouées d’amarrage sur les sites sensibles; lancer la restauration écologique. Des solutions fondées sur la nature font florès.
Il y a une douzaine d’années, on en était au stade expérimental. Désormais, ces initiatives sont en passe d’être généralisées. Les nurseries à poissons, d’abord installées en pointillé le long des quais, devraient bientôt gagner toutes les zones portuaires.
C’est l’objectif que se fixe l’Agence régionale de l’eau qui a déjà co-financé ce type de structures immergées dans 56 ports, entre 2019 et 2024. Il en reste 34 à équiper.
Alors qu’elle lance son 12e programme d’intervention sur la période 2025-2030, l’Agence affiche "l’ambition de restaurer 100% des fonctions de nurseries côtières qui ont été détruites par les aménagements du littoral des régions Provence-Alpes-Côte d’Azur et Occitanie". Là où le littoral a été artificialisé. Là où les jeunes poissons ne trouvent ni le gîte, ni le couvert.
20 à 40% de juvéniles en plus
"Il faut imaginer un quai. Sur un quai vous avez zéro juvénile. Il n’y en a aucun, car le poisson de quelques centimètres se ferait manger, expose Pierre Boissery, expert des milieux côtiers à l’Agence de l’eau. Les nurseries côtières offrent des petits abris. Dans les ports équipés, nous observons de 20 à 40% de juvéniles en plus."
Des recherches sont en cours, pour mieux connaître la diversité des espèces et savoir où vont ensuite ces poissons quand ils grandissent. Mais d’ores et déjà, l’expérimentation est confortée et "évaluée".
"On n’a pas d’ambiguïté à inciter les acteurs locaux à mettre en place ces solutions", poursuit Pierre Boissery. D’ici la fin de la décennie, une centaine de ports méditerranéens français devraient être dotés de nurseries pour les poissons.
Pour les herbiers de posidonie aussi, la protection a largement progressé. Selon l’Agence de l’eau, "le nombre de mouillages des navires de plus 24 mètres sur l’herbier a baissé de 93% par rapport à 2022."
La nouvelle réglementation, qui interdit aux bateaux de grande plaisance de jeter l’ancre dans les herbiers, porte ses fruits. Dans les secteurs les plus fragiles, organiser le mouillage de tous les navires n’est plus un tabou. Un programme important est lancé à Antibes, visant à protéger totalement 75 hectares de posidonie.
Quant aux techniques de restauration des herbiers, elles sont de mieux en mieux rodées. "Déjà, il faut rappeler qu’on n’arrache pas de l’herbier vivant pour le planter là où il a disparu. On ramasse des morceaux d’herbiers arrachés par les ancres et on les replante sur des sites favorables." Si l’herbier transplanté est encore vivant trois à quatre ans plus tard, il a de fortes chances de tenir.
Taux de survie de 80%
"Les observations dans les Alpes-Maritimes montrent que les herbiers sont en croissance", poursuit Pierre Boissery. 4.000m² ont été repiqués dans le secteur de Beaulieu et Villefranche, avec un taux de survie de 80%, "donc la technique est opérationnelle". Méthode également appliquée dans un projet mené aux îles de Lérins.
Certains sites très dégradés témoignent de l’immense perte de posidonie, le long de nos côtes depuis un demi-siècle. Désormais, le fort déclin est enrayé.
À l’échelle de la Méditerranée française, la moitié des herbiers sont stables, un quart est en progression (entre les caps de l’Estérel et de Brégançon) et le dernier quart en recul (entre Fréjus et Sainte-Maxime, et entre Antibes et Menton).
Mais tout le milieu marin n’est pas aussi bien protégé. Les fonds sableux, les macro-algues et le coralligène, pour lesquels "on est encore en manque de connaissance", font l’objet de recherche et expérimentation. Le coralligène est un écosystème à part entière, comme l’herbier de posidonie, mélange d’algues calcaires et d’organismes vivants.
Retenir les plastiques
Parmi les programmes que l’Agence de l’eau maintient et même élargit, il y a "les aides à la réduction des apports de plastiques à la mer, notamment par temps de pluie."
Grâce à "des filets de rétention", les macro-déchets transportés par les réseaux d’assainissement peuvent être empêchés de partir à la mer. Si elles souhaitent s’équiper, les collectivités peuvent être aidées à hauteur de 50% du coût total.
Soutenir les écosystèmes, leur bonne santé, leur richesse naturelle, est le seul atout dont nous disposons face au changement climatique.
"On peut préserver ou améliorer la qualité des milieux, mais il y a des sujets qu’on ne maîtrise pas aujourd’hui, notamment la température des eaux qui est un sujet immédiat, alerte Nicolas Mourlon, directeur général de l’agence de l’eau Rhône Méditerranée Corse. Empêcher l’augmentation de la température, on n’y arrivera pas, mais le milieu se défendra mieux s’il est en capacité de développer l’ensemble de ses fonctions. S’il est solide, si les espèces bénéficient de surfaces de quiétude, pour se reproduire et se nourrir."
Cela permettra aux écosystèmes d’être davantage résilients – et donc de capturer le carbone, ou d’empêcher l’érosion des côtes.
Enfant de Chateauneuf-Villevieille, Mélodie Colaciuri a voulu s'impliquer dans la vie de son village. Elle le fait d'une façon étonnante : elle y propose ses services de coiffeuse ... dans son camion équipé comme un salon de coiffure !
"Libre, consciencieuse et avenante"
Une journée par mois ou plus (en fonction des besoins) la coiffeuse s'installe avec son camion-salon de coiffure dans les petits communes du haut pays niçois : Coaraze, Lucéram, Touët de l'Escarene, Duranus, St Blaise, ou encore Bendejun et Berre les Alpes.
Cette façon de travailler, sans patron, loin de la ville et des grands magasins qu'elle n'affectionne pas, c'est ce qui convient parfaitement à Mélodie. "J'ai de tous les âges (...) On fait de très belles rencontres (...) On apprend beaucoup sur la vie des gens."
Toitures, façades, bardages, panneaux solaires… un nettoyage haute précision par drone, sans échafaudage. Intervention rapide en PACA.
Découvert par article Nice matin https://www.nicematin.com/societe/technologie/economies-innovation-precision-un-drone-pour-nettoyer-les-facades-de-la-palestre-au-cannet-1001098
Comment s’adapter au changement climatique? Le géographe Samuel Robert participera mercredi à Nice à l’assemblée générale de l’Agence d’Urbanisme Azuréenne. Il imagine la Côte d’Azur de demain.
Quels sont les principaux défis climatiques sur la Côte d’Azur?
Le réchauffement climatique se traduit dans les villes de la Côte d’Azur par le problème des îlots de chaleur urbains mais aussi des températures nocturnes élevées l’été. De plus, on observe une récurrence de précipitations violentes qui causent des inondations, des glissements de terrain et des éboulements comme le long des routes des vallées. Enfin, l’élévation lente du niveau de la mer et des événements météo extrêmes vont accroître l’érosion du littoral qui sera touché également par les submersions marines
Faut-il construire moins… ou autrement?
Le littoral de la Côte d’Azur est déjà très urbanisé. Est-ce dans l’intérêt des habitants de continuer de construire et pour faire quoi? Par exemple à Nice le taux de résidences secondaires est de 13,8% et le taux de logements vacants de 12,9%, ce qui signifie que plus d’un logement sur 4 n’est pas accessible aux Niçois. De plus les rares espaces disponibles qui pourraient être construits ne sont pas forcément épargnés par les risques, comme la plaine du Var exposée aux inondations.
Si on veut accueillir de nouveaux habitants alors que le territoire est saturé, on n’est pas dans une vision soutenable. Le modèle de la Côte d’Azur fondé sur l’économie de l’accueil est à repenser.
Comment repenser le modèle économique?
Une réorientation économique ne se décrète pas, elle se construit dans la durée. D’ailleurs la Côte d’Azur y a déjà réfléchi avec la création de la technopole de Sophia Antipolis. Mais le tourisme pèse lourd, et cette spécialisation est si forte que ça ne changera pas du jour au lendemain. Il est possible de diversifier avec les services à la personne, la Silver economy (ndlr: autour du 3e âge), l’informatique, la santé… A minima il faut réduire l’emprise de l’économie résidentielle, par exemple les Airbnb qui sont des logements soustraits à la population active. C’est une décision réglementaire qu’il faut faire accepter.
Comment verdir la ville pour lutter contre les îlots de chaleur?
Beaucoup de villes comme Lyon par exemple réintroduisent des arbres et désimperméabilisent les sols. Les végétaux filtrent la poussière, la pollution, créent de l’ombre et régulent la température. Quand ils sont bien conçus, les aménagements végétaux laissent pénétrer l’eau dans les sols. Mais, beaucoup de végétaux en ville sont sans connexion avec les sols car ils sont dans des fosses. Dans ce cas-là, la difficulté c’est que la végétation a besoin de beaucoup d’entretien. Les arbres, notamment, doivent être arrosés car ils ne peuvent pas puiser d’eau ni de nutriment dans les sols. Or l’eau sera un problème majeur dans le futur dans les Alpes-Maritimes et le Var. Avec la raréfaction des précipitations et la réduction de l’enneigement, si ces arbres nécessitent beaucoup d’eau, cela posera un problème d’adaptation. Il est donc important de se poser la question de quels arbres on choisit et de comment ils sont implantés et entretenus.
Quelles solutions pour mieux protéger les habitants face aux crues éclair?
Aujourd’hui on est encore trop dans une logique de réponse technique aux risques. On monte des digues et des murs, et on pense qu’on est à l’abri. Ce n’est pas vrai. Dans les années 1990, l’aéroport, le MIN, le Cadam, dans le lit majeur du Var ont été inondés. Pour répondre à ce risque on a reconstruit et surélevé les digues et on a bâti le nouveau quartier Nice-Méridia. On a choisi une réponse technique mais on a aussi augmenté la vulnérabilité du territoire.
Il faut arrêter de construire là où il y a un risque. Faut-il investir pour un super centre commercial (ndlr: Cap 3000) à l’embouchure du Var? Etait-il judicieux de construire au bord de mer, à Menton, le musée Jean Cocteau, aujourd’hui fermé à cause des inondations? La localisation de l’hôpital Lenval à Nice est-elle optimale? Des équipements d’une telle importance ne peuvent se situer dans des endroits exposés. C’est compliqué de décréter une relocalisation, mais sur les 20 ou 30 prochaines années, il faudra planifier des procédures pour réduire la vulnérabilité du territoire.
Quelles zones sont les plus vulnérables à la mer qui monte et comment s’y préparer?
La route du bord de mer entre Saint-Laurent-du-Var et Antibes, mais aussi l’aéroport de Nice. Il est évident qu’on ne peut pas fermer et relocaliser l’aéroport, ce serait la mort économique de la région. Mais on peut proposer une adaptation organisationnelle, c’est-à-dire qu’avec l’aide d’un système d’alerte efficace, on le ferme en cas d’événement extrême, puis on remet en état l’infrastructure quand il est passé. En matière de changement climatique on doit penser l’impensable. Par exemple, que fait-on si une tempête exceptionnelle projette un avion contre la verrière du Terminal 2?
En 2050, à quoi pourrait ressembler une Côte d’Azur qui aurait engagé sa transition écologique?
Une manière pour la Côte d’Azur d’avancer sur la transition écologique et sociale serait de réduire le logement vacant en diminuant les flux touristiques dont on pourrait se passer. Airbnb ne nourrit pas utilement l’économie régionale et génère de nombreux déplacements notamment en avion. De plus comme les actifs n’arrivent pas à se loger sur le littoral ils s’éloignent de leur lieu de travail, ils prennent la voiture et génèrent des bouchons. Résultat, la Côte d’Azur a un mauvais bilan carbone. En travaillant sur le logement, on pourrait améliorer un peu la situation.
Sans ferme ni expérience, Julien Villon s’est reconverti en éleveur. Depuis 2018, grâce à un travail acharné, le trentenaire a réinvesti avec une quarantaine de vaches les pâturages délaissés du haut pays Niçois.
Plus aucune vache n’avait pâturé les champs du hameau de Bouchanières depuis plus d’un demi-siècle. De cette époque révolue, il ne restait alors qu’un téléphérique désaffecté reliant les collines bucoliques à la commune de Guillaumes, dans la haute vallée du Var.
Parti de zéro, sans ferme ni diplôme, le trentenaire natif du village n’en démord pas: il va devenir vacher et faire remonter les troupeaux sur les estives abandonnées... Idéal fantasque ou courage pionnier? Le temps a tranché en faveur de l’éleveur. Le voilà propriétaire d’une quarantaine de vaches paissant paisiblement sur 80 hectares de prés. Élevé pour sa viande, le cheptel de la rustique race Aubrac, s’abrite désormais dans un hangar flambant neuf, érigé quasi exclusivement par le néofermier aux mains de maçon.
"Pour la fin d’année, il ne reste plus qu’à construire un petit magasin. Je ne fais que de la vente directe, en circuit court. Ça serait donc la vitrine de l’exploitation", se réjouit l’autodidacte.
"La montagne a retrouvé les paysages du siècle dernier"
"Mais tout ça, c’était loin d’être gagné", poursuit-il d’un air bonnard avant de retracer son parcours du combattant: "Je travaillais pour les routes du Département puis j’ai voulu donner un sens nouveau à ma vie. Quand j’étais petit, mes grands-parents élevaient des chèvres à Bouchanières et je trouvais qu’il y avait un potentiel inexploité depuis la disparition des derniers troupeaux."
La bonne intuition ne suffira pas à convaincre les vieilles familles, hésitant à louer (et encore plus à vendre) leurs champs. Du moins, jusqu’à ce que les vaches usent assez leur première colline, lui redonnant son vieux visage familier, blondeur d’estive étouffée jusqu’alors de broussailles et de bosquets. "La montagne a retrouvé les paysages du siècle dernier. En faisant place nette, les bêtes ont restitué cette vue aux anciens. Je pense que certains ont été émus de retrouver les vaches de leur enfance... et aussi le vrai goût d’une viande produite sans OGM [1]", se réjouit le Guillaumois.
"Être éleveur c’est être vétérinaire, comptable, commerçant, secrétaire"
Il se voit alors confier l’entretien de parcelles séculaires qui n’étaient plus fauchées. "C’était un grand gage de confiance. Et puis, les restaurateurs locaux ont commencé à jouer le jeu. Il fallait se montrer à la hauteur tandis que je découvrais un job très polyvalent. Être éleveur c’est être vétérinaire, comptable, commerçant... et secrétaire, avec une contrainte administrative très lourde. Heureusement qu’entre agriculteurs on se serre les coudes et que la mairie m’a soutenu."
Reste encore à ne pas oublier la famille: "Je commence la journée à cinq heures du matin, puis je rentre vers sept heures préparer mes deux fils pour les emmener à l’école avant de remonter à la ferme où je travaille jusqu’à la nuit. Quand ils sont en vacances, ils aiment bien m’accompagner et s’amuser à la ferme." De quoi leur donner envie de reprendre le flambeau? "Ils feront bien leur choix. C’est une vie dure... et en même temps si gratifiante", glisse celui qui a été élu président de la commission élevage de la chambre d’agriculture des Alpes-Maritimes. Un sacerdoce, assure-t-il, "pour faciliter le plus possible la vie des éleveurs, favorisant l’installation des jeunes et les reconversions professionnelles." Ça sent le vécu. Il en rigole puis reprend son sérieux, une flamme dans l’œil: "C’est le seul moyen de redonner vie à nos estives."
Pays de grasse, cannes et la Casa
Site officiel du Département des Alpes-Maritimes. Retrouvez tous les services, les aides et les actualités de votre collectivité pour VOUS avant tout.
Panorama remarquable sur le bassin de la Siagne et les plaines de Grasse, témoins d’un riche passé agricole.
autre lien https://pointdevueinfo.com/ville/grasse_6130/
Mentionné par Amandine Octobre 2025
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1.Anticipez pour payer moins cher et mieux stationner
Les parkings P8 (Terminal 1) et P9 (Terminal 2) sont les plus économiques. Une navette gratuite vous y récupère toutes les 15 minutes pour vous déposer au plus près de votre point de départ sur le Terminal, en moins de 8 minutes.
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En réservant votre place à l’avance, vous accédez à des tarifs avantageux et surtout, vous évitez le stress de la recherche de dernière minute. À l’Aéroport Nice Côte d’Azur, tous les parkings sont réservables en ligne.
Du Parking P2 (Terminal 1) au P5 (Terminal 2), au contact direct des terminaux, les options ne manquent pas.
Certains parkings comme P3, P4 ou P6 sont situés à quelques minutes à pied seulement des terminaux.
Parkings premium G1 et G2, situés juste sous les terminaux. Vous pourrez bénéficier d’un ascenseur avec accès direct au terminal, de places de parkings élargies, couvert et sécurisé, le tout, dans une ambiance premium et confortable.
Autre avantage de la réservation en ligne : votre plaque est automatiquement reconnue à l’entrée, et votre stationnement s’adapte même à votre vol retour sans frais supplémentaires si vous avez renseigné vos horaires.
Et c'est bientôt le début de saison pour le CASAROSE Comedy Club qui se tiendra mensuellement, tous les 1ers vendredis du mois à l'Hôtel Casarose. RDV pour la 1ère date : le vendredi 5 septembre à Mandelieu-La Napoule ! Sur scène, 3 stand-uppeurs de très haut niveau avec au choix pour les voir, la session de 19h ou celle de 21h. Toutes les dates de septembre 2025 à avril 2026 sont déjà réservables ici via la billetterie. A vos agendas !
Vendredi 5 septembre 2025 : Merwane Benlazar, Florent Losson, Mado Tout Court
Vendredi 3 octobre 2025
Vendredi 7 novembre 2025
Vendredi 5 décembre 2025 Vendredi 9 janvier 2026
Vendredi 6 février 2026
Vendredi 6 mars 2026
Vendredi 3 avril 2026
Découvert par https://www.nicematin.com/humour/casarose-comedy-club-un-nouveau-rendez-vous-stand-a-mandelieu-a-la-rentree-999066
"Quel métier je vais pouvoir désormais apprendre à mes enfants? C’est la question que tous les parents se posent", lance Anne Leroy. C’est pour accompagner les plus jeunes dans la découverte de l’intelligence artificielle (IA) que cette Cannoise d’origine a décidé de proposer un dispositif numérique, testé jusqu’à la fin des vacances scolaires.
Consultante dans le secteur de l’hôtellerie-restauration autour des problématiques digitales, Anne Leroy propose, en parallèle, différents supports web, le dernier en date au sujet de la ménopause.
Cette fois, c’est le thème de l’intelligence artificielle qui l’a questionnée: "En tant que maman, cela m’a interpellé. J’en parle beaucoup avec mes enfants. Dans mon travail, j’ai une casquette projet numérique. Donc l’IA, je l’observe au quotidien."
Depuis le mois de mai, elle lui a même dédié une plateforme en ligne, appelée Plai Ground, qui propose une véritable initiation à l’intelligence artificielle, tout en se basant sur l’apprentissage.
Entièrement gratuit, cet atelier-jeu à destination des 6 à 10 ans est accessible sur ordinateur ou téléphone portable. "Sur une fenêtre de tchat, l’objectif, pour l’enfant, est de réaliser un article de blog sur sa passion ou ses activités. Pour permettre cette production, des petites questions lui sont proposées telles que ‘Quelle est ta passion?’, ‘Quel est ton sportif préféré?’"
Un dispositif intéressant au niveau pédagogique?
L’IA regroupe ensuite toutes les réponses et en fait un article: "Il existe six niveaux d’explications et des étapes intermédiaires demandent si l’enfant connaît ce qu’est une intelligence artificielle. Tout cela est catégorisé par âge."
Appelé cahier de vacances numérique, "c’est plus un prétexte pour la période", le logiciel est à disposition des enfants jusqu’à la fin de la pause estivale.
À ce moment-là, un point sera fait pour tirer les enseignements de cette période d’essai. "C’est pour cela que j’ai besoin des retours de parents. Il y a un petit questionnaire en place dans la plateforme", explique Anne Leroy.
Et ensuite? L’idée est de créer une application dans le même esprit. Avant, peut-être, d’étendre le dispositif à l’enseignement: "J’ai poussé l’information auprès de l’Éducation nationale. Ce serait intéressant au niveau pédagogique."
http://www.plaiground.blog/
Contact Anne Leroy (cannoise)
Article de Jules Cottalorda (jcottalorda@nicematin.fr)
Lauréat du programme national Mieux manger pour tous, le CCAS a engagé une dynamique ambitieuse pour améliorer significativement l’aide alimentaire aux publics précaires. Plusieurs leviers ont été mis en place à l’épicerie solidaire Robert Moro.
À commencer par des commandes groupées en partenariat avec les partenaires locaux. Les fruits et légumes sont fournis par le producteur Vidal et l’association de la Maison du commerce équitable.
Les produits frais (beurre, œufs, crème, fromage, etc.) sont vendus à prix coûtant par Biocoop Mougins, partenaire du CCAS depuis quelques années. Résultat: la part (en poids) de produits bio vendus à l’épicerie sociale est passée de 5% à 48%.
"On ne maîtrisait pas les produits qu’on recevait"
"L’idée est venue d’un constat: nous étions tributaires de La Banque alimentaire qui avait augmenté sa tarification. C’étaient des produits qu’on ne maîtrisait pas, qui ne plaisaient pas forcément à la population qu’on recevait, et souvent aux dates limites, livre la directrice du CCAS. Comme on n’arrivait pas à vendre les produits le jour même, on redistribuait gratuitement aux associations".
Mais la vraie révolution, c’est l’implication des bénéficiaires qui peuvent eux-mêmes passer commande. "On est passé d’une démarche où ils venaient chercher les restes des magasins à une démarche ou ils commandent et paient au prix de l’épicerie sociale. C’est un vrai changement de paradigme", assure Delphine Girard.
Un maraîcher embauché
Second levier: l’embauche d’un maraîcher depuis le 1er juillet. Financé par le CCAS, ce quatrième poste d’agriculteur à la ferme municipale permettra d’augmenter le volume de production de produits bio, local, de saison et en circuit ultracourt, pour les crèches et l’épicerie sociale.
Le prix de l’Association des cadres territoriaux de l’action sociale (Actas), remporté en juin dernier par le CCAS et financé par la société Upcoop, permettra de financer une partie du poste, en expérimentation sur douze mois.
Le retour des bénéficiaires est très positif. "Ils ont été associés à la démarche, ajoute la directrice. Il y a eu une vraie participation de leur part. Ils ont réappris à cuisiner avec des légumes et des fruits frais". L’enjeu, à présent, est de pouvoir continuer... "L’accès à l’épicerie sociale dure seulement trois mois. Après, ces personnes vont se retrouver dans la grande distribution".
Un dispositif de commande groupée ouvert à tous à l’étude
Depuis deux ans, le CCAS et la Maison d’éducation à l’alimentation durable (Mead) travaillent sur un dispositif expérimental de commande groupée, ouvert à tous les Mouansois.
L’objectif: rendre accessible une alimentation de qualité aux publics éloignés des dispositifs classiques d’aide. "Un diagnostic territorial approfondi a permis d’identifier les freins à l’accès à une alimentation de qualité (budgétaires, cognitifs, socioculturels) et de mettre en lumière les publics dits « invisibles": travailleurs pauvres, familles monoparentales, retraités... », retrace Remy Giorgioni, directeur du pôle Précarité du CCAS de Mouans-Sartoux.
Prix ajustés en fonction du revenu des familles
L’expérience devrait mobiliser trente familles sur une période de six mois. Une réponse innovante, inclusive et durable à la précarité alimentaire. "Les prix seront ajustés en fonction du revenu des personnes", précise Delphine Girard, directrice du CCAS qui prévoit le lancement du projet pour 2026.
Une première réunion publique a permis d’anticiper les types de produits demandés. "Nous avons obtenu une liste très variée de produits: à la fois de l’épicerie sèche, du frais, des fruits et légumes... poursuit-elle. Cet été, nous allons à la rencontre des commerçants bio locaux pour déterminer comment travailler ensemble sans concurrence et négocier avec eux ce qu’il serait possible de mettre en place.". En septembre, l’étude de marché sera présentée aux élus.
À 110km/h sur la voie rapide, les vacanciers en mal de montagne foncent vers les vallées de la Tinée et de la Vésubie. Direction le confort des stations et l’aventure accessible des plus proches refuges du Mercantour. Autant d’attraits qui, alliés à la vitesse dans la plaine du Var, occultent comp