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découvert par Article Nice Matin https://www.nicematin.com/vie-locale/cette-entreprise-de-mougins-veut-revolutionner-le-secteur-du-cahier-en-papier-968540
Ils impriment, rigidifient, pelliculent, découpent, perforent, réchauffent ou encore façonnent le papier. Eux, ce sont de véritables experts du papier qui, à force de travail et d’abnégation, ont créé un cahier réutilisable sur lequel il est désormais possible d’écrire, effacer, et de recommencer.
C’est à Mougins, à deux pas de Tournamy, que Luc Marani, Stephen Leguen et Faustine Pons ont décidé, il y a 4 ans, de sauter le pas et de créer leur entreprise, Éconotes Book, devenue Éconotes. Parce qu’ils en avaient marre de consommer du périsable, ils ont décidé de développer une matière beaucoup plus résistante, indéchirable et waterproof, que le papier que l’on peut trouver généralement en grande surface. Un matériau qui conserve la souplesse et la légèreté d’un papier traditionnel, pouvant aussi être 100% recyclable en France et en Europe.
Plus de 100.000 pièces vendues
Les trois amis ont donc installé leur production à quelques encablures de la Méditerranée et ont, pour le moment, ravi plus de 500 entreprises et 15.000 particuliers, pour un total de plus de 100.000 cahiers réutilisables vendus. "Un cahier réutilisable est efficace, effaçable et économique, explique Luc Marani, cofondateur de l’entreprise. Le cahier permet une liberté dans la prise et la gestion des notes, où il est possible de corriger des erreurs, effacer les notes, et réorganiser les idées facilement, assurant ainsi des notes toujours propres et organisées. Et puis, ce type de cahier est réutilisable, donc il permet de faire des économies en n’achetant pas de nouveaux cahiers."
Et l’un de leur credo: les enfants. "Nous avons créé des cahiers d’écriture qui peuvent être gardés pendant 3 ans, de la grande section au CE1. Ils s’adaptent à l’enfant, et ce dernier peut écrire, se tromper et recommencer autant de fois qu’il le souhaite!"
Mais comment Éconotes fabrique-t-il ce cahier? "Plusieurs étapes sont à respecter, explique Luc Marani. Après avoir réalisé un bon à tirer, nous imprimons d’abord le papier, puis nous procédons à la rigidification, qui consiste à plastifier la couverture. Après, nous l’insérons dans la pelliculeuse, pour créer une espèce d’effet peau de pêche, pour que la couverture soit douce." Ce n’est pas tout. "Ensuite, poursuit le chef d’entreprise de 36 ans, nous la coupons au format souhaité à l’aide d’un massicot. Puis nous réalisons la perforation, réchauffons la couverture afin d’éviter qu’elle ne se décolle dans le temps et terminons par la phase du façonnage."
En pleine croissance
Le temps de réalisation d’un cahier varie, mais il faut généralement 2 à 3 minutes pour lui donner vie. "Un cahier entièrement personnalisable, livré avec des stylos à encre thermochromique qui s’efface facilement", indique Luc Marani.
Outre les cahiers, les trois fondateurs de l’entreprise, dont le siège social est à Montpellier, ont développé d’autres solutions: agendas réutilisables, planners, stylos effaçables et Stick-it. Ces derniers, de petits papiers autocollants, leur ont d’ailleurs causé quelques soucis avec le groupe 3M, qui détient la marque "Post-it" (voir encadré). "L’entreprise grandit, nous avons généré plus d’un million d’euros de chiffre d’affaires en 4 ans", se félicite Luc Marani. Et l’aventure n’est certainement pas terminée…
Post-it contre Stick-it !
David contre Goliath. Le pot de fer contre le pot de terre. Choisissez la formule qui vous convient, mais, récemment, le groupe 3M, qui détient la marque « post-it » a décidé d’attaquer Econotes. « Lorsque nous avons lancé notre campagne Ulule, nous avons évoqué le terme de ‘post-it réutilisable’, indique Luc Marani. Évidemment, cela ne leur a pas plu et 3M a fait fermer notre compte Instagram. Nous avons retiré tout le contenu qui pouvait prêter à confusion et remplacé par ‘Stick-it’. Nous l’avons déposé à l’INPI (Institut national de la propriété industrielle). Mais 3M demande que l’on retire notre marque. On va devoir aller à l’INPI prochainement pour nous défendre. »
Stick-it, ce sont des notes repositionnables et réutilisables, sur lesquelles il est possible d’écrire, d’effacer, de mouiller et d’écrire de nouveau dessus. Pendant plus de 500 fois !
« D’après une étude réalisée par la marque post-it elle-même, un employé de bureau utilise plus de 2 800 post-it par an. On les dérange peut-être ! »
Interdire la distribution des publicités papier non adressées dans les boîtes aux lettres sauf dans celles avec un autocollant « Oui Pub ». Cette expérimentation, visant à réduire le gaspillage de papier, a été menée dans 14 territoires en France à partir de mai 2022.
C’est l’heure du bilan pour l’expérimentation « Oui Pub ». On connaît plus son contraire – « Stop Pub » ‒, cet autocollant à apposer sur sa boîte aux lettres lorsque l’on veut manifester son refus de recevoir des imprimés publicitaires non adressés. Lancé en 2004, Stop Pub visait à mettre fin à un gaspillage de papier de plus en plus décrié, alors que 760 000 tonnes de prospectus ont été distribuées en France en 2021. Une grande partie est jetée à la poubelle sans être consultée.
Mais Stop Pub a montré ses limites. Tout d’abord, son taux d’apposition sur les boîtes aux lettres est faible (autour de 17 % en 2020). Surtout, lorsqu’il est bien là, dans 57 % des cas, l’autocollant n’a pas permis une disparition totale des imprimés publicitaires, pointait un rapport de l’Agence de la transition écologique (Ademe) de février 2021.
Inverser l’approche avec Oui Pub
D’où cette volonté de revoir l’approche, quitte à l’inverser. C’est tout l’esprit de Oui Pub qui consiste à interdire la distribution de ces imprimés publicitaires non adressés, sauf dans les boîtes aux lettres sur lesquelles un autocollant Oui Pub a été collé. Ce dispositif n’existe pas encore à l’échelle nationale mais est testé depuis le 1er mai 2022 dans 14 collectivités qui se sont portées volontaires*. L’expérimentation prendra fin le 1er mai prochain, mais le gouvernement a déjà remis son rapport d’évaluation en octobre dernier au parlement et vient de le publier.
Premier constat : l’apposition de l’autocollant Oui Pub sur les boîtes aux lettres est très variable d’un territoire à l’autre. Les taux vont de 0,33 % à Bordeaux (Gironde) à 18,42 % pour la communauté urbaine de Dunkerque Grand Littoral (Nord). Est-ce dire qu’il y a si peu de Français attachés à recevoir des publicités non adressées ? Pas si vite. Une des limites du Oui Pub ‒ qui existe aussi avec Stop Pub ‒ est que l’existence de ces autocollants n’est pas toujours bien connue. La connaissance estimée de l’expérimentation Oui Pub par les habitants concernés variait ainsi de 25 % à 77 % selon les territoires avec une moyenne à 50 %, indique le rapport gouvernemental.
Des réductions importantes de déchets papier
Les 14 territoires pilotes disent également avoir constaté, dans l’ensemble, le respect des règles du dispositif Oui Pub. Les quelques manquements relevés sont des « imprimés concernant des petits commerces locaux non couverts par les dérogations », pointe le rapport. Résultat : ces territoires ont constaté des réductions importantes des tonnes de déchets papier collectés au cours de l’expérimentation. Entre 20 % et 70 % selon les endroits avec une baisse moyenne de 48 %. Et cette baisse s’explique bien, en partie du moins, par celle des imprimés publicitaires. Leur part dans le total des déchets papier collectés sur ces 14 territoires est passée d’une fourchette initiale comprise entre 17 % et 40 % à une fourchette entre 5 % et 19 % pendant l’expérimentation.
Mais faut-il attribuer tous les lauriers à Oui Pub ? Si la baisse des volumes d’imprimés publicitaires est plus marquée dans les territoires pilotes, cette diminution se vérifie partout en France et a commencé avant l’expérimentation Oui Pub. Le volume est ainsi passé de 900 000 tonnes en 2019, à 766 000 tonnes en 2021 puis à environ 400 000 tonnes en 2022 et 2023. Dès la crise sanitaire, marquée notamment par l’envolée des coûts du papier et de l’énergie, une grande partie des annonceurs ont commencé à transiter vers des modes de consommation numériques. Oui Pub n’a fait qu’accélérer un peu plus cette tendance.
Une transition vers la pub numérique pas toujours gagnante
Mais cette transition ne se traduit pas forcément par une baisse des impacts environnementaux. Car le numérique n’en est pas exempt, et génère notamment des émissions de gaz à effet de serre. Elles sont principalement liées à la fabrication des appareils numériques (ordinateurs, smartphones, tablettes…) et donc à la fréquence à laquelle on les renouvelle. Elles sont liées également aux consommations d’énergie qu’impliquent nos activités numériques (lire une vidéo, consulter une page web…) et toute l’infrastructure nécessaire derrière (serveurs, data centers…). Entre la communication papier et la communication numérique, les impacts sont ainsi différemment répartis, note le rapport gouvernemental qui estime les paramètres trop variables pour pouvoir conclure qu’un support est toujours plus vertueux que l’autre. Qu’elles soient numériques ou papier, le rapport appelle les annonceurs à une nécessaire recherche de sobriété et à l’écoconception des campagnes commerciales.
Des déçus du Oui Pub ?
L’autre biais de cette transition de la publicité du papier vers le numérique est qu’elle laisse de côté toute une partie des consommateurs éloignés du numérique. Si, dans les territoires pilotes, les habitants se disent à 44 % satisfaits de l’expérimentation et à 63 % pour son extension à toute la France, Oui Pub a tout de même fait des mécontents. Notamment parmi ceux à avoir mis l’autocollant sur leur boîte aux lettres. Certains ont malgré tout regretté une baisse des imprimés publicitaires alors qu’ils considèrent ces prospectus importants pour faire des économies dans un contexte inflationniste, pointe le rapport du gouvernement.
- Ville de Bordeaux, Smicval (Syndicat mixte intercommunal de collecte et de valorisation) Libournais Haute Gironde, agglomération d’Agen, Communauté de communes Leff Armor, Communauté urbaine de Dunkerque Grand Littoral, ville de Sartrouville, Troyes Champagne Métropole, Métropole du Grand Nancy, Grenoble Alpes Métropole, Sytrad (Syndicat de traitement des déchets Ardèche-Drôme), Sictoba (Syndicat intercommunal de collecte et traitement des ordures ménagères de la Basse Ardèche), Communauté de communes Vallée de l’Ubaye Serre-Ponçon, Univalom (Syndicat mixte de traitement et de valorisation des déchets), Syvadec (Syndicat de valorisation des déchets de la Corse).
Découvrez notre carte des achats de pesticides à l'échelle du département (plus d'infos sous la carte) mise à jour de nouvelles fonctionnalités.
Découvert par article UFC Que Choisir https://www.quechoisir.org/actualite-geophyto-une-carte-en-ligne-pour-connaitre-les-pesticides-utilises-dans-son-departement-n148252/
L’association Générations Futures vient de lancer Géophyto, une carte interactive permettant de se faire une idée de la quantité et de la nature des pesticides épandus près de chez soi, en partant des volumes vendus dans chaque département. Instructif.
Quels sont les pesticides les plus épandus dans les champs autour de chez vous ? Pas simple d’obtenir l’information, tant la transparence des données n’est que partielle sur ce sujet. Tout de même, il est possible de se faire une idée du volume et de la nature des substances utilisées en se penchant sur les ventes de pesticides par département.
C’est ce travail qu’a fait l’association environnementale Générations Futures en s’appuyant sur les données officielles d’achats de pesticides en France enregistrés dans la banque nationale des ventes de produits phytopharmaceutiques (BNV-D). Celle-ci est accessible à tous en ligne mais n’est pas facilement compréhensible pour le grand public. Générations Futures en a fait une carte interactive.
L’outil, intitulé Géophyto, compile ainsi les achats de pesticides en France de 2015 à 2022, dernière année pour laquelle les données sont disponibles. En quelques clics, on peut ainsi découvrir les substances les plus vendues dans son département pour chacune de ces huit années. Le résultat peut être obtenu en tonnes ou être rapporté à la surface agricole utile du département et exprimé alors en kilogramme par hectare (kg/ha).
La Gironde avec le plus gros volume de ventes, mais…
Toutes substances confondues, quelle que soit l’année, la Gironde est le premier département en quantité vendue. Sur les 66 354,5 tonnes écoulées en 2022, 3 377,9 l’ont été dans ce seul département. La Marne et la Somme complètent régulièrement le podium.
Mais Geophyto va plus loin dans l’analyse. Il est ainsi possible de trier les ventes par catégories de substances (herbicides, insecticides, fongicides, pesticides), leurs niveaux de dangerosité et d’autres paramètres encore. Ainsi, en Gironde, département très viticole, c’est surtout le soufre – un fongicide naturel utilisé dans les cultures de vignes ‒ qui tire les ventes vers le haut. Mais si on se focalise sur les pesticides de synthèse ‒ artificiels et interdits en agriculture biologique ‒ alors la Gironde descend à la 11e place des départements où ils se sont le plus vendus en 2022. La Marne, la Somme, l’Eure-et-Loir composent désormais le podium. Si on s’intéresse aux pesticides préoccupants pour la santé ou l’environnement, ceux notamment classés cancérigènes, mutagènes et reprotoxiques (CMR) ou perturbateurs endocriniens, alors d’autres départements apparaissent encore. L’Aisne, la Somme et le Pas-de-Calais où se sont vendues, en 2022, le plus de substances classées CMR1 (effets avérés). Ou encore la Charente-Maritime, troisième département en termes de quantités de pesticides CMR2 (effets suspectés).
Enfin, Geophyto propose aussi de ne rechercher qu’une seule substance. Utile quand on veut savoir, par exemple, les quantités de glyphosate vendues dans son département. Ou du flufenacet, un herbicide classé perturbateur endocrinien par l’Autorité européenne de sécurité des aliments (Efsa) depuis le 27 septembre dernier et dont on parle beaucoup en ce moment.
À moins d’avoir vécu dans une grotte sans connexion Internet ces derniers jours, vous avez obligatoirement entendu parler du Consumer Electronic Show (CES) de Las Vegas. Cette grand-messe de la tech grand public attire quelque 140.000 visiteurs impatients de découvrir les toutes-dernières innovations – pour le meilleur et parfois le pire – en matière de santé, automobile, électroménager... le tout mâtiné d’intelligence artificielle.
Près de 1.500 startups venues du monde entier ont participé à cette 25e édition. Parmi elles, 110 françaises dont 14 sudistes – et 8 azuréennes – accompagnées pour la 8e année par la Région Sud et RisingSUD(1) étaient du voyage pour faire briller leurs créativité et excellence.
Parce que la concurrence est rude et que ces deux qualités ne suffisent pas pour attirer l’attention des investisseurs, distributeurs, donneurs d’ordre et autres grands groupes, les pépites régionales ont été coachées avant leur départ avec préparation logistique, media training et séances de pitch...
Quels objectifs s'étaient-elles fixés? Les Azuréennes Epseed, Ovibar, Aqualung, Beparentalis et autres Videtics racontent leur business trip. Car une fois n'est pas coutume, ce qui se passe à Vegas ne doit pas y rester.
(1) En partenariat avec la CASA, les métropoles de Nice Côte d’Azur et Aix-Marseille.
Ovibar désaltère les Etats-Unis
Dans un pays où la petite bouteille d’eau coûte entre 6 et 9 $, l’OviX, le mini-bar révolutionnaire de la Niçoise Ovibar, joue crânement sa chance à Las Vegas et "suscite l’intérêt", souligne Ovadia Schvarcz, le dirigeant d’Ovibar venu présenter en exclusivité sa toute dernière nouveauté, "un nouveau produit qui filtre l’eau parfaitement en trois étapes et distribue instantanément de l’eau chaude, froide, tempérée, tiède ou gazeuse, tout en permettant également de préparer du thé, du café, ou d’aromatiser l’eau selon les goûts".
Pour l’entrepreneur très fier de représenter la région Sud et la ville de Nice, au sein du pavillon français de la French Tech il s’agit d’une véritable technologie de rupture qui redéfinit la façon de consommer l’eau dans le monde. "Nous sommes convaincus que l’OviX trouvera sa place dans n’importe quelle cuisine, aussi bien en France qu’à l’international", espère Ovadia Schvarcz qui, en participant à ce premier CES, recherche dans un premier temps des distributeurs outre-Atlantique mais aussi à travers le monde.
Aqualung fait respirer le CES
Aqualung, leader mondial dans la conception et la fabrication d’équipements de plongée, n’était pas à Las Vegas qu’il se voyait déjà récompensé de l’Award Best of Innovation du CES pour Aquasense, son nouveau détendeur électronique et connecté.
Une rupture technologique qui a attiré près de 3.000 visiteurs, néophytes comme passionnés, sur le stand de la French Tech. Fruit de quatre années de R&D, Aquasense offre une assistance aux plongeurs et des informations en temps réel sur la respiration rendant l’exploration sous-marine plus accessible.
Présent pour la première fois à Las Vegas, l'entreprise fondée par Jacques-Yves Cousteau et Emile Gagnan est à la recherche de distributeurs potentiels, de clients et d’investisseurs car le nouveau détendeur "va nécessiter des investissements pour passer à l’échelle, notamment dans la production, précise Michel Abaza, le CEO du groupe basé à Carros et Sophia Antipolis. Le CES nous a permis de sortir de l’écosystème plongée et de nous adresser au grand public du monde entier."
Même si Aqualung était aussi présent le week-end dernier au Salon de la Plongée à Paris...
Epseed conforté dans sa stratégie
Deux ans après sa création, la Cagnoise Epseed est à Las Vegas pour faire connaître au plus grand nombre Seed, son boîtier qui sécurise et contrôle le télétravail des travailleurs hybrides, nomades digitaux et autres artisans et techniciens.
"Le CES est une opportunité unique de légitimer notre solution sur la scène internationale, confie Kélian Bailet, président de la startup qui accomplit ainsi son rêve d’enfant de participer avec sa propre entreprise au plus grand salon de la tech dans le monde. Cet événement représente une vitrine exceptionnelle pour valoriser notre innovation auprès de toutes les entreprises."
Durant le CES, l’équipe d’Epseed s’est attachée à nouer des partenariats stratégiques, notamment pour produire son boîtier à une plus grande échelle et intégrer sa solution dans divers écosystèmes. Egalement dans son viseur, "entrer en contact avec des distributeurs, des investisseurs et, bien sûr, des clients potentiels, notamment sur le marché nord-américain". Les Azuréens ont pu constater un intérêt marqué pour les solutions dédiées au télétravail et à la sécurisation des données professionnelles, ce qui confirme la pertinence de leur produit.
"La demande dans ce domaine est particulièrement forte, notamment sur le marché nord-américain, où le télétravail est solidement ancré dans les pratiques professionnelles."
BeParentalis au service de la vie
Participant pour la première fois au CES, la Niçoise BeParentalis – portée par le Dr Aymen Kebaili, pédiatre réanimateur de l’hôpital Lenval – a dévoilé son assistant médical multilingue dopé à l’intelligence artificielle qui entend sauver des millions de vies d’enfants dans le monde.
Comment? En s’appuyant sur des milliers de données pédiatriques validées, "il donne aux parents un accès fiable et instantané à des réponses et recommandations médicales adaptées à la santé de leurs enfants, permettant un suivi et une gestion des symptômes en temps réel", explique Bastien Combes, cofondateur de la startup.
Parentalis a suscité un fort intérêt car "la santé des enfants représente un défi mondial avec peu de solutions véritablement innovantes. Nous avons pu rencontrer un panel varié d’acteurs stratégiques, notamment des investisseurs de la région de Nicosie en Chypre qui pourraient nous aider à renforcer notre offre." Des contacts ont également été pris avec des partenaires potentiels, ce qui permettrait à la startup d’accélérer son développement.
Autant d’opportunités qui confortent les entrepreneurs dans leur décision de positionner BeParentalis comme une solution globale à destination des parents. L’assistant sera lancé le mois prochain en France.
Mission réussie pour Videtics
En se déplaçant à Las Vegas, la Sophipolitaine Videtics voulait renforcer sa présence à l’international. Mission réussie pour la Sophipolitaine leader dans l’analyse vidéo en temps réel par intelligence artificielle. "Notre objectif était de chercher en priorité des clients puis des partenaires aux Etats-Unis, explique Alan Ferbach, son cofondateur et président. Nous avons notamment pu approfondir les contacts que nous avions noués précédemment dans le cadre du programme Netva (New Technology Venture Accelerator, ndlr) et nous déploierons notre solution avec eux. Nous avons également renforcé nos liens avec un partenaire européen déjà implanté outre-Atlantique."
Le startupper a profité du salon pour se rapprocher d’intégrateurs-installateurs qui sont dans le retail et l’hospitalité-tourisme, deux verticales où sa suite logicielle permettra notamment de quantifier le flux piétonnier.
Bon accueil pour Kapsys
Déplacement fructueux pour la Mouginoise Kapsys venue présenter KapX qui, grâce à l’IA dont il est doté, aide à l’orientation et à la mobilité des déficients visuels sévères.
Pour son 1er CES, la startup voulait faire connaître son innovation technologique et trouver des partenaires de distribution en Amérique du Nord. "Nous sommes également ouverts aux discussions potentielles avec des investisseurs, souligne Aram Hekimian, son CEO, ravi de l’affluence sur le stand. Nous avons rencontré de nombreux acteurs intéressés par KapX, en particulier des distributeurs potentiels aux Etats-Unis, des investisseurs et sociétés intéressées par notre technologie et son usage dans d’autres domaines. Des associations se sont proposées pour le tester."
Deux trophées pour DataGreen
Satisfecit pour la Niçoise DataGreen, filiale de Netsooon.ai, qui a été doublement récompensée. La deeptech qui développe des datacenters écoresponsables a reçu le Green Tech Award de Dassault Systèmes dans le cadre des CES Business France Awards ainsi que le CES Innovation Awards Honoree dans la catégorie Sustainability & Energy Power du salon. Une belle mise en lumière pour DataGreen à la recherche de partenaires pour être présente aux Etats-Unis d’ici la fin de l’année. La startup intègre des outils d’intelligence artificielle (IA) et de machine learning (ML) pour transformer la gestion des datacenters et réduire de 75% leur consommation énergétique, de 82% leurs émissions de CO2. La startup prévoit d’aller plus loin en ouvrant sa première usine verte en Région Sud.
Selon les derniers chiffres de l’INSEE, un tiers des Français se dit atteint de phobie administrative. Chez les 18-34 ans, c’est 50 %. Cette notion, la France la découvre en 2014 lorsque l’éphémère secrétaire d’État au Commerce, Thomas Thévenoud, la brandit comme excuse pour expliquer trois ans de loyers impayés et quatre déclarations d’impôts déposées très, très tardivement. Si cet épisode a fait rire – jaune – les Français, il n’empêche que la phobie administrative touche un tiers d’entre eux (mais pas lui). Qu’est-ce donc? La peur de se perdre dans les méandres de la complexité de l’Administration française qui induit une absence d’action. Un tiers des adultes ont renoncé à effectuer une démarche administrative en ligne en 2021, et, si certains y sont parvenus par d’autres moyens, un quart a carrément abandonné l’idée. "À tel point qu’au moins 10 milliards d’euros d’aides ne seraient pas attribués chaque année en France." C’est ce que nous explique Chloé Martin, fondatrice de Maaè à Mougins, une plateforme qui centralise et explique toutes les démarches administratives. "Pendant mes études de comptabilité gestion, je me suis rendu compte que remplir sa déclaration d’impôts était un véritable casse-tête. Que beaucoup ne connaissaient pas les cases qui permettaient de valoriser les ressources. Idem pour certaines allocations. Tout est tellement complexe, ça en devient décourageant." C’est à ce moment qu’elle décide de créer Maaè [qui signifie Maman en thaï, et qui pourrait correspondre à l’acronyme Mon Assistant Administratif électronique, ndlr]. Le projet est colossal mais la jeune femme, aux airs timides, est déterminée et très organisée.
Lancée fin d’année
Deux associés [Equity Mastermind et Ikigai, ndlr], se lancent avec elle dans l’aventure Maaè démarrée en septembre 2024. "Mes idées sont très claires sur ce que je voudrais faire. Nous misons sur une plateforme opérationnelle à la fin de l’année."
Ce qu’elle veut faire? Simplifier l’accès à ces démarches, ce qui revient à "redonner du pouvoir d’achat aux gens, tout en allégeant leur charge mentale. C’est pesant de devoir penser aux dates limites des déclarations d’impôts, de son contrôle technique, sa déclaration de grossesse... Tout comme il est pénalisant de ne pas bénéficier d’aides auxquelles on aurait droit."
À la création de votre profil sur Maaè, beaucoup de questions vous seront posées. "Tout reste confidentiel, le RGPD est respecté, tient à préciser la fondatrice. Ensuite, vous aurez accès à des simulateurs d’aides et des formulaires qui correspondent à votre situation. Des alertes et des notifications pour ne rien oublier. Il y a neuf “planètes” qui sont les thématiques d’une vie : famille, logement, santé, étranger, véhicule, argent... avec, au sein de chacune, les différentes démarches à effectuer selon votre profil."
C’est ludique. Une To Do List dédiée à vos démarches s’affiche, et pour vous pousser à avancer "des cadeaux sont offerts. Il s’agira de bons de réduction, par exemple, dans une enseigne en lien avec vos critères." La plateforme est chargée d’intelligence artificielle et nécessite de gros financements. Avec un capital social de 120.000 euros, Chloé Martin est en cours de levée de fonds, 180.000 euros attendus (auprès de business angels et peut-être d’une bourse French Tech de Bpifrance), pour terminer le site et lancer sa phase test. Une autre levée, certainement dans un an ou deux, serait réalisée auprès de capital-risqueurs ou de fonds d’investissement.
Entreprises et collectivités
Sa cible? Les entreprises, qui proposeraient ainsi Maaè comme avantage social à leurs salariés, et les communes qui faciliteraient la vie de leurs administrés. 2 à 4 euros par salarié et par mois seraient le coût de la solution. "Pourquoi pas la Ville de Cannes car j’y ai remporté mon premier trophée de l’innovation et c’est là que se déroule le WAICF [congrès international de l’intelligence artificielle, du 13 au 15 février, ndlr] où le Conseil départemental m’invite à présenter Maaè."
Son projet intéresse déjà le département de l’Hérault et la jeune startuppeuse a dans la viseur la Belgique et l’Allemagne, autres mauvais élèves de la simplification administrative.
Et demain? Chloé Martin pourrait bien dupliquer plateforme pour les professionnels, lesquels souffrent aussi de la complexité des démarches à entreprendre. Elle a noté que l’UPE06 faisait ce même vœu de simplification administrative qui aiderait les patrons à se consacrer à leur activité plutôt qu’à remplir des formulaires à rallonge. Un vœu que l’État peine à exaucer, un vœu qui pourrait devenir réalité grâce à Maaè, depuis la planète Mougins.
Chloé MARTIN (en majuscules) ou Maaè sur LinkedIn.
Le concept est simple et captivant : muni de votre téléphone, vous suivez un parcours géolocalisé qui vous conduit à travers les incontournables de la ville. À chaque étape, des informations culturelles riches et variées vous sont proposées, que ce soit sur l'architecture, l'histoire, la gastronomie, ou même la langue locale. Le jeu est même proposé en réalité augmentée !
Pour vous accompagner tout au long de cette aventure, un guide virtuel nommé Marcel vous partage ses meilleures adresses locales. Marcel vous dévoile ses coups de cœur personnels pour boire un verre, manger, faire du shopping ou encore découvrir des spots photo et des trésors culturels.
A noter que pour chaque jeu vendu, 1€ est reversé à des causes locales, qu'elles soient sociétales, comme la Fondation Lenval pour les enfants, ou environnementales, à l'image de l'association Pure Océan.
Le City Tour Game est une invitation à explorer Nice sous un nouveau jour, tout en contribuant positivement à la préservation de la ville et de son patrimoine.
Location sur https://capvango.com/ basé à Fréjus => 2 nuits 350€
Découvert par Article France Bleu Azur https://www.francebleu.fr/emissions/bienvenue-chez-vous/week-end-prolonge-et-si-on-en-profitait-pour-se-faire-un-road-trip-en-van-sur-la-cote-d-azur-3555590#xtor=RSS-106
Dorothée Tassant, d'Estérel Côte d'Azur Tourisme raconte son expérience unique à bord de ces maisons roulantes. Idéale pendant un week-end prolongé, à la découverte des paysages varois, des villages perchés, et des meilleures adresses locales.
Cliquez sur le lecteur en haut de la page pour écouter l'expérience de Dorothée Tassan.
Attention juste après vous n’aurez qu’une envie : sauter dans un van et partir à l’aventure. Estérel Côte d'Azur Tourisme a compilé les infos à savoir ICI !
Sophia Antipolis. 2.400 hectares composés à 90 % d’espaces verts. Le reste, c’est l’antre de la tech et de l’innovation. Imaginée en 1969 par le sénateur Pierre Laffitte, Sophia Antipolis est devenue la première technopole d’Europe, créant près de 1 000 postes par an. Elle héberge près 2.500 entreprises de toute taille – de la startup au grand groupe en passant par les PME et les laboratoires et autres centres de R&D... – qui génèrent 6 Mds d'euros de chiffre d’affaires par an. Elle totalise 43 000 salariés de 80 nationalités différentes, 5 500 chercheurs, 6 000 étudiants. Tous s’y croisent chaque jour, phosphorent, innovent, font du business, font du sport, ont une riche vie associative et culturelle. On a tendance à l’oublier mais près de 10.000 personnes résident dans les communes alentour.
Entrepreneuriat, recherche, vie culturelle, sportive et associative...
C’est cette fertilisation croisée, ce dynamisme que les Trophées de Sophia Antipolis ont mis en lumière jeudi dernier au Golden Tulip sophipolitain. Organisés par la Communauté d’Agglomération de Sophia Antipolis (CASA), la Fondation Sophia Antipolis et le Groupe Nice-Matin, ils ont récompensé six pépites qui brillent dans des secteurs très différents, comme le souligne Simon Perrot, directeur général du Groupe Nice-Matin, fier de montrer "toutes les facettes de la technopole. Malgré le contexte morose, la bonne santé de Sophia Antipolis est la preuve de la réussite d’un modèle économique et de l’engagement de tous, notamment des collectivités locales."
Ce n’est pas Jean Leonetti, président de la CASA, qui le contredira. Même s’il préfère mettre l’accent sur l’innovation qui est dans l’ADN des lieux. Un peu à l’image du futur bâtiment Alpha Antipolis, qui, en rassemblant l’ensemble des acteurs clés du monde entrepreneurial, académique, sera la vitrine mondiale de la tech azuréenne. Et de préciser: "L’important est de fonctionner en réseau et non pas en pyramide. Etre dans l’innovation, c’est se dire que le monde n’est pas parfait mais qu’on peut l’améliorer. Et à Sophia, un monde nouveau s’ouvre devant nous." Un monde qui se réinvente avec succès depuis plus d’un demi-siècle.
Le COV obtient le prix de la vie associative
Depuis 1979, le Club Omnisports de Valbonne – COV de son petit nom – et ses trente salariés s’occupent de faire bouger toute la technopole. Sports collectifs ou de pleine nature, danse-entretien... Ils sont plus de 3.000 adhérents, dès quatre ans, à profiter de la trentaine d’activités sportives proposée par cette association loi 1901.
C’est pour cela que le COV décroche le prix de la Vie associative. Très investi à l’instar de la centaine de bénévoles et des trente salariés qui œuvrent au sein du COV, Marc Fournier, son président, a à cœur de "faire vivre le territoire et faire profiter le plus grand nombre". Un nombre qui devrait bientôt augmenter puisque le gymnase des Bouillides où ont lieu la danse et la gymnastique devrait rouvrir en janvier prochain après plus d’un an de travaux de rénovation.
Mouratoglou joue à l’international
Il a fondé la plus grande académie de tennis d’Europe à Sophia Antipolis. Un projet qu’il avait initié en région parisienne en 1996 avant de le relocaliser en terres azuréennes dix ans plus tard. Patrick Mouratoglou ne fait jamais les choses à moitié. Surnommé The Coach, il a entraîné les plus grandes stars du tennis mondial, dont Serena Williams. Aujourd’hui, il est l'entraîneur officiel de Naomi Osaka, quadruple championne de Grand Chelem et le mentor de nombreux futurs champions.
Pour bâtir son empire, Mouratoglou a investi 80 millions d'euros. Résultat: 33 courts de tennis, 4 courts de padel, 2 espaces fitness, 4 piscines, dont une en forme de raquette, un resort haut de gamme avec un restaurant, un spa, un centre esthétique, un centre médico-sportif et un country-club qui compte plus de 2.000 adhérents. Tout cela, sur un domaine de 13 hectares. L’académie accueille chaque année environ 250 étudiants de 60 nationalités différentes dans son programme "Tennis-Études", entourés de 35 coachs (jusqu’à 80 en été avec les stages).
Avec 250 employés, l’entreprise Mouratoglou est aujourd’hui un des plus gros employeurs de la région.
En 2020, il lance l’UTS (Ultimate Tennis Showdown), une ligue de tennis aux règles novatrices, pensée pour des matchs plus courts, plus intenses, en phase avec les nouvelles attentes du public. Succès!
Amadeus salué pour sa politique d’inclusion
Prix du Développement durable et énergie pour GCC
Avec "Construire ensemble des solutions sobres et durables" pour raison d’être, on ne peut que recevoir le prix du Développement durable et Énergie. L’antenne azuréenne de GCC (Génie Civil et Construction; 3.000 collaborateurs, 1,2MdE de chiffre d’affaires) s’est vue récompenser pour ses nombreuses réalisations sur le territoire. À l’instar du centre de gérontologie de l’Hôpital Simone-Veil de Cannes et du campus STAPS de Nice "pour lequel GCC a géré la rénovation énergétique", explique son directeur Côte d’Azur, Raphaël Leroy qui dirige 35 personnes.
Sur la technopole, ce dernier pilote le chantier d’Alpha Antipolis, le futur Pôle de l’innovation, dont la première pierre a été posée en octobre dernier. Un chantier dans la droite lignée de l’expertise de GCC. "Nous ne sommes pas qu’une entreprise générale de construction; on essaie aussi d’accompagner la transition énergétique en étant force de propositions techniques pour nos clients. La particularité d’Alpha – qui respectera la nouvelle norme RE2020, synonyme de haute performance énergétique et d’empreinte carbone réduite – est d’être un catalogue de toutes nos bonnes pratiques et ce, à chaque étape du projet. Lors de la conception avec son implantation sur le site en veillant à l’orienter au mieux et en préservant au maximum les espaces boisés. Les matériaux issus des terrassements ont été triés et traités pour être réemployés sur place en servant de remblais sous les cheminements piétonniers par exemple."
Et de citer pêle-mêle, l’enveloppe du bâtiment, les matériaux utilisés (dont des isolants biosourcés), les installations techniques durables qui sollicitent de l’énergie renouvelable. "Sur le toit, 400 m² de panneaux photovoltaïques couvriront les besoins en éclairage du bâtiment et les deux tiers des postes de travail, il aura des systèmes de brise-soleil sur les façades les plus exposées. Grâce à la géothermie sur champ de sondes, toute l’énergie nécessaire pour chauffer Alpha sera couverte et jusqu’à 80 % pour le rafraîchir… Ce n’est pas tous les jours qu’on fait un bâtiment aussi vertueux." Livraison prévue fin 2025.
Excellence et innovation scientifique pour Cintoo
Cintoo, fondée en 2013 à Sophia Antipolis, est spécialisée dans la gestion des Jumeaux Numériques à partir de scanners 3D (scanners laser, drones…). Un jumeau numérique (Digital Twin) est une copie virtuelle d’un site industriel qui permet aux clients dans la Construction, le manufacturing automobile ou l’énergie de réduire leurs coûts d’opération, l’impact des travaux de maintenance et de rénovation, tout en ayant une connaissance précise de leurs propres sites.
Les données issues de la Reality Capture, soit le recueil de données à l’aide de scanners laser ou de drones, sont compressées par la technologie mise au point par les équipes de Cintoo à Sophia Antipolis et sont transformées en données surfaciques 3D comme un jeu vidéo, visualisables en streaming depuis le cloud. Cette technologie unique fait l’objet d’un brevet déposé aux États-Unis où Cintoo réalise 60% de son chiffre d’affaires.
Près de 500 entreprises font déjà appel à Cintoo dans plus de 40 pays. Un succès qui ne cesse de monter en puissance et la société vient d’annoncer une levée de fonds de 37 millions d'euros en série B. Dominique Pouliquen, CEO de Cintoo, précise que ce tour de table a été mené par le fonds de croissance de Partech, une société d’investissement technologique mondiale, avec le soutien des investisseurs existants, Amavi Capital et Armilar Venture Partners. Une levée qui intervient seulement deux ans après le dernier tour de table en série A de 5,5 ME.
Le CEO indique: "Cet investissement nous permettra d’accélérer le développement de notre plateforme, d’étendre notre présence mondiale et de continuer à innover dans le domaine de la gestion des données issues de la Reality Capture. Ce financement témoigne de la valeur et du potentiel de la plateforme Cintoo, et nous aidera à répondre à la demande croissante de nos clients dans de multiples secteurs d’activité." Le trophée de l’excellence et des innovations scientifiques ne pouvait que revenir à Cintoo qui emploie près de 60 collaborateurs sur la technopole.
WHAT06 décroche le prix de l’engagement sociétal
Depuis sa création il y a huit ans, WHAT06 – pour Women Hackers Action Tank Alpes-Maritimes – n’a qu’un seul objectif : féminiser les métiers de la tech de l’ingénierie, de l’informatique et du numérique, les faire découvrir et les rendre accessibles aux femmes et aux jeunes filles.
Bienvenue sur AUGUSTA06
Arbre Universel sur Geneanet pour un Usage Solidaire du Travail (mené) sur nos Ancêtres dans le 06.
Il s'agit d'une initiative personnelle qui cherche à rassembler les énergies pour mettre en place, pour les Alpes-Maritimes, un arbre commun.
Pourquoi ? Pour le plaisir, pour l'aspect pratique, pour travailler ensemble, pour se trouver plus facilement des cousins, pour mille raisons, en définitive ...
Comment ? En mettant en commun toutes les personnes rencontrées et qui ont un lien avec les Alpes-Maritimes.
Où en est-on aujourd'hui ?
Le cap des 450 000 personnes a été franchi cette année et tout cela repose, d'une part, sur le superbe travail de deux associations très actives dans le département, l'AGAM, Association Généalogique des Alpes-Maritimes, ( http://www.agam-06.com/ ), et le CGPC, Centre Généalogique du Pays Cannois, ( http://www.cgpc06.org/ ), et d'autre part, sur les très nombreuses contributions où chacun a apporté sa pierre à l'édifice à la hauteur de ses travaux.
Si la démarche vous intéresse, lisez la chronique familiale et prenez contact avec moi, à bientôt donc ...
Bien sûr, il y a encore beaucoup d'erreurs et merci de votre aide pour me les signaler.
découvert par article Nice Matin https://nicematin.com/faits-de-societe/-on-mene-une-enquete-comment-les-benevoles-d-une-association-de-genealogie-remontent-le-temps-957246
Le docteur écossais Tobias Smollett était malade. Lui qui, pourtant, était du métier, n’arrivait pas à se guérir. En 1763, il décida d’aller se soigner sous le soleil de Nice. Bien lui en prit. Il restaura sa santé et, pour rendre hommage à la région qui l’avait guéri, il rédigea un récit de voyage.
"Quand je regarde autour de moi, écrit-il, je crois vraiment à un enchantement. On ne voit que des jardins pleins d’arbres verdoyants, chargés d’oranges, de citrons, de cédrats et de bergamotes. En s’en approchant, on trouve des carrés de petits pois bons à ramasser, toutes sortes de légumes magnifiques et des plates-bandes, de roses, d’œillets, de renoncules, d’anémones et de jonquilles, dans tout leur éclat et plus beaux, plus vigoureux et plus parfumés qu’aucune fleur jamais vue en Angleterre." Et il ajoutait: "Il n’existe aucun endroit au monde où la pluie et les vents sévissent moins qu’ici!"
Lorsqu’ils lurent cela au milieu de leurs brumes londoniennes, les Anglais n’eurent qu’une envie: venir sur la Côte d’Azur. Étant arrivés à Nice, beaucoup décidèrent d’y rester. Ils constituèrent une petite colonie qui ne tarda pas à créer le long du rivage leur Promenade des Anglais.
"Printemps perpétuel"
Mais Tobias Smollett ne fut pas le seul à rétablir sa santé à Nice. Il y eut aussi l’écrivain suisse Johann-Georg Sulzer. Arrivé souffrant au cours de l’hiver 1776, il repartit guéri. Comme Smollett, il s’empressa de vanter les mérites de la ville: "Ici, on jouit au milieu de l’hiver de toutes les grâces d’un printemps perpétuel", écrivit-il dans son livre "Voyage de Berlin à Nice". Cet ouvrage eut un tel succès qu’il fut traduit en français en 1782 et en italien en 1817.
L’écrivain Jean-Baptiste Dupaty constata, lui, dans l’une de ses "Lettres" publiées en 1785: "J’ai vu des Anglaises touchantes et même charmantes: à leur arrivée, elles mouraient; elles ont refleuri avec l’air de Nice".
Hyères plutôt que Nice
Mais voici un autre avis médical… Un avis médical très autorisé, émanant du célèbre médecin François-Emmanuel Fodéré, considéré comme le "père de la médecine légale" en France. Il donne, lui, la préférence à Hyères sur Nice: "La ville d’Hyères, qui est éloignée d’une lieue de la mer, pourrait, sous certains rapports, obtenir la préférence et paraîtrait même être un peu plus chaude en hiver et moins exposée que celle de Nice aux variations de la température", extrait de "Voyages" de Fodéré, cité par Marc Boyer dans l’"Hiver dans le midi".
Cet avis est confirmé par le "Guide des étrangers" en 1866: "Hyères, serre chaude de la France, a un climat meilleur que Nice".
Cet ouvrage remarque toutefois: "Trop souvent, hélas, les malades qui viennent demander à Hyères les bienfaits de sa douce température, arrivent dans un état presque désespéré. Fatigués d’un long voyage pendant une saison rigoureuse, ils succombent aux atteintes de leur mal!"
C’est ce qui est arrivé le 4 octobre 1860 au frère de l’écrivain Tolstoï, que celui-ci avait accompagné à Hyères. Commentaire de Tolstoï: "On ne peut imaginer quelque chose plus triste que cette ville. Elle est pleine de poitrinaires dont le cas est désespéré et il en meurt chaque jour!"
Il n’empêche, l’écrivain, lui aussi arrivé malade, âgé de 32 ans, est reparti d’Hyères en meilleure santé.
Menton et le Dr Bennet
Mais voilà quelqu’un qui trouve encore meilleur climat à Menton qu’à Hyères: c’est le docteur Bennett, lui aussi, Anglais.
Quittant Londres en mauvaise forme en 1859, il vint guérir à Menton, et s’y installa. Grâce à ses écrits, il fit venir ses compatriotes: "Vingt hivers passés à Menton, vingt printemps employés à parcourir la Méditerranée en tous sens… je n’ai pas trouvé ailleurs de climat meilleur qu’à Menton".
Parmi ses compatriotes qui vinrent, et qu’il soigna, figure Webb Ellis, l’inventeur du rugby. Il s’installa à Menton et y finit sa vie.
Au siècle suivant, un autre personnage célèbre vint soigner sa tuberculose à Menton, l’écrivaine néo-zélandaise Katherine Mansfield.
Se coucher à Cannes
De son côté, le… "Guide du poitrinaire", en 1874, est formel: il faut se rendre à Cannes. Mais il convient d’observer un certain mode de vie: "On doit se lever tard et se coucher tôt, de manière à rester environ douze heures au lit. Alors même que l’on ne dort pas, le lit repose, aucun lien ne gêne ni la respiration ni la circulation, en outre le proverbe ‘‘qui dort dîne’’ a un côté vrai en ce sens qu’on se dépense moins", cité par Dominique Escribe dans son ouvrage "Côte d’Azur, genèse d’un mythe".
Nice, Hyères, Cannes, Menton, Grasse ou Saint-Raphaël, il n’y avait qu’à choisir pour venir se soigner, mais la direction était la même: la Côte d’Azur!
Quelle implication des habitantes et habitants dans le Parc naturel régional des Préalpes d'Azur ?
🖐️ Habitantes et habitants du Parc naturel régional des Préalpes d’Azur, nous vous sollicitons pour répondre à quelques questions (15 minutes) sur votre relation au territoire des Préalpes d'Azur.
🗺️ Entre mars et juin 2024, un premier questionnaire a été diffusé pour faire le bilan citoyen de l'évolution du territoire et des actions du Parc. Merci aux 207 participants et participantes. Retrouvez les résultats de ce premier questionnaire ici :
Réponses brutes – questionnaire bilan citoyen 12 ans de territoire PNR
https://www.parc-prealpesdazur.fr/wp-content/uploads/2024/01/Reponses-brutes-Questionnaire-bilan-citoyen-12-ans-de-territoire-PNR1.pdf
Résultats analysés – questionnaire bilan citoyen 12 ans de territoire PNR
https://www.parc-prealpesdazur.fr/wp-content/uploads/2024/01/Resultats-Analyses-du-Questionnaire-bilan-citoyen-12-ans-de-territoire-PNR-mis-en-page.pdf
nouveau questionnaire
Ce nouveau questionnaire a pour objectif de mieux connaitre les souhaits des habitantes et habitants pour l'avenir du territoire et pour l'implication des citoyens et citoyennes auprès du Parc aturel régional des Préalpes d'Azur
https://www.evalandgo.com/f/169841/4pjTh2zR6FnxcxDhHrDyVk?o=1805b77981a7bc
Dans une démarche novatrice et écologique, Tilikum’s Spirit envisage la sanctuarisation du site de Marineland pour créer un véritable refuge marin.
L'association Tilikum's Spirit
Le Tilikum’s Spirit a vu le jour sous la forme d’un collectif en décembre 2022 après avoir œuvré plusieurs années pour le suivi des animaux marins présents à Marineland et la défense des cétacés captifs.
Depuis 2019 les bénévoles du collectif se sont déplacés au parc très régulièrement pour suivre les animaux et leur évolution. Petit à petit, le Tilikum’s Spirit a vu le jour sur les réseaux sociaux jusqu’à la création officielle du collectif en 2022.
Face à l’ampleur qu’ont pris les actions du Tilikum’s Spirit, décision a été prise de créer l’association (Création officielle le 8 avril 2024).
L'objet et les moyens de l'association
L' association a pour objet :
La défense des cétacés captifs.
La défense de tous les animaux marins captifs (oiseaux, pinnipèdes, poissons, cétacés… la liste étant non exhaustive).
La protection et la sauvegarde des cétacés libres.
La mise en place de structures type sanctuaires ou refuges.
Le soutien à d’autres associations ou organisations non gouvernementales.
Les moyens mis en place pour réaliser cet objet sont :
Organiser et participer à des manifestations ou interventions.
Informer le public de la vie des animaux marins captifs ainsi que des difficultés rencontrées par les animaux marins libres.
Mettre en place toute collaboration avec des organismes publics ou privés.
Faire toutes les démarches ou actions nécessaires à la préservation des animaux marins libres ou captifs.
L’association se réserve le droit de se joindre ou de réaliser toute expertise ou action en justice et plus largement toute procédure judiciaire ou non judiciaire en rapport avec l’objet de l’association.
Effectuer des prestations de services uniquement dans le cadre de l’objet de l’association
Plantes, bijoux, déco artisanale, livres, animations pour les enfants, chants festifs… Dimanche, le marché de Noël accueilli par l’épicerie Ambrosia, à La-Roquette-sur-Var, ressemblera à s’y méprendre à ces événements de saison pour glaner des cadeaux locaux. À une exception près: pour s’y faire plaisir, pas d’euros à débourser mais des G1 (prononcés "junes"), une monnaie libre dématérialisée aux valeurs très différentes de l’argent qu’on sort de notre porte-monnaie.
Qu’est-ce que la G1?
Née en 2017 de l’esprit d’un mathématicien français, la G1 est une crypto-monnaie générée par un algorithme informatique. L’idée: s’affranchir de celle générée par les banques via l’emprunt pour en créer une plus égalitaire. "Quand on entre dans la G1, tous les jours, on reçoit de la valeur. Au niveau philosophique, ça remet l’humain au centre: ce n’est pas parce qu’on fait quelque chose, mais parce qu’on est, qu’on vaut quelque chose", souligne Morgane Tymen, cofondatrice de l’épicerie (et également collaboratrice de Nice-Matin), intéressée par ce système d’échanges.
Pour avoir ses premiers G1 crédités, cela passe par l’installation d’un logiciel libre, sorte de compte courant baptisé Cesium. Mais avant, par des échanges en chair et en os. "Pour être membre, il faut que cinq personnes vous rencontrent lors d’un G-marché. À cette occasion, on vous fait une première donation en G1", détaille Sam, habitante de Puget-Théniers qui compte parmi les 100 à 150 utilisateurs azuréens revendiqués par cette monnaie.
Qu’acheter ou vendre avec?
Ancienne bergère au RSA, Sam utilise régulièrement ses "junes" et assure y avoir gagné en pouvoir d’achat. Payer en G1, cela peut se faire lors d’événements ou encore en ligne via la plateforme qui, à la manière du site Leboncoin, propose de la vente de biens et services près de chez soi. "J’y ai vendu une table à dessin, des tisanes, un appareil photo. Et acheté des sculptures à des artistes locaux, une formation sur le référencement Google. Dans la vallée, j’ai aussi pu avoir de la viande bio auprès de la Ferme du Collet, à La Penne, me faire prêter une voiture…", s’enthousiasme Sam. Envie d’en savoir plus? Dimanche, une présentation de la monnaie aura lieu à 11h sur le marché de Noël d’Ambrosia.
Dimanche 22 décembre, 10 à 22h, devant l’épicerie Ambrosia (12, RN 6202 à La Roquette-sur-Var). Infos: gmontagneazur@mailo.fr
Informations sur Aliza Taxi 06 09 38 54 49
Taxi Bernard Sophia Antipolis 06 09 58 32 47 (taxi médical)
https://g.co/kgs/hnsaBT4
TAXI FLO SOPHIA ANTIPOLIS 06 37 77 84 40 (aéroport)
https://g.co/kgs/gezxT6X
Taxi Marjo & Séb Valbonne Sophia Antipolis Conventionné 06 76 53 78 21
https://g.co/kgs/YrPXf6X
Chauffeur VTC Benjamin Mougins 06 67 09 11 18
Trajet Mougins > Aéroport de Nice à partir de 30€
Tarif exacte en fonction de l'adresse exacte et de l'horaire
Un problème avec un appareil électroménager ? Georges Dépannage dépanne vos appareils électroménagers tout autour de Cannes, Antibes et Mandelieu (06).
Réparation gros électroménager
Dépanneur qualifié pour réparer tout type d'électroménager
Georges Dépannage Ménager met tout en œuvre pour réparer à moindres frais votre appareil en panne et éviter ainsi que votre électroménager n’aille directement à la poubelle. Georges Dépannage Ménager propose un dépannage de proximité, à visage humain. En confiant à l’un de votre technicien dépanneur Georges Dépannage Ménager la réparation de votre lave-linge, lave-vaisselle, four, réfrigérateur ou autre gros électroménager, vous bénéficiez d’un interlocuteur unique qui saura vous expliquer clairement et simplement la panne et agir en conséquence pour la réparer. Georges Dépannage Electroménager intervient dans un rayon de 15 km autour de Cannes, jusqu’à Antibes, Mandelieu La Napoule et Grasse, sur tout type d’appareil qualifié de grand ou gros électroménager. Les réparations peuvent être exécutées chez vous ou en atelier, où vous pouvez aussi nous apporter votre matériel en panne ou défectueux. Georges Dépannage Ménager propose gratuitement le prêt d’appareil électroménager, lorsque le matériel que vous nous avez confié pour réparation se trouve immobilisé pendant une longue durée.
Membre du réseau Répar'Acteurs
Gage de sa qualité de dépanneur en électroménager, Georges Dépannage Ménager est labellisé Répar’Acteur, une opération lancée par la chambre de métiers et de l’artisanat, avec le soutien de la région et de l’ADEME. Cette opération permet de valoriser le savoir-faire d’artisans de la réparation et de prôner une économie circulaire (selon la logique « recycler - réparer - réutiliser »), plutôt qu’une économie linéaire (selon la logique « extraire - fabriquer - consommer - jeter »).
Le séisme qui a été ressenti lundi soir dans les Alpes-Maritimes, le Var et en Italie a eu lieu à environ 25km au large des côtes au niveau de la frontière italienne. Ce séisme de magnitude modérée a été bien ressenti et également parfaitement enregistré par les réseaux de surveillance. Il a eu lieu dans la zone de la faille ligure, responsable du séisme de 1887 de magnitude 6,5 qui avait causé à l’époque environ 600 victimes en Italie.
La surveillance sismique est assurée au laboratoire Géoazur grâce à 40 stations sismologiques installées à terre dans les Alpes-Maritimes, le Var et la Corse. Elles enregistrent en temps réel toutes les vibrations du sol et permettent d’obtenir en quelques minutes la localisation et la magnitude du séisme. Elles fonctionnent en permanence. Tous les séismes sont ensuite répertoriés sur le site du laboratoire, sismoazur.oca.eu, qui présente la sismicité en temps réel dans la région sud-est de la France. Ces stations sont connectées aux stations italiennes et sont gérées par le laboratoire Géoazur. Tous les enregistrements sont transmis également vers des bases de données européennes et mondiales pour que les chercheurs puissent travailler librement sur les données (le réseau EPOS européen met à disposition gratuitement des nombreuses données d’observation de la terre: www.epos-france.fr).
"L’enregistrement en mer, c’est plus nouveau"
En plus de ces capteurs à terre, le séisme a été enregistré par un capteur sous-marin installé au large, ainsi que par un nouveau système d’enregistrement sur fibres optiques en fonction depuis tout juste un mois. Le séisme ressenti lundi soir a été le premier qu’il a enregistré dans la zone. "Il vient compléter le réseau de surveillance existant et il a été mis au point par Anthony Sladen, chercheur à Géoazur, explique la sismologue Françoise Courboulex, directrice de recherche au CNRS. L’enregistrement des séismes à terre c’est quelque chose que l’on fait traditionnellement, l’enregistrement en mer, c’est plus nouveau. Avec ce nouveau dispositif, nous avons aujourd’hui une couverture exceptionnelle en matière d’observation des séismes sous-marins."
Avec ce nouveau dispositif, les chercheurs espèrent ainsi en apprendre plus sur le fonctionnement de la faille ligure. Jusqu’où est-elle active? Quel séisme peut être engendrer? Permettra-t-il d’anticiper le risque? Françoise Courboulex reste très prudente: "Cela reste un travail de recherche et nous n’en sommes encore qu’aux balbutiements… Mais une chose est sûre, aucun dispositif ne permettra de prédire l’occurrence d’un séisme, donc il vaut mieux s’y préparer."
Autres articles
Nos bâtiments peuvent-il faire face à un gros séisme? "Il faut mener dans chaque commune un diagnostic de vulnérabilité des bâtiments construits avant 1998", selon un architecte niçois
https://www.nicematin.com/urbanisme/nos-batiments-peuvent-il-faire-face-a-un-gros-seisme-il-faut-mener-dans-chaque-commune-un-diagnostic-de-vulnerabilite-des-batiments-construits-avant-1998-estime-l-architecte-nicois-jean-baptiste-griesmar-963335
Les séismes se multiplient-ils dans la région? Sont-ils plus violents? Les ressent-on davantage? Doit-on s'attendre au "Big One"? On fait le point
https://www.nicematin.com/environnement/les-seismes-se-multiplient-ils-dans-la-region-sont-ils-plus-violents-les-ressent-on-davantage-doit-on-s-attendre-au-big-one-on-fait-le-point-963341
Le repère du Zèbre, votre magasin d'articles de bien-être, cosmétiques, modes et décorations, concept lifestore à Valbonne près de Sophia Antipolis.
Découvert par article nice Matin https://www.francebleu.fr/emissions/bienvenue-chez-vous/idee-cadeau-une-bougie-artisanale-et-responsable-du-repere-du-zebre-a-valbonne-2777689#xtor=RSS-106
L’équipe de What06 est heureuse de vous présenter sa plateforme Tech4Elles (présentation) qui permettra de mettre en relation des jeunes filles et des marraines Roles Models.
Par Women Hackers Action Tank https://what06.fr/
En 2016 le collectif WHAT06 naît d’un objectif clair: Montrer l’accessibilité de la science à TOU(TE)(S) !
Le collectif souhaite rendre visibles les femmes travaillant dans les domaines du Numérique et de la Technologie. Également, l’objectif est de faire découvrir les métiers de l’ingénierie informatique aux femmes et aux jeunes filles.
Après 4 Hackathons réalisés, 2 Girls Tech Day et plusieurs autres événements au format plus court, nous vous préparons un nouvel événement: La deuxième édition des Trophées Women In Tech Sud !
Plus d’infos sur notre événement de l’année sont à venir : Suivez nous sur les réseaux !
Découvert par article Nice Matin https://www.nicematin.com/economie/comment-l-application-tech4elles-veut-inspirer-la-prochaine-generation-de-femmes-dans-la-tech-959842
Traditionnellement la région PACA (Provence Alpes Côte d'Azur) n'est pas la région où l'on trie facilement les emballages. Notre région se classe 12e au niveau national d'après les chiffres de Citéo, entreprise spécialisée dans le recyclage des déchets. Mais en 2023, nous avons fait des progrès. Nous avons mieux trié (+4%) les emballages ménagers par rapport à 2022. En moyenne les habitants de la région Sud ont jeté 56 kilos d'emballages et de papier dans les containers appropriés.
47,5 kilos d'emballages triés par habitant
La collecte des emballages en plastique et en carton progresse. Dans les Alpes-Maritimes, nous trions moins qu'au niveau régional avec 47,5 kilos d'emballages jetés par habitant en 2023. C'est en hausse de plus de 5% par rapport à 2022. On trie mieux dans le 06 que dans les Bouches-du-Rhône (29,2 kg par habitant) mais nous sommes loin des 90 kilos d'emballages jetés par les Haut-Alpins.
D'après Citéo, à l'échelle nationale, les Français ont trié l'an dernier en moyenne 58 kilos d'emballages ménagers (papiers, carton et 33 kilos de verre) par habitant, soit un kilo de plus qu'en 2022.