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Rachel Bianconi est accompagnante funéraire sur la Côte d'Azur : qu'est-ce que c'est ? - France Bleu
En ce 1er novembre, France Bleu Azur se penche sur un sujet à la fois lourd, mais qui par définition nous concerne tous : la gestion de la mort, à la fois personnellement et pour nos proches. Réponses avec une invitée qui exerce une profession méconnue : accompagnante funéraire .
Comment appréhender la mort, à la fois pour soi, et pour ses proches ? Comment s'organiser, à qui parler, et faut-il d'ailleurs en parler ? Sur la Côte d'Azur, Rachel Bianconi accompagne des familles "dans tout ce que les pompes funèbres ne font pas" : elle a lancé son activité d'accompagnante funéraire.
Invitée ce vendredi 1er novembre de France Bleu Azur, elle nous détaille son métier. Interview à réécouter en podcast.
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Découvert par article nice matin
https://www.nicematin.com/sante/je-dois-me-faire-operer-bientot-ai-je-le-droit-de-refuser-et-de-demander-un-autre-avis-944449
Sur la plateforme deuxièmeavis.fr, entreprise reconnue société à mission depuis 3 ans, des médecins spécialistes, très pointus dans leur discipline, sont recrutés pour apporter une seconde lecture d’un dossier médical. Concrètement, il s’agit de partager les pièces de son dossier et de répondre à un questionnaire patient détaillé, le tout directement sur le site. Celui-ci sera relu, en moyenne en 5 jours (une semaine maximum), par un spécialiste de la pathologie qui apportera un second avis détaillé à l’écrit, directement adressé au patient.
Côté prise en charge, cette seconde lecture est remboursée à 100% par la majorité des complémentaires santé. "Si ce n’est pas le cas, nous pouvons orienter les demandeurs vers des associations d’aide aux patients", souligne Catherine Franc.
Potentiellement vectrice de la fièvre du Congo, la "tique géante", qui peut atteindre deux centimètres de diamètre, est présente dans 11 départements du pourtour méditerranéen. Santé publique France appelle à la prudence.
Ça n'est vraiment pas ragoûtant, mais ça pourrait aussi être dangereux : si vous habitez ou que vous partez en vacances dans le sud de la France ou en Corse, attention à la "tique géante", présente dans 11 départements du pourtour méditerranéen. Hyalomma marginatum, de son vrai nom, peut atteindre deux centimètres de diamètre. Alors que certains spécimens peuvent être porteurs de la fièvre du Congo ou de la maladie de Lyme, Santé publique France rappelle les mesures de prévention à adopter
Une tique "chasseuse"
La tique Hyalomma marginatum mesure environ 5 mm de long "à jeun", et peut atteindre près de deux centimètres une fois pris son "repas sanguin", décrit l'Anses, l'Agence nationale de sécurité sanitaire de l'alimentation, de l'environnement et du travail. Ses pattes rayées la rendent particulièrement reconnaissable.
Contrairement aux tiques ordinaires, Hyalomma marginatum sont des "tiques chasseuses". Alors que les tiques classiques se positionnent "en hauteur dans la végétation", celles-ci se cachent au sol, "dans les débris végétaux", et "se dirigent activement vers l’animal qu’elles ont repéré". Si elles peuvent piquer l'homme, leurs proies de prédilection sont d'abord les "petits vertébrés" pour les larves : lièvres et lapins, hérissons, oiseaux, etc. "Les adultes quant à eux ont une prédilection marquée pour les grands vertébrés : chevaux, bovins, ovins et caprins, mais aussi sangliers ou chevreuils", poursuit l'Anses.
Des "observations" laissent penser que "les adultes grimperaient sur le sabot des animaux au pâturage et se fixeraient rapidement, de façon lâche, sur la peau située à proximité immédiate de la corne. Elles ne gagneraient les sites de prédilection que plus tard, lorsque les hôtes sont immobiles ou couchés".
Présente dans 11 départements
Originaire d’Afrique et d’Asie et introduite principalement par les oiseaux migrateurs en provenance d’Afrique, elle est présente en Corse depuis plusieurs décennies et endémique des pays méditerranéens (Maghred, péninsule ibérique, Italie, Turquie, etc.). Mais elle a fait son apparition en France continentale plus récemment, en 2015, selon l'Anses. Le transport des animaux domestiques favorise également sa propagation.
En France, sa présence est désormais confirmée dans 11 départements : Pyrénées-Orientales, Aude, Hérault, Gard, Ardèche, Drôme, Bouches-du-Rhône, Var, Alpes-Maritimes, Haute-Corse et Corse-du-Sud.
À l'origine de sa propagation, le réchauffement climatique est l'une des hypothèses privilégiées par l'Anses : ces tiques, "régulièrement introduites par des oiseaux migrateurs" ont "peut-être fini par trouver les conditions nécessaires à l’installation de l’espèce (climat, végétation, présence des hôtes des immatures et des adultes,…), conditions qui ont pu devenir favorables suite aux changements climatiques en cours".
"Le changement climatique est avéré comme l'un des facteurs qui favorise la circulation du virus", rappelle également une étude parue en 2023 dans la revue Emerging Infectious Diseases.
Vectrice de la fièvre du Congo
Hyalomma marginatum est l'un des vecteurs de la "fièvre hémorragique Crimée-Congo". Jusqu'à récemment, malgré la présence avérée de tiques géantes en France, rien n'indiquait que le virus soit, lui, présent dans notre pays. Mais il a été détecté en France à deux reprises ces derniers mois. D'abord dans les Pyrénées-Orientales, fin 2023, puis en Corse, début 2024. Le virus n'a pour l'heure été repéré en France que dans des tiques géantes collectées sur des bovins. Un seul cas de fièvre hémorragique chez l'humain a été recensé dans le pays, et le patient l'avait manifestement contractée à l'étranger.
Reste que "le fait d'avoir détecté ce virus dans des tiques dans le Sud de la France suggère quand même une possibilité d'émergence de cette maladie dans les prochaines années", estimait en juin dernier la vétérinaire Laurence Vial, lors d'un point presse de l'ANRS, une agence spécialisées dans les maladies infectieuses émergentes.
Une maladie parfois mortelle
La majorité du temps, une personne infectée par la fièvre du Congo n'a pas ou peu de symptômes, ces derniers s'apparentant à syndrome grippal (fièvre, douleurs musculaires, frissons, raideurs, maux de tête) avec troubles digestifs. "Généralement, les symptômes apparaissent de façon brutale", précise Santé Publique France (SpF).
Toutefois, "dans de rares cas", elle peut provoquer "des formes graves avec des saignements incontrôlés". Elle peut alors être mortelle dans "5 à 30%" des cas, même si ce chiffre est à relativiser en fonction du système de santé du pays.
Aucun traitement n'a, par ailleurs, vraiment fait ses preuves contre cette maladie.
Comment s'en protéger ?
Même si le risque de transmission à l'humain est pour l'heure jugé faible sur le territoire français, les autorités sanitaires appellent déjà à des précautions de bon sens. "La principale manière de se protéger contre la fièvre hémorragique Crimée-Congo est d'éviter les piqûres de tique en adoptant les mesures de protection individuelle, au printemps et en été, dans les lieux où la tique est installée", souligne l'agence Santé publique France.
Ces précautions sont de toute façon utiles contre d'autres maladies transmises par les tiques, telles celle de Lyme.
Ainsi, dans les endroits exposés, il vaut mieux porter des chaussures et des vêtements couvrants, "de couleur claire afin de mieux repérer les tiques sur la surface du tissu" et "enfiler le pantalon dans les chaussettes". SpF recommande aussi de "privilégier les chemins balisés" et d'"éviter de marcher au milieu des herbes, des buissons et des branches basses". Certains répulsifs existent également même si leur efficacité reste "limitée".
De retour de balade, pensez à examiner avec attention si une tique s'est installée sur votre peau ou celle de vos enfants, "notamment au niveau des plis de la peau sans oublier le cuir chevelu".
En cas de piqûre, "détachez immédiatement les tiques fixées". Pour cela, utilisez un tire-tique, une pince fine "ou à défaut vos ongles", préconise même Spf. Désinfectez ensuite et prenez la bestiole en photo. "Dans les 14 jours après la piqûre et si vous déclarez brutalement" les symptômes de la fièvre du Congo, "consultez un médecin en indiquant avoir été piqué par une tique et en lui montrant la photo".
En pleine nuit, vous êtes réveillé par une sensation de picotement, d’engourdissement ou de fourmillement au niveau du pouce, de l’index et du majeur… Il s’agit peut-être des premiers signes du syndrome du canal carpien (SCC). Très fréquente, cette pathologie bénigne survient plus souvent chez la femme et à partir de 40 ans. Elle est l’un des motifs de consultation les plus fréquents en chirurgie de la main. Définition, symptômes, facteurs de risque… On fait le point avec le Pr Olivier Camuzard, chirurgien de la main au CHU de Nice.
Comment se déclenche le syndrome du canal carpien?
Il est causé par la compression du nerf médian lors de son passage dans le canal carpien, au niveau du poignet. En effet, ce nerf commande la sensibilité mais aussi la motricité d’une partie de la main et du bras. Il descend dans l’avant-bras, passe dans le canal carpien au niveau du poignet, et se répartit dans les quatre premiers doigts: le pouce, l’index, le majeur (ou médius) et une partie de l’annulaire. Lorsque le nerf médian est pincé, le passage de l’influx électrique est ralenti, le nerf réagit en envoyant des stimuli aberrants. Les sensations douloureuses apparaissent et déclenchent le syndrome de canal carpien.
Quels sont les premiers signes?
Le syndrome se manifeste initialement sous la forme de fourmillements, de picotements, d’une sensation d’engourdissement ou de "décharges électriques", parfois même de douleurs dans la main, voire au niveau de l’avant-bras et du coude. L’atteinte des deux mains est très fréquente. Ces signes apparaissent le plus souvent en deuxième partie de la nuit, la compression du nerf étant plus importante en position allongée. La douleur s’estompe généralement en secouant la main pendant quelques minutes et disparaît totalement en journée. Les personnes peuvent toutefois ressentir une difficulté à bouger la main au réveil (enraidissement).
Les symptômes peuvent dans un second temps s’intensifier avec des picotements en journée. À un stade avancé, la compression du nerf entraîne une diminution de la force de préhension (difficulté pour tourner une clef, boutonner une chemise…), voire une perte de la sensibilité des doigts.
Quel est le risque d’un SCC non traité?
Dans environ un tiers des cas, les symptômes du syndrome du canal carpien disparaissent spontanément; c’est notamment le cas après une grossesse. Si les symptômes perdurent, voire s’aggravent, le risque, en l’absence de traitement est que le nerf médian soit endommagé. Lorsque l’atteinte est trop importante, la récupération, même après traitement, peut alors être longue et incomplète.
Il est donc nécessaire de consulter au plus vite…
Oui, et d’autant plus que le syndrome du canal carpien peut devenir très invalidant au quotidien. Aussi est-il important de ne pas ignorer les premiers signes de fourmillement de la main ou du poignet qui se déclenchent la nuit.
Qui consulter?
Pour diagnostiquer le syndrome du canal carpien, on peut déjà se tourner vers son médecin traitant. Il pourra effectuer un examen clinique grâce à plusieurs tests de flexions ou de compression manuelles pour entraîner un engourdissement des doigts. Pour confirmer le diagnostic, le médecin prescrit ensuite un électromyogramme (EMG). Cet examen permet de mesurer la vitesse de conduction du nerf médian, de localiser sa compression et son degré. Selon les résultats, le patient pourra être dirigé vers un chirurgien de la main, un rhumatologue, un neurologue ou un radiologue.
Quels sont les traitements possibles?
Il existe un arsenal thérapeutique selon la cause identifiée et la gravité de la compression. Pour les atteintes mineures, il existe deux traitements médicaux. On met d’abord en place une orthèse de repos nocturne qui permet d’immobiliser le poignet. Après plusieurs mois, si les symptômes persistent, on peut réaliser des infiltrations de corticoïdes qui permettent de dégonfler le contenu du canal carpien. Mais elles ne doivent pas être trop répétées (3 à 4 piqûres par an maximum) au risque d’abîmer le nerf.
Et pour les cas plus sérieux?
Lorsque l’EMG révèle une atteinte modérée à sévère du nerf médian, on passe directement à la chirurgie. Pour cela, il existe plusieurs techniques. La méthode "mini-open" est la plus utilisée (1). Elle consiste à ouvrir le canal carpien par une mini-incision afin de libérer le nerf médian et de diminuer la pression. L’opération peut être réalisée en ambulatoire. Les patients peuvent mobiliser immédiatement leurs doigts et les douleurs disparaissent dès la première nuit. Souvent, ils constatent une perte de force au niveau du poignet mais dans 80% des cas, ils récupèrent dans le mois qui suit. L’arrêt de travail dépend de l’activité du patient: il varie de 1 à 60 jours.
- Il existe aussi des techniques endoscopiques (avec l’aide d’une petite caméra) ou sous échographie. Ces dernières sont en cours d’évaluation.
Renouvelé pour cinq ans à la tête du Centre de lutte contre le cancer Antoine Lacassagne (CAL) (lire par ailleurs), le Pr Emmanuel Barranger revient, à l’occasion de la journée mondiale contre le cancer, sur quelques-unes des grandes évolutions qui devraient marquer, selon lui, le monde la cancérologie dans les dix années futures.
- Prévention sur mesure
"Il s’agira de personnaliser la prévention primaire et secondaire, en l’adaptant au risque de chacun", résume le spécialiste. Concernant la prévention dite primaire (destinée à empêcher l’apparition de la maladie), le spécialiste cite l’exemple d’Interception, un programme inédit piloté par l’Institut Gustave Roussy à Paris qui propose d’identifier au plus tôt les personnes à risque accru de cancer afin de leur proposer une prévention personnalisée et de mieux les prendre en charge dans le cadre d’une collaboration ville hôpital.
"L’intérêt de ce type de programme est qu’il s’adresse au tout-venant, vous, moi, en évaluant chez chacun le risque de développer un cancer. S’il est élevé, des actions sont conduites pour lutter contre les facteurs de risque: alimentation, mode de vie… C’est du sur-mesure, proposé par des établissements spécialisés, dans l’objectif d’améliorer la santé globale de la population."
S’agissant de prévention dite secondaire (qui cherche à diminuer la prévalence d’une maladie en la dépistant à des stades précoces), le Pr Barranger appelle à un renforcement des actions de dépistage des lésions précoces "pour améliorer la survie". "Notre rôle, en tant qu’établissement de lutte contre le cancer, est de participer à ce que la population générale accède au dépistage." Référence aux taux de participation toujours très bas dans notre région. "Dans le champ du dépistage, il est important d’identifier les personnes qui y échappent pour raisons sociales et/ou géographiques."
- Diagnostics et thérapeutiques personnalisés
"Le diagnostic et les thérapeutiques seront dans le futur de plus en plus personnalisés; ils s’appuieront sur la caractérisation de la tumeur et de l’hôte." Le Pr Barranger cite l’exemple du cancer de l’endomètre, une tumeur qui bénéficie déjà de ce type progrès.
"Longtemps, le traitement était fonction de la taille du cancer, du stade d’évolution et de sa localisation, ce que l’on nomme la stratification TNM (classification clinique établie selon T: la taille de la tumeur; N: l’atteinte ganglionnaire; M: présence ou absence de métastases, Ndlr). Aujourd’hui, la tumeur est caractérisée au niveau génétique – on recherche la présence de mutation – et par imagerie. Et on propose des thérapies ciblées en fonction des mutations identifiées".
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Rôle croissant de l’intelligence artificielle (IA)
Si l’IA fait couler beaucoup d’encre – beaucoup s’inquiètent des enjeux éthiques – elle reste porteuse, en médecine, de grands progrès, dans le champ diagnostique notamment. "On devrait dans les années à venir voir encore progresser la participation de l’IA dans l’aide au diagnostic, la caractérisation des tumeurs, la prédiction de réponse aux traitements, le contourage des lésions… Les bénéfices à attendre sont majeurs: une définition plus précise des tumeurs, ce sont des traitements plus ciblés, et une toxicité réduite d’autant." -
Combinaison de traitements
Combiner des thérapeutiques différentes pour mieux combattre le cancer: cette tendance ne fait que s’accentuer, comme le confirme le directeur du CAL. "On multiplie les nouvelles associations thérapeutiques de type chimiothérapie et immunothérapie ou thérapie ciblée… Les séquences thérapeutiques se diversifient, elles aussi, avec une généralisation des traitements concomitants."
Parmi les nombreuses illustrations de cette évolution, le traitement du cancer du sein. "La chirurgie n’est plus réalisée systématiquement en première intention. Parfois, on commence par une immunothérapie par exemple. En réalité, les séquences thérapeutiques sont de plus en plus personnalisées, avec toujours le même but: améliorer la survie, en préservant l’organe ‘‘malade’’ et sa fonction. Et en limitant les séquelles."
- Développement de la médecine nucléaire
Outil d’espoir dans la lutte contre le cancer, cette discipline médicale, qui utilise des radiotraceurs, connaît actuellement un essor important. Elle a ainsi déjà révolutionné la prise en charge du cancer de la prostate métastatique, en situation d’impasse thérapeutique.
Le CAL est le premier établissement en PACA à proposer ce traitement (nommé "Lutétium 177-PSMA-617") composé d’une molécule vectrice permettant de cibler les cellules cancéreuses et d’un élément radioactif émettant un rayonnement ayant vocation à détruire l’ensemble de ces cellules, tout en ayant un effet limité sur les cellules saines environnantes. "Depuis un an et demi, nous avons délivré environ 300 doses de ce traitement par radiothérapie interne vectorisée, avec une montée progressive. Le traitement est très bien toléré, en ciblant le cœur des cellules malades."
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Renforcement des soins de support précoces
"Il s’agira d’identifier précocement les personnes atteintes d’un cancer au pronostic péjoratif, autrement dit dont on sait qu’il ne pourra être guéri, ni même stabilisé à court terme. Et d’accompagner au mieux ces personnes. Aujourd’hui, ces situations ne sont malheureusement pas toujours bien gérées." -
Implication renforcée des patients et des aidants
Tendre vers toujours plus de démocratie sanitaire. Une nécessité qui fait consensus. "Il faut absolument renforcer la place des patients et des aidants dans la prise en charge, pour qu’ils deviennent de vrais partenaires."
L'association "Traces de Vies" a pour objet de développer l’accompagnement des personnes en fin de vie, personnes âgées ou atteintes de maladies, enfants en soins palliatifs ou gravement malades, dans différentes structures telles que les unités de soins palliatifs, les unités d’oncologie-hématologie pédiatriques ou adultes, les maisons de retraites, les centres de longs séjours, les EHPAD, l'accompagnement à domicile ou toute autre structure d'accueil.
Découvert par article nice matin https://www.nicematin.com/a/881352?t=1698770930
Plusieurs cas de « Cryptosporidiose » ont été identifiés dans l’Ouest des Alpes-Maritimes.
Peut-on consommer l’eau du robinet ?
Même si les premiers résultats d’analyse de l’eau sont conformes, dans l’attente d’éléments d’investigations complémentaires et par mesure de précaution, il est conseillé à la population des communes concernées (listées ci-dessus), et plus particulièrement aux personnes immunodéprimées et aux nourrissons, de :
consommer de l’eau en bouteille ou de faire bouillir l’eau du robinet pendant 2 minutes avant de la consommer ou de l’utiliser pour la préparation des aliments ;
préparer les biberons avec de l’eau embouteillée ;
se laver les mains régulièrement avec une solution hydro-alcoolique suivie de séchage, pour éviter la transmission du parasite.
L’eau du robinet peut toujours être utilisée pour la cuisson des aliments, la douche, les usages ménagers (vaisselle, linge…).
L’ARS Paca et Santé publique France continuent d’investiguer sur les cas de cryptosporidiose, pour repérer d’éventuelles nouvelles personnes atteintes et suivre l’évolution de la situation.
Pour la journée mondiale du diabète, le Docteur Stéphanie Pallé Defille diabétologue au CHU Nice détaille la nouvelle prise en charge depuis quelques jours au CHU de Nice du système d'auto-contrôle de diabète de type 1 pris en charge par un logiciel équipée d'intelligence artificielle (IA).
Une avancée majeure dans le traitement du diabète de type 1 attendue : les personnes atteintes de diabète de type 1 peuvent bénéficier d'un traitement révolutionnaire qui allie "une pompe à insuline à un logiciel d'Intelligence Articifielle (IA) " qui calcule et régule en permanence le taux de glycémie sans que le patient n'intervienne.
Pour l'instant, seulement une trentaine de patients ont été équipés du dispositif au CHU de Nice car le système est remboursé seulement depuis le 2 novembre 2022 par la sécurité sociale.
Le diabète de Type 1 est le plus redouté, il apparaît tôt dans la vie des malades et nécessite de prendre de l'insuline.
Traitement efficace pour le diabète de type 2
Le diabète de type 2, qui représente 90 % des malades, le plus courant, est souvent lié " à une histoire familiale : des personnes d'une même famille sont souvent touchées. Il peut être évité avec du sport et une alimentation contrôlée avec moins de gras et de sucre. On le dépiste en l'absence de symptômes grâce à une simple prise de sang. Les premiers symptômes sont une grande fatigue mais aussi une soif et une envie d'uriner toutes les deux excessives. Mais pour ce diabète il existe aussi un traitement novateur proposé au CHU de Nice dans le service diabétologie et endocrinologie : on propose un traitement thérapeutique qui en même temps protège le cœur et les reins qui peuvent être affectés par le diabète. C'est un double intérêt."
Pour cette journée mondiale de lutte contre le diabète, de nombreux centres vous accueillent pour un dépistage.
Une crème à appliquer, deux fois par jour. L’Opzelura devient ainsi le premier et le seul traitement approuvé par la FDA pour la repigmentation chez les patients atteints de vitiligo. Une victoire pour les patients, à laquelle le CHU de Nice a participé en 1re ligne.
Richard Galy, le maire de Mougins (Alpes-Maritimes), présente l'institut du cancer à l'hôpital privé de sa commune. Un service supplémentaire pour les habitants et surtout un service plus rapide et simplifié.
Le parcours appelé "Tout en un jour" permet à un patient de passer par l'ensemble des services compétents en quelques heures. "La personne peut être dépistée et prise en charge dans la foulée pour les premiers diagnostics", explique Richard Galy, maire de Mougins et lui-même médecin. "C'est un gain de temps précieux, précise-t-il. Et c'est surtout 120 médecins sur le même lieu".
Nice propose déjà un institut du cancer mais avec ce lieu privé, la commune de Mougins, à l'ouest du département, espère rapprocher les soins du patient.
Test Diagnostic Rapide (TDR)
ça ressemble au test antigénique pour le covid sauf qu'au lieu de le faire dans le nez, le prélèvement est fait au fond de la gorge et 5 minutes plus tard, on a le verdict.
Ce test existe depuis 2002 mais seulement 40% des médecins généralistes l'utilisent alors qu'il est fourni gratuitement par l'assurance maladie.
Ce test peut se faire sans ordonnance en pharmacie depuis le 1er juillet 2021 mais en pratique encore très peu de pharmacies le proposent?
Ce test permet d'éviter la prescription d'antibiotiques inutilement et donc de limiter l'antibiorésistance, c'est à dire la résistance des bactéries aux antibiotiques.
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Découvert par article Nice Matin https://abonnes.nicematin.com/article/au-tignet-celine-salinas-developpe-des-vetements-douillets-et-adaptes-aux-soins-pour-les-malades--736602