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Collants vendus 29,9€
On vous présente Axelleroi, une marque issue des écoles de Sophia Antipolis, qui part en guerre contre le collant prêt-à-jeter
S’il existe d’autres marques de collants dits "durables", Axelle Leroy insiste sur le plus qu’offre la sienne: "Le confort et le galbe avec des pointes et talons renforcés, une ceinture haute et douce qui s’adapte aux mouvements. Une légère pression est également exercée au bas des jambes afin de prévenir la sensation de jambes lourdes."
Lors de la fabrication du collant, la pièce est blanche, prête à être teintée. C’est là que la cause environnementale entre en jeu. "Il faut 750 litres d’eau pour teinter une seule paire ! Avec plus de 130 millions de paires vendues par an, pour 3 à 6 usages par paire, on est dans une industrie du prêt-à-jeter très polluante (1)." Contre laquelle Axelle Leroy entend lutter avec son collant durable. "Après plus d’un an de R&D, nos premières paires ont été produites en décembre 2023 et en février, notre chiffre d’affaires était multiplié par quatre." Les collants sont recyclables (points de collecte disponibles sur le site), l’emballage est réalisé en carton recyclé par des entreprises situées dans les 15 km de l’usine italienne. Laquelle est en capacité de produire près de 30 000 paires par jour. Pour l’heure, 500 clientes sont consommatrices de la marque aux deux gammes: collants unis et plumetis, du XS au XL, disponibles sur le site e-commerce.
Sur la table, des chaussures s’alignent. Dans quelques minutes, chemises, robes et pantalons vont s’y étaler. Chaque vêtement sera scruté sous ce grand critère: est-il propre à être porté?
"Force est de constater qu’à ce premier tri, nous avons de plus en plus de vêtements souillés", regrette Marianne Cotillard, directrice d’ABI 06, chantier d’insertion spécialisé dans l’activité de collecte, tri et réemploi des textiles dans les Alpes-Maritimes.
Dans l’atelier de 1.000m² situé à Contes, les dons récoltés dans les 207 bornes du département sont traités. Un processus permettant de sélectionner les vêtements et accessoires de qualité qui seront mis en vente dans les cinq boutiques (rue Mimont à Cannes, Spitaliéri, Gorbella, Auguste-Gal et St-Augustin à Nice) de la structure.
"Moins de vêtements d’enfants qu’avant"
Le reste? "L’écrémage, comme nous l’appelons, part dans le circuit de recycleurs. Ce qui est impropre va à la déchetterie." Une logistique qui, depuis plusieurs mois, se retrouve impactée par une nouvelle réalité, insidieuse, mais présente: l’impact des plateformes de vente de prêt-à-porter de seconde main entre particuliers.
Parmi les 23 millions de Français inscrits sur la plateforme Vinted, on trouve Lucie V. Plusieurs fois par semaine, l’esthéticienne se rend à son relais-colis.
"Avant de chercher mon fils à l’école ou à ma pause déjeuner, je m’en occupe", indique cette Niçoise, qui garde boîtes à chaussures et cartons pour y vider son armoire et celle de son petit.
"C’est surtout sur les vêtements d’enfants qu’on perçoit cette tendance, on en a beaucoup moins qu’avant", relève Marianne Cotillard, au milieu d’une partie des 1.100 tonnes qui transitent chaque année chez ABI 06.
"Si tu ne le portes plus, vends-le": le fameux slogan du géant de la fripe en ligne semble avoir été suivi à la lettre.
Leader sur Vinted
Créé en 2008 à Vilnius (Lituanie), ce site de vente de seconde main entre particuliers axé sur le prêt-à-porter connaît un véritable essor depuis sept ans.
Avec une croissance de plus de 60% en un an (245 millions d’euros de chiffre d’affaires), l’entreprise s’est clairement imposée comme numéro un du secteur en France. La clé de ce succès? Un service 100% gratuit pour les vendeurs.
Ce sont les clients qui paient la note: en achetant (après parfois moult négociations) un article, ils assument une commission de 5% du prix du produit et 70 centimes à ajouter. Pour une chemise blanche Zara proposée à 8 euros, il faudra donc s’acquitter de 9,10 euros.
"En ce contexte d’inflation, on ne peut pas jeter la pierre aux gens", reconnaît Christiane Roussel, présidente d’Emmaüs 06, qui constate aussi la disparition des marques dans les sacs qui lui parviennent: "Et encore, nous bénéficions d’un contexte local favorable sur la Côte d’Azur. Dans d’autres antennes Emmaüs de France, cette perte est terrible."
"La moyenne gamme a disparu"
Malgré cette baisse qualitative, le volume des dons demeure stable chez les différentes associations caritatives du département. "C’est juste qu’aujourd’hui, il y a le pire et le meilleur.
On reçoit aussi bien des vêtements propres et pliés que des choses qui ne peuvent qu’être jetées", souligne François Chantrait, porte-parole des Restos du Cœur 06, qui doit composer avec ce grand écart.
"Nous n’avons plus de moyenne gamme", annonce Jean Stellitano, secrétaire général du Secours Populaire des Alpes-Maritimes qui explique l’effet de surprise: "On ne s’est pas rendu compte immédiatement de ce manque parce que nous avons reçu une vague de dons post-Covid. Mais depuis un an, c’est flagrant."
Exit Zara, Celio, Promod et compagnie. Des étiquettes que l’on retrouve à foison sur Vinted. Parce que du choix, il y en a. Le vide-dressing en ligne donne aussi bien dans la fast fashion (Shein, Topshop, Primark…) que dans le haut de gamme (Dior, Balenciaga, Prada) - quand certaines plateformes, comme Vestiaire Collective, se spécialisent dans le luxe. Bref: le public visé est large, et c’est pour cela que ça cartonne.
Mais si ça fait les affaires de la licorne (expression pour désigner une start-up valorisée à plus d’un milliard de dollars) et des utilisateurs, le circuit de la générosité trinque.
"On recycle plus"
"Plus de 25% de nos recettes sont assurées par la vente de vêtements. On recycle davantage, ce n’est pas bon pour l’équilibre de nos budgets", alerte le représentant du Secours Populaire 06, qui rappelle que les équipes distribuent également gratuitement des habits aux sans-abri.
"C’est un réel problème pour les personnes qui n’ont d’autre choix que de s’habiller chez nous", déplore Marianne Cotillard d’ABI 06, qui doit penser aux conséquences de ces nouvelles habitudes sur le long terme: "Chez nous, ce sont des emplois d’insertion. Certes nous sommes une structure à but non lucratif, mais nous avons des frais fixes et 60% de notre budget à dégager nous-mêmes. Pour que notre modèle perdure, il faut explorer de nouvelles pistes pour ne pas rester dépendants des règles du marché."
Rester "vigilant"
Basé à Saint-André-de-la-Roche et Mouans-Sartoux, Emmaüs 06 reste "vigilant" face à ce phénomène déjà connu: "On a déjà vu certains produits quasiment s’évanouir. Comme la technologie, l’informatique ou encore les petits meubles en bon état bien pratiques."
Là aussi, le contrecoup des sites en ligne, mais aussi de nouvelles filières de reconditionnement ou de recyclage interne. Sans citer une célèbre marque de vêtements, Marianne Cotillard, d’ABI 06, indique: "On peut ramener en magasin ce qu’on y a acheté il y a plusieurs années. C’est une manne qui ne passera jamais par nous."
Nous sommes des acteurs économiques du secteur textile qui nous sommes rassemblés en une coalition pour faire un lobbying vertueux dont le but est de lutter contre le réchauffement climatique.
Dêcouvert par Basilic Podcast #167 wedressfair https://youtu.be/dyGkAc85A9w
La marque Posidonie est née à Paris, en 2020. En plein confinement et avec seulement six modèles. "Je bossais dans la Tech, confie la Toulonnaise Lauren Peuch. Je me suis rendu compte que le marché était dominé par des grands groupes", contrairement aux marchés australiens et américains. Le marché dont elle parle? Celui du maillot de bain en tissus recyclés.
Alors, Lauren Peuch, 34 ans aujourd’hui décide de se lancer. "On a de très beaux tissus réalisés à partir de matières recyclées. Des matières repêchées dans les mers autour de l’Europe, retraitées en tissus en Italie et en Espagne, mais peu utilisées par les marques européennes, et je trouvais dommage qu’une matière recyclée soit envoyée en Asie pour la confection. En termes de bilan carbone, bon…" On voit bien en effet.
Et puis, la jeune femme a des convictions qu’elle entend mettre au service de son entreprise: "utiliser des matières existantes permet d’économiser de l’eau et de réduire jusqu’à 80% les émissions de CO2 lors de la production du tissu recyclé par rapport à un tissu conventionnel."
100% européens
100% recyclés, 100% recyclables, les maillots Posidonie, sont qui plus est 100% européens: dessinés en France, confectionnés au Portugal, "l’atelier le plus proche que j’ai trouvé et qui soit spécialisé dans la confection de ces produits. On propose tout de même un maillot de qualité fabriqué dans des tissus recyclés haut de gamme, on tenait à ce que les finitions notamment, soient vraiment impeccables…"
Trois ans plus tard, la marque affiche 65 modèles en tissus sculptant, intemporels, IPF 50 pour un prix moyen de 145 euros.
Surtout, alors que la marque était jusqu’à présent 100% digitale, Posidonie s’ouvre cette année aux points de vente physiques.
à Toulon déjà, où Lauren Peuch est revenue s’installer pour développer la marque. Les bureaux rue Jean Jaurès servent également de showroom. Pour y accéder, il suffit de réserver un créneau depuis le site de Posidonie. "Cela nous permet aussi d’être au contact de la clientèle, d’avoir des retours en direct…"
S’adosser à un grand groupe
A ce jour, Posidonie compte déjà plus d’une trentaine de revendeurs (1) et en cherche d’autres.
La start-up cherche également à s’allier à un grand groupe ou en tout cas un partenaire solide partenaire partageant ses valeurs pour s’y adosser et se développer.
Manaa est la contraction de Marine Fontaine et Anaïs Penalver. Deux amies qui se sont lancées, il y a bientôt un an, dans un projet de boutique de seconde main et de restauration.
Ouvert depuis le 9 mars, le concept-store situé rue Jean de Riouffe à quelques pas de la gare attire les curieux. Les deux amies avaient un seul objectif en créant ce commerce: inciter les Cannois à mieux consommer.
Et pour réussir leur pari, elles ont innové avec un concept de vente de vêtements qui appartenaient à des influenceurs sur les réseaux sociaux.
"Les créateurs de contenu reçoivent énormément de vêtements de la part des marques pour en faire la promotion. Ils vont porter un jean pour faire une story et après ils ne le remettront jamais."
Cela évite le surstockage et permet de proposer des vêtements, souvent de marques, à des prix abordables. Un mur divise la boutique de 75m2 pour laisser place à un bar à soupe en hiver et à salade en été.
Elles vendent également des pâtisseries et des boissons variées. Toute la nourriture est faite sur place par Marine et Anaïs chaque matin. Elles n’utilisent que des produits bios, locaux.
"L'écologie se devait d’être au centre du projet"
"Pour nous l’écologie se devait d’être au centre du projet, assure Marine Fontaine On propose aux gens ce que nous, on aimerait trouver."
Les deux femmes travaillent avec l’entreprise de panier de légumes des Alpes-Maritimes Panéolocal et ont directement contact avec un crémier de la région.
Pour être sûre de ne rien gaspiller, Manaa est également inscrite sur l’application Too Good To Go pour vendre à prix réduit leurs produits arrivant proche de la date limite de consommation.
Tout a été aussi réfléchi pour consommer le moins possible. "Pour la déco on a essayé de faire le plus de choses nous-même ou alors de les chiner chez Emmaüs."
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Découvert par article https://www.nicematin.com/conso-shopping/la-tenue-de-vos-reves-disponible-a-la-location-cette-styliste-ouvre-en-un-showroom-a-cannes-en-avril-835814
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Découvert par article Nice Matin https://www.nicematin.com/economie/pourquoi-ekoi-lequipementier-varois-des-cyclistes-triple-son-stockage-828849
La marque qui habille de pied en cap les pratiquants de vélo sportif sous toutes ses formes a même bâti son modèle économique sur sa capacité à se renouveler sans cesse.
Il faut dire que le pari de faire émerger un nouvel acteur, dès 2001, était audacieux. Pourtant après sept ans passés à fournir de grands distributeurs d’articles de sport, la création du site Internet, en 2008, a fait décoller l’entreprise.
[...]
Justement cette année, l’objectif est de lancer le développement aux États-Unis, Canada et Australie. Pour rayonner dans l’Hexagone comme à l’international, la PME varoise s’appuie sur les victoires engrangées par les sportifs de haut niveau qu’elle équipe, déjà une quinzaine depuis janvier, et quatre équipes engagées dans le Tour de France.
"Nous consacrons 10% de nos dépenses au sponsoring", précise encore l’entrepreneur. Car l’essence d’Ekoï, c’est l’innovation, issue de la pratique des clients et des retours des sportifs sur les performances des équipements.
Le t-shirt Propre - Un t-shirt Made in France et Bio, c'est Propre ! Fabriquer un tee shirt proprement en plaçant l'éthique environnementale, sociale et économique au coeur de notre démarche.
133% de l’objectif a été atteint en quelques jours et l’événement n’est pas terminé! Que propose Nolt? Paul Guinard et Olivier Guigonis, cofondateurs, ont imaginé une gamme de vêtements écoresponsables pour amateurs ou pros du running. Entièrement fabriqués en Europe (au nord du Portugal) avec des déchets plastiques provenant de la Méditerranée transformés en polyester recyclé, les T-shirts, shorts, vestes sont aussi confortables qu’éthiques. Paul Guinard, runner aguerri licencié au club d’athlétisme de Valbonne, est sensible à l’environnement. "On a commencé à vendre notre marque dans les clubs sportifs. Parce que ça avait du sens de cibler les sportifs licenciés, jeunes ou moins jeunes. Montrer que l’on peut avoir une véritable démarche écoresponsable sans se ruiner, avec des produits de qualité."
Un QR code pour recycler
C’est aussi cela la force de Nolt: l’accessibilité en termes de tarif. 30-35 euros pour un T-shirt et 20-25 euros pour un short. "Ce n’est pas en s’adressant à une élite que l’on va changer le monde. Bon, c’est un ambitieux mais c’est un peu l’idée." Donc les prix sont abordables et pour ça, pas de secret, "on baisse notre marge, de deux à trois fois par rapport à d’autres marques américaines par exemple. Ça nous convient." Avec une équipe aujourd’hui composée de six personnes, ils ont mis au point un QR code en place sur chaque pièce, qui permet, quand le vêtement est usé ou abîmé, d’être réparé ou recyclé. On scanne le QR code et on reçoit un bordereau de La Poste pour renvoyer gratuitement le vêtement à Nolt. "C’est ce qui nous manquait pour nous lancer vers le BtoC. Il fallait que nos produits soient recyclés ET recyclables." Nolt lance ainsi sa collection destinée aux particuliers, bientôt en vente sur le site. Prochaine étape une collection pour les cyclistes "qui se fera de toute façon, on en a trop envie!".
Chandam. Une nouvelle marque de mode féminine engagée, enthousiaste et responsable. Tous nos produits sont 100% laine mérinos d'Arles.
Découvert par article Nice Matin https://www.nicematin.com/economie/les-pulls-en-laine-chandam-tricotent-une-mode-responsable-795735
Pour l’heure, les créations de Chandam sont vendues sur le site ecommerce ainsi que chez Laine Rebelle à Vallauris mais "nous cherchons d’autres points de vente".
'Finalement, c’est hors de prix' - Où l’on comprend pourquoi il faut résister à l’envie. Racontée par Justine Delétang.
Berlin, 24 avril 2015. Sur la Alexanderplatz, traversée quotidiennement par 300 000 personnes, un distributeur attire les passants. La proposition est alléchante : s'offrir un t-shirt pour 2 euros seulement. Alors ils sont nombreux à céder et glisser une pièce dans la machine. Ce qu'ils ne savent pas, c'est qu'ils sont filmés pour observer leurs réactions…
Un t-shirt pour 2 euros ?, capture d'écran, 2015, Alexanderplatz, Berlin
Car, une fois la pièce insérée, l'écran s'anime pour présenter Manisha, jeune femme travaillant dans une usine textile. Comme des millions d'ouvrières, elle nourrit l'industrie de la "fast fashion" qui a rendu nos vêtements si bon marché qu'ils sont devenus jetables après 2-3 utilisations.
La vidéo nous fait comprendre que malgré tout, nos vêtements ont un prix. Si ce n'est pas nous, consommateurs, qui le payons, c'est que d'autres l'ont déjà réglé. Manisha, par exemple, en ne touchant que 13 centimes par jour alors qu'elle travaille 16 heures de suite.
D'autres coûts sont "payés" en amont. Les ouvriers agricoles sont si peu rémunérés qu'ils ont offert malgré eux une partie du prix du coton. Et bien sûr, l'environnement a payé plus qu'il n'aurait dû : plus les matières premières sont bon marché, plus elles sont produites de façon polluante.
Fashion Revolution, l'association derrière cette expérience, laisse le bénéfice du doute au consommateur : il ne devait pas avoir conscience de ce que son achat impliquait. Et maintenant, après avoir découvert le sort de Manisha, souhaite-t-il toujours acheter le t-shirt ?
Non, disent les passants à 90%. Une réponse qui leur coûte leur pièce, car ils n'ont que deux choix possibles : acheter le t-shirt ou faire don de leurs 2 euros à l'association.
Au fait, la date du 24 avril ne vous dit peut-être pas grand chose, mais ce choix ne devait rien au hasard. Deux ans plus tôt, en 2013, une usine textile délabrée du Bangladesh s'effondrait, causant la mort de 1135 personnes. Dans leur immense majorité, les victimes étaient des ouvrières comme Manisha...
vêtement spécialisé pour cathéter et perfusion pour patients recevant traitement en hôpital de jour hospitalisation chimiothérapie dialyse et autre vêtement fermeture éclair vêtement pour patient sweat confortable sweat cocooning sweat fermeture sweat ouverture sweat catheter sweat perf sweat perfusion sweat cathéter
Découvert par article Nice Matin https://abonnes.nicematin.com/article/au-tignet-celine-salinas-developpe-des-vetements-douillets-et-adaptes-aux-soins-pour-les-malades--736602
Plusieurs marques ont décidé de se lancer dans le jean Made In France, présenté comme plus durable et éco-responsable que les modèles de fast-fashion. Un choix qui nécessite un véritable savoir-faire, et quelques compromis.
Découvert par Article nice Matin
https://www.nicematin.com/economie/la-toulonnaise-marisa-propose-des-carnets-pour-enfants-ecologiques-et-effacables-731264
LE CONCEPT
Il suffit de s’inscrire, d’entrer son code postal pour se géolocaliser et découvrir les articles disponibles près de chez soi. On échange en direct ensuite avec la personne et on se donne rendez-vous dans une «swap place» locale. Aujourd’hui 2.000 endroits référencés et sécurisés pour les transactions permettent ces échanges partout en France, des lieux près de chez soi et éthiques : cafés, coffee-shop, concept store, bars à chats...
Découvert par article nice matin https://www.nicematin.com/index.php/economie/swap-chic-le-vide-dressing-green-local-et-gratuit-lance-par-des-gassinois-728202&ved=2ahUKEwit2Lq3oKX0AhUK8BoKHetaARgQvOMEKAB6BAgLEAE&usg=AOvVaw2Gh5JIcONrIm_76ZbnZKja
enseignes spécialisées dans les vêtements d’occasion à Cannes
la friperie 2e édition, Charlot ("un des premiers à vendre des textiles d’occasion"), Ma fabrique US, Abi 06 ("qui est plus un commerce social et solidaire, rue de Mimont, puisqu’il réceptionne des dons de textile et fait de l’insertion sociale et solidaire",), Centralfripe.
Cette visite guidée vient s’ancrer dans un projet un peu plus large, qui est l’opération Zéro déchet du Smed, et qui propose, dans de nombreuses communes, des ateliers pour vivre sans produire de déchets: atelier sur le tri et le compostage, ménage au naturel, Noël zéro déchet…
Découvrez nos superbes tenues de sports polyvalentes pour femmes, pour passer élégamment de vos activités sportives à la ville. Noliju propose des vêtements activewear responsables 100% Made in Europe avec des tissus respirants et recyclés . Nos tenues sont adaptées à la pratique du running, du yoga ou du fitness.
Article Nice Matin https://abonnes.nicematin.com/article/la-marque-sophipolitaine-noliju-mise-sur-les-preventes-pour-une-mode-encore-plus-durable-718736
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