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"C’est une application mobile réservée à tous les pompiers de France. Elle est destinée à un usage interne." Georges Fritsch, cofondateur et dirigeant de Webelse a présenté La Caserne, il y a quelques jours à Mâcon lors du 130e congrès national des pompiers de France.
La société spécialisée dans le développement de logiciels sur-mesure depuis 2007 a été contactée par la Fédération nationale des Sapeurs Pompiers de France pour créer une application mobile d’entraide. Avec près de 80% de pompiers volontaires, toutes et tous exercent un autre métier à côté de celui de soldat du feu. Ont des passions. Électricien, plombier menuisier, coach sportif, fan de randonnée, de vélo, de photo…
280.000 pompiers en France
Chacun s’enregistre et note ses compétences sur l’application. Il pourra potentiellement être contacté par un collègue pour l’aider ou le renseigner sur un sujet connu. "280.000 pompiers en France et beaucoup se déplacent de caserne en caserne, c’est toujours sympa de faire appel à quelqu’un qui est un peu de la famille. L’adresse d’un kiné, un contact pour changer les menuiseries, un itinéraire footing ou vélo... Et puis il y a aussi sur l’interface tous les événements organisés par la Fédération."
Ne peuvent télécharger La Caserne que les membres du corps des pompiers. Georges Fritsch qui n’en est pas à sa première application mise en service s’amuse tout de même de la galère rencontrée avec la marque à la pomme et de son App Store.
Intra muros
"Comme il n’y a aucune issue mercantile, ils étaient déstabilisés. Ils m’ont envoyé un questionnaire en essayant à chaque question de caser une possible tarification. Comme ils prennent 30% des revenus générés forcément là, ça coinçait. Il n’y a aucun revenu envisagé. L’appli est gratuite à télécharger et ne génère aucune transaction. Il s’agit simplement d’une communauté qui se rend des services. S’échange des informations. Tout est interne à la Fédération."
Cette cocasserie n’a pas pour autant déstabilisé le startupper et ses deux collaborateurs qui ont développé la version 1 de cette application mobile en à peine cinq mois. Elle sera améliorée puis finalisée courant 2025. Déjà l’engouement pour entrer dans la communauté de La Caserne est grand. Le patron de Webelse n’est pas étonné car "le projet correspond à un besoin, analysé par nombre d’anciens dans la profession."
Première en France
Webelse vient également de finaliser un autre projet, tout aussi sur-mesure : la gamification du patrimoine mandolocien [voir ci-contre]. "C’est une première en France, on peut visiter Mandelieu-la-Napoule en jeu vidéo. Une excellente chose, indique Georges Fritsch. Il faut que les villes prennent en main ce média pour valoriser leur patrimoine. Il y a eu Internet, puis les visites virtuelles, maintenant le jeu vidéo." Livré cette semaine, le jeu Mandelieu Mimosa d’or est disponible sur la plateforme de jeu vidéo en ligne Roblox.
Mais chez Webelse, on a aussi livré un autre projet. À tester sur le site de l’Office du tourisme de La Colle-sur-Loup où il a installé un chatbot. "Techniquement, on parle d’agent touristique génératif basé sur l’intelligence artificielle." Il sourit Georges Fritsch, mais c’est bien un outil de dialogue qu’il amis en place. Qui a réponse à tout ce qui se passe sur la commune, disponible à toute heure et en 50 langues. Web else ?
Gamification du patrimoine Mandelieu Mimosa d'or
Découvrez la ville et ses secrets architecturaux au travers d’un jeu vidéo, inscrit sur la plateforme Roblox, c’est ce que propose aujourd’hui Mandelieu-la-Napoule grâce à Webelse. Téléchargement gratuit, vous voilà au pied du château, un écureuil sur l’épaule (symbole de la ville), avec dix quêtes à réaliser. Le scénario bien rodé vous permet de découvrir la ville en vous amusant. "L’idée est de gamifier le patrimoine. Des options sont payantes si on veut aller plus vite. Ces revenus permettront d’autofinancer les futures évolutions du jeu."
Dix minutes, c’est le temps d’utilisation d’une perceuse sur toute sa durée de vie, selon l’Agence pour la transition écologique (Ademe). Face à ce constat, la question est la suivante: a-t-on vraiment besoin d’investir pour en posséder une et d’utiliser toujours plus de ressources pour en fabriquer à foison?
C’est à cette problématique, tant environnementale, économique que philosophique, que l’économie de l’usage entend répondre. Objectif: mettre un peu plus de sobriété dans notre consommation quasi compulsive d’objets. En France, toujours selon l’Ademe, nous accumulons au sein de notre domicile la bagatelle de 2,5 tonnes d’objets. Derrière ce chiffre, il y a 45 tonnes de matières mobilisées pour les fabriquer, soit au total jusqu’à un quart des émissions de gaz à effet de serre du pays.
"Avec l’économie de l’usage, il s’agit de changer de vision. Prenons un marteau : vous n’avez pas le besoin absolu d’en posséder mais de planter un clou", pose Emmanuelle Ledoux, directrice générale de l’Institut national de l’économie circulaire. On parle aussi d’économie de la fonctionnalité.
Dans l’esprit du leasing automobile
Et ce virage-là a, en fait, déjà commencé à être négocié. "Certaines grandes entreprises ont adopté depuis un moment le principe du leasing. Ainsi, elles ne vont plus acheter une flotte de véhicules mais les louer avec entretien compris. Même chose pour les photocopieurs", détaille Emmanuelle Ledoux.
En 2023, selon Transport & environnement, fédération agrégeant des ONG du secteur, "près de 6 voitures neuves sur 10 (58 %) ont été louées (en location avec option d’achat ou de longue durée) et sont donc détenues par les sociétés de leasing." Le chiffre grimpe même à 63 % pour les voitures d’entreprises.
Reste à ce que les poids lourds du secteur ne dévoient pas la démarche en proposant à la location des véhicules lourds qui vont à l’encontre de la démarche de sobriété environnementale... "À elles seules, la Société Générale et la BNP Paribas ont acheté puis loué plus d’un cinquième (22 %) des mégas SUV immatriculés en France en 2023", pointe ainsi le rapport de mai 2024 de Transport & environnement.
Et si on empruntait nos outils?
Dans nos vies encombrées d’objets, l’économie de l’usage prend aussi la forme de micro-initiatives locales très concrètes. À l’instar de la bricothèque fraîchement créé par V.I.E. Initiatives environnement à Vence.
Dans un local mise à disposition par le Secours populaire, cette association engagée dans la réduction des déchets et la transition a garni ses rayonnages (de récup) de 130 outils, acquis à bas coût chez une grande enseigne du coin: meuleuse, perceuse, nettoyeur haute pression ou vapeur, ponceuse, aspirateur de chantier, mais aussi de simples mètres ou tournevis...
Moyennant une adhésion annuelle de 10€ à l’association (sauf pour les bénéficiaires du Secours populaires, des Restos du cœur et du CCAS), ceux-ci peuvent être empruntés pour 0,50 à 2€. "Plutôt que de posséder, l’idée, c’est de partager, partager, partager au maximum", martèle Laurence Thiébaut, cofondatrice de l’association.
À La Garde, dans le Var, l’association Lowbjethèque affiche, peu ou prou, les mêmes valeurs avec sa bibliothèque d’objets simples et utiles, allant à l’encontre de la high-tech et dépassant les frontières du bricolage.
À emprunter notamment, au tarif de 3€ à 30€ par semaine pour les adhérents : machine à laver... à pédales, tente, matériel de puériculture, yaourtière, appareil à crêpes et même un four solaire. "Dès que c’est facile, en vérité, le citoyen s’y met", abonde Emmanuelle Ledoux, directrice de l’Institut national de l’économie circulaire.
Acheter moins et mettre en commun, mode d’emploi
Depuis 1960, notre consommation d’objets a été multiplié par quatre. Pour limiter nos pulsions de surconsommation, un quiz en ligne est à disposition sur le site epargnonsnosressources.gouv.fr.
Vous souhaitez désencombrer vos placards? La bricothèque vençoise est preneuse de vos outils (en bon état) et la Lowbjethèque varoise étudie toutes les propositions de dons au cas par cas.
Infos: La Bricothèque, 8 avenue Rhin-et-Danube à Vence. Ouverte lundi et mardi de 17h à 19h, samedi de 10h à 12h - La Lowbjethèque est en quête d’un lieu. Contact, dons et réservation: bonjour@lowbjetheque.fr
Découvrez, autour de chez vous, toutes les activités sportives, ludiques et culturelles. Participez y ou proposez vos propres activités sur mesure en quelques clics. Rencontrez de nouvelles personnes partageants vos centres d’intérêts. Elargissez votre réseau actif dans un cadre convivial. Profitez de la vraie vie tout simplement.
Découvert par article France bleu azur https://www.francebleu.fr/infos/societe/on-a-trouve-une-appli-pour-se-faire-des-amis-sur-la-cote-d-azur-7504608#xtor=RSS-106
On a tous droit à un habitat sain : le réseau Twiza met tout en oeuvre pour que ce soit plus simple
Découvert par article Nice Matin https://www.nicematin.com/climat/batir-bioclimatique-et-en-circuit-court-ces-varois-lont-fait-et-partagent-leur-mode-demploi-881980
Le programme 1000 cafés souhaite contribuer à redynamiser les communes de moins de 3500 habitants en rouvrant des commerces de proximité sous forme de cafés
Pourquoi on en parle?
En 1960, la France comptait 500 000 cafés. En 2023, on n’en recense plus que 38 800, décompte le Sénat dans les motifs d’une proposition de loi sur les “Lieux de convivialité en milieu rural” déposée en mars dernier.
Sept communes sur dix sont dépourvues de cafés, pourtant lieux essentiels de socialisation et de discussions.
"La fermeture massive des Cafés, Hôtels, Restaurants (CHR) est visible sur tout le territoire, mais surtout en ruralité", constate encore l’Institution.
Une absence créant une réelle difficulté pour les communes là où 90% des Français considèrent que la présence d’un café, hôtel, restaurant contribue à la vie économique et au lien social, à la capacité d'une commune à garder ses habitants, à l'attractivité touristique, à l'installation d'autres commerces, et à la création d'emplois (IFOP, 2018).
Oui mais comment tenir, notamment dans les petites communes qui peinent à rendre attractif un métier exigeant et soumis à toujours plus de contraintes? C’est pour y répondre justement que le groupe SOS accompagne les communes dans la mise en place de troquets. Un travail qui doit se faire également main dans la main avec les habitants.
Depuis plusieurs mois, Maé Coffre s’active à Saint-Pons, situé dans les Alpes-de-Hautes-Provence. C’est là, dans ce petit village de quelque 700 habitants, que la jeune femme travaille à l’ouverture d’un nouveau café, destiné à redynamiser le village et créer du lien social. Une démarche soutenue par l’association "1000 cafés", mise en place en 2019 et qui a, depuis, permis l’ouverture de quelque 200 cafés sur tout le territoire.
Objectif : désenclaver les territoires ruraux et permettre aux gens qui y vivent de trouver un endroit proposant des services mais aussi où échanger.
Cafés multiservices
Responsable de l’accompagnement en PACA et en Auvergne-Rhône-Alpes, Maé Coffre épaule notamment la mairie du village dans cette démarche.
Mais pas seulement. "Il est central que les habitants adhèrent aussi au projet."
Pour ce faire, ces derniers sont invités à répondre à un questionnaire au début de la démarche, afin d’esquisser, en quelque sorte, les contours de leur café idéal.
"A Saint-Pons par exemple, qui est près de Barcelonnette, on a décidé de se concentrer sur la création d’un lieu convivial pour les touristes, d’un coin épicerie au cœur du café qui permettrait aux gens d’avoir des services en plus."
Un vrai défi dans une ruralité française où le maintien de services de proximité relève toujours plus du casse-tête.
"Ce ne sont pas seulement des cafés bars qu’on ouvre, poursuit encore Maé Coffre. Ce sont des cafés multiservices avec dans l’idée de créer du flux, du passage, des dépôts de relais de colis ou de pain, par exemple."
Viabilité économique
Outre la consultation des habitants, concernant leurs attentes et leurs besoins, l’association "1000 cafés" scrute attentivement le cadre économique et les candidatures.
"Est-ce que ça va être viable? Comment accueillir le nouveau gérant, peut-on lui offrir un logement? Nous nous posons beaucoup de questions", explique Maé Coffre.
Plusieurs paramètres participent au succès de l’entreprise : le choix du lieu, sa fréquentation, la surface nécessaire à la réalisation du projet.
"Chaque commune a ses exigences, poursuit Maé Coffre. Certaines auront déjà les locaux réhabilités, d’autres doivent faire des travaux, d’autres, encore, doivent trouver un espace…"
Un accompagnement est prévu, aussi, pour l’aménagement des lieux, l’obtention de la licence 4, autorisant la vente de boissons alcoolisées et permettant d’obtenir des subventions.
Un investissement de taille au niveau financier pour les communes qui n’hésitent pas, parfois, à débourser des centaines de milliers d’euros.
Besoins des habitants
Une fois que le projet est bien avancé, l’association s’occupe du recrutement des gérants.
Des fiches de poste qui correspondent au projet sont diffusées sur Internet via le Bon Coin ou encore Pôle Emploi.
"On cherche des personnes qui ont de l’expérience dans l’hôtellerie restauration", explique Maé Coffre qui souligne la difficulté que peut représenter une telle prise de poste. Des horaires longs, des attentes fortes des habitants "qui ne comprennent pas que le lieu ne puisse être ouvert 7 jours sur 7".
Pour recruter au plus près des besoins, des entretiens sont menés, des rencontres avec l’équipe municipale aussi.
"Ce qui est important, c’est qu’on les accompagne aussi après l’ouverture du café, poursuit Maé Coffre. On fait des points assez réguliers entre le gérant et la gérante, on regarde quelles activités fonctionnent bien, quel service déployer et on les conseille sur les animations à mettre en place dans le café."
Travailler les relations
L’installation d’un café dans un village peut susciter des remous.
"Dans un village de l’Allier, se souvient Maé Coffre, un projet n’a pu aboutir faute d’entente avec l’opposition."
Les critères de sélection des candidats ont été affinés.
"Les personnes qui n’ont pas énormément d’expérience peuvent se laisser dépasser et arriver à un stade d’épuisement, constatent les membres de l’association. Gérer un café demande aussi de sérieuses compétences techniques, comme la comptabilité. Mais aussi des qualités humaines."
Pour préparer la population, l’association communique aussi sur les difficultés que peut rencontrer un gérant de café rural.
"Ces métiers doivent être revalorisés."
Créer un réseau
Prochainement, l’association compte créer un réseau pour valoriser le partage d’idées relatives à la gestion des cafés. Dans l’optique de créer du lien au-delà des villages.
Les gérants, qui bénéficient d’une formation de deux semaines, gardent généralement contact avec les autres participants. Ils sont encouragés à cultiver l’entraide, d’un village à l’autre.
Un réseau d’élus devrait également voir le jour, afin de leur permettre de partager les difficultés rencontrées.
Pour aller plus loin et joindre l'association "1000 cafés", vous pouvez vous rendre sur leur site https://www.1000cafes.org/
Découvrez le nouveau service de livraison collaborative ! Devenir coursier ou se faire livrer n'a jamais été aussi simple. DIsponible sur iOS et Android.
Decouvert par article nice matin https://www.nicematin.com/economie/quatre-startups-de-la-region-sud-recompensees-pour-leur-hypercroissance-836725
application de livraison entre particuliers qui mêle l‘esprit de communauté de BlaBaCar et l’instantanéité d’Uber.
"Ce sont des particuliers qui livrent à d’autres particuliers des colis à domicile en deux heures en ville comme à la campagne."
Déjà référencée auprès d’Intermarché, Auchan, E. Leclerc, Systeme U, Leroy Merlin..., Tut Tut répond aux défis climatiques et sociaux actuels en permettant aux particuliers-livreurs de rentabiliser leurs trajets et de satisfaire les besoins de livraison des commerçants. "Nous sommes aussi écologiques puisque les véhicules sont déjà en circulation et cochons les cases sociale et sociétale. Avec notre la livraison instantanée dans un rayon de 30km du point de retrait, nous apportons une innovation en zone rurale là où cela n’existait pas."
Sept cents mètres de piste cyclable bidirectionnelle sur la RD 192 que l’on connaît sous le nom de l’avenue Gaston de Fontmichel lien Google Maps. Les travaux ont été entamés en mars 2022, terminés en octobre, inaugurés ce jeudi. Depuis, les cyclistes se sont emparés de l’espace: ils sont 59 chaque jour (+11%), à l’emprunter.
Ce jeudi après-midi, pour marquer le coup, les élus (Charles-Ange Ginésy, président du conseil général, David Konopnicki, vice-président délégué au SMART Deal, Michèle Paganin, vice-présidente déléguée à la ruralité et aux politiques agricoles. Alexandra Martin, députée, etc., ndlr), des fonctionnaires et des habitants des résidences ont symboliquement emprunté le parcours à deux-roues. Entre le port Inland et le petit kiosque de la Siagne où avait été organisée l’inauguration. "Ces 700 mètres de pistes vont révolutionner l’avenue Gaston de Fontmichel qui, je pense que les habitants du secteur le confirmeront, étaient dans un état de dégradation déplorable et indignes d’une entrée de ville", a commenté le maire, Sébastien Leroy.
Les réseaux ont donc été entièrement revus (aux frais de l’Agglo: 650.000 euros), le département s’est chargé de la piste proprement dite (700.000 euros) et la Ville a pris en charge les 800 m² d’enrobés, 1.100 m² de trottoirs, 30 candélabres, 2 caméras de vidéoprotection, 300 m² d’espaces verts, une reprise du réseau pluvial sur 750 m² et 100 places de stationnement. (1 million d’euros).
D’autres tronçons à venir
Et ce n’est qu’une première a repris le maire de la commune: "Un second tronçon reliera celui-ci à la Canardière très prochainement. Et d’ici la fin de l’année un troisième pour relier la mer qui, elle, bénéficiera d’une piste cyclable côtière."
Sinon, c'est quoi le plan vélo?
L’enjeu majeur du Plan Vélo départemental est de développer et faciliter la pratique du vélo pour tous les usages et partout sur le territoire maralpin. Le plan a été adopté en 2021 dans le cadre de la politique GREEN Deal du département. Il comporte 2 grandes orientations pour 2028 : développer l’usage du vélo au quotidien et offrir aux Maralpins un réseau cyclable cohérent, sécurisé et confortable. Il implique 4 axes de développement complémentaires entre eux.
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Le développement des infrastructures cyclables.
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La promotion de l’usage du vélo dans les établissements scolaires et publics (des vélos à assistance électrique et des scooters électriques sont mis à la disposition de ses agents par le Département pour leurs déplacements professionnels).
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Le développement de l’accès au vélo auprès des "publics fragiles".
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L’accompagnement de l’offre sportive et touristique autour du vélo.
Avec plus de 235 kilomètres de pistes cyclables sécurisées et 1.800 kilomètres d’itinéraires cyclables, dont 29 boucles à vélo touristiques, les Alpes-Maritimes sont une terre propice à la pratique du vélo. Au cœur du Plan Mobilité du Département, le Plan Vélo 2022-2028, doté de 62 M€, permettra ainsi d’offrir aux Maralpins 84 kilomètres de pistes cyclables supplémentaires pour atteindre 320 kilomètres d’ici 2028.
Le collectif DEMAIN Pays de Fayence
Association Etincelles - 885, chemin du Magnanon
83440 Montauroux
Ou par e-mail : etincelles83@gmail.com
Nos objectifs sont :
« Initier, soutenir et développer des actions coopératives
de Transition vers un développement du Pays de Fayence, élargi aux
communes voisines, qui soit sain, écologique, équitable, vivable, viable,
social et donc soutenable. »
Nos thèmes principaux sont :
Agriculture et patrimoine agricole, énergies
renouvelables et économies d'énergie, réduction et gestion des déchets,
transport doux et covoiturage, éco construction, santé bien-être,
conférences et fêtes populaires.
Votre plateforme citoyenne pour agir pour la planète et faire face à l'urgence climatique. 100 % gratuite et dédiée à l'écologie. Lancez votre pétition !
liste les sites, blogs, wiki etc... faits avec amour que tu ne trouves nul par ailleurs. Pas de sites de multinationales, de groupes de presse, d'entreprises ultra-business... Juste des sites fait avec amour 💚 💚 💚
Découvert par Le hollandais volant
Création d'un habitat participatif dans le quartier des Chaprais à Besançon, une initiative du Café...
8 ans pour mener à bien les projets
9 appartements en copropriété avec une charte
Jardin collectif
Chambre d'amis
Salle collective 30m²
Buanderie commune avec terrasse pour étendre son linge
En lien avec le café des pratiques
Découvert par chronique l'esprit d'initiatives https://www.franceinter.fr/emissions/esprit-d-initiative/esprit-d-initiative-du-jeudi-02-decembre-2021
La seconde main
maison Simplement, tranquillement,
joyeusement !
Association de lutte contre les nuisances sonores et le bruit de voisinage. bruit, nuisances sonores
Découvert par article nice matin https://abonnes.nicematin.com/article/chant-du-coq-aboiements-comment-gerer-ces-troubles-de-voisinage-en-5-etapes-727522
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