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Marine Calmet a renoncé à devenir avocate, après avoir constaté que "le droit de l’environnement est structurellement défaillant". Une désillusion, au moment de rentrer dans sa vie professionnelle. À ses yeux, le droit occidental "permet une destruction de la nature, qui est seulement considérée comme une ressource inerte, à disposition des activités humaines".
Alors, la juriste a ouvert d’autres voies, bien plus personnelles, et s’est investie en Guyane française contre l’industrie minière.
En 2019, Marine Calmet a cofondé l’association Wild Legal, qui œuvre à la reconnaissance de "droits propres à la nature, les droits du vivant, des milieux de vie et des éléments naturels qui les composent, animaux, forêts, rivières…"
Une démarche inédite en France, mais qui vient de trouver une application concrète en Espagne, ce qui est une première à l’échelle de l’Union européenne. Pour Marine Calmet, il s’agit de poser des limites, en s’appuyant sur un nouveau cadre démocratique. Et de réellement protéger des écosystèmes menacés.
Tldr : dans la condition où la batterie n'est pas trop énorme (max 60 kWh, soit autour de 400 km d'autonomie sur une charge).
Dans cette condition, les EV est 2 à 3 fois moins polluante (en CO2) qu'une voiture à pétrole.
Je nuancerai en disant qu'ils font cette comparaison en considérant une durée de vie "type" égale à celle des véhicules aujourd'hui (très faible). Notons qu'on parle de la durée de vie du véhicule, sur différents propriétaires. Une EV d'occasion que vous avez rentabilisé en CO2 et que vous vendez à quelqu'un qui jette son SUV au gazole, c'est encore plus positif.
Le truc c'est qu'une EV émet environ 20-30% de CO2 en plus lors de sa conception, mais environ 95% de CO2 en moins quand elle roule.
L'idée est de conserver la voiture assez longtemps en circulation pour qu'au final on aura émis moins qu'un véhicule thermique avec le même usage.
En effet, il arrive un point de basculement des émissions cumulées de CO2. Si on jette la voiture à la casse avant, ce n'est pas rentable. Si on la garde assez longtemps, c'est rentable.
Bien sûr, plus la voiture est petite, plus le point de basculement arrive vite, et plus l'énergie électrique est decarbonnée également.
En France grâce au nucléaire, c'est atteint dès 6 mois d'usage moyen pour une petite EV et jusqu'à 2-3 ans pour une grande.
En Allemagne ou dans certains états des USA, ça peut monter à 7 ans si l'électricité est particulièrement sale. Notons que ces calculs incluent le fait de devoir changer une fois de pack batterie complet après X années (ce qui est une surestimation grossière : ça ne sera pas plus commun que de changer un bloc moteur dans une thermique).
Dans tous les cas, si le véhicule est conservé assez longtemps, il n'y aucun scénario où l'EV est plus polluant, sauf à en acheter une sans en avoir l'usage.
Le problème n'est donc pas tellement la technologie, mais l'obsolescence du matériel (comme très souvent).
Sustainability Podcasts
- SustainabilityDefined
- The Global Goals Cast https://globalgoalscast.org/
- HBR IdeaCast https://hbr.org/2018/01/podcast-ideacast
- The Impact Report https://bardmba.podbean.com/
- The Climate Changers Podcast https://soundcloud.com/climate-changer
- edie https://www.edie.net/podcasts/
- Infinite Earth Radio https://infiniteearthradio.com/
- The Energy Transition Show https://xenetwork.org/ets/
- The Adaptors https://soundcloud.com/the-adaptors ~15min
-
The Sustainability Agenda http://thesustainabilityagenda.com/
• Jean-Marc Jancovici et Pablo Servigne (reco gpe FB licorne)
Source SAP JAM
How We Can Make the World a Better Place by 2030 | Michael Green | TED Talks (https://www.youtube.com/watch?v=o08ykAqLOxk)
50% (3 votes)
Close the Gender Pay Gap | Jo Cribb | TEDxWellington (https://www.youtube.com/watch?v=fy1pvgChJn4)
17% (1 vote)
Why Gender Equality Is Good for Everyone — Men Included | Michael Kimmel | TED Talks (https://www.youtube.com/watch?v=7n9IOH0NvyY)
17% (1 vote)
Creating Sustainable Cities (https://www.youtube.com/watch?v=fcDDUSUbq9A)
17% (1 vote)
Sustainability of supply chains in the age of information | Tom Pathuis | TEDxYouth@Maastricht (https://www.youtube.com/watch?v=zKOkEEmtlIo)
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Re-thinking Progress: The Circular Economy (https://www.youtube.com/watch?v=zCRKvDyyHmI)
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Creating a circular economy: the challenges and opportunities for business (https://www.youtube.com/watch?v=TtR1ibE8Zt0)
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The Importance of Diversity In The Workplace (https://www.youtube.com/watch?v=Pn6WzHw7gHY)
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Chris McKnett: The investment logic for sustainability (https://www.youtube.com/watch?v=rpOwTspdwkI)
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Why sustainable tourism? (https://www.youtube.com/watch?v=JFbbKbdqoJg)
Source SAP JAM
Face à un avenir assombri par la crise climatique, le réalisateur et militant écologiste Cyril Dion parcourt le monde à la rencontre d’acteurs qui ont révolutionné une région, un pays ou une activité, et esquisse un nouveau récit : celui d’un monde plus juste et plus écologique.
Dans l'épisode 2 du documentaire, autour de 16min, il y a Pablo Sevigne qui est interviewé. Il explique que pour lui la collapsologie est une façon de se mettre en action. Si la catastrophe à venir est incertaine, il vaut mieux la considérer comme certaine pour se donner une chance de l'éviter. Le paradoxe étant que plus on agit bien, moins il se passera les choses anticipées.
https://pabloservigne.com/
"J'ai fait le deuil de mon avenir." Comment faire face à l’éco-anxiété chez les jeunes? - Nice-Matin
Sofiane a 23 ans et est étudiant en fac de lettres à Nice. Assis à une table, il profite du soleil pour déjeuner et lire un peu. Avec une voix douce et timide, il évoque ses sources d’anxiété. "Ce sont l’écologie et l’environnement… La situation est grave, dramatique même." Il poursuit : "Les saisons sont en décalé"... Avant de s’interrompre. "Il n’y a plus vraiment de saisons en fait… Sans compter les tornades, les cyclones, les intempéries… Et les incendies aussi…"
Pour parer à la situation, le jeune homme prend sur lui. Comme manger plus de légumes qu’il essaie d’acheter bios et sans emballage, "dans la limite de mes moyens d’étudiant", sourit-il.
"Le climat c’est de notre faute… Je ne me déplace plus du tout en voiture, j’ai acheté une voiture et j’essaie de la vendre pour utiliser seulement les transports en commun…"
Pour venir de Mougins à Nice, le jeune homme utilise désormais le train.
45% de jeunes souffrent d’éco-anxiété
Comme Sofiane, ils sont nombreux à se préoccuper de l’environnement. Selon une étude menée dans une dizaine de pays dont la France et relayée par la revue scientifique The Lancet, ils sont même 45% à souffrir d’éco-anxiété, un terme utilisé pour désigner "la peur chronique des catastrophes environnementales".
En Italie, en 2019, une enquête a été réalisée auprès de 800 jeunes adultes. Il en est ressorti que pour 51% d’entre eux, le changement climatique représentait la principale source de leur détresse.
"L’éco-anxiété est une anxiété qui concerne surtout l’avenir", explique Célie Massini, médecin psychiatre et auteur d’une thèse sur le sujet. "Un stress pré-traumatique", précise encore Véronique Lapaige, chercheure en santé publique belgo-canadienne, qui a théorisé le phénomène dès 1997.
Grandir avec la crise climatique
Le sujet s’est, depuis, largement imposé dans la recherche. Les préoccupations environnementales? Les jeunes baignent dedans depuis presque toujours. Comme "un bruit de fond depuis l’enfance", qualifie même la Fondation Jean Jaurès à l’origine d’une étude intitulée "Dans la tête des éco-anxieux. Une génération face au dérèglement climatique".
Dans le cercle familial, tout au long de leurs parcours scolaires ou encore sur les réseaux sociaux ou dans les médias traditionnels, difficile de passer outre ces problématiques.
Publiée en 2020, une enquête du CREDOC (Centre de recherche pour l'étude et l'observation des conditions de vie) désignait la cause environnementale comme la première préoccupation des jeunes adultes de 18 à 30 ans.
"Depuis quarante ans que cet indicateur est suivi (…), la proportion n’a jamais été aussi forte", détaillait encore l’organisme tout en remarquant que le phénomène Greta Thunberg n’était probablement que la pointe de l’iceberg d’un mouvement de fond concernant les jeunes face au climat.
Boom de consultations
De jeunes adultes préoccupés, la psychologue Charline Schmerber en voit défiler dans son bureau. Depuis 2019, cette psychothérapeute a fait de l’éco-anxiété sa spécialité. "Les rapports du Giec m’ont particulièrement alertée et j’ai eu, on va dire, un réveil écologique compliqué."
A Montpellier où elle exerce, de plus en plus de jeunes franchissent le pas, "parce qu’ils prennent conscience des difficultés." Cet été, avec son lot de températures caniculaires, a poussé bon nombre d’entre eux à consulter.
"Aujourd’hui? Je ne prends plus de patients, note Charline Schmerber. Et nous sommes de nombreux psys spécialisés sur ce thème dans le cas."
"Faire le deuil de son avenir"
Charline Schmerber raconte : "J’ai des patients qui ont moins de 25 ans, engagés dans des parcours d’études et qui remettent tout en question."
Avoir des enfants, orientation professionnelle, foi en l’avenir, vivre ensemble, la jeune génération n’en finit pas de s’interroger.
"Le pire que j’ai entendu, c’est "J’ai fait le deuil de mon avenir", raconte la psychothérapeute qui note également, une tendance, parfois, à l’isolement "car ils se sentent incompris par leur entourage".
Dans une étude réalisée par Qare, la plate-forme de téléconsultations médicales en ligne, on peut lire également que les jeunes ont une tendance à "s’agacer des pratiques anti écologiques de leurs parents et être anxieux de leur avenir."
Stratégies mises en place
S’exprimer sur le sujet, explorer ses émotions, réussir à les nommer, c’est le travail que mettent en place les professionnels pour contrer l’éco-anxiété.
Comment agir? Voici la question que se posent le plus les personnes qui ont participé à l’enquête réalisée par Charline Schmerber. Et celle pour laquelle ils ont passé le plus de temps à répondre.
Verbaliser la souffrance, ne pas culpabiliser, définir ce qui fait sens pour soi, aller au contact de la nature sont autant de pistes qu’elle recommande d’explorer.
Charline Schmerber encourage également à s’informer et partager son expérience avec d’autres personnes concernées, notamment au travers de groupes de paroles.
Elle-même a d’ailleurs écrit un ouvrage sur le sujet, "Petit guide de survie pour écoanxieux".
Elle ajoute : "Il faut créer des lieux propices à la verbalisation, se rapprocher de réseaux qui vont permettre d’agir ensemble".
Evan Adelinet fait chaque jour, sur France Bleu, le Tour de France des Initiatives. Vous pratiquez peut-être la randonnée, mais avez-vous déjà pensé à devenir bénévole pour le club des marcheurs de votre village ? Evan met en lumière le rôle de baliseur au sein de la Fédération Française de Randonnée. Pas moins de 8900 bénévoles se chargent de baliser les 215 000 kilomètres de chemins reconnus par la Fédération à travers le pays. Autant dire qu’ils ne chôment pas !
Si l'aventure vous tente, rendez-vous sur le site ffrandonnee.fr, rubrique "Bénévoles“ pour vous inscrire en ligne, et entrer en contact avec le club près de chez vous. Des missions spécifiques sont également proposées, comme prendre le poste de trésorier, ou gérer le parc informatique d’un comité régional de randonnée. Si vous avez un peu de temps à donner, vous trouverez forcément chaussure à votre pied !
Nice-Matin
RÉGION FRANCE VAR
Laurence Thiébaut: “Il faut mettre à la disposition des gens les outils du changement“
Héros ordinaires. Qui sont les hommes et les femmes qui façonnent nos territoires? Parce qu'ils s'engagent par conviction ou dans leur travail, ils changent notre quotidien, le repensent et l'améliorent. Nous avons décidé de les rencontrer. Dans cet épisode, Laurence Thiébaut, militante écologique à Vence.
Flora Zanichelli
Publié le 23/10/2022 à 19:00, mis à jour le 24/10/2022 à 16:06
Laurence Thiébaut habite à Vence et met à disposition des citoyens, des outils pour s'engager écologiquement. Dylan Meiffret
Qui est-elle?
Figure locale de Vence, Laurence Thiébaut a une fibre militante qu’elle met volontiers au service de l’écologie. Cette chargée de mission à l’environnement à la mairie de Vence, qui essaime ses bonnes pratiques depuis plusieurs années maintenant, notamment au travers de son association Vie initiatives environnement, habite au pied du Baou.
Une maison tout en longueur entourée d’un potager en restanque, restaurée de ses propres mains. Et d’un poulailler. Cinq poules y caquètent joyeusement. Chez Laurence Thiébaut, l'écologie se vit au quotidien. On mange local, végétarien et on consomme zéro déchet. Une philosophie de vie pour cette Parisienne qui a grandi dans le 15ème arrondissement et qui vendait l’Huma, âgée de 10 ans, en Seine-et-Marne.
Son engagement militant? C’est à son père, communiste, ancien résistant, qu’elle le doit. Mais aussi à son métier d’ouvrière dans l’imprimerie du livre de poche. "J’ai occupé tous les postes de la chaîne", se remémore-t-elle. A cette époque, en entreprise, il y avait une véritable conscience de classe, remarque-t-elle. Tout ça, avant que l’entreprise ne se délocalise à Laval, en Mayenne, dans les Pays de la Loire.
Sa démission en poche, Laurence Thiébaut prend la direction du Sud-Est et s’installe dans l’arrière-pays niçois. "Avec mon mari, on voulait faire toute une série de petits boulots", explique-t-elle. Férue de lectures et de réflexions, cette fine observatrice du quotidien vit toujours à cent à l’heure. Avec deux questions en filigrane: "Qu’est-ce qui peut être moteur du changement? Et comment embarquer les gens?"
Le déclic
Dans les Alpes-Maritimes, et à Vence, où elle a élu domicile, les combats ne manquent pas. Le territoire et ses défis l’animent, qu’ils touchent l’environnement, le scolaire, le quotidien tout simplement. Les années 70 marquent un tournant.
"J’ai grandi avec la guerre au Vietnam, le combat des Lip, tout ça m’a profondément marquée", raconte-t-elle. A Vence, elle s’engage pour la création d’un lycée, auprès des parents d’élèves. "Les gens avaient peur que le quartier soit dévalué, mais il fallait une proximité, un lien avec l’éducation qui permette aux gens de rester dans la ville", note-t-elle.
Dans la foulée, le projet de l’A8 bis qui devait passer au pied de Vence fait l’effet d’une décharge électrique. "Que veut-on? Un territoire tourné vers la voiture? Je suivais les réunions d’opposition au projet, c’était très informel mais dynamique, ça réunissait les petites communes."
Et d’ajouter: "Quand on a la conscience aiguë d’un problème, la seule manière de survivre, c’est de s’engager." Elle qui se nourrit des émissions de Denis Cheissoux, spécialiste des questions d’environnement sur France Inter, affirme que cela lui a ouvert l’esprit. "On peut avoir une prise de conscience affective, sensible ou encore politique. Il faut arriver à ce que tout se conjugue pour passer à l’action."
L'action
Comme un fil rouge, une question s’impose: comment créer du lien autour des questions environnementales? On a peine à imaginer cette passionaria de l'écologie, boire du coca et aller au supermarché. Elle sourit. "Tout ça, c’était avant".
Désormais, on la croise avec ses contenants faire le tour des commerces de proximité pour des courses "zéro emballage".
Des petites annonces peuvent être épinglées pour échanger du matériel ou des services. "Une manière de créer du lien, ce qui me tient à coeur", commente-t-elle.
Mais pas seulement. Bacs à compost en ville, repair café, conférences sur l’environnement et les grandes questions de notre temps rythment le quotidien des Vençois. Faire venir des gens, pour discuter, échanger, se confronter et peut-être faire émerger une conscience écologique et citoyenne, c’est ce à quoi elle s’attache.
Actuellement chargée de mission environnement à la mairie de Vence, elle a fait mettre en place des navettes gratuites pour se rendre dans le centre-ville. Une action trois en un. "Avec ses navettes, on fait marcher les petits commerces, les gens se rencontrent et ils évitent d’utiliser leur voiture pour faire cinq kilomètres."
Agir sur les citoyens mais aussi sur les agents des services publics. "Les élus locaux sont un levier, explique-t-elle. Dans une mairie, il y a la force des habitudes. Pour la mise en place des composteurs, les agents ont eu huit jours de formation." Aider les gens à faire du lien entre toutes les problématiques, voilà ce qui l’anime. "Les gens sont conscients des problèmes mais ce qui bloque est idéologique, c’est l’image. Ils pensent qu’avoir de la valeur, c’est consommer."
InSite accompagne les communes rurales dans la mise en place de missions de volontariat au service des initiatives locales culturelles, sociales et environnementales : du diagnostic du territoire au suivi et à la valorisation des projets, en passant par l'accompagnement et la formation des volontaires et de leurs référents locaux.
Découvert par Article Nice Matin https://abonnes.nicematin.com/article/a-lieuche-comment-tanguy-en-erasmus-rural-aide-a-redynamiser-le-village-783352
Douches, bains, eau de boisson, vaisselle, lessive, toilettes, arrosage... Estimez votre consommation d'eau et consultez nos conseils pour économiser les ressources et éviter le gaspillage.
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Ce portail permet à ceux qui le souhaitent de saisir leurs observations naturalistes à travers des programmes spécifiques. Chaque nouvelle observation sera immédiatement visible sur l'outil cartographique et enrichira les données du parc national du Mercantour
Découvert par article nice matin https://abonnes.nicematin.com/article/face-a-la-disparition-du-herisson-le-parc-du-mercantour-lance-une-enquete-participative-pour-le-recenser-761510
Création d'un habitat participatif dans le quartier des Chaprais à Besançon, une initiative du Café...
8 ans pour mener à bien les projets
9 appartements en copropriété avec une charte
Jardin collectif
Chambre d'amis
Salle collective 30m²
Buanderie commune avec terrasse pour étendre son linge
En lien avec le café des pratiques
Découvert par chronique l'esprit d'initiatives https://www.franceinter.fr/emissions/esprit-d-initiative/esprit-d-initiative-du-jeudi-02-decembre-2021
L'appli qui vous aide à changer le monde, un défi à la fois. Utilisée par plus de 500 000 personnes, c'est la plus grosse communauté d'acteurs du changement en France.
Vous accompagner dans la compréhension et l’intégration des données ouvertes environnementales de l’ADEME afin de créer de nouvelles fonctionnalités ou applications.
Découvert par article Nice Matin https://abonnes.nicematin.com/article/6-manieres-de-reduire-son-empreinte-carbone-au-quotidien-et-les-applis-pour-y-arriver-724446
L’ADEME LANCE SON LABEL VERTVOLT DISTINGUANT LES OFFRES D’ELECTRICITÉ LES PLUS VERTES – ADEME Presse
L’ADEME annonce le lancement de VertVolt, son label pour améliorer la lisibilité des offres dites « d’électricité verte ».
Découvert par chronique France Inter Social Lab https://www.franceinter.fr/emissions/social-lab/social-lab-du-dimanche-24-octobre-2021
Connaissez-vous votre empreinte sur le climat ?
Prendre I'habitude de régulièrement noter ses "resultats" des simulateurs d'impact carbone.
Au début j'utilisais celui du wwf
https://www.wwf.ch/fr/vie-durable/calculateur-d-empreinte-ecologique
Et puis je suis passée à celui "mes gestes climats" qui me semble plus précis https://nosgestesclimat.fr/
Fait le mardi 27 juin 2023 atelier 2tonnes
Empreinte carbone personnelle totale 6.73 tCO2e/an
Transports 2,37 dont 2,21 la voiture
Logement 0.75
Alimentation 1,59 font 0.54 viandes et poissons et 0,38 oeufs et laitiers
Biens 0,29 dont 0,14 digital
Services 1,74
Moyenne Francais 9,41 tCO2e/an
Découvrez les soins multifonctions Karethic, certifiés bio et naturels au véritable karité pur, frais vegan et cruelty-free. Moins d’ingrédients, plus d’efficacité.
En vente à Biocoop Mougins
Découvert par podcast Basilic https://basilicpodcast.com/carole-tawema-karethic-sauver-le-monde-grace-aux-femmes-africaines/