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Chez son médecin, à la pharmacie, mais plus globalement chez tous les professionnels de santé.
De la forme d’une carte bancaire, la carte Vitale est, depuis 1998, un outil indispensable pour faciliter la prise en charge des frais de santé et le remboursement rapide par l’Assurance maladie.
Historiquement de la taille d’une carte bancaire, elle prend aujourd’hui une forme dématérialisée avec une application qui s’installe sur son smartphone, en complément de la version physique, qui continue à exister.
Déployée de manière progressive sur tout le territoire français, l’appli carte Vitale est désormais disponible dans les Alpes-Maritimes.
Toujours dans la poche
Facile d’accès, simple d’utilisation, l’appli carte Vitale prolonge et complète les services de la carte "physique". Tout d’abord, elle présente un aspect pratique majeur, celui de l’avoir toujours sur soi, dans son téléphone.
"L’appli carte Vitale limite ainsi les conséquences de l’oubli ou de la perte de la carte Vitale physique pour les assurés comme les professionnels de santé avec à la clé, la garantie d’avoir moins de feuilles de soins papier à transmettre", explique l’Assurance maladie.
L’appli offre aussi la possibilité de suivre ses dépenses de santé.
Les décomptes des derniers paiements sont consultables en temps réel. Autre atout clé: la mise à jour des droits se fait automatiquement, et ne nécessite pas de démarche spécifique de l’assuré, qui n’a pas à se rendre en pharmacie pour la réaliser.
La carte de mutuelle intégrée en 2025
Dès 2025, l’assuré pourra intégrer son assurance santé complémentaire dans l’appli carte Vitale. Ainsi, il ne sera plus nécessaire de présenter sa "carte de mutuelle".
"Les professionnels de santé pourront donc, via l’application, réaliser du tiers-payant sur la part obligatoire et complémentaire", insiste l’Assurance maladie.
À terme, il sera également possible d’utiliser l’appli carte Vitale comme moyen d’identification pour se connecter à d’autres services santé comme Mon espace santé.
Seul impératif bien sûr: ne pas oublier de charger son téléphone pour l’utiliser.
Voir là : https://www.promarket.org/2023/10/13/measuring-the-cost-of-red-tape/
Haha hahaha !
Pour le prochain qui dit que j’exagère quand je critique le bordel administratif en France : cette étude trouve qu’en France, c’est 4 % du PIB qui est perdu à cause de la paperasserie inutile.
Avec ça, on est évidemment les champions du monde.
Le deuxième du classement est l’Italie bien loin derrière avec 0,8 %, puis l’Espagne, encore plus loin avec 0,33 % et ensuite l’Allemagne à nouveau avec un facteur deux encore en dessous, avec 0,17 % (et après c’est ~0,10 % ou moins pour tous les autres pays étudiés, c’est à dire des broutilles : ces pays sont quarante fois plus efficaces que la France).
Bref, non c’est pas moi qui délire : la France est une gigantesque usine à gaz administrative.
… et qui perd donc 100 milliards par an pour des formulaires, papiers, documents, justificatifs, actes, duplicatas, attestations… rouges, verts, roses, bleus, arc-en-ciels… inutiles mais imposés par des bureaucrates à la con.
PS : C’est la planète Vogon, ce pays, depuis le temps que je le dis ; que tous les étrangers qui viennent ici le disent tellement ils hallucinent de voir tout ça, en fait.
Et on observe absolument partout que plus on essaye de dématérialiser, plus on imprime de trucs en papier car le démat ne fait pas tout.
Faut être réaliste : aucun pays au monde n’a les moyens de produire un système numérique capable de gérer ce bordel (même ChatGPT se casserait les dents). Quant à le faire nous-même, je suppose que ça demanderait trop d’administratif et de réunions en #FrenchTech pour coder de quoi organiser l’administratif en question : c’est un cycle infernale, je vous dis, hahaha.
La convention de forfait est un document qui prévoit une durée du travail différente de la durée légale ou conventionnelle.
Quelle durée du travail dans le cas d'une convention individuelle de forfait en jours ?
La durée de travail du salarié n'est pas comptabilisée en heures. Le salarié en forfait jours est tenu de travailler un certain nombre de jours dans l'année.
Ce nombre de jours de travail dans l'année est fixé à 218 jours au maximum.
Toutefois, un accord collectif d'entreprise ou d'établissement (ou, à défaut, une convention ou un accord de branche) peut fixer un nombre de jours de travail inférieur à 218.
Le salarié n'est donc pas soumis au respect des durées maximales quotidienne et hebdomadaire de travail.
À l'inverse, il continue de bénéficier des garanties légales prévues en matière de repos quotidien et hebdomadaire, de congés payés et de jours fériés chômés dans l'entreprise. Pour s'assurer du respect de ces garanties, l'employeur doit s'assurer régulièrement :
que la charge de travail du salarié est raisonnable et permet une bonne répartition dans le temps de son travail
de la bonne articulation entre l'activité professionnelle du salarié et sa vie personnelle
Profitez d'un bonus sur la réparation de votre aspirateur, lave-linge, smartphone, télévision et de nombreux autres appareils éligibles.
Avec vigieau.gouv.fr, restez informés sur la situation locale de la sécheresse et adoptez les gestes les plus appropriés.
En y rentrant leur adresse, particuliers mais aussi agriculteurs, entreprises et collectivités ont un accès direct aux réglementations de la ressource là où ils se trouvent.
La Plateforme intergouvernementale scientifique et politique sur la biodiversité et les services écosystémiques (IPBES) est un organe intergouvernemental créé en 2012.
L’IPBES a donc pour mission de constituer une interface entre la communauté scientifique et les gouvernants. Il contribue à la prise de décisions politiques responsables par la diffusion d’une connaissance pluridisciplinaire sur la biodiversité et les écosystèmes. Aussi est-il parfois considéré comme le "GIEC de la biodiversité".
Voilà un sujet crucial et complexe. Un sujet confrontant la société à des questions d’équité, d’éthique et de pédagogie… Longtemps marginalisés ou confinés dans des établissements spécialisés, les enfants souffrant d’un handicap se voient de plus en plus offrir la possibilité de partager les salles de classe avec leurs pairs. Cependant, force est de constater que ce chemin de l’inclusion est semé d’embûches. Ainsi les AESH – Accompagnants des élèves en situation de handicap – rémunérés par l’État pendant le temps scolaire. Et par les collectivités pendant le périscolaire.
Problème pour l’enfant: parfois, il bénéficie d’un accompagnant pendant le temps de l’école mais pas au moment des pauses périscolaires. Conséquences: il ne peut pas manger à la cantine ou rester le soir et du coup – finalement – se retrouve en situation d’exclusion.
Problème pour l’accompagnant : parfois il se retrouve sur un demi-poste et face à un souci de revenus.
La convention qui vient d’être signée – "La première au niveau national", a rappelé David Lisnard, le maire de Cannes – entre la municipalité et l’État en la personne de la rectrice Natacha Chicot, a pour objectif d’apaiser cet aspect du problème. L’idée: les AESH sont sous l’autorité unique de l’État et la mairie rembourse la part périscolaire. Plutôt simple sur le papier. Mais apparemment techniquement compliqué. Quoi qu’il en soit la convention est signée et désormais, à Cannes, enfants, familles et accompagnants pourront évoluer plus sereinement.
"Le dispositif va dans le mur"
Cela n’a pas empêché la rectrice de montrer les limites du concept. "Qu’on soit clair, le dispositif va dans le mur."
"Chaque année, a-t-elle expliqué, l’augmentation des besoins est importante malgré les moyens que les collectivités territoriales et l’État mettent." En prenant l’exemple sur les effectifs de son académie: en cinq ans le nombre d’élèves reconnus en situation de handicap a augmenté de 3.200!
"Il faut former les enseignants"
"Soyons clairs: nous n’avons pas un taux de couverture à 100% et c’est une difficulté car les coûts sont importants. Notre académie compte quand même 2.450 AESH..."
Préconisation de la rectrice: "Que l’école devienne inclusive. L’État doit former ses enseignants pour que les élèves aillent vers l’autonomie. [...] Le type de classe dans lequel nous nous trouvons, ULIS (1), est la solution. Et pas une ULIS avec 5, 6 ou 7 AESH. Ce qu’il faut, c’est une classe avec des enseignants formés, un ou deux AESH et des enfants à qui on va de plus en plus permettre de traverser le couloir pour se retrouver dans la classe d’à côté avec ses petits camarades. Parce qu’à force de multiplier les AESH individuels, on continue à enfermer l’enfant dans son handicap."
Permettre à l’enfant de traverser le couloir. Merci pour cette belle image… Il faudra la garder.
- Les unités localisées pour l’inclusion scolaire. Cette année, une 6e ULIS ouvre à Cannes, à l’école de la Croisette.
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Le nouveau format du permis de conduire, délivré automatiquement depuis 2013, deviendra la norme en 2033. D’ici là, il n’y a aucune obligation de remplacer la version cartonnée rose, même si vous recevez des messages par mail ou SMS.
Depuis le 16 septembre 2013, tout nouveau permis de conduire est aux normes européennes. De la taille d’une carte de crédit et plastifié, il contient une puce et une bande MRZ (Machine-Readable Zone), le rendant plus sécurisé et plus complexe à frauder. Mais ce n’est que le 19 janvier 2033 que tous les permis roses en carton devront avoir disparu du paysage français. Les détenteurs de l’ancien modèle peuvent donc le garder ; les modalités de remplacement d’ici la date d’échéance ne sont pas connues à ce jour. Pour l’heure, seuls le vol, la perte, la détérioration du document ou un changement d’état civil justifient une demande de renouvellement.
MENACE D’AMENDE
Méfiez-vous d’éventuelles arnaques liées à ce contexte incertain quant aux démarches à effectuer dans les 10 ans à venir. Si vous recevez un message vous indiquant qu’en cas de non-remplacement immédiat de l’ancienne version, vous risquez une grosse amende, c’est un mensonge. Il s’agit d’une tentative de phishing, visant à vous soutirer des informations personnelles ou de l’argent, voire à usurper votre identité en vous demandant une copie de votre permis de conduire.
Le site de référence à consulter en cas de doute est celui de l’Agence nationale des titres sécurisés (ANTS), depuis lequel vous effectuez toute procédure liée à votre permis de conduire.
"Je ne perds jamais. Soit je gagne, soit j’apprends." Par ces mots, Nelson Mandela aurait pu inspirer les départements victimes d’une cyberattaque. Notamment celui des Alpes-Maritimes. La collectivité territoriale avait subi une retentissante fuite de données, dans la nuit des 9 au 10 novembre 2022. Trois mois après, les départements cherchent à en tirer les leçons.
Rendez-vous à Nice pour un débrief
C’est à Nice, justement, que l’Assemblée des Départements de France (ADF) vient d’organiser son séminaire sur la cybersécurité. Au sein même de ce conseil départemental pris pour cible par le collectif Play Ransomware. Ces hackers s’étaient approprié 282 Go de données, avant de les diffuser. Soit 0,1 % du volume total des données de la collectivité.
Consolation pour le Département 06, si l’on peut dire : il n’est pas le seul à avoir subi pareille mésaventure. Neuf départements, quatre régions et 81 communes sont passés par là.
Trois mois après, le Département de Seine-et-Marne ne tourne encore qu’à 75 % de ses capacités. En deux ans, les cyberattaques ont bondi en France de 400 %.
La crainte du "rideau noir"
Au moins, "chez nous, les dégâts sont relativement mineurs", assure Charles Ange Ginésy, le président de l’instance départementale. Quelques photocopies de documents d’identité, entre autres, ont tout de même eu le temps de fuiter. L’alerte rapide a permis de tout éteindre, redémarrer secteur par secteur, et revenir à la normale en quinze jours.
Partant de là, "nous avons voulu faire le point sur les solutions apportées par les départements victimes d’attaques, en lien avec l’État", explique François Sauvadet, président de l’ADF. Le retour d’expérience du Département 06 a été "précieux". "Nous avons élaboré un process qui doit engager chacun des usagers du service et les agents eux-mêmes." Objectif : éviter "le rideau noir".
Le maître-mot: «"Vigilance". Après la cyberattaque de novembre, le premier réflexe demandé aux agents départementaux a été de muscler leurs mots de passe. Et de soigner leur déconnexion. "Il faut respecter un code de fermeture. Quand vous ne fermez pas la porte de votre tablette, c’est comme si vous ouvriez la porte de votre maison alors que rôdent des cambrioleurs", met en garde François Sauvadet.
"Intervenir sitôt l’anomalie repérée"
Parmi les grands axes d’action ? "Renforcer les outils d’alerte." "Organiser les données en silo, pour éviter qu’elles ne soient toutes contaminées en cas d’attaque." "Analyser le risque pour hiérarchiser les données à conserver."
Et surtout, "intervenir tout de suite, dès que vous repérez l’anomalie". Chaque département dispose aujourd’hui d’un référent cybersécurité.
Le protocole azuréen sera transmis à l’ANSSI (agence nationale de la sécurité des systèmes d’information), puis partagé aux départements, voire aux communes. Un outil utile pour des départements "au cœur de la révolution numérique", dixit François Sauvadet. Essentiel pour la qualité du "service offert aux Français". Et pour conserver leur confiance.
Site officiel du Département des Alpes-Maritimes. Consultez l'ensemble de l'actualité des Alpes-Maritimes et prenez connaissance de l'ensemble des aides et services mis en œuvre par la collectivité départementale
Retrouvez de nombreux conseils et astuces, en cliquant sur les pièces et les objets de la maison. Vous découvrirez des idées pour mieux vivre votre nouveau quotidien, pendant la grossesse et les premières années de bébé.
Envoyer la carte Vitale à la CPAM pour vérifier son état
Si la mise à jour de votre carte Vitale ne permet pas de résoudre son dysfonctionnement, il est recommandé de la faire parvenir à votre caisse primaire d’assurance maladie dans le but de la faire expertiser. Lors de votre envoi par courrier, pensez à préciser la nature de votre demande. Ainsi, la CPAM pourra décider si votre carte doit être remplacée ou si elle peut vous la renvoyer après analyse.
Que votre carte Vitale soit cassée, abîmée, ou que sa puce soit illisible, vous devez immédiatement prévenir votre CPAM. Cette démarche peut être effectuée en ligne, par téléphone, par courrier ou en vous rendant dans un point d’accueil.
Pour signaler le dysfonctionnement de votre carte Vitale, une déclaration est à remplir. Avant de la valider, vérifiez l’exactitude des informations vous concernant (état civil, adresse postale et adresse mail). En cas d’erreur ou d’oubli, il est impératif de contacter votre CPAM pour le lui signaler.
Demander une nouvelle carte Vitale
Si le dysfonctionnement de votre carte Vitale ne peut être réglé par la mise à jour ou l’analyse effectuée par la CPAM, une demande de renouvellement doit être réalisée.
Pour commander votre carte Vitale, rendez-vous sur votre compte Ameli, dans la rubrique « Mes démarches », puis « Commander ma carte Vitale ».
Deux documents vous seront demandés pour valider votre dossier :
une photo d’identité numérisée ;
une pièce d’identité numérisée.
Une fois la validation faite, votre commande est transmise à la caisse primaire d’assurance maladie. Vous recevez en échange un récapitulatif de vos données.
Votre nouvelle carte Vitale vous sera envoyée dans un délai de 2 semaines, accompagnée d’une copie papier des informations qu’elle contient dans sa puce électronique. Si vous perdez votre carte ou si vous avez besoin de justifier vos droits, c’est ce document que vous devez présenter.
Si vous effectuez votre demande de renouvellement par courrier, par téléphone ou dans un point d’accueil, comptez un délai de 3 semaines avant de recevoir votre nouvelle carte Vitale.
Vous pouvez suivre l’acheminement de votre carte en vous connectant à votre compte Ameli. Rendez-vous ensuite dans la rubrique « Mes démarches », puis « Suivre ma commande de carte Vitale ».
En attendant votre document définitif, vous pouvez obtenir une attestation de droits. Cette dernière vous servira de justificatif pour la prise en charge de vos soins. Elle peut être demandée par téléphone au 36 46, dans un point d’accueil ou en ligne, dans la rubrique « Mes démarches », puis « Télécharger mon attestation de droits ».
L’ensemble des propriétaires (personnes physiques et personnes morales), sont soumis à une nouvelle obligation déclarative en 2023. Pour y répondre l’espace en ligne « Gérer mes biens immobiliers » du site impots.gouv.fr s’enrichit de nouvelles fonctionnalités.
Info par la ville de Mougins
https://mougins.fr/obligation-declarative-des-proprietaires/
"Le SNU ne se raconte pas, il se vit." C’est le slogan du gouvernement pour faire adhérer les jeunes au Service national universel. N’empêche, on a quand même demandé à Maëlle, Toulonnaise de 17 ans, de nous faire le récit de son expérience.
Aujourd’hui en terminale au lycée Bonaparte, la jeune fille a fait partie des premiers Varois à effectuer un séjour de cohésion, avant sa mission d’intérêt général à l’été 2021. Dix-huit mois plus tard, elle en garde un excellent souvenir.
Pourtant, rien n’était moins sûr… Comme pour beaucoup d’autres jeunes, ce sont les parents de Maëlle qui ont insisté pour qu’elle s’inscrive au SNU. Parce qu’à l’époque de Parcoursup, ce genre d’initiative est valorisée au moment d’être accepté dans la formation de son choix dans l’enseignement supérieur.
"À force de m’en parler, ils ont fini par me convaincre", se souvient Maëlle. Mais ce dont elle se rappelle surtout, c’est qu’au bout des douze jours de cohésion dans un lycée cannois, l’adolescente et ses camarades ne voulaient plus en partir.
"Être en cohésion, c’était super!"
Si l’adolescente a mis un peu de temps à s’adapter – "Je n’étais jamais partie de chez moi plus d’une semaine de colo" –, ces quelques jours avec 300 autres volontaires sont finalement ce qu’elle a préféré dans le SNU. Elle énumère: "La journée d’appel, avec des gendarmes hypersympas, la journée des pompiers, mais aussi les sports – badminton, fitness, cross fit, randonnée, canoë… se remémore la jeune fille. On a aussi assisté à un crash test, dans le cadre de la sécurité routière ou encore fait du nettoyage de la plage." Le tout, dit-elle, "dans une ambiance militaire, avec le levé des couleurs le matin... sans les corvées qui vont avec!".
Mais ce qui a fait le sel de ces activités, c’est de les effectuer avec d’autres. "Être en cohésion comme ça tout le temps, c’était super."
Autant dire que la Toulonnaise n’a pas quitté Cannes sans s’être fait de nouveau amis. "Ça permet de se rapprocher entre personnes très différentes!"
Comme une expérience professionnelle
Maëlle a tout de suite enchaîné avec sa mission d’intérêt général, effectuée au sein du Comité départemental olympique sportif du Var.
Une seconde phase du SNU qui lui a permis d’approcher une expérience professionnelle. "J’écrivais de petits articles pour les réseaux sociaux du CDOS et devais promouvoir les Jeux olympiques dans des centres aérés." Pas une sinécure pour la lycéenne, peu encline à prendre la parole en public. Et tant pis si elle ne s’est pas découvert une vocation – la sienne serait plutôt du côté des géomètres topographes –, Maëlle assure avoir "beaucoup appris" au cours de ces trois semaines.
Un an et demi après, la jeune fille s’estime beaucoup plus sociable et indépendante. Pour elle, c’est une évidence: "Le Service national universel devrait être obligatoire!"
Et si c’était obligatoire? L’avis de jeunes de 15 à 17 ans
Ce lundi matin, sous un ciel gris, pas facile de trouver un lycéen enthousiasmé par le Service national universel. Pire, la plupart des jeunes interrogés ne voient pas vraiment ce qu’est le SNU. Alors quand, après quelques explications sur le dispositif, on leur demande ce qu’ils penseraient si le séjour de cohésion était obligatoire, ils sont dubitatifs.
Devant le lycée professionnel Claret, à Toulon, Mathis, 17 ans, estime qu’il ne devrait "pas être obligé", mais reconnaît qu’il ne le ferait qu’en y étant forcé. Inès, 17 ans aussi, ne s’y dit pas complètement fermée. "Je suis sociable, j’aime l’aventure, j’avais même envisagé de faire les Cadets de la défense", assure la jeune fille. Dorine, 17 ans, est, elle, déjà à la Préparation militaire marine. Le SNU obligatoire, elle n’y voit donc pas d’inconvénient. Au contraire: "Ça permet de faire de nouvelles rencontres!" Enzo, 16 ans, lui aussi serait d’accord. Mais seulement "à condition que ça ne dépasse pas trois jours". "Sinon, il faut qu’on soit payé!"
Devant le lycée Bonaparte, la question de la contrepartie est aussi évoquée. "Ça me donne droit à quoi?", demande Mathis, 16 ans.
"Ce serait une bonne expérience, pense tout de même Camille, 17 ans, même si c’est mieux d’avoir le choix." Et son amie Ambrine d’admettre, elle aussi, qu’elle ne ferait "un SNU que si c’était obligatoire".
"Ça ne m’a jamais traversé l’esprit", lance en écho Léa, 16 ans, tandis que Manon, 15 ans, est, elle, convaincue que l’obligation risquerait surtout de "dégoûter ceux qui ne voulaient pas le faire du tout".
Si vous faites partie des personnes concernées, vous serez prévenu par la mairie et des codes vous seront remis pour vous recenser directement en ligne. Vos données restent confidentielles.
Le recensement de la population, qui est une obligation légale, est essentiel pour connaître les besoins en termes de transports, logements, écoles, établissements de santé et de retraite… et pour construire l’avenir en déterminant le budget des communes. C’est un acte totalement gratuit. Ne répondez pas aux sites qui vous réclament de l’argent !
Source https://mougins.fr/recensement-de-la-population-mouginoise-jusquau-25-fevrier/
Article Nice Matin https://www.nicematin.com/faits-de-societe/5-questions-pour-tout-comprendre-au-recensement-qui-commence-ce-jeudi-19-janvier-en-region-paca-821494
Jusqu’à quand?
L'enquête se termine le 18 février pour les communes de moins de 10 000 habitants et le 25 février pour celles de plus de 10 000 habitants.
Comment ça se passe?
Un agent recenseur muni de sa carte officielle, siglée bleu blanc rouge, comportant sa photo, et la signature du maire, se présentera aux domiciles des foyers concernés. Pour vérifier s’il s’agit bien d’un "vrai" agent recenseur, il suffit de relever le nom de la personne et d’appeler la mairie pour le vérifier.
Pour les maisons individuelles, il dépose dès le 19 janvier des notices avec code d’accès au questionnaire internet dans les boîtes aux lettres. Pour les autres logements, l'agent se présente au domicile des personnes recensées pour remettre des notices avec code d’accès également au questionnaire internet. Le site a été relooké avec un chatbot et optimisé pour les tablettes et téléphones. Les ménages sont invités à répondre au questionnaire prioritairement par internet. "63% des habitants de Provence-Alpes-Côte d’Azur ont choisi ce mode de réponse en 2022", précise l’Insee.
"Si les habitants ne veulent pas ou ne peuvent pas répondre sur internet, l’agent dépose des questionnaires papier qu’il revient chercher quelques jours plus tard."
Quels types de questions?
Outre le nom et l’adresse, l’âge, l’emploi et autres éléments individuels, les habitants doivent aussi donner les caractéristiques du ménage pour évaluer l’évolution de la population et ses besoins futurs, décrire le logement pour connaître les besoins en habitations, ou encore exposer les habitudes de vie comme les trajets quotidiens pour se rendre au travail par exemple. Ce qui servira à évaluer les besoins en transports.
Un guichet unique d’information et d’assistance pour vous aider à faire des économies d’énergie.
Découvert par article nice Matin https://www.nicematin.com/environnement/ce-dispositif-du-conseil-departemental-des-alpes-maritimes-vous-aide-a-faire-baisser-votre-facture-energetique-805501
Découvert par cash investigations sur les sécheresses et inondations
Résultats du contrôle sanitaire de la qualité de l’eau potable en ligne, commune par commune
Cliquez sur votre région pour accéder aux résultats de qualité de l’eau potable de votre commune.