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L’ensemble des propriétaires (personnes physiques et personnes morales), sont soumis à une nouvelle obligation déclarative en 2023. Pour y répondre l’espace en ligne « Gérer mes biens immobiliers » du site impots.gouv.fr s’enrichit de nouvelles fonctionnalités.
"Le SNU ne se raconte pas, il se vit." C’est le slogan du gouvernement pour faire adhérer les jeunes au Service national universel. N’empêche, on a quand même demandé à Maëlle, Toulonnaise de 17 ans, de nous faire le récit de son expérience.
Aujourd’hui en terminale au lycée Bonaparte, la jeune fille a fait partie des premiers Varois à effectuer un séjour de cohésion, avant sa mission d’intérêt général à l’été 2021. Dix-huit mois plus tard, elle en garde un excellent souvenir.
Pourtant, rien n’était moins sûr… Comme pour beaucoup d’autres jeunes, ce sont les parents de Maëlle qui ont insisté pour qu’elle s’inscrive au SNU. Parce qu’à l’époque de Parcoursup, ce genre d’initiative est valorisée au moment d’être accepté dans la formation de son choix dans l’enseignement supérieur.
"À force de m’en parler, ils ont fini par me convaincre", se souvient Maëlle. Mais ce dont elle se rappelle surtout, c’est qu’au bout des douze jours de cohésion dans un lycée cannois, l’adolescente et ses camarades ne voulaient plus en partir.
"Être en cohésion, c’était super!"
Si l’adolescente a mis un peu de temps à s’adapter – "Je n’étais jamais partie de chez moi plus d’une semaine de colo" –, ces quelques jours avec 300 autres volontaires sont finalement ce qu’elle a préféré dans le SNU. Elle énumère: "La journée d’appel, avec des gendarmes hypersympas, la journée des pompiers, mais aussi les sports – badminton, fitness, cross fit, randonnée, canoë… se remémore la jeune fille. On a aussi assisté à un crash test, dans le cadre de la sécurité routière ou encore fait du nettoyage de la plage." Le tout, dit-elle, "dans une ambiance militaire, avec le levé des couleurs le matin... sans les corvées qui vont avec!".
Mais ce qui a fait le sel de ces activités, c’est de les effectuer avec d’autres. "Être en cohésion comme ça tout le temps, c’était super."
Autant dire que la Toulonnaise n’a pas quitté Cannes sans s’être fait de nouveau amis. "Ça permet de se rapprocher entre personnes très différentes!"
Comme une expérience professionnelle
Maëlle a tout de suite enchaîné avec sa mission d’intérêt général, effectuée au sein du Comité départemental olympique sportif du Var.
Une seconde phase du SNU qui lui a permis d’approcher une expérience professionnelle. "J’écrivais de petits articles pour les réseaux sociaux du CDOS et devais promouvoir les Jeux olympiques dans des centres aérés." Pas une sinécure pour la lycéenne, peu encline à prendre la parole en public. Et tant pis si elle ne s’est pas découvert une vocation – la sienne serait plutôt du côté des géomètres topographes –, Maëlle assure avoir "beaucoup appris" au cours de ces trois semaines.
Un an et demi après, la jeune fille s’estime beaucoup plus sociable et indépendante. Pour elle, c’est une évidence: "Le Service national universel devrait être obligatoire!"
Et si c’était obligatoire? L’avis de jeunes de 15 à 17 ans
Ce lundi matin, sous un ciel gris, pas facile de trouver un lycéen enthousiasmé par le Service national universel. Pire, la plupart des jeunes interrogés ne voient pas vraiment ce qu’est le SNU. Alors quand, après quelques explications sur le dispositif, on leur demande ce qu’ils penseraient si le séjour de cohésion était obligatoire, ils sont dubitatifs.
Devant le lycée professionnel Claret, à Toulon, Mathis, 17 ans, estime qu’il ne devrait "pas être obligé", mais reconnaît qu’il ne le ferait qu’en y étant forcé. Inès, 17 ans aussi, ne s’y dit pas complètement fermée. "Je suis sociable, j’aime l’aventure, j’avais même envisagé de faire les Cadets de la défense", assure la jeune fille. Dorine, 17 ans, est, elle, déjà à la Préparation militaire marine. Le SNU obligatoire, elle n’y voit donc pas d’inconvénient. Au contraire: "Ça permet de faire de nouvelles rencontres!" Enzo, 16 ans, lui aussi serait d’accord. Mais seulement "à condition que ça ne dépasse pas trois jours". "Sinon, il faut qu’on soit payé!"
Devant le lycée Bonaparte, la question de la contrepartie est aussi évoquée. "Ça me donne droit à quoi?", demande Mathis, 16 ans.
"Ce serait une bonne expérience, pense tout de même Camille, 17 ans, même si c’est mieux d’avoir le choix." Et son amie Ambrine d’admettre, elle aussi, qu’elle ne ferait "un SNU que si c’était obligatoire".
"Ça ne m’a jamais traversé l’esprit", lance en écho Léa, 16 ans, tandis que Manon, 15 ans, est, elle, convaincue que l’obligation risquerait surtout de "dégoûter ceux qui ne voulaient pas le faire du tout".
Si vous faites partie des personnes concernées, vous serez prévenu par la mairie et des codes vous seront remis pour vous recenser directement en ligne. Vos données restent confidentielles.
Le recensement de la population, qui est une obligation légale, est essentiel pour connaître les besoins en termes de transports, logements, écoles, établissements de santé et de retraite… et pour construire l’avenir en déterminant le budget des communes. C’est un acte totalement gratuit. Ne répondez pas aux sites qui vous réclament de l’argent !
Source https://mougins.fr/recensement-de-la-population-mouginoise-jusquau-25-fevrier/
Article Nice Matin https://www.nicematin.com/faits-de-societe/5-questions-pour-tout-comprendre-au-recensement-qui-commence-ce-jeudi-19-janvier-en-region-paca-821494
Jusqu’à quand?
L'enquête se termine le 18 février pour les communes de moins de 10 000 habitants et le 25 février pour celles de plus de 10 000 habitants.
Comment ça se passe?
Un agent recenseur muni de sa carte officielle, siglée bleu blanc rouge, comportant sa photo, et la signature du maire, se présentera aux domiciles des foyers concernés. Pour vérifier s’il s’agit bien d’un "vrai" agent recenseur, il suffit de relever le nom de la personne et d’appeler la mairie pour le vérifier.
Pour les maisons individuelles, il dépose dès le 19 janvier des notices avec code d’accès au questionnaire internet dans les boîtes aux lettres. Pour les autres logements, l'agent se présente au domicile des personnes recensées pour remettre des notices avec code d’accès également au questionnaire internet. Le site a été relooké avec un chatbot et optimisé pour les tablettes et téléphones. Les ménages sont invités à répondre au questionnaire prioritairement par internet. "63% des habitants de Provence-Alpes-Côte d’Azur ont choisi ce mode de réponse en 2022", précise l’Insee.
"Si les habitants ne veulent pas ou ne peuvent pas répondre sur internet, l’agent dépose des questionnaires papier qu’il revient chercher quelques jours plus tard."
Quels types de questions?
Outre le nom et l’adresse, l’âge, l’emploi et autres éléments individuels, les habitants doivent aussi donner les caractéristiques du ménage pour évaluer l’évolution de la population et ses besoins futurs, décrire le logement pour connaître les besoins en habitations, ou encore exposer les habitudes de vie comme les trajets quotidiens pour se rendre au travail par exemple. Ce qui servira à évaluer les besoins en transports.
Un guichet unique d’information et d’assistance pour vous aider à faire des économies d’énergie.
Découvert par article nice Matin https://www.nicematin.com/environnement/ce-dispositif-du-conseil-departemental-des-alpes-maritimes-vous-aide-a-faire-baisser-votre-facture-energetique-805501
Découvert par cash investigations sur les sécheresses et inondations
Résultats du contrôle sanitaire de la qualité de l’eau potable en ligne, commune par commune
Cliquez sur votre région pour accéder aux résultats de qualité de l’eau potable de votre commune.
Certaines infractions relèvent de la cybercriminalité. Il peut s'agir de piratage de votre boite mail, d'extorsion d'argent pour débloquer votre ordinateur ou encore, d'un compte Facebook piraté.
QUELLE EST VOTRE SITUATION ? En fonction de votre situation personnelle, les démarches à réaliser peuvent varier.
Vous estimez être victime d'une infraction concernant des faits qui se sont déroulés sur internet sans aucune rencontre physique ? Il peut s'agir par exemple de courriels, sites web, e-commerce, relations virtuelles. Le dispositif THESEE vous permet, dans certains cas, de porter plainte ou signaler l'infraction en ligne.
Découvert par article Abonnés Nice matin https://abonnes.nicematin.com/article/on-vous-presente-thesee-le-nouvel-outil-de-plainte-en-ligne-pour-les-e-escroqueries-758801
Publié le 08 avril 2022 à 08h30 Par Grégory Leclerc
Internet s’apparente au nouveau Far-West. Messageries piratées, chantage, arnaques sentimentales, petites annonces et sites de vente frauduleux: les escrocs savent y faire prospérer leurs trafics.
"Pour eux, c’est intéressant, ils ne risquent que jusqu’à 5 ou 7 ans de prison, là où pour un vol à main armée ils peuvent partir 20 ans derrière les barreaux", commente le commissaire Jérôme Vial, chef de la division de lutte contre la criminalité financière du service de police judiciaire de Nice. Le policier niçois constate d’ailleurs que les vols à main armée ont quasiment disparu dans notre département, au profit de cette nouvelle délinquance.
En réaction, la police nationale a créé, courant octobre, "Thésée", un outil national de plainte en ligne pour les escroqueries du Web. La place Beauvau, qui avait déjà lancé son application "Ma sécurité", complète ainsi son attirail numérique. "Thésée" est en phase de test (version bêta), mais est déjà disponible pour le grand public.
Vous pourrez y déposer plainte directement, sans avoir à vous déplacer. Derrière, une quinzaine d’enquêteurs sont mobilisés pour les recevoir. C’est le parquet de Nanterre, compétent, qui décidera ensuite - quand la plainte concerne les Alpes-Maritimes - si elle doit être confiée à la police judiciaire ou la Sûreté départementale en fonction de sa gravité. "Ce n’est pas un gadget numérique de plus", insiste le commissaire Vial, qui présentait le dispositif ce jeudi en compagnie du lieutenant de police Camille Faujour, adjointe au chef de l’unité des enquêtes générales de la Sûreté. Quand il est transmis aux services compétents, le dossier est déjà très avancé. C’est essentiel: aller vite, en matière d’escroquerie sur le Web est souvent la clé d’une enquête réussie. "Thésée" épargne également à la victime des procédures trop lourdes, comme se déplacer, être entendue, ce qui permet également de remonter plus facilement les escrocs.
L’an dernier, au niveau national 116.000 plaintes (1) pour escroquerie sur Internet ont été déposées en France. "Avec une augmentation de 20% par an", précise le commissaire Vial. Un quart des plaintes déposées et validées au plan national ont déjà fait l’objet de recoupements. Car la force de la plate-forme est de permettre de croiser les dossiers et d’y retrouver des similitudes menant à un seul et même auteur. Les escrocs, s’appuyant sur la volatilité du Net, frappent en effet en effet partout en France et même à l’étranger.
Comment y accéder?
Il faut passer par www.service-public.fr. Thésée mériterait d’ailleurs d’être mieux mis en valeur. Pour y accéder, le chemin n’est pas forcément intuitif. Il faut en effet passer par la page principale, puis cliquer sur la rubrique "Justice", et enfin sur "Arnaque sur Internet" dans la sous-section "infractions". Ce service mériterait pourtant une plus grande visibilité. "Je n’ai pas de doutes que ces difficultés seront remontées et corrigées", assure le commissaire Vial.
La connexion s’effectue par l’intermédiaire de France Connect (outil proposé par l’État pour simplifier les démarches administratives en ligne). La plainte peut-être déposée et signée virtuellement. Vous recevrez ensuite un récépissé et une copie du document.
(1) Dans le département, les escroqueries, tout confondu, ont augmenté l’an dernier de 2,34%, contre 10,28% au plan national.
Publié le 19 juin 2020 à 07h19 Par Éric Farel efarel@nicematin.fr
Laurent Chalard, géographe et chercheur, a recensé la plupart des "anomalies géographiques" en France. Et il propose de les corriger en revoyant les limites départementales.
Ses travaux n’ont pas la prétention d’être exhaustifs. Mais tout de même, c’est à une sacrée exégèse de la situation géographique française que s’est livré Laurent Chalard, docteur en géographie et chercheur à l’Université Paris IV-Sorbonne. Voici ce qu’il faut en retenir...
On dirait que le département revient en odeur de sainteté auprès du pouvoir...
En effet, avec la crise sanitaire, l’État l’a remis à l’ordre du jour comme grille de lecture territoriale. Au début de la crise, on voyait ces fameuses cartes de progression de l’épidémie à l’échelle des grandes régions et on n’arrivait pas vraiment à faire une projection au niveau local. Il y a donc eu des pressions pour affiner cela, et c’est la raison pour laquelle on est revenu à l’échelle du département.
On a compris qu’en tant que lecture, il avait une importance, ce que nous, chercheurs, savions déjà. Mais les politiques l’avaient perdu de vue, sans doute parce qu’ils ne se passionnent pas pour ces questions territoriales.
La question du maintien ou de la suppression des départements n’est donc plus à trancher?
On voit bien que l’on a besoin d’un échelon intermédiaire. Et c’est le département parce qu’il a une taille qui correspond bien aux caractéristiques de la France. Il demeure indispensable pour un aménagement équilibré du territoire hexagonal, étant le seul à assurer un maillage fin dans un contexte de relative faible densité de la population, en dehors de la capitale et de quelques zones frontalières.
Ce maillage, les grandes régions issues de la réforme territoriale de 2014 ne le permettent pas, de par leur taille supérieure à de nombreux autres pays européens. Donc, le maintien du département comme échelon administratif intermédiaire entre les régions et les communes ou intercommunalités se justifie pleinement, au moins dans les territoires ruraux. Là, sa disparition conduirait à enterrer définitivement les petites et moyennes villes qui vivent de leur fonction préfectorale ou sous-préfectorale.
Vous proposez un redécoupage des départements. Pour quelle raison?
Afin d’adapter leur périmètre aux réalités fonctionnelles actuelles. Pour diverses raisons, historiques ou autres, certains territoires ne sont pas rattachés administrativement au département auquel ils devraient l’être, obérant leur bonne gouvernance. Je propose donc une liste, servant de base de discussion, proposant les changements qu’il serait souhaitable d’apporter à la carte administrative départementale, certains majeurs, d’autres mineurs.
Vous suggérez, par exemple, que Tanneron, Les Adrets-de-l’Estérel et Montauroux soient rattachés aux Alpes-Maritimes...
Tanneron, c’est le parfait exemple de l’anomalie géographique. Pourquoi, lorsque les Alpes-Maritimes ont été créées, n’a-t-on pas basculé cette commune dans ce département? J’avoue que je ne vois pas la logique. 65% de la population locale travaille dans le 06 et quelques habitants dans leur village.
Donc, on voit bien que celui-ci est entièrement tourné vers les Alpes-Maritimes avec Cannes comme ville de référence. Concernant Les Adrets, on est à peu près dans le même cas avec 55 % de la population qui travaille dans le 06.
Et du point de vue des commerces, les gens sont plus tournés vers Mandelieu-La Napoule et Cannes que vers Fréjus-Saint-Raphaël. Pour Montauroux, par contre, la question peut se poser parce qu’on ne trouve là que 48 % de gens qui travaillent dans les Alpes-Maritimes. La problématique, c’est la différence entre le village et la zone qui se trouve vers le lac de Saint-Cassien, cette dernière étant davantage tournée vers Cannes.
Ne faudrait-il pas détacher cette partie? En tout cas, contrairement aux Adrets et Tanneron, la réflexion pour Montauroux est plus contestable.
En revanche, il n’y a pas de contestation à vos yeux concernant Entrevaux (04)?
Il s’agit là aussi d’une anomalie liée à des raisons historiques. Quand on regarde le cours du fleuve Var, on s’aperçoit qu’il passe à Puget-Théniers dans les Alpes-Maritimes, puis à Entrevaux, dans les Alpes-de-Haute-Provence, puis à Daluis, de nouveau dans le 06.
En fait, le secteur d’Entrevaux est bien plus lié aux Alpes-Maritimes qu’aux Alpes-de-Haute-Provence, et on est plus proche de Nice que de Digne. En 2020, est-ce que cela a encore un sens ? Quasiment personne ne travaille dans le canton et pour les commerces, les gens vont à Puget-Théniers.
On pourrait aussi parler du cas de Saint-Raphaël, plus tournée vers les Alpes-Maritimes que vers Toulon...
Ce que je propose, ce sont des retouches, c’est-à-dire basculer des communes vers d’autres départements uniquement quand les liens sont très forts. L’un des problèmes du Var, c’est que Toulon n’a pas la zone d’influence de Nice ou de Marseille.
Et, en fin de compte, on pourrait assez facilement dépecer ce département. Les communes auxquelles je me réfère sont vraiment tournées vers le département voisin. Dans le cas que vous citez, en termes de bassin de vie, on reste quand même sur Fréjus - Saint-Raphaël.
Pensez-vous réellement que les gens accepteraient ce type de changement relatif à leur appartenance territoriale?
Il faut bien comprendre que lorsqu’on a des débats sur des rattachements territoriaux, la plupart des gens ne se sentent pas concernés parce qu’ils ne voient pas trop où est l’intérêt. Ceux qui le sont, ce sont en général des politiques qui vont réfléchir à la question: est-ce que j’y trouve un avantage personnel ou pas?
Et si la réponse est oui, le maire s’arrangera pour que la population soit d’accord. Dans le cas contraire, ces mêmes politiques sont en capacité d’organiser une sorte de fronde locale.
Vous avez prévu un "cahier de doléances". De quoi s’agit-il?
J’ai fait une étude au niveau national et je me suis concentré sur les anomalies importantes, mais après tout beaucoup de petits villages pourraient changer de département. Il serait intéressant de voir lesquels se sentent concernés d’autant que passer une commune d’un département à l’autre, c’est parfaitement envisageable. Ce sont de petites choses à changer.
Certains maires témoignent parfois d’une volonté de fusionner avec leur(s) proche(s) voisin(s). Qu’en pensez-vous?
Aujourd’hui en France on a un échelon communal qui ne correspond pas vraiment à l’économie. La fusion, j’y suis plutôt favorable lorsqu’il s’agit d’un même ensemble urbain. Dans la région, celle qui aurait vraiment du sens, c’est Cannes-Le Cannet. Également, Saint-Laurent-du-Var et Cagnes-sur-Mer ou encore Menton et Roquebrune-Cap-Martin.
Je pense que les fusions facilitent l’aménagement des territoires et permettent de lutter contre les processus de fragmentation territoriale. Pour de petites communes, ce peut être aussi le moyen de peser davantage face aux villes plus importantes. Mon idée, c’est qu’il faudrait plutôt fusionner des communes et, à terme, supprimer les intercommunalités qui favorisent l’éloignement du citoyen.
Que comptez-vous faire de vos travaux?
Au niveau national, je souhaite faire réfléchir nos élus dans le cadre d’un débat sur la décentralisation sur le fait qu’il pourrait être intéressant de moderniser le département dont le fonctionnement est un peu archaïque en termes de compétences.
Et au niveau local, faire comprendre qu’il est possible de changer les choses. Beaucoup de communes sont dans une sorte de fatalisme : elles ont envie de changer de département mais pensent que c’est impossible. Cela est faux et les exemples ne manquent pas pour illustrer mes propos, mais souvent les élus n’y pensent pas et n’engagent pas les démarches.
Avec ce sujet, on est dans l’air du temps, dans l’adaptation d’un territoire institutionnel à un territoire fonctionnel. Je n’ai rien contre le conservatisme quand ça a du sens, mais quand il empêche toute évolution et devient archaïsme, c’est problématique.
Alim’confiance vous permet de consulter les résultats des contrôles officiels réalisés en matière de sécurité sanitaire des aliments depuis le 1er mars 2017.
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LES INFRACTIONS ET L'AVIS DE CONTRAVENTION
Le guide indispensable pour comprendre comment remplir, payer ou contester les différents avis de contravention. Voir https://www.antai.gouv.fr/dossier-infraction?lang=fr
La base de données publique Transparence - Santé
La base de données publique Transparence - Santé rend accessible l'ensemble des informations déclarées par les entreprises sur les liens d'intérêts qu'elles entretiennent avec les acteurs du secteur de la santé. Pilotée par le Ministère des Solidarités et de la Santé, cette initiative de transparence vise à préserver la nécessaire relation de confiance entre les citoyens, les usagers et les multiples acteurs du système de santé.
La transparence, condition indispensable pour préserver la confiance
La loi du 29 décembre 2011 relative au renforcement de la sécurité sanitaire du médicament et des produits de santé garantit l'indépendance et l'impartialité des décisions prises en matière de santé. Elle impose la transparence des liens entre les industries de santé et les autres acteurs du champ de la santé, professionnels de santé, étudiants, sociétés savantes, associations, médias, etc.
Lien d'intérêts ne signifie pas conflit d'intérêts. Pour développer leurs produits, les entreprises sont amenées à nouer des relations avec des experts, des journalistes et des acteurs publics. Il faut bien entendu conserver et développer cette complémentarité, qui fait avancer la science et permet le progrès thérapeutique.
Mais il faut que ces liens soient connus de tous et accessibles aisément.
En révélant l'existence de ces liens, la base de données publique « Transparence - Santé » permet à chaque internaute, à chaque citoyen, d'apprécier en toute objectivité la nature des relations qui lient les industries de santé aux autres parties prenantes du secteur.
« Conventions », « avantages » et « rémunérations » : trois types de liens d'intérêts
Les relations entre les entreprises et ces acteurs peuvent prendre la forme d'accords (appelés « conventions »), d'avantages (« en nature » ou « en espèce ») ou encore de rémunérations.
Les conventions entre les entreprises et les acteurs de la santé sont des accords impliquant des obligations de part et d'autre. Il s'agit, par exemple, de la participation à un congrès en tant qu'orateur (obligation remplie par le professionnel), avec prise en charge du transport et de l'hébergement (obligation remplie par l'entreprise). Les conventions peuvent aussi avoir pour objet une activité de recherche ou des essais cliniques sur un produit de santé, la participation à un congrès scientifique, une action de formation, etc.
Les avantages pris en compte dans la base de données Transparence - Santé recouvrent tout ce qui est alloué ou versé sans contrepartie par une entreprise à un acteur de la santé (don de matériel, repas, transport, hébergement, etc.).
Les rémunérations sont les sommes versées par les entreprises à un acteur de la santé (professionnel de santé ou personne morale) en contrepartie de la réalisation d'un travail ou d'une prestation.
Ces trois types de liens d'intérêts sont clairement distingués dans la base de données Transparence - Santé.
Pour des raisons techniques, les données relatives aux rémunérations versées avant le 31 décembre 2016 sont disponibles soit dans l'onglet "avantage" soit dans l'onglet "rémunération". Les rémunérations versées après cette date seront disponibles dans l'onglet "rémunération" à compter du 1er octobre 2017.
Que contient la base de données publique Transparence - Santé ?
La base de données publique « Transparence - Santé » précise, pour chaque type de lien d'intérêts, les informations suivantes :
Pour les conventions : l'identité des parties concernées, la date de la convention, son objet précis, le montant et l'organisateur, le nom, la date et le lieu de la manifestation le cas échéant ;
Pour les avantages en nature et en espèce, directs ou indirects : l'identité des parties concernées, le montant, la nature et la date de chaque avantage dès lors que le montant de chaque avantage est supérieur ou égal à 10 euros TTC.
Pour les rémunérations : l'identité des parties, la date du versement, le montant dès lors qu'il est supérieur ou égal à 10 euros. Le cas échéant, le bénéficiaire final de la rémunération ou de l'avantage est renseigné par l'entreprise.
Les informations contenues dans la base de données publique Transparence - Santé sont issues de déclarations réalisées par les entreprises. Elles sont mises à jour sur le site deux fois par an et y restent accessibles pendant cinq ans. Les entreprises sont responsables de l'exactitude des contenus publiés.
Source Site du Ministère des Solidarités et de la Santé
Découvrez la répartition du budget de l’État entre les différentes politiques, les priorités du gouvernement et les actions mises en place grâce à vos impôts. Et vérifier si vous avez toutes les connaissances pour être un bon ministre !
Dépenses publiques : où va l'argent ? https://www.aquoiserventmesimpots.gouv.fr/depenses-publics
Performance de la dépense
Les données de la performance visent à donner une vision synthétique de l’action de l’État et de ses principaux résultats au regard des moyens engagés.
Les données de la performance permettent de visualiser facilement au moyen d’indicateurs de performance, les objectifs poursuivis et leurs résultats, pour chacune des grandes politiques publiques financées par l’État en 2018.
Cette démarche, qui s’inscrit dans le cadre de la revalorisation de la loi de règlement, vise à compléter l’analyse des documents budgétaires, dans le but d’éclairer le débat en cours sur les finances publiques et sur la transformation de l’État.
Source budget.gouv.fr
La plateforme des finances publiques,
du budget de l’État et de la performance publique
Portail permettant de simuler les coûts d’utilisation de son véhicule et de proposer des véhicules plus adaptés à son usage. Il permet également de découvrir tous les dispositifs d’aides de l’État et des collectivités pour passer à une mobilité plus propre.
Source : site du gouvernement, Un site du Ministère de la Transition écologique et solidaire
Observatoire citoyen de l'activité parlementaire au Sénat
Observatoire citoyen de l'activité parlementaire à l'Assemblée nationale
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