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Commentaire sur vidéo https://www.youtube.com/watch?app=desktop&v=U9jirFqex6g&list=WL&index=20
Intéressante analyse de l'ouverture du marché du rail en Europe, qui est globalement positif... sur le plan économique.
Je tique quand même sur deux choses :
- il dit que sur Ouigo (le train low-cost en France), le service est exécrable mais les clients acceptent ça car le prix est bas.
- il dit que le développement des trains low-cost va faire comme avec l'avion low-cost : un nouveau marché pour des gens qui autrement n'auraient pas voyagé.
Pour le premier point, je comprends qu'on ne puisse pas avoir le beurre et l'argent du beurre, mais dans mon cas je me rends à l'évidence : un service ferroviaire fiable (et je veux de la fiabilité) est un produit de luxe inabordable. Donc je ne serais pas client.
Pour le second, l'on dit que le train est une solution écologique pour voyager. Et c'est vrai. Si l'on compare à d'autres moyens.
Mais du coup, par rapport à quelqu'un qui ne voyage pas ?
Je ne nie absolument pas l'avantage d'un train abordable au plus grand nombre, sur le plan sociétal, mais justement : sur ce plan là seulement. Il faut bien différencier les champs d'études avant de pouvoir tirer une conclusion globale (qui elle même tiendra compte de la pondération de chaque champ d'études, et donc différera pour chacun, subjectivement).
Découvert par https://www.nicematin.com/economie/a-grasse-mycophyto-pousse-comme-un-champignon-819055
Article France Bleu Azur https://www.francebleu.fr/emissions/les-azureens-qui-s-engagent/les-azureens-qui-s-engagent-elle-revolutionne-les-cultures-sans-produits-chimiques-9915379#xtor=RSS-106
Justine Lipuma est à la tête de l'entreprise Mycophyto. Basée à Antibes, elle a développé une solution pour la production agricole sans utiliser de produits chimiques. Un champignon qui, une fois réduit en poudre ou en eau liquide à la base d'une plante, est aussi efficace qu'un engrais chimique.
Depuis 2017 Justine Lipuma est à la tête de la startup Mycophyto basée à Sophia Antipolis. Son entreprise est innovante, car elle a pour objectif d'accroître la productivité agricole sans utiliser de produits chimiques et tout en consommant moins de ressources naturelles. Pour ça, Justine Lipuma utilise des champignons microscopiques, qui, réduit en poudre ou en eau liquide à la base d'une plante, sont aussi efficaces qu'un engrais chimique.
L'année 2023 va être crucial pour Mycophyto, puisque la start-up va industrialiser son produit en France et dans le monde entier. Pour ça l'entreprise a réussi à boucler une levée de fonds de 4M euros.
'Des colis qui ne manquent pas d’R' - Où l’on rencontre des chercheuses en solutions. Racontée par Citeo.
Hipli
emballage ultra résistant qui se replie et se glisse dans une boîte aux lettres, une fois le colis déballé.
Ainsi remis en circulation, il peut resservir au moins cent fois. Dans le e-commerce, de nombreuses entreprises adhèrent à cette solution, réduisant ainsi de 83 % l’empreinte carbone de leurs colis, tout en évitant 25 kg de déchets pour chaque emballage réutilisable.
le numéro spécial sur l’économie circulaire
Pour contribuer à l'amélioration du climat, Google Maps propose désormais des itinéraires plus économes. Mais le sont-ils vraiment ? Nous faisons le test.
lutte, entre autres, contre la surpêche
s’est donné pour objectif la préservation de l’environnement marin et la pêche durable.
Qui est-ce ?
Raphaëlois depuis plusieurs générations, Christian Decugis est pêcheur de profession dans une région où les professionnels sont peu nombreux.
"En 1980, on comptait 46 pêcheurs inscrits à la Prud’homie, se souvient-il. Aujourd’hui, il n’y en a plus que 13."
Président de l’Apam (Association pour la Pêche et les Activités Maritimes) créée en 2009, Christian Decugis a à cœur la pêche durable.
Pourtant, rien ne le prédestinait à finir en mer. "J’étais passionné par les avions et j’avais entrepris une formation de mécanicien dans l’armée."
Un temps, ce Varois travaille à Strasbourg puis se lasse. "Le milieu militaire n’était pas pour moi."
Retour alors sur la côte varoise où il retrouve son frère et son grand-père, pêcheur de profession "que j’accompagnais déjà en mer quand j’étais petit."
Avec lui, il apprend "le respect du vivant et de la ressource en mer." De petites astuces de pêcheurs "comme cet endroit où le poisson prolifère, facile d’accès, que l’on va se mettre de côté pour les jours où il fait moche et où l’on ne peut pas naviguer trop loin."
Avec son frère, il monte une entreprise de pêche et prend la direction du large où il pêche au filet, avec des palangres et des casiers. Des langoustes, de l’espadon et d’autres espèces qui forment cet écosystème marin dont il faut prendre soin.
"J’aimais le large, travailler sur de grands fonds, sur des espèces différentes avec des techniques différentes." Avec en filigrane, ce questionnement permanent : comment agir durablement?
Sur son bateau, un gros pointu qui porte le nom de ses deux enfants, le Julia-Victor, il sillonne la Méditerranée, parfois accompagné d’amis aussi improvisés qu’improbables, comme ce cachalot de 12 mètres de long, venu se reposer aux côtés de son bateau, le temps d’une sortie en mer.
Le déclic ?
"Quand vous pêchez, vous voyez ce qui se passe", explique le pêcheur varois. Au gré des espèces et du comportement des poissons, le changement climatique se matérialise sous ses yeux. "Pendant des années, vous notez que personne n’a travaillé sur cette espèce et là, pourtant, vous en prenez moins… Ça interroge", poursuit encore Christian Decugis.
Il ajoute : "Le métier de pêcheur est un métier d’adaptation constant, à la nature, à la météo et il faut trouver un équilibre dans tout ça. Mon grand-père disait : “Il n’y a pas de mauvais outils mais juste de mauvais pêcheurs."
Trouver le point d’équilibre, connaître le territoire, bien pêcher, ne pas jeter, ne pas gâcher la ressource, ses idées font mouche chez les défenseurs de l’environnement, sensibles aux discours du pêcheur. Au début des années 2000, l'ONG WWF (Fonds mondial pour la nature) le contacte. Un nouveau chapitre s’ouvre.
L’action ?
Membre du comité départemental des pêches, Christian Decugis enchaîne les postes à responsabilités qui lui permettent d’entrer en relation avec les autorités.
Son respect de la nature, sa recherche de l’équilibre des ressources et sa présence dans de nombreux médias en font un interlocuteur privilégié des acteurs de l’environnement.
Au fil du temps, il collabore avec WWF, les institutions de l’Union européenne, mais aussi, ses nombreux collègues européens, en Italie, en Espagne, en Grèce et au-delà même, jusqu’en Afrique du Nord.
Croiser les regards et les compétences, comprendre les rouages d’administrations comme celle de l’Union Européenne, prompte à légiférer sur des réalités bien éloignées de ses bureaux feutrés, le travail ne manque pas.
Une fois, le voilà qui part à la rencontre des techniciens chargés d’écrire les textes régulant la taille des filets et des hameçons. "J’ai réussi à leur faire comprendre que la limite de taille qu’ils avaient imposée était insuffisante pour nous."
Comment valoriser les espèces et s’adapter au changement? Comme dans le cas des crabes bleus, présents en Languedoc Roussillon après avoir envahi les eaux tunisiennes et qui détruisent les filets de pêche.
"Il faut une approche territoriale de la pêche, faire travailler les différents acteurs entre eux, et dieu sait qu’ils sont de plus en plus nombreux", poursuit Christian Decugis.
D’abord engagé au sein de Medarnet, une plateforme méditerranéenne en faveur des pêcheurs artisanaux qui regroupe des pays comme l’Algérie, le Maroc, l’Espagne, il rejoint les rangs de Life (Low Impact Fishers of Europe) qui lutte, entre autres, contre la surpêche. En 2009 naît l’Apam (Association pour la Pêche et les Activités Maritimes) qui s’est donné pour objectif la préservation de l’environnement marin et la pêche durable.
Parmi les projets soutenus par l’association localement : la collecte et valorisation de filets de pêche usagés, transformés, grâce au concours d'une entreprise espagnole, en monture de lunettes de soleil, la protection du Cap roux contre la pression touristique et le braconnage, ou encore la sauvegarde du patrimoine littoral marin, notamment les fêtes et chants de pêche traditionnels.
"On crée du réseau, on regarde ce qui se passe ailleurs, on participe à des événements de la FAO et concernant les aires marines protégées."
S’inspirer les uns des autres en tenant compte des spécificités locales, comme après le lancement du pescatourisme, qui permet d'embarquer les touristes sur les bateaux de pêche. Une initiative partie d'Italie.
"Ici, nous on est 13 pêcheurs qui doivent faire face à la pêche sous-marine de plaisance, au tourisme en mer."
Les projets?
"On travaille avec l’institut océanographique Paul Ricard, le Cnrs, notamment autour de projets écolos pour nourrir les poissons d’aquaculture à base de farine d’insectes, plus respectueuse de l’environnement", poursuit Christian Decugis.
L’Apam a également soutenu le projet de petites plaques vissées au sol mentionnant "Ici commence la mer".
"Aujourd’hui il faut continuer sur l’environnement, améliorer la qualité du milieu, lutter contre la pollution, poursuit Christian Decugis. Là, j’essaie de faire équiper les affluents de récupérateur de macro déchets qui ressortent notamment après les grosses pluies, qui finissent à la mer, et sont ingurgités par les poissons que nous mangeons ensuite."
"Le changement climatique? Nous l’avons perçu il y a longtemps. Ce n’est pas pour rien que la méditerranée est le laboratoire de ce qui va se passer ailleurs disent les scientifiques", déclare l’homme qui s’apprête d’ailleurs à passer le relais en tant que pêcheur et cherche un repreneur pour son navire, le Julia-Victor.
Il sourit : "Pêcheur, ce n’est pas un métier que vous pouvez faire en dilettante. En tout cas, moi je ne peux pas."
Pour en savoir plus
Le site de l'APAM : https://www.apam-med.eu/
Le site de LIFE : https://lifeplatform.eu/fr/
Les Copros Vertes, mouvement d’information et de formation à la rénovation énergétique qui rassemble les copropriétaires et les syndics de copropriétés.
Recyclage déchets électriques : Ecologic est un éco-organisme agréé par l'Etat pour la collecte et le traitement des D3E
Découvert par vidéo Brut sponsorisé
https://www.facebook.com/1757782394471400/posts/pfbid02TDbb1TX1t2eihrDdSbU8rHjAs7YqsVcphMw9QRWGDfLzmLsGJcyguixwQD6itJK4l/?app=fbl
Tldr : dans la condition où la batterie n'est pas trop énorme (max 60 kWh, soit autour de 400 km d'autonomie sur une charge).
Dans cette condition, les EV est 2 à 3 fois moins polluante (en CO2) qu'une voiture à pétrole.
Je nuancerai en disant qu'ils font cette comparaison en considérant une durée de vie "type" égale à celle des véhicules aujourd'hui (très faible). Notons qu'on parle de la durée de vie du véhicule, sur différents propriétaires. Une EV d'occasion que vous avez rentabilisé en CO2 et que vous vendez à quelqu'un qui jette son SUV au gazole, c'est encore plus positif.
Le truc c'est qu'une EV émet environ 20-30% de CO2 en plus lors de sa conception, mais environ 95% de CO2 en moins quand elle roule.
L'idée est de conserver la voiture assez longtemps en circulation pour qu'au final on aura émis moins qu'un véhicule thermique avec le même usage.
En effet, il arrive un point de basculement des émissions cumulées de CO2. Si on jette la voiture à la casse avant, ce n'est pas rentable. Si on la garde assez longtemps, c'est rentable.
Bien sûr, plus la voiture est petite, plus le point de basculement arrive vite, et plus l'énergie électrique est decarbonnée également.
En France grâce au nucléaire, c'est atteint dès 6 mois d'usage moyen pour une petite EV et jusqu'à 2-3 ans pour une grande.
En Allemagne ou dans certains états des USA, ça peut monter à 7 ans si l'électricité est particulièrement sale. Notons que ces calculs incluent le fait de devoir changer une fois de pack batterie complet après X années (ce qui est une surestimation grossière : ça ne sera pas plus commun que de changer un bloc moteur dans une thermique).
Dans tous les cas, si le véhicule est conservé assez longtemps, il n'y aucun scénario où l'EV est plus polluant, sauf à en acheter une sans en avoir l'usage.
Le problème n'est donc pas tellement la technologie, mais l'obsolescence du matériel (comme très souvent).
Couvrez vous avec notre collections de bobs, bonnets, tour de cou, casquettes, t-shirts, pull... fabriqué en France et à la main. Tous nos accessoires de mode sont en polyester recyclé, coton recyclé, coton bio.
Découvert par article France bleu azur https://www.francebleu.fr/emissions/circuits-courts-dans-les-alpes-maritimes/azur/les-circuits-courts-des-alpes-maritimes-32#xtor=RSS-106
La Région Paca devient officiellement Région pilote en matière de planification écologique. Désormais, il y aura "des critères climats qui seront incontournables pour chaque centime dépensé", déclare Renaud Muselier, le président de la Région.
Élisabeth Borne s'est exprimé à la tribune face aux maires de la région PACA ce lundi en fin de matinée, lors de leur convention annuelle au Pharo. Pour son premier déplacement officiel à Marseille depuis qu'elle est installée à Matignon, la Première ministre est venue affirmer la place de la Région Provence-Alpes-Côte-d'Azur dans "le déploiement de la planification écologique" en France. Ainsi, la Région forte "mobilisatrice de fonds européens", devient "pilote" dans le cadre d'un "protocole d'expérimentation", a confirmé Élisabeth Borne.
Ce "protocole d'expérimentation entre l'État et la Région" Paca est "une initiative conjointe pour planifier la transition écologique" dans le territoire, d'après le document présenté publiquement par la Première ministre à Marseille ce lundi.
Plusieurs actions seront testées dans la région dans des domaines aussi divers que la décarbonatation de l'industrie, le développement de transports moins polluants, ou encore la préservation des ressources en eau et des forêts.
Chaque action sera guidée par un "comité de pilotage" dirigé conjointement par le préfet de Région Christophe Mirmand et le président de la Région, Renaud Muselier. Se présentant comme "grand décentralisateur", ce dernier a affirmé lors d'un entretien à l'AFP croire "en la capacité de l'expérimentation et elle passe par le préfet de Région et le président de Région qui sont les deux à même de traiter au mieux le dernier kilomètre" pour l'application concrète des mesures environnementales sur le territoire.
Ce statut de "Région pilote" est dû, selon Renaud Muselier à la capacité de l'institution locale à "savoir mettre en place la politique européenne sur le territoire donc à co-financer".
Le train qui relie Nice à Digne-les-Bains fonctionne grâce à un mélange entre du charbon et des grignons d'olives. Explications avec le président de l'association de ce train historique.
Un carburant très calorique
"Le grignon d'olive, c'est ce qu'il reste des olives quand on les a pressées pour faire de l'huile : un peu de pulpe et le noyau concassé" détaille Jean-Michel Delphino, président de l'association GECP, qui gère le train des Pignes. Invité ce vendredi France Bleu Azur, il détaille comment cela fonctionne : "L'avantage, c'est qu'il reste toujours de l'huile d'olive dessus, et l'huile d'olive est de l'éthanol."
Le mélange s'effectue à peu près à 50-50. "L'huile d'olive est beaucoup plus calorique que le bois, par exemple. C'est aussi plus calorique que les pellets par exemple. Cela pourrait servir dans les cheminées ou les poêles", ajoute le président, qui a pu rencontrer des élus locaux le 5 novembre, au moment du dernier voyage de l'année du train des Pignes. "Ils sont emballés, mais on cherche à remuer tout le monde. L'intérêt de cette filière, c'est qu'il faut la créer. Nous sommes demandeurs." Car actuellement, les grignons qui ont servi à faire rouler ce train viennent de Tunisie.
La Ville de Mouans-Sartoux (Alpes-Maritimes) a été récompensée du plus haut niveau du label régional "Territoire durable, une Cop d'avance", notamment grâce à la gestion de ses cantines.
100% bio, mais pas plus cher, comment ?
"La cantine est 100% bio depuis 10 ans, à la fois pour la santé des enfants et le bien-être de l'environnement, rappelle Gilles Pérole. L'approvisionnement est à 80% régional. Les légumes eux sont entièrement cultivés à Mouans-Sartoux. C'est ça qui nous permet de ne pas augmenter les prix actuellement."
Pourtant, les aliments certifiés bio sont plus chers, mais comment ne pas répercuter le prix sur les parents ? "Nous avons réussi à ne pas augmenter notre budget d'achat alimentation, en diminuant par exemple de 80% le gaspillage alimentaire, et en servant 50% de repas à base de protéines végétales et d'œufs, et le reste à base de viande et de poissons, répond l'élu. En cherchant des économies vertueuses pour la santé et l'environnement, nous avons réussi à manger 100% bio sans dépenser plus."
La chasse au gaspillage passe notamment par un savant travail sur les quantités cuisinées, adaptées à l'appétit de chaque enfant. Les déchets des cantines sont pesés tous les jours, pour être sûrs de ne pas gaspiller.
Aider l’énergie photovoltaïque à se faire enfin une place au soleil, c’est l’enjeu de la société coopérative d’intérêt collectif PEP2A, créée en 2015 et basée à Grasse. "Cette SCIC est la seule à associer, dans les Alpes-Maritimes, habitants, collectivités et organismes privés pour les impliquer dans le futur énergétique du département", explique Philippe Blanc, directeur de recherche au sein de l’école d’ingénieur MINES-Paris PSL de Sophia-Antipolis, membre de PEP2A.
Car en matière d’énergies renouvelables, il y a urgence en Côte d’Azur. "Les Alpes-Maritimes sont le deuxième département le plus consommateur d’électricité de Paca, mais aussi celui qui montre la plus faible quantité de production (11 % de sa consommation). Celle-ci est à 83 % d’origine hydroélectrique, filière dont la tempête Alex a rappelé la vulnérabilité", note la préfecture. Pour faire rattraper au photovoltaïque son retard dans le cinquième département le plus ensoleillé de France, PEP2A aide habitants, collectivités et entreprises à financer des panneaux sur les toits et les surfaces déjà construites. Comment ?
"Rendre l’énergie aux citoyens permet d’éviter les dérives des coûts"
Grâce, notamment, aux souscriptions citoyennes, des parts (à 100 € l’une) prises par des Azuréens (près de 130 aujourd’hui) dans cette SCIC et permettant de financer des projets près de chez eux. Comme l’équipement du toit de l’entreprise Montagn’Habits à Saint-Auban ou d’une bergerie à La Sagne. Ou encore ce vaste projet d’ombrières de parking sur lequel PEP2A planche à Carros pour la ville et la métropole.
Davantage convaincu par l’action locale que par la diplomatie internationale, Alain Messin, vice-président de PEP2A, espère tout de même que la COP27 réfléchira à la levée d’"obstacles réglementaires" à l’implantation du photovoltaïque: "Faire sauter les obligations des architectes des bâtiments de France et évoluer les Plans locaux d’urbanisme", notamment. "On aimerait que la COP fasse le constat que rendre l’énergie aux citoyens permet d’éviter les dérives des coûts que nous connaissons, par effet d’aubaine, pour les grands groupes", plaide-t-il, appelant de ses vœux « des retombées concrètes sur la place des citoyens dans la transition ».
COopérative https://pep2a.fr/
Cacao transformer en tablette de chocolat en France
Découvert par envoyé spécial du 03/11/2022
https://www.francetvinfo.fr/monde/environnement/crise-climatique/video-crise-climatique-pour-importer-du-cacao-sans-polluer-la-retro-innovation-du-cargo-a-voile_5453434.html
Le t-shirt Propre - Un t-shirt Made in France et Bio, c'est Propre ! Fabriquer un tee shirt proprement en plaçant l'éthique environnementale, sociale et économique au coeur de notre démarche.
Cartographie des projets financés par la Nef
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Chaque année et depuis notre création, nous publions la liste complète de nos financements. Retrouvez-les projets financés ces 5 dernières années sur notre carte interactive !
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133% de l’objectif a été atteint en quelques jours et l’événement n’est pas terminé! Que propose Nolt? Paul Guinard et Olivier Guigonis, cofondateurs, ont imaginé une gamme de vêtements écoresponsables pour amateurs ou pros du running. Entièrement fabriqués en Europe (au nord du Portugal) avec des déchets plastiques provenant de la Méditerranée transformés en polyester recyclé, les T-shirts, shorts, vestes sont aussi confortables qu’éthiques. Paul Guinard, runner aguerri licencié au club d’athlétisme de Valbonne, est sensible à l’environnement. "On a commencé à vendre notre marque dans les clubs sportifs. Parce que ça avait du sens de cibler les sportifs licenciés, jeunes ou moins jeunes. Montrer que l’on peut avoir une véritable démarche écoresponsable sans se ruiner, avec des produits de qualité."
Un QR code pour recycler
C’est aussi cela la force de Nolt: l’accessibilité en termes de tarif. 30-35 euros pour un T-shirt et 20-25 euros pour un short. "Ce n’est pas en s’adressant à une élite que l’on va changer le monde. Bon, c’est un ambitieux mais c’est un peu l’idée." Donc les prix sont abordables et pour ça, pas de secret, "on baisse notre marge, de deux à trois fois par rapport à d’autres marques américaines par exemple. Ça nous convient." Avec une équipe aujourd’hui composée de six personnes, ils ont mis au point un QR code en place sur chaque pièce, qui permet, quand le vêtement est usé ou abîmé, d’être réparé ou recyclé. On scanne le QR code et on reçoit un bordereau de La Poste pour renvoyer gratuitement le vêtement à Nolt. "C’est ce qui nous manquait pour nous lancer vers le BtoC. Il fallait que nos produits soient recyclés ET recyclables." Nolt lance ainsi sa collection destinée aux particuliers, bientôt en vente sur le site. Prochaine étape une collection pour les cyclistes "qui se fera de toute façon, on en a trop envie!".