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Location de Bateaux à Mandelieu et à Cannes, PassionBoat met tout en oeuvre pour vous assurer des prestations de qualité : entretien des bateaux, services VIP...
Avec sa formule "liberty pass" il propose à sa centaine d’abonnés locaux un accès annuel illimité - oui, comme dans une salle de sport - pour louer des navires en France, aussi bien à Port-Grimaud, qu’à Fréjus ou encore Saint-Laurent-du-Var: "Cela permet de couvrir les frais de son bateau pour une partie et d’avoir accès à la barre d’un navire pour d’autres. Car une fois qu’on a passé son permis, ce n’est pas toujours évident d’avoir les moyens d’acquérir quelque chose."
Débutant à 199 euros par mois pour un 5,5 mètres pouvant accueillir six personnes, sa formule augmente en fonction du type d’embarcation (700 euros par mois). Et attention: ce n’est pas parce que vous avez payé, qu’on vous donne les clés. "Il y a toujours au moins deux heures de coaching avant. Le but est que le pilote connaisse le bateau, chacun a ses spécificités, autant les appréhender tout de suite", résume l’entrepreneur qui se lance sur un autre terrain. Celui du yachting de luxe.
Découvert par article Nice Matin https://www.nicematin.com/economie/le-luxe-devient-il-accesseible-ces-applis-pour-soffrir-une-escapade-en-mer-ou-dans-les-air-sans-se-ruiner-786623
Bike Doctor atelier mobile de réparation et d'entretien vélo. A domicile et sur lieu de travail, dans les Alpes-Maritimes (06) et le Var (83)
Découvert par article nice matin https://abonnes.nicematin.com/article/cet-azureen-vient-chez-vous-avec-son-atelier-pour-reparer-votre-velo--785758
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Avis à tous les gourmands : La Gaufre Vadrouilleuse s'installe à la Fnac Cannes ! Gaufres salées revisitées, crêpes, gaufres sucrées ou encore salades, cafés, thés… La Gaufre vadrouilleuse vous attend, tous les jours, sur la terrasse de la Fnac Cannes pour vos petits creux, gouters ou gourmandises !
découvert par article nice matin https://abonnes.nicematin.com/article/decouvrez-cocobulles-la-lessive-nicoise-ecosolidaire-a-base-dhuile-de-coco-du-benin-774892
D’ici à la fin de l’été 2022, les Alpes-Maritimes et le Var présentent un risque de sécheresse, selon une étude publiée par le ministère de l’écologie. Hiver particulièrement doux, augmentation des températures, amenuisement des réserves, la gestion de nos ressources en eau est le défi de demain. Comment pouvons-nous agir? Quels impacts sur nos territoires? On a un mois pour enquêter.
Alerte à la sécheresse dans les Alpes-Maritimes et le Var. Dès fin mars, dans les Alpes-Maritimes et le Var, les préfectures ont émis des recommandations, pour restreindre la consommation en eau dans certaines communes.
Mi-mai, la situation s'annonce déjà critique dans certains secteurs du Var et des Alpes-Maritimes. C'est le cas à Seillans où un camion-citerne réapprovisionne 6 fois par jour la commune en eau. 400 foyers au nord du village sont déjà concernés par cette pénurie.
Mi-juin les habitants subiront des coupures planifiées pendant la nuit, puis en journée. "J’ai peur qu’on en vienne à distribuer des bouteilles d’eau aux Seillanais. Il faut qu’ils prennent conscience que ce bien commun n’est pas inépuisable", regrette René Ugo, maire de la commune.
Cette année, nous avons une sécheresse inédite dans le sens où elle a commencé tôt… janvier et février ont été pauvres en eau" , explique Philippe Gourbesville, hydrologue et professeur à Polytech qui travaille sur la question depuis 15 ans.
En moyenne, les Alpes-Maritimes et le Var enregistrent un volume d’eau annuel de 700 à 800 mm au m2, explique Philippe Gourbesville. C’est le même volume qu’à Paris."
Or cette année, le déficit en eau est de 48 % sous la normale. Une situation inédite depuis… 2007.
Pénuries d’eau en série
Pluies insuffisantes, peu de neige pour grossir les rivières, et des nappes phréatiques qui ne se sont pas rechargées expliquent cette situation.
"La sécheresse n'est pas due qu’à un déficit de précipitations, explique Joël Guiot, chercheur et climatologue au Centre Européen de Recherche et d'Enseignement en Géosciences de l'Environnement et co-président du Grec-Sud. L'artificialisation des sols aggrave la situation sur notre littoral qui est très urbanisé. L'eau qui tombe ruisselle et se retrouve à la mer… et n'alimente donc pas les nappes phréatiques.
Philippe Gourbesville invite à observer le problème sous un prisme encore plus large.
"L’absence de précipitations est une dynamique à l’échelle de la planète, liée à la circulation atmosphérique, souligne encore le chercheur. Ce qui crée des précipitations chez nous, c’est une masse d’air qui traverse la Méditerranée et qui sature au-dessus de la mer et se décharge sur le littoral. C’est un phénomène complexe qui met en jeu, par exemple, les courants océaniques."
Variété du territoire, complexité du phénomène
Notre territoire n’est pas touché partout de la même manière. Les communes du haut et moyen pays qui se distinguent par leur topographie, plus pentue, sont plus difficilement alimentées en eau.
"Un problème dans les équipements et on se retrouve rapidement en difficulté", détaille Philippe Gourbesville.
Le scientifique refuse de tenir un discours alarmiste pour autant.
Si la sécheresse menace particulièrement les Alpes-Maritimes et le Var ces prochains mois, selon une carte publiée par le ministère de l’écologie, cela ne présage cependant rien concernant nos ressources en eau, ajoute Philippe Gourbesville
"Il faut observer les sols, poursuit-il. Comparativement si vous regardez la Bretagne, il y pleut plus qu’à Nice mais les ressources sont très modestes, notamment car les sols, granitiques, ne retiennent pas l’eau."
Si l’artificialisation des sols est importante, notamment sur notre littoral, leur composition, faite de marne et de calcaire, permet un meilleur stockage.
Demain, des sécheresses plus fréquentes
"La sécheresse que nous connaissons actuellement, n'est pas forcément liée au réchauffement climatique. En Méditerranée, on a des années plus sèches et des années plus humides", note Joël Guiot, chercheur et climatologue au Centre Européen de Recherche et d'Enseignement en Géosciences de l'Environnement et co-président du Grec-Sud.
Un constat partagé par Philippe Gourbesville. "2022 emprunte la même trajectoire que 2007 qui a été une année extrêmement sèche avec une moyenne de 310 mm par m2 de précipitations." Le scientifique rappelle aussi les périodes sèches entre 1980 et 1990 ou encore 2001 et 2007.
Qu'en sera-t-il demain?
"Les projections pour la fin du siècle font état de grandes incertitudes sur les précipitations: les pluies diminueront en été sur le littoral, poursuit Joël Guiot.
Et à cause de la hausse des températures liée au réchauffement climatique, l'évaporation de l'eau va augmenter. Et avec elle, une nouvelle diminution des ressources.
Précipitations plus courtes mais plus intenses
"Il pourrait pleuvoir davantage, notamment à l'automne avec les épisodes méditerranéens, tels qu'on les a connus avec la tempête Alex: 500 mm d'eau se sont abattus en une journée, rappelle le climatologue. Mais ces précipitations ne permettront pas de réalimenter suffisamment les nappes en raison de l'artificialisation des sols qui empêchent une bonne infiltration de l’eau."
Ce qu’il faut bien comprendre, c’est que "c’est la manière dont les pluies vont tomber qui va changer", constate Philippe Gourbesville.
Plus courtes mais plus intenses. "Et avec ce changement, c’est la manière dont on recueille l’eau qui va différer", poursuit l’hydrologue.
Salinisation des nappes phréatiques
Autre effet attendu du changement climatique: l'élévation du niveau de la mer va conduire à une salinisation des nappes.
"On l'observe déjà en Camargue, à la Crau, sur la presqu'île de Giens. Une situation qui pose des problèmes aux agriculteurs."
Selon le Bureau de recherches géologiques et minières (BRGM), la recharge des nappes à l’échelle nationale pourrait faiblir de 10 à 30 % d’ici à 2070 à cause du dérèglement climatique, doublé de la surexploitation.
Dès lors, comment faire face aux sécheresses à répétition?
Prendre soin des sols
"Le premier remède à la sécheresse est d'arrêter d'artificialiser les sols. Une mesure préconisée par les experts du GIEC, et qui figure dans la loi climat et résilience de 2021, fait observer Joël Guiot. Il faudra voir comment cette mesure se traduira dans les décrets d'application."
Le climatologue pointe la nécessité de limiter l'étalement des villes, mais aussi de développer les espaces végétalisés urbains, avec des espèces méditerranéennes, résistantes à la sécheresse, et des points d'eau.
Des considérations déjà prises en compte comme à Cagnes-sur-Mer où les bords de la Cagne sont en voie de renaturation.
Cela invite à repenser nos installations et structures. "Si vous faites un parking, vous pouvez par exemple ne pas tout bétonner, mais mettre des graviers à la place, qui laisseront l’eau pénétrer plus facilement", remarque Philippe Gourbesville.
Diversifier et mettre en commun les sources
Essayer, également, de diversifier les sources d’alimentation en eau, qu’elles soient souterraines ou superficielles.
"Dans les Alpes-Maritimes, nous avons la chance d’avoir les Alpes, qui font office de château d’eau. Dans le Var, il y a moins de sources mais vous pouvez prendre le lac de Carcès qui alimente Toulon."
L’idée est également de partager les ressources entre communes.
"C’est le cas, notamment, sur le littoral, explique Philippe Gourbesville. Les villes sont connectées entre elles, elles peuvent transvaser leurs ressources. C’est plus difficile pour les communes du haut et moyen pays car les montagnes qui se dressent entre elles rendent plus difficile la liaison entre elles."
Changer nos habitudes, notre alimentation
Doit-on revenir à plus de sobriété? La réflexion s’impose à différentes échelles, de l’individuel au global.
"Il faudra utiliser l'eau de façon plus parcimonieuse"
En posant des contraintes sur la construction de nouvelles piscines, ou en augmentant le prix de l'eau."
A la maison, préférer la douche au bain, par exemple. Dans les jardins, aussi, remplacer la pelouse par des plantes méditerranéennes.
"Dans certains Etats américains, comme le Nevada, note Philippe Gourbesville, vous ne pouvez pas planter plus de 30% de plantes à arroser."
En matière d'agriculture, privilégier des systèmes d'irrigation de goutte à goutte plutôt qu'un arrosage à grandes eaux.
"La clé c'est l'agriculture, 93% de l'eau mondiale est utilisée à des fins agricoles", a expliqué Emma Aziza, hydrologue sur France Inter. Elle appelle à réduire la consommation de viande. "Il faut 4,1 tonnes de céréales pour produire 1 tonne de poulet, et pour le boeuf, il faut 3 fois plus de céréales." Donc d'eau pour faire pousser l'alimentation nécessaire à l'élevage.
Mais, explique-t-elle, la question de l'eau est beaucoup plus large.
C'est la question de notre assiette, de la manière dont on s'habille, de ce qu'on achète. C'est ce qu'on appelle l'eau virtuelle, elle est cachée partout dans tous nos modes de consommation."
Des changements d’habitude et de consommation qui amènent de nombreuses questions.
Un mois de reportages, longs formats
Cultivera-t-on les mêmes choses demain à l’heure où l’on parle de remplacer le maïs par des cultures moins gourmandes en eau? A quoi ressemblera notre assiette? Et nos habitations?
Alors que le Sud de la France enregistre la plus grande concentration de piscines, faut-il encore en construire chez soi? Comment préserver nos ressources en eau?
Ce sont les questions auxquelles nous tenterons de répondre tout le long de ce nouveau dossier "Eau secours."
Jusqu'à la fin du mois de juin nous vous proposerons une série de reportages, longs formats.
Les déchés ramassés par les bénévoles du club des jeunes entrepreneurs sur la plage de Carras étaient immédiatement transformés en objets du quotidien grâce à l’invention d’un ingénieur à la retraite.
Dans le village, tout le monde connaît Guy Mausy. Cet ancien ingénieur en recherche et développement d’une société de Sophia Antipolis a toujours étonné par ses créations, qu’elles soient mécaniques, à vapeur ou liées aux énergies naturelles.
En 2021, Guy Mausy et Anton Hassoun, chef d’entreprise également engagé et diplômé de l’Edhec, fondent l’association Recyclage sans frontière. Les buts sont clairement définis: collecter et recycler en circuit court, promouvoir cette action auprès des établissements scolaires, associations, collectivités, structures impliquant des personnes défavorisées ou en situation de handicap.
Il a également été le lauréat du récent programme régional Paca Ligth pour son système de gestion des énergies solaires.
Des gobelets en clefs USB
Aujourd’hui âgé de 65 ans et retraité, ce créateur peut désormais s’impliquer totalement dans l’innovation et laisser libre cours à sa fibre écologique.
Dans cette optique, et après de longues recherches, il met au point une machine permettant de recycler le plastique, fléau de notre civilisation. Le but: transformer localement le plastique usagé en objets utiles du quotidien.
Gobelets, sachets ou encore masques de protection à usage unique sont introduits dans l’appareil, puis chauffés à 190°C. Un levier actionné par un piston injecte ensuite la pâte obtenue dans un moule, permettant ainsi d’obtenir la forme définitive de l’objet souhaité. Porte-clés, pince à linge ou clefs USB, tout est (presque) possible.
Un investissement de 500 euros
"On peut leur donner toutes les formes que l’on souhaite", précise l’inventeur, qui espère "qu’un jour chaque foyer en sera équipé", "comme pour les composteurs qui sont de plus en plus répandus".
C’est pourquoi "les plans de la machine sont fournis gratuitement, les pièces en kit ou la machine montée sont vendues à prix coûtant. L’investissement est d’environ 500 euros pour une machine prête à servir."
Au Togo, au Sénégal, à la mairie de Fréjus, à l’école de Saint-Roman-de-Bellet, à la maison d’arrêt de Nice ou encore à la Cité des arts de la Rue de Marseille, la machine baptisée Méd in Nice séduit déjà.
Un petit pas pour la planète, mais également un grand geste de solidarité.
Informations sur le site rsf-asso.fr ou par mail à mausy@free.fr
Piscine de 30 m3 traitée au chlore contour en dalle, avec abris siège et table basse , accès toilettes, douche, espace réfrigérateur, exposée au soleil toute la journée
Le Conseil départemental des Alpes-Maritimes lance un plan anti-frelons.
26 kilomètres de randonnée dans les Gorges de Daluis, c'est un nouvel itinéraire créé par le département des Alpes-Maritimes.
LES OBJECTIFS DU PROJET
LE TOURISME DURABLE
Au milieu de cette Réserve animalière, l’homme n’est qu’un invité qui assiste, en toute saison, à la vie quotidienne d’une partie de la faune européenne et au rôle que joue celle-ci dans la dynamique des écosystèmes. Sous vos yeux, le témoignage de phénomènes naturels complexes qui attisent la curiosité du visiteur et incitent au respect de la nature.
À LA RENCONTRE DU DOCTEUR LONGOUR
UN DOCTEUR PAS COMME LES AUTRES
« Après dix ans d’un combat épuisant contre la bureaucratie, contre les sceptiques, après la vente de sa clientèle puis de sa belle villa, Patrice Longour, infatigable vétérinaire de 56 ans, a convaincu sa jeune femme, Alena, de le suivre. Il a rameuté ses amis, il a séduit des investisseurs après des semaines de palabres, il a bousculé l’administration à l’inertie désespérante, il a même intéressé un ministre de l’Ecologie.
Son idée de réserve, il est allé la pêcher en Afrique, au Botswana exactement, où durant de longues années il a milité pour la protection du delta de l’Okavango au sein de l’association Preserve, créée avec son complice de toujours, également vétérinaire, Daniel Baubet.
Aujourd’hui, au vu des résultats plus que probants de l’intégration de la faune sauvage dans ce milieu, le Dr Patrice Longour désire étendre son projet écologique, partout où l’agriculture moderne ne peut plus assurer la pérennité des exploitations traditionnelles. »
FRÉDÉRIC LEWINO
LE RETOUR DU SAUVAGE EN FRANCE
IL ÉTAIT TEMPS QUE LA FRANCE RETROUVE SES ESPÈCES PERDUES…
La Réserve des Monts d’Azur est le seul endroit en Europe où le bison d’Europe et le cheval de Przewalski vivent à nouveau ensemble !
Ces deux espèces emblématiques que l’homme avait quasiment exterminées sont à nouveau réunies sur un territoire qu’elles partagent avec les cerfs, chevreuils, chamois, sangliers, renards, loups, lynx et de nombreuses autres espèces. Sauvages et libres !
Personne avant nous n’avait osé organiser ces retrouvailles. Nous l’avons fait. Ce pari est une des expériences écologiques les plus excitantes du moment en Europe.
Ce portail permet à ceux qui le souhaitent de saisir leurs observations naturalistes à travers des programmes spécifiques. Chaque nouvelle observation sera immédiatement visible sur l'outil cartographique et enrichira les données du parc national du Mercantour
Découvert par article nice matin https://abonnes.nicematin.com/article/face-a-la-disparition-du-herisson-le-parc-du-mercantour-lance-une-enquete-participative-pour-le-recenser-761510
Publié le 08 avril 2022 à 17h30 Par Pascal Fiandino
Dès lundi 11 avril, il sera possible de régler son titre de transport dans le bus, par carte ou application bancaires. Pour offrir une nouvelle solution de paiement et faire gagner du temps aux chauffeurs.
Marchera, marchera pas? Moment de suspense, ce vendredi midi, place Cornut-Gentille, à l’heure d’essayer le paiement sans contact, dans l’un des véhicules électriques de la flotte Palm Bus. C’est Tarik Dinane, directeur général de la société Kuba France – fournisseuse du service – qui s’y colle et, joie, tout fonctionne à merveille.
Petit effet de manche puisque, ces deux dernières semaines, une centaine de "bêta-testeurs" ont joué les "cobayes" – contrepartie: ils ont voyagé gratuitement – afin que tout soit carré pour le lancement officiel, ce 11 avril.
Il sera donc possible de payer son ticket à 1,50 euro directement dans le bus, sans contact, via sa carte bancaire ou l’application de son smartphone (1). Un système "inédit dans la région" assure Richard Galy, vice-président de la CACPL, délégué aux transports. Qui fait même du réseau Palm Bus "la première régie de France, à le mettre en place, renchérit le président, David Lisnard. On aurait pu le faire il y a un an et demi déjà, mais il a fallu répondre aux demandes bureaucratiques de Bercy. Ce qui est presque plus compliqué que de trouver des solutions technologiques." Fin de l’attente, donc, dès lundi.
Comment ça marche?
Rien de bien sorcier, puisque le paiement sans contact est désormais entré dans les mœurs, accéléré par la pandémie. Alors, on entre dans le bus, on colle sa carte bancaire ou l’application du smartphone sur l’habituel boîtier à l’avant du véhicule.
La validation du paiement s’affiche alors sur l’écran. Si vous êtes plusieurs et que vous avez l’âme généreuse, sachez que vous pouvez payer jusqu’à neuf tickets.
Pour se faire, on passe une fois sa carte/son smartphone, on repasse pour sélectionner le nombre de billets sur le boîtier puis, une troisième fois, pour régler. "Le paiement est simplifié et c’est un gain de temps pour le conducteur" résume Richard Galy. Chauffeur qui n’aura donc plus à attendre que l’on retrouve les pièces au fond de nos poches. Car, en dépit de toutes les formules disponibles, le ticket unique à 1,50 euro demeure le plus sollicité chez Palm Bus: 2,32 millions ont été vendus en 2021, pour 9 millions de voyages.
Disponible sur toutes les lignes?
Le paiement sans contact est disponible sur les 98 lignes du réseau. À quelques petites exceptions près: le service Palm à la demande, les navettes City Palm ( Croisette, rue d’Antibes) et Le Suquet-Forville.
Comment ça se passe en cas de correspondance?
Le principe est le même qu’avec le billet matérialisé. Si vous changez de bus dans les 59 minutes suivant l’achat de votre titre de transport, il vous suffit de repasser sa carte bancaire/son smartphone devant le boîtier. Promis, vous ne serez pas prélevé à nouveau...
Quid des contrôles?
Du coup, sans ticket ni carte de bus en main, comment ça se passe si l’on croise les contrôleurs? Tout simple, là encore: on passe son titre dématérialisé devant la petite machine de l’agent, qui a accès à l’historique et peut ainsi vérifier si l’on est en règle ou pas.
Comment vérifier ses transactions?
Pour contrôler votre consommation et vos différents prélèvements, un portail dédié va être mis en place sur le site palmbus.fr. Que les sceptiques se rassurent cependant: il sera toujours possible d’acheter le bon vieux ticket papier au conducteur.
"Les autres canaux restent aussi en place, précise Richard Galy. Que ce soit le e-ticket sur smartphone, chez les 25 commerçants de proximité, sur la boutique en ligne ou dans l’une des trois agences communales."
- CB, Visa, Mastercard pour les cartes; Paylib, Apple Pay, Google Pay ou Samsung Pay pour les applications.
L’association Parsec organise des soirées "Ciel ouvert", les samedis soir (de 19 à 23 heures) à l’Astrorama de La Trinité. De quoi rêver et apprendre. "Nous proposons des animations pour faire découvrir l’astronomie au public à partir de 6 ans", détaille la directrice, Sophie Berger. Démonstrations de tirs de fusée, séances de planétarium, découverte des constellations, observation du ciel à l’œil nu ou au télescope, contes et légendes du ciel… Quatre heures, une nuit, la tête dans les étoiles.
9 à 11 euros. Possibilité de stages pendant les vacances. 04.93.85.85.58
découvert par article Nice Matin https://abonnes.nicematin.com/article/etoiles-grotte-frissons-on-a-selectionne-3-bons-plans-au-salon-id-week-end-a-nice-757714
Animations et soirées Grand Public
Soirées à Ciel Ouvert
Basées sur l’actualité spatiale et astronomique, nos soirées « Ciel Ouvert » permettent à chacun, petit ou grand, d’accroître ses connaissances scientifiques, mais aussi de découvrir comment observer le ciel à l’œil nu et au télescope. Le programme d’animations est défini avant chaque soirée en fonction des conditions météorologiques, du thème éventuel de la soirée, des éphémérides ; vous pourrez ainsi selon les soirs assister à une séance de planétarium, observer la Lune, comprendre le phénomène des saisons grâce au gnomon, découvrir l’origine du mot « planètes », comprendre la différence entre une lunette et un télescope, assister à un tir de fusée à eau et/ou apprendre à repérer les principales constellations du ciel de l’hémisphère nord.
Age conseillé : à partir de 6 ans
Les soirées « Ciel Ouvert » durent 4 heures, de 18h à 22h de novembre à mars et de 19h à 23h d’avril à octobre.
La billetterie ouvre 15/20 minutes avant le démarrage de la soirée.
Une petite pause repas est prévue en milieu de soirée ; vous pouvez venir avec votre pique-nique et/ou profiter des services de l’Astrocafé.
Tarif normal : 11 euros (dont 0.50 € d’adhésion ponctuelle à l’association)
Tarif réduit (étudiants, enfants de 6 à 18 ans, habitants de la Trinité, partenaires) : 9 euros (dont 0.50 € d’adhésion ponctuelle à l’association)
Entrée gratuite pour les enfants de moins de 6 ans et les adhérents
N’oubliez pas de prendre connaissance de nos conseils utiles en bas de page.
Soirées Initiation à l’observation
Télescopes, lunette, paire de jumelles… avec votre instrument ou les nôtres, venez découvrir comment arpenter le Ciel !
Une fois par mois, nous invitons les astronomes amateurs à participer à une soirée d’initiation à l’observation, pendant deux heures de 20h à 22h ou de 21h à 23h, selon la saison. Nos animateurs proposent une séance de lecture du ciel pour apprendre à repérer les différentes constellations du ciel de l’hémisphère nord et montrent aux participants comment pointer un objet céleste au télescope. Les participants peuvent venir avec leur matériel pour apprendre à l’utiliser avec l’aide de nos animateurs et de nos bénévoles.
Age conseillé : à partir de 10 ans
Tarif normal : 11 euros (dont 0.50 € d’adhésion ponctuelle à l’association)
Tarif réduit (étudiants, enfants de 6 à 18 ans, habitants de La Trinité, partenaires) : 9 euros (dont 0.50 € d’adhésion ponctuelle à l’association)
Entrée gratuite pour les adhérents et pour les enfants de moins de 6 ans (la soirée n’est pas adaptée aux enfants de cet âge)
N’oubliez pas de prendre connaissance de nos conseils utiles en bas de page.
Soirées Spectacle aux étoiles
Ils partagent avec vous leur passion des Sciences de la Terre et de l’Univers, lors de conférences illustrées accessibles à tous les publics pour des soirées placées sous le signe de l’échange !
Des animations de médiation scientifique vous sont proposées en première partie, en lien avec le thème de la soirée, ainsi que l’actualité du Ciel. La conférence ou le spectacle commence après la pause repas, aux alentours de 21 h l’été et de 20h l’hiver.
Les soirées « Spectacle aux Etoiles» durent 4 heures, de 18h à 22h de novembre à mars et de 19h à 23h d’avril à octobre.
La billetterie ouvre 20 minutes avant le démarrage de la soirée.
Une petite pause repas est prévue en milieu de soirée ; vous pouvez venir avec votre pique-nique et/ou profiter des services de l’Astrocafé.
Age conseillé : au minimum à partir de 6 ans. Varie selon le spectacle ou la conférence proposé
Tarif normal : 14 euros (dont 0.50 € d’adhésion ponctuelle à l’association)
Tarif réduit (étudiants, enfants de 6 à 18 ans, habitants de La Trinité, partenaires) : 11 euros (dont 0.50 € d’adhésion ponctuelle à l’association)
Entrée gratuite pour les enfants de moins de 6 ans et les adhérents.
N’oubliez pas de prendre connaissance de nos conseils utiles en bas de page.
Conseils Utiles
Le soir, à l’Astrorama, il peut faire frais même en plein été, et froid l’hiver, pensez à prendre une petite laine pour vous et vos enfants.
L’Astrorama prépare quelques sandwichs à vendre afin de combler les petits faims durant la soirée. Cependant pensez à les réserver en même temps que vos places pour la soirée, parce que nous n’en fabriquons qu’en rapport avec les réservations, afin de ne pas faire de gaspillage.
L’eau courante n’est pas potable sur le site de l’Astrorama.
En cas d’orage empêchant le maintien de la soirée, nous vous préviendrons par courriel et/ou par sms de son annulation.
Un grand parking gratuit est à votre disposition pour stationner votre véhicule. Le Parc ferme le soir et il est interdit d’y passer la nuit ; la barrière ne reste ouverte que pour vous permettre d’accéder à l’Astrorama. Merci de quitter le Parc juste après la soirée afin que nous puissions refermer les barrières.
Les animaux de compagnie ne sont pas admis lors des soirées « Ciel Ouvert ».
À Saint-Vallier-de-Thiey, un bon plan pour petits et grands explorateurs: la grotte de Baume obscure.
Au programme: une visite sons et lumières à 60mètres sous terre, une chasse au trésor dans les entrailles de Gaïa mais aussi des parcours en forêt à la découverte de la faune nocturne et un parc à fouilles fossiles. De l’aventure en perspective!
7 à 18 euros selon les activités choisies. 04.93.42.61.63. baumeobscure@orange.fr
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Publié le 03 avril 2022 à 19h17 Des étudiants de l’École supérieure du parfum ont mis la mémoire en flacon pour susciter l’échange autour de moments évocateurs de bonheur comme Noël ou une balade en forêt.
Vingt petites fioles et autant de beaux souvenirs olfactifs: un soir de Noël; nos années d’écoliers; une chaude journée de plage; et, parce que nous sommes à Grasse, le capiteux parfum de la rose Centifolia, évocateur de champs et de cueillette…
Dans ces petits flacons à parfum réside la clef qui déclenchera un travail de mémoire, un échange à venir autour de bons souvenirs entre les résidents d’Ehpad et les employés du Centre communal d’action sociale (CCAS). Un outil parmi d’autres dans la lutte contre les ravages insidieux des maladies dégénératives comme Alzheimer.
Odeurs de sous-bois et fougassettes
Les précieuses fragrances ont été élaborées par la quinzaine d’étudiants de la promotion Centifolia de l’École supérieure du parfum à la demande du Musée international de la parfumerie (MIP) et du CCAS de Grasse.
"Nous avons utilisé une dizaine de matières premières comme la rose, bien sûr, le jasmin, l’anis, l’herbe coupée… pour réaliser des compositions olfactives évocatrices de moments heureux de nos vies comme l’odeur réconfortante du chocolat chaud, d’une balade en forêt ou du petit-déjeuner", expliquent Vinciane, Maxime, Aline, Justine, Chloé, Léa ou encore Marie… Âgés de 21 à 25 ans, en première année de Master à l’ESP, boulevard du Jeu-de-Ballon, ils appartiennent à la toute première promotion qui sortira l’an prochain (1).
"On a d’abord choisi les matières premières, puis fait des propositions de compositions, relate Justine. L’idée est d’améliorer la qualité de vie et stimuler les facultés cognitives et olfactives des patients."
Élaborer les formules, faire les pesées en labo, évaluer les produits auprès des professionnels après divers essais et enfin tester le résultat au MIP… Tels ont été les étapes qui ont présidé à la réalisation de cette mallette olfactive des jours heureux qui propose aussi des fiches détaillées des fragrances et des photos de ce qu’elles représentent…
Les grands-parents pour testeurs
Maxime a choisi "l’odeur simple et gourmande de la fougassette à la fleur d’oranger avec sa note briochée". "Pour faire penser à l’école primaire, j’ai reproduit la colle Cléopâtre, raconte Léa, avec ses accords d’amande, vanillés, capiteux."
"Nous nous sommes appuyés sur les odeurs de mousse, de vétiver, des feuilles de la violette pour évoquer un sous-bois humide", détaillent Chloé et Justine. Quant à éva, "c’est avec du Ylang, des notes marines et salisées" qu’elle a réinventé la plage.
"Certains d’entre nous ont testé le résultat sur leurs grands-parents", confie Justine. "C’est un projet qui nous tient à cœur", ont-ils affirmé lors de la récente présentation à leurs partenaires et au maire de Grasse, qui espère en voir un développement à l’échelon national.
"Et qu’ils ont réalisé avec enthousiasme et passion", n’hésite pas à renchérir la coordinatrice pédagogique de l’ESP, Céline Reinard-Demets, enseignante qui a chapeauté ce projet de mallette des jours heureux.
- Ces jeunes recherchent un stage d’été et seront l’an prochain sur le marché de l’emploi. Leurs compétences vous intéressent? Renseignements auprès de l’école supérieure de Parfum, boulevard du Jeu de Ballon à Grasse: 04.22.53.52.44. Ou ecole-parfum.com
Découvert par Article France Bleu Azur
https://www.francebleu.fr/infos/societe/alpes-maritimes-une-carte-interactive-regroupe-toutes-les-initiatives-pour-aider-les-ukrainiens-1648716977#xtor=RSS-106
Tandis que les réfugiés ukrainiens sont de plus en plus nombreux, l'association azuréenne Terre Bleue met en place une carte interactive pour les aider. Elle regroupe les initiatives dans les Alpes-Maritimes, les aides pour les procédures administratives ou encore les points de collecte. Elle est en anglais mais aussi en ukrainien.
Randonnée pédestre - Pays côtier : Au départ du Tignet, parking de l'école
Le plongeur cannois Laurent Lombard pousse son coup de gueule: il dit stop aux communes du Grand ouest qui n’investissent pas dans la problématique des déchets en mer. Il explique.
Noyer le poisson? Non, ce n’est pas vraiment son truc à Laurent Lombard. C’est donc sans hésiter que le plongeur cannois lance son coup de gueule: "Avec les bénévoles d’Opération Mer Propre, on est en grève." Pilier de la protection de défense des fonds marins, basée dans le Grand ouest niçois, l’association dit stop. Stop aux collectivités qui se reposent sur le travail des citoyens volontaires. Stop aux promesses sans résultat. Stop à ce cercle vicieux. "C’est aussi notre faute", lâche sans hésitation le lanceur d’alerte: "On continue gentiment à ramasser les déchets. Pourquoi une ville investirait de l’argent dans une tâche qui est déjà réalisée gratuitement?"
Dit comme ça, ça change tout. "Une intervention de professionnels c’est 2.500 euros par jour. Certaines villes n’ont toujours pas signé de contrat avec des entreprises spécialisées pour le faire." Pour rappel, lors de certaines sorties, les plongeurs ont sorti "une tonne, voire plusieurs de déchets."
"Nettoyer la mer ce n’est pas un plaisir"
Et, comme on le sait, il y a de tout: pneus, mobilier, câbles, trottinettes, panneaux, coffre-fort, plastiques, mégots… Et la liste s’avère bien plus longue. Un amas dégoûtant: "Franchement, je n’aime pas nettoyer la mer. Non, ce n’est pas un plaisir!"
Pour le plongeur, là n’est pas l’essentiel de la mission: "Il faut qu’on se recadre sur la sensibilisation, dénonciation des problématiques, que l’on montre, que l’on explique, que l’on propose des solutions."
Et il sait que cela est possible. À double titre. "Certaines communes ne jouent pas le jeu. Au lieu de les citer je vais parler de celles qui comprennent notre action et prennent leurs responsabilités (Techniquement, les fonds marins relèvent de la compétence de l’État, la surface de l’eau revient à la commune., ndlr)", lance Laurent Lombard en prenant l’exemple de Cannes.
Rappelez-vous en 2015, sa vidéo tournée en face du palais des Festivals fait sensation. La pollution rendue visible aux yeux de tous. Sous les paillettes, les ordures. Une sacrée publicité juste avant le Festival international du film: "Mais j’ai commencé à alerter il y a quinze ans. Je passais pour l’emmerdeur du coin, certes. Mais c’est avec les réseaux sociaux que les choses ont pris de l’ampleur."
Cannes à l’écoute
S’il avait déjà interpellé les élus, son message passe aujourd’hui mieux: "Les générations changent, les hommes politiques changent, les mentalités changent. Ce que j’avais dénoncé à ce moment-là ce n’était pas que devant la Croisette mais dans tout le département."
La municipalité de Cannes le reçoit, il se sent pris au sérieux: "Cela ne s’est pas fait du jour au lendemain. Mais j’ai eu face à moi des gens qui voulaient comprendre d’où venait la pollution - soit à 80% de la terre. J’ai eu énormément de rendez-vous, on m’a fait confiance, des filets ont été posés pour empêcher les déchets de partir en mer."
Mieux encore à ses yeux: "Le responsable de la propreté de Cannes plonge avec moi. Au moins il se rend compte de la réalité. À partir de là, la collectivité a compris que c’était un vrai boulot qui nécessitait de faire appel à une société."
Prêter main-forte en cas de coups de mer ou d’intervention massive? "Ce n’est pas un problème. Mais on ne peut pas se substituer à un travail réalisé par des pros."
Investir dans des systèmes de captation
L’inaction des collectivités. Voilà ce qu’il regrette. "Les villes doivent déjà nettoyer l’eau en surface, pourquoi ne pas ajouter un avenant à ce contrat pour que les fonds fassent partie de l’intervention? Ce sera toujours plus efficace que de venir poser pour la photo avec nous quand on a fini de ramasser."
Et si une grande partie des déchets ont été collectés sur notre littoral, c’est dans les moyens d’entretien que le plongeur incite les maires à investir. "À Mandelieu, il y a un temps d’avance. Ils ont compris que si l’on nettoyait la terre, on n’aurait plus besoin de le faire en mer. Beaucoup de filets ont été installés pour capter les déchets."
Bref, pas de secret: tout est une question de politique et d’investissement.
Parce que ça paie. "Depuis dix ans, je compte les canettes à la sortie du plus important vallon, celui de la Foux, à Cannes. On est partis de 1.200-800 canettes à 300-400 au bout de cinq ans et aujourd’hui on est en dessous de 50." Les résultats sont là. "Avec ces actions, on a empêché 80% des déchets de partir dans la Méditerranée. Et ça, ce n’est pas du cinéma."
Association française de médecins et de chercheurs hyperspécialisés dédiée à la prise en charge et aux traitements des cancers de l'oeil.
découvert par Article Nice Matin https://abonnes.nicematin.com/article/lonco-ophtalmologie-au-service-des-malades-pour-lutrter-efficacement-contr-le-cancer-752890