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Je rejoins Jeff : L’avenir appartient à ceux qui savent correctement demander quelque chose à une « IA ».
Avant on [les geeks / amis-qui-s’y-connaît-en-ordis] étaient les rois car on savait mieux poser les questions à Google que le quidam moyen. Je constate la même chose avec Dall-E ou ChatGPT : avec les phrases banales, il ne comprend rien. Mais en variant les tournures et avec les bons mots clés, cela change tout.
Le truc amusant toutefois, c’est si on veut un truc hyper-spécifique, il faut une commande hyper-spécifique aussi. Or, une commande suffisamment spécifique pour être comprise et interprétée exactement comme on le souhaite, bah ça s’appelle du code !
Cf ce Commit-Strip qui avait tout compris depuis 10 ans : https://www.commitstrip.com/fr/2016/08/25/a-very-comprehensive-and-precise-spec/?setLocale=1
Au final, je vois ça comme une étape d’abstraction supplémentaire après le binaire → assembleur → langage de haut niveau → commande IA.
Au lieu de faire de l’ASM, on fait du code, qu’on compile ensuite en ASM, et que le CPU interprète ensuite en binaire Désormais, on ne fait plus du code, mais on fait des commandes pour IA qui vont eux faire notre code (puis compilation, ASM, binaire).
… mais ça demandera toujours d’être hyper-spécifique si on veut du code spécifique.
Il y a probablement que chose à gagner : je pense qu’on hurlerait si on avait à tout coder en ASM au lieu de faire du JS, C++ ou PHP, donc je pense que ça sera plus simple pour tout le monde dans une génération ou deux à taper des commandes pour IA.
Mais faut pas se leurrer non plus : on (les programeurs) ne seront pas remplacé pour autant.
Quelques raisons :
– La logique qu’on utilise dans le code (ou dans une requêtre google efficace par rapport à une requêtre pourrie) est quelque chose de transposable à des commandes pour IA. Si l’on apprend les maths à l’école, c’est pas pour utiliser les cosinus() sous les jours, mais pour nous former à manipuler des problèmes et utiliser des outils abstraits dans nos têtes. De même, le fait d’avoir appris du code nous a donné la méthode nécessaire pour comprendre le fonctionnement d’une IA et savoir l’utiliser au mieux.
Y a 50 ans, le langage de programmation royal était le Cobol, le Pascal, etc. Aujourd’hui, plus personne ne fait ça, sauf quelques rares individus. Aujourd’hui, ces personnes là sont payés à pris d’or car ces langages sont rares, antiques, mais constituent toujours le fondement de tout un tas de systèmes informations cruciaux. Dans 50 ans, ça sera le PHP, le C ou le Python. Quand j’étais petit, on nous disait que l’avenir appartiendra aux informaticiens, et que les métiers comme plombiers ou électriciens seront de la merde. Aujourd’hui, les plombiers, électriciens, charpentiers, plâtriers, et même mécaniciens… n’ont jamais été autant demandés, autant débordés et aussi bien payés. Certains métiers ne disparaissent pas. Tant mieux. Pour les codeurs, ça sera pareil : les IA ne sortent pas de n’importe où. Il faut les coder.
– Tout comme le binaire seul a donné une poignée d’architectures matérielles, et un énorme paquet de langages, on aura également un gros paquet d’IA. Les maîtriser toutes sera impossible. Il y aura des spécialistes ChatGPT, des spécialistes Dall⋅E, etc. Une personne ne pourra pas tout faire, en tout cas pas de façon experte à chaque fois. Oui, on parle de dév full-stack, mais ça ne vaudra jamais toute une équipe avec des gens spécialisés. Donc non, l’IA ne va pas mettre tout le monde à la retraite : il faudra toujours autant de monde pour toujours autant d’applications.
Et enfin, c’est pas parce qu’on code en langage de prog de haut niveau que tout peut se faire avec ça. Certaines applications de pointe sont toujours faites en ASM, en communiquant directement avec la machine (micro-systèmes embarquée dans des périphériques spécifiques, ou encore les systèmes qui demandent une réactivité très importante avec une latence très faible, impossible à tenir avec un langage compilé qui ne sera jamais autant optimisé).
De même, un code produit par une IA pourra fonctionner convenablement, mais ça ne sera jamais aussi propre, rapide et optimisé que du code écrit à la main. Suffit de voir ce que les WYSIWYG ont donné comme code dans une page web, comparé à du HTML écrit à la main. Ce sont deux mondes différents.
Donc oui, l’IA pourra aider un max de gens à se dépatouiller avec leurs problèmes (en supposant qu’ils n’aient pas tellement la flemme qu’ils vont demander ça à d’autres), mais il faudra toujours une forme d’intelligence humaine et une logique que tout le monde n’a pas pour interagir avec l’IA. De plus, il y aura plusieurs IA et — à moins de leur spécifier (je suppose) — les IA ne feront pas de code aussi propre qu’un programmeur.
Oui, ça suppose que l’intelligence humaine reste supérieure à l’intelligence machine. Actuellement, en 2024, c’est très très TRÈS largement le cas. Les « IA » actuelles sont réellement débiles. Elles font de jolies choses, mais il n’y a aucune intelligence dérrière. Ni aucune créativité, d’ailleurs.
Et puis, qui mieux qu’un humain peut comprendre le problème qu’un humain peut avoir ? Sûrement pas une machine. La machine pourra aider, voir proposer un truc. Mais ça ne sera jamais la meilleure solution.
La convention de forfait est un document qui prévoit une durée du travail différente de la durée légale ou conventionnelle.
Quelle durée du travail dans le cas d'une convention individuelle de forfait en jours ?
La durée de travail du salarié n'est pas comptabilisée en heures. Le salarié en forfait jours est tenu de travailler un certain nombre de jours dans l'année.
Ce nombre de jours de travail dans l'année est fixé à 218 jours au maximum.
Toutefois, un accord collectif d'entreprise ou d'établissement (ou, à défaut, une convention ou un accord de branche) peut fixer un nombre de jours de travail inférieur à 218.
Le salarié n'est donc pas soumis au respect des durées maximales quotidienne et hebdomadaire de travail.
À l'inverse, il continue de bénéficier des garanties légales prévues en matière de repos quotidien et hebdomadaire, de congés payés et de jours fériés chômés dans l'entreprise. Pour s'assurer du respect de ces garanties, l'employeur doit s'assurer régulièrement :
que la charge de travail du salarié est raisonnable et permet une bonne répartition dans le temps de son travail
de la bonne articulation entre l'activité professionnelle du salarié et sa vie personnelle
"Jusqu’à présent, le recrutement se faisait au niveau local, analyse Jean-Paul David, président du Centre de gestion de la fonction publique territoriale des Alpes-Maritimes. Mais cela devient un vrai métier de la fonction publique territoriale, avec toute la reconnaissance qui doit lui être apportée."
"Aujourd’hui, un secrétaire de mairie doit faire face à ce que l’on dénonce tous les jours. C’est-à-dire la complexification administrative, aux normes, à savoir comment se positionner par rapport aux intercommunalités."
C’est en ce sens qu’avec l’association des maires, le Département et d’autres acteurs institutionnels, ils ont décidé de lancer une formation avec Pôle emploi (aujourd’hui France Travail) afin de faire découvrir, identifier et former de potentiels futurs secrétaires de maire. Un moyen, aussi, de pallier les vacances annoncées de certains postes dans le département.
Hébergée provisoirement, depuis le 3 avril dernier à la Frayère, La Plateforme, berceau cannois de l’initiation et du perfectionnement au numérique, "mène depuis quatre ans son action, avec une double approche: former professionnellement aux métiers du numérique de la façon la plus large possible pour favoriser le développement économique, et sensibiliser au sein d’un lieu dédié les populations aux sujets du numérique", explique Cyril Zimmermann, cofondateur de l’établissement.
À partir d’avril 2024, l’école prendra ses quartiers définitifs boulevard de la République. Limitée à 42 étudiants aujourd’hui, la capacité des nouveaux locaux permettra d’accueillir jusqu’à 200 élèves.
"Notre volonté, c’est d’aller chercher des publics différents. Ceux qui voulaient faire de l’informatique mais aussi ceux qui n’y avaient pas pensé. L’idée est donc de faire de l’initiation aux métiers du numérique, de 10 à 17 ans, par de l’éducation au numérique, à l’image numérique, à la programmation. On cible tous les publics et surtout les jeunes filles parce que l’informatique n’est pas une discipline genrée et elles sont les bienvenues", ajoute Cyril Zimmermann.
Évolution perpétuelle
Depuis la semaine dernière, cette nouveauté s’est concrétisée: "On se rend dans les écoles cannoises. On s’est rendu compte que, pour diversifier la population qui se prépare à ses métiers, il faut aller sensibiliser les publics dès le plus jeune âge et ne pas attendre qu’ils sortent du lycée", ajoute le cofondateur. Après un test à Marseille début 2022, et avoir reçu l’appui du conseil départemental pour déployer l’idée à grande échelle, l’initiative va continuer à se développer, davantage encore, dans les nouveaux locaux, plus spacieux. "On a des élèves de 16 à 61 ans, homme et femme… Un public large qui crée des promos qui sont sympa! Notre objectif, c’est lever les freins, et que notre porte soit ouverte à tous", lance Roxan Roumegas, directeur général adjoint de l’établissement.
"Les cursus évoluent, ça fait partie de l’ADN de La Plate-forme. Chaque année, on rencontre des entreprises et des gens du milieu pour adapter au besoin les contenus pédagogiques. On a en général des formations plutôt longues, ce qui permet cette souplesse. La jeunesse de l’école fait que c’est la première fois, à Cannes, qu’on va effectuer ce travail-là", précise Pascal Assens, cofondateur de l’école.
Victor, 28 ans, est conquis: "J’ai trouvé cette école au travers de France Travail. C’est un univers qui m’intéresse énormément, je suis passionné par le numérique. Alors, je me suis lancé!" Un établissement que David Lisnard, maire de Cannes, s’est dit "fier d’accueillir dans le quartier République (...) afin d’y développer des formations en lien concret avec le tissu entrepreneurial local et de stimuler l’innovation dans les domaines de l’économie créative".
Un site où l'accompagnement est personnalisé en fonction de chaque profil d'étudiant, pour leurs stages, alternances, ou premiers postes.
Après deux éditions réussies dans les Hauts-de-France (en 2021) et en Ile- de-France (au 1er semestre 2022) qui ont réuni plus de 3 000 apprenants, le DigiTruck, un camion reconverti en salle de classe connectée, fait escale à Mougins. Le DigiTruck de Huawei sera présent du lundi 21 novembre au samedi 3 décembre, sur le parking des Cabrières (1517 avenue maréchal juin).
Le but : favoriser l'inclusion numérique. Pour ce faire, des cours gratuits y seront dispensés par les formateurs de WeTechCare du lundi au samedi de 10h à 11h à 18h à 19h30 (selon les jours).
Faire son CV, postuler en ligne, réserver une consultation médicale…
N’hésitez pas à vous inscrire auprès du formateur, par téléphone (06 46 75 98 25) ou sur Internet ici.
Les ateliers du DigiTruck se concentrent sur trois objectifs : utiliser pleinement et en toute sécurité les outils informatiques, avoir accès aux services administratifs numériques et améliorer sa compétitivité en matière d’emploi. Les participants peuvent notamment se familiariser avec un ordinateur, configurer leur smartphone, utiliser les services de messagerie ou les outils de conférence en ligne. Certains ateliers répondront également à des besoins spécifiques tels que « mettre en forme son CV », « postuler à des offres d’emploi sur Internet » ou « réserver une consultation avec un professionnel de santé via une application ».
Les apprenants sont orientés en fonction de leurs besoins et de leurs niveaux : débutant, intermédiaire ou avancé.
Alors que 35 % des Français éprouvent « au moins une forme de difficulté les empêchant d’utiliser pleinement les outils numériques », le programme DigiTruck a été conçu pour favoriser l’inclusion des personnes éloignées du digital : jeunes adultes, demandeurs d’emploi et seniors.
Article France bleu https://www.francebleu.fr/infos/education/le-digitruck-un-bus-ecole-pour-le-numerique-est-a-mougins-1669182167#xtor=RSS-106
La Vie est Belt conçoit des accessoires éco-responsables en matières upcyclés, fabriqué en France dans des ateliers solidaires du nord de la France. Découvrez nos ceintures en pneus de vélos, en corde d’escalade, en tuyaux de lance-incendie et nos caleçons en linge de maison.
Découvert par Inspeer https://abonnes.nicematin.com/article/ils-font-un-tour-deurope-et-damerique-des-initiatives-positives-et-seront-ce-lundi-a-nice-775013
Le premier restaurant inclusif de Rouen vient tout juste de faire son apparition rue aux Ours : Le XXI emploie en très grande majorité des personnes en situation de handicap mental ou cognitif. Une vocation sociale et solidaire qui donne un supplément d’âme à cet établissement plein de noblesse.A son quatrième jour d’activité, le restaurant Le XXI fermait ses portes ce jeudi 8 juillet 2021, pour cause d’invitée exceptionnelle : Sophie Cluzel, secrétaire d’Etat chargée des Personnes handicapées, venait inaugurer cet établissement inclusif.
Découvert par la chronique l'esprit d'initiative https://www.franceinter.fr/emissions/esprit-d-initiative/esprit-d-initiative-du-mardi-07-decembre-2021
Vous souhaitez faire votre Service Civique à Cannes ? Inscrivez-vous à la prochaine séance d'information de notre antenne.
Découvert par article Nice Matin https://abonnes.nicematin.com/article/une-antenne-de-lassociation-unis-cite-souvre-a-cannes-pour-sengager-dans-le-service-civique-730510
Bus Entrepreneuriat pour Tous fournit conseil et accompagnement, orientation vers les partenaires de la création, accès facilité aux solutions de financement, ateliers, témoignages, rencontres, événements, formations, parrainages.
Découvert par article nice matin https://abonnes.nicematin.com/article/vous-avez-un-projet-dentreprise-ce-bus-parcourt-les-alpes-maritimes-pour-vous-accompagner--729233
Ouvrages d'art centenaires, les murs de pierre sèche structurent les restanques de nos vallées. Alain Régis, murailler de profession à La Bollène- Vésubie, reproduit depuis 1999 les gestes des anciens. Après le passage de la tempête Alex qui a fortement endommagé ce patrimoine architectural, de nombreux murs se sont effondrés laissant se déverser des mètres cubes de terre.
À pied d’œuvre, notamment à Belvédère, Alain évalue les édifices accessibles et les actions à engager. Il a transmis sa passion à son fils qui le seconde dans ces ouvrages. Pourtant il s’inquiète de la pérennité de ce métier dans les Alpes-Maritimes.
Autodidacte, il a appris son métier de l’observation des murs. Il est devenu bâtisseur en pierre sèche (l’autre nom du murailler), au fil des ans, en analysant la structure, l’épaisseur, l’inclinaison. "Il ne faut pas que le geste disparaisse, ce métier, c’est un respect pour nos anciens", confie Alain.
Essentiels à la biodiversité
Constructions en pierres sans mortiers ni liants, ces murets si représentatifs du paysage provençal ont acquis leurs lettres de noblesse. Ils assurent la stabilisation des sols et évitent le ravinement par l’eau de pluie. Leur structure drainante évitant le ruissellement. "On dit que le mur pleure", image le murailler.
Le mur de pierre héberge un petit monde qui vit en toute sérénité. Dans ses multiples interstices, dans ses cavités offertes aux rayons du soleil cohabitent lézards, toutes sortes d’insectes, gastéropodes, petits mammifères. Une vie animale mais aussi végétale en fait des lieux de biodiversité. Le Spéléomante de Strinati, espèce endémique ressemblant à une petite salamandre, aime trouver refuge dans les recoins calcaires de ces murets.
Un Tetris géant pour assembler les pierres
Alain monte ses murs avec les pierres de ceux qui se sont effondrés. Comme un Tetris géant il assemble, intercale, empile à la force des bras sans aucun outil. Il adapte le mur à la forme des pierres. Conçu pour résister des centaines d’années, son épaisseur fait sa force. En 2018, l’art, la technique et le savoir-faire de la construction en pierre sèche sont reconnus au patrimoine culturel immatériel de l’UNESCO.
Dans le département seulement une dizaine de muraillers (dont trois formés par Alain lui-même) œuvrent sur les murets et calades du littoral et de l’arrière-pays. Pour éviter que ce savoir périclite, Alain Régis anime des ateliers pierre sèche. Comme un devoir de transmission et de partage.
Un outil simple et ergonomique pour gérer ses remplacements et recrutements de soignants en toute simplicité.
Découvert par article Nice Matin https://abonnes.nicematin.com/article/la-startup-hublo-leve-22-millions-deuros-pour-gerer-les-remplacements-de-soignants-714981
Née de la fusion de la Whoog (Sophia) et de MedGo (Paris), Hublo vient de lever 22 millions d'euros pour accélérer la croissance de son outil de gestion du personnel soignant remplaçant.
L’idée
En mai 2020, deux startups qui développent des solutions de gestion des ressources humaines dans le médical, unissent leurs forces. De Whoog basée à Sophia Antipolis et de MedGo à Paris, naît Hublo. Le siège reste francilien avec 1/3 des effectifs basé à Sophia, en recherche et développement notamment. Les cinq cofondateurs, Guerric Faure et Antoine Loron, avec Michaël Rabaron, Adrien Beata et Christopher Rydhal, viennent de lever 22 millions d'euros (dans le top 10 des plus importantes levées en série A de France).
Le service
C’est Whoog à Sophia Antipolis qui a dégainé la première avec son outil créé en 2016. Associée à MedGo, la solution permet aux soignants de maîtriser leur planning d’heures supp; et aux cliniques, hôpitaux et Ehpad de mieux gérer le remplacement du personnel. Médecins, infirmiers, étudiants ou retraités de la fonction médicale s’inscrivent sur la plateforme avant d’être "validés" par les responsables. Les cadres diffusent ensuite une mission et attendent les réponses. Plus besoin de passer des heures au téléphone à chercher quelqu’un de disponible. "C’est aussi beaucoup moins intrusif", ajoute Antoine Loron, le CEO basé à Paris.
La plus-value
La simplicité de l’outil, le gain de temps, le tarif attractif pour les structures de soin et l’accompagnement dans un recrutement de qualité, sont les qualités incontestables de cet outil qui représente une centaine d’euros par mois pour un petit Ehpad, et quelques milliers pour un établissement conséquent. Avec la certitude que le ou la remplaçant(e) accepte la mission et a respecté son temps de repos. Les étudiants soignants inscrits gagnent, eux, en expérience.
L’objectif
"Se renforcer côté produit, indique Guerric Faure, responsable Stratégie pour Hublo. Et nous avons de grandes ambitions. Les hôpitaux en France sont peu digitalisés, nous préparons de nouvelles fonctionnalités pour faciliter encore la gestion des ressources humaines dans le milieu médical." Déjà disponibles avec Hublo: la gestion des contrats de manière électronique et la connexion avec d’autres outils en place (logiciel de planning, de paie…).
Le défi
Se développer à l’international. Hublo est déja bien ancrée en France et en Allemagne avec une équipe de cinq personnes à Cologne. L’idée, grâce à cette levée de fonds et surtout grâce aux compétences amenées par les fonds investisseurs, "est de proposer notre offre dans quatre autres pays [encore confidentiel] d’ici 18 mois où le remplacement des soignants pose question." Antoine Loron, CEO, a le sens du développement.
L’investissement
On pourrait penser que la startup est toute neuve (mai 2020). Cependant les deux jeunes pousses qui la composent ont près de huit d’expérience dans le domaine. Si la situation sanitaire que l’on sait a accéléré leur notoriété et l’usage de leur outil de gestion des remplacements des soignants, nombre de structures l’utilisaient déjà. Aujourd’hui, Hublo compte près de 2.800 clients, 400.000 soignants inscrits pour 7.000 missions publiées chaque jour, et affiche une croissance de 80 % de son chiffre d’affaires (non communiqué) sur les 12 derniers mois. "Cette levée de 22 millions d'euros auprès de Revaia et Acton Capital va nous permettre d’embaucher quelque 200 profils qualifiés d’ici fin 2023, en France et à l’international", poursuit Antoine Loron qui annonce déjà 10 recrutements ce mois-ci, portant le nombre de collaborateurs à 80.
Un développement très soigné !
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Découvert par article abonné Nice Matin https://abonnes.nicematin.com/article/deux-greffiers-du-tribunal-de-commerce-de-cannes-ont-lance-le-bon-coin-des-commerces-en-difficulte-714464
Nous développons des solutions innovantes pour réduire les déchets et accompagner l’autonomie des femmes, au Sénégal et en Afrique francophone.
Découvert par vidéo France info/Brut https://www.francetvinfo.fr/sante/environnement-et-sante/video-au-senegal-cette-entreprise-fait-des-serviettes-hygieniques-reutilisables_4700223.html
myExtra est la plateforme qui met en relation les employeurs des métiers de l’Hôtellerie et de la Restauration avec les extras professionnels qui recherchent des missions ponctuelles.
Découvert par Article Nice-Matin https://www.nicematin.com/emploi/le-site-my-extra-ambitionne-de-mettre-en-relation-les-employeurs-et-extras-de-la-restauration-pour-faciliter-lembauche-674020
"Avec le déconfinement, nous avons peu de visibilité sur l’événementiel et la restauration, souligne Marc Dussoulier. Avec la Covid, tout le monde est isolé. L’idée de ce site, via une inscription gratuite, est de permettre aux extras de trouver rapidement un employeur, et inversement. Cela fera gagner beaucoup de temps aux patrons qui cherchent quelqu’un."
Concrètement, "My Extra" offre la possibilité de rentrer des critères professionnels précis au moment de l’inscription (service au guéridon, sommelier, découpe de poisson ou service en villas par exemple). "Les restaurateurs, traiteurs, yachts, n’ont pas tous les mêmes besoins. Ces critères permettent de valoriser l’expérience et le parcours de quelqu’un qui a dix, quinze ans d’ancienneté ou plus. Je travaille, et j’ai travaillé avec des extras extrêmement compétents. Ils sont habituellement sélectionnés par le bouche-à-oreille. Là, nous créons un outil de mise en relation. "
Ce service, gratuit pour les extras, n’est facturé aux professionnels qu’en cas de mise en relation. "Mais il s’agit uniquement de couvrir les frais de fonctionnement. Mon seul but est de faciliter à ma manière la reprise et les contacts entre eux", explique Marc Dussoulier. Le site, qui se développe actuellement dans les Alpes-Maritimes, ambitionne à terme de référencer les extras dans tous les départements de France.
Portage salarial
Statut innovant qui permet à des professionnels autonomes de créer ou exercer leur activité sans les contraintes et les risques de la création d’entreprise ou de statuts plus précaires comme l’auto-entrepreneur ou l’indépendant.
PEPS
Seule organisation professionnelle du secteur se consacrant exclusivement à l’activité de portage salarial, réunit des entreprises de toutes tailles, réparties sur l’ensemble du territoire national.
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Video Comment fonctionne PEPS http://peps.assosphere.org/videos/presentation.mp4?
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- Lancement le 24 mars 2020 pendant le premier confinement.
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