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Parce que nous avons à cœur de rendre accessibles et compréhensibles pour toutes et tous les dispositifs d’épargne entreprise, nous vous invitons à découvrir le podcast de Corine Goldberger et Thierry Ohayon « Argent, parlons cash les filles ! », auquel nous avons participé.
Laure Rabelle, notre responsable marketing et digital pour nos clients entreprises, s’est prêtée au jeu de cette longue interview, pour éclairer les femmes (et les hommes) sur toutes les questions qu’elles pourraient se poser sur leur épargne salariale et retraite et ainsi leur (re)donner les clés et le pouvoir sur leur situation financière et leur patrimoine, actuel ou à venir.
Publié le 26 juin 2025
L’assurance multirisque habitation est obligatoire. Cependant, si tous les contrats offrent un même socle de garanties, leur mise en application diffère. Faites le point, pour ne pas débourser un euro de trop.
Mauvaise nouvelle : en 2025, les tarifs des assurances multirisques habitation (MRH) ont augmenté sur tout le territoire, avec des progressions moyennes de plus de 10 %. Cette flambée est principalement due aux hausses des coûts d’indemnisation. En effet, la guerre en Ukraine a fait bondir le cours des matières premières, renchérissant les réparations. Le nombre de sinistres a, lui aussi, suivi une courbe ascendante, notamment dans les copropriétés anciennes peu ou pas entretenues. En outre, à cause de l’aggravation des risques climatiques, l’État a imposé une majoration de la prime catastrophe naturelle (Cat-Nat), qui finance le régime d’indemnisation des victimes et pèse sur tous les contrats. Le 1er janvier 2025, elle est passée de 12 à 20 %. Alors, pour être certain que le prix de votre MRH correspond bien à la couverture dont vous avez besoin, suivez nos conseils.
Analysez la qualité de votre contrat
Les compagnies d’assurances fixent leurs tarifs en fonction de leur perception du risque (incendie, dégât des eaux, cambriolage…). Or, leurs calculs sont réalisés à partir de statistiques qui leur sont propres. C’est la raison pour laquelle, par exemple, un assureur qui s’avère bon marché à Lille (59) peut afficher des tarifs moins intéressants à La Rochelle (17), ou qu’une compagnie comptant une majorité de propriétaires de maisons dans son portefeuille n’aura pas les mêmes montants moyens de sinistres qu’une société qui assure surtout des petits appartements.
Il est donc important d’intégrer cette donnée avant de choisir son assureur. Toutefois, attention : si le prix d’une MRH est un point capital, ne vous laissez pas séduire par le tarif le plus bas possible, car il faut impérativement examiner un deuxième paramètre : la couverture offerte par le contrat en cas de sinistre. Là également, le marché est très hétérogène, car certaines compagnies insèrent de hauts niveaux de franchises, quand d’autres limitent les garanties, ou encore en incluent en option payante, ce qui fait grimper la note.
Avant de souscrire, il convient donc d’analyser la qualité du contrat et, surtout, de vérifier qu’il correspond à ses besoins. « Le principal sujet avec l’assurance est son utilité réelle, et non sa rentabilité immédiate », met en garde Carole Thoumelin, responsable du pôle offre et marketing chez Pacifica (une filiale du Crédit agricole). Inutile de disposer d’options facturées si vous ne vous en servez jamais ou, a contrario, de risquer des franchises élevées alors que votre budget serré ne vous permet pas d’assumer une série de petits sinistres.
Le dernier facteur jouant sur le prix des contrats est le type et la qualité du service. Fréquemment négligé, ce critère s’avère pourtant essentiel. De fait, si vous avez souscrit via un courtier de proximité, ce dernier sera apte à vous conseiller sur les formules, et à vous épauler en cas de problème. Si vous n’êtes pas technophile, que vous habitez un bien qui sort de l’ordinaire (maison de caractère, nombreuses dépendances, secteur à risque…) ou que votre patrimoine est particulier (collection d’ouvrages anciens, matériel hi-fi ou électronique dernier cri…), mieux vaut opter pour cette solution.
En revanche, pour un petit appartement sans mobilier ni objet de valeur, vous aurez intérêt à préférer une assurance basique ou celle d’un néoassureur, souscrite en ligne en trois clics, bien moins coûteuse. La condition ? Accepter un conseil générique et un règlement de sinistres dématérialisé, ou réalisé via une plateforme téléphonique.
Faites jouer la concurrence
Pour toutes les raisons précédemment évoquées, les écarts de cotisation annuelle varient, sur une formule comparable, du simple au triple. Malgré tout, beaucoup de consommateurs se contentent, lorsqu’ils reçoivent leur échéancier de primes chaque année, de relever les hausses et de les accepter avec fatalisme. C’est une erreur ! Dans le domaine de la MRH comme de l’automobile, la fidélité n’est pas récompensée. En effet, pour attirer de nouveaux clients, tous les assureurs appliquent des prix d’appel la première année. Ensuite, ils augmentent les tarifs et les anciens contrats perdent leur compétitivité. Si on veut éviter de se retrouver piégé, « il faut régulièrement, c’est-à-dire a minima tous les deux ans, faire le tour de la concurrence, afin de vérifier que sa couverture n’est pas facturée trop cher par rapport au marché, qui évolue assez rapidement », conseille Julien Fillaud, directeur d’Hyperassur. Pour cela, passez par des comparateurs (LeLynx, Lesfurets, Meilleurtaux, UFC-Que Choisir…), ou rendez-vous sur le site de votre assureur, pour mettre votre contrat en balance. À la clé : des économies atteignant parfois 40 %.
Regarder ce que propose le marché a un autre avantage majeur : cela vous donne l’occasion de réévaluer vos besoins et d’adapter votre couverture en choisissant, éventuellement, une formule qui vous convient mieux. Le but ? Éliminer les options, anciennes ou nouvelles, inadaptées à votre profil, et en souscrire d’autres correspondant à l’évolution de votre situation (immobilière, mobilière…). À titre d’exemple, de plus en plus de contrats MRH disposent désormais d’une garantie, souvent payante, qui assure les vélos électriques contre les vols. Séduisante sur le papier, elle s’avère inutile si vous roulez avec une bicyclette musculaire. « L’analyse méticuleuse et régulière de son contrat permet de trouver de nouvelles assurances plus protectrices à tarif équivalent, ou d’autres, moins chères, qui offrent des garanties comparables », affirme Julien Fillaud.
Soyez aussi vigilant sur les garanties incluses dans la MRH, car « il existe des formules qui n’intègrent pas de couverture vol. Elles sont destinées à ceux qui estiment que le contenu de leur habitation ne mérite pas cette protection particulière », souligne Carole Thoumelin. Il s’agit essentiellement des contrats d’entrée de gamme, surtout adaptés aux petits logements avec peu de valeurs mobilières à assurer. Évitez-les si vous possédez beaucoup de meubles, du matériel hi-fi, de l’électroménager et que vous vivez dans une grande maison.
Adaptez les garanties de base
Un contrat multirisque habitation assure a minima contre les dégâts des eaux, l’incendie et les catastrophes naturelles. Il donne, en outre, une garantie responsabilité civile qui couvre les dommages que vous ou un membre de votre foyer assuré pourriez provoquer chez autrui. À cela s’ajoute, dans la grande majorité des cas, une garantie vol. Cependant, malgré un tel socle commun, chaque contrat prend en compte de manière différente, ensuite, les sinistres et leur règlement.
Premier point : les montants couverts diffèrent. Le capital mobilier assuré peut aller du simple au triple pour la même surface de logement. Les assureurs l’évaluent entre 10 000 et 30 000 € en moyenne par pièce. D’autres ajoutent parfois à ce montant un plafond global d’indemnisation qui peut être très bas, et largement insuffisant pour une grande maison. À ce propos, vérifiez la définition du nombre de pièces, car certaines compagnies considèrent qu’un grand séjour de plus de 30 ou 40 m2 compte pour deux, et d’autres non.
Attention, en cas de déclaration erronée de votre part, votre indemnisation risque d’être réduite proportionnellement. Soyez bien attentif sur ces points, parce que même si les plafonds d’indemnisation paraissent importants, ils ne seront pas forcément suffisants pour remplacer tout ce que vous pourriez perdre lors d’un sinistre grave (un incendie, notamment). Si vous possédez des meubles de valeur ou encore un niveau élevé d’équipement (bibliothèque de livres anciens, écran plat dernier cri, matériel informatique coûteux, électroménager haut de gamme, vêtements griffés…), choisissez sans hésiter une formule qui garantit des montants supérieurs. Vous paierez plus cher, toutefois vous serez mieux protégé en cas de grosse catastrophe.
Deuxième point : examinez si le capital couvert inclut les objets de valeur. En général, ils dépendent d’une couverture à part, avec un plafond différent. La plupart du temps, il s’agit des biens en métal précieux, de ceux qui intègrent des pierres précieuses, mais aussi des œuvres d’art (tableaux, statuettes, tapisseries, fourrures, montres onéreuses…) et de collection. Certains contrats intègrent, en plus, les caves à vins avec des grands crus. Sachez que « ne sont jamais considérés comme des objets de valeur le matériel hi-fi, vidéo, informatique et les appareils électroménagers », énonce Julien Hue, directeur de l’offre assurance dommages à la Macif. Voyez également s’il existe un plafond par bijou ou objet de valeur, car c’est parfois le cas.
Pour être certain d’être parfaitement couvert, faites une évaluation rapide de ces biens spécifiques et, si besoin, demandez à votre assureur d’augmenter les plafonds de couverture. En outre, ménagez-vous des preuves de leur existence : photographiez-les et, surtout, faites-les expertiser assez régulièrement par un professionnel qui vous délivrera un avis de valeur. Cette précaution est salutaire. « Si conserver des factures est utile pour l’indemnisation, cela ne donne qu’une indication du prix initial du bien, et pas forcément de la valeur actualisée », remarque un courtier en assurances.
Troisième point : après un sinistre, vérifiez si votre assureur va vous rembourser vos affaires pour leur valeur à neuf ou de remplacement, ou s’il calculera le dédommagement après avoir déduit une vétusté – en général, de 5 à 25 % si c’est le cas. « Une grille de vétusté doit être précisée dans le contrat. Elle indique les taux appliqués, qui varient selon la nature des biens. Elle ne sera pas la même, par exemple, sur du mobilier et du matériel électronique », précise Carole Thoumelin.
Gare à la garantie équipement à neuf, car il existe des subtilités : certaines formules, les plus chères, vous protègent de façon illimitée quel que soit l’âge du bien sinistré ; d’autres ne couvrent que quelques biens à neuf ; d’autres encore les soumettent à un coefficient de vétusté. Ces dernières fixent des durées au-delà desquelles le mobilier n’est plus remboursé, s’il a plus de 10 ans par exemple. À fuir si vous êtes adepte de meubles chinés et de pièces vintage. Enfin, regardez le montant des franchises du contrat, car si elles sont élevées et que vous subissez un petit sinistre, comme un dégât des eaux sans gravité, votre assurance ne vous indemnisera rien, ou très peu.
Tenez compte des conditions particulières
Avant de signer, lisez les conditions qui précisent les modalités à remplir pour être pris en charge. Par exemple, si votre logement se trouve en rez-de-chaussée, les fenêtres doivent fréquemment être munies de barreaux ou de volets pour que la garantie vol s’applique. Même obligation, parfois, sur votre porte d’entrée, à doter d’une serrure trois ou cinq points, voire d’une porte blindée au-delà d’un certain capital assuré. Autre exemple : vous êtes tenu de prouver que vous faites ramoner chaque année vos conduits de cheminée et débroussaillez votre terrain. Prêtez attention à ces points car si vous ne les respectez pas, l’assureur peut refuser de vous dédommager ou minorer votre indemnisation. Pensez aussi à lui déclarer tout changement dans votre domicile – par exemple, si vous installez une véranda, construisez une piscine ou créez un petit studio au-dessus de votre garage. Le montant de votre prime augmentera parfois légèrement, mais vous serez correctement protégé. Si vous quittez votre logement durant plusieurs semaines, les assureurs exigent également que l’eau soit coupée, afin de vous couvrir en cas de dégât des eaux. Examinez bien ce point, car les exigences en matière de durée d’inoccupation varient selon les contrats.
Pour finir, si vous avez une maison, vérifiez que votre assurance couvre bien les dégâts ou les vols susceptibles d’avoir lieu dans votre jardin et vos dépendances (mobilier d’extérieur, vélos…). Mais aussi les dommages touchant les murs de soutènement, les portails, les plantations…
Profitez, ou pas, des « petits plus »
La plupart des assurances proposent des petits « plus ». Privilégiez ceux qui vous faciliteront la vie. Par exemple, l’intervention d’un serrurier si vous avez perdu vos clés. A contrario, d’autres s’avéreront inutiles ou inefficaces. C’est parfois le cas de la garantie protection juridique : certaines mettent en relation avec un service de conseil, mais uniquement pour ce qui relève de l’habitation (conflit de voisinage, problème de bail…), tandis que d’autres offrent une couverture dans divers domaines (soucis avec une administration…) et vous épaulent dans vos démarches. À vous de voir si vous avez besoin de cette aide, quelquefois en doublon avec une autre police d’assurance déjà souscrite.
Il existe aussi toute une panoplie de garanties que les assureurs ont intégrées au fil du temps. Si votre contrat a plus de 10 ans, il n’est plus au goût du jour et vous avez peut-être intérêt à en changer pour en profiter. À titre d’exemple, la garantie tout risque accidentel va couvrir un téléviseur heurté par la fenêtre à cause du vent ou un appareil photo abîmé en vacances. La garantie dommage électrique permet d’obtenir le remplacement de machines victimes de courts-circuits ou de surtension. La garantie perte de denrées remboursera le contenu de vos réfrigérateur et congélateur en cas de panne de courant. La garantie bris de vitre prend parfois en charge le remplacement de la porte vitrée de votre insert ou de votre four… Les contrats les plus haut de gamme assurent également les instruments de musique contre la casse et le vol hors du domicile, sous certaines conditions. Ils sont à privilégier lorsqu’on est musicien ou que son enfant prend des cours au conservatoire.
Enfin, des assureurs proposent une garantie civile dans le cadre des loisirs ou des séjours à l’étranger. Elle couvre vos enfants s’ils pratiquent une activité extrascolaire, et la famille si vous partez en week-end ou au sport avec votre matériel. Elle fonctionne souvent, mais mieux vaut le vérifier si vous voyagez hors de France. Très utile pour les foyers actifs et les globe-trotteurs, elle aura un intérêt moindre si on est célibataire et sédentaire.
Mobilier et immobilier - 3 points de vigilance
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Dans le détail des clauses
Avec une garantie valeur de reconstruction matériau à l’identique (pierres de taille, ardoises vernissées…), l’assureur règle les réparations d’un sinistre sur la même base. Mais s’il s’agit d’une garantie valeur de reconstruction (matériaux modernes), il rembourse sur la base de ce qui est actuellement utilisé (parpaings, tuiles usinées…). -
Recours à l’expert d’assuré
Vous êtes victime d’un sinistre grave dépassant plusieurs milliers d’euros ? Faites-vous assister d’un expert d’assuré. Mieux vaut recourir à ses services dès la déclaration du sinistre, mais il peut aussi intervenir en cours de route, jusqu’au règlement du dossier. Ce professionnel indépendant connaît les subtilités des contrats, maîtrise le droit des assurances et possède de solides connaissances techniques. Il discutera donc d’égal à égal avec l’expert de la compagnie d’assurances et négociera votre indemnisation. Il fera aussi en sorte que votre affaire ne traîne pas pour toucher rapidement ses honoraires. Ces derniers oscillant entre 5 et 12 % du montant du sinistre, il a intérêt à ce que la somme proposée par votre assureur soit juste. Pour choisir un expert, privilégiez les cabinets adhérents de l’Upemeic ou de la Fedexa : ces deux syndicats vous fourniront une liste d’affiliés respectant un code de déontologie. -
Couverture pour les bailleurs
Si vous mettez un bien en location, votre locataire doit souscrire une multirisque habitation (MRH). En complément, prenez une assurance propriétaire non occupant (PNO). C’est elle qui couvre les dommages immobiliers du logement et ceux que le locataire pourrait causer à un tiers. Selon la nature du sinistre, vous la ferez jouer en complément ou non de la MRH. Vous l’actionnerez, par exemple, si le locataire est responsable d’un dégât des eaux alors qu’il a dénoncé son bail, si le bien est inoccupé entre deux locataires ou si une fuite sur une canalisation privative abîme votre parquet et le plafond des voisins. Les contrats PNO (environ 10 €/mois pour un deux-pièces) offrent une responsabilité civile avec une garantie défense pénale et recours (DPR), ainsi qu’une couverture classique (incendie, dégâts des eaux, catastrophe naturelle…). Certains intègrent une protection contre les vices de construction, utile s’il s’agit de neuf. Enfin, les plus pointus (souvent les plus chers) proposent la garantie perte de loyers en cas de sinistre rendant l’appartement inhabitable. Ils vous donnent aussi accès à une plateforme juridique spécialisée pour répondre à vos questions (résiliation de bail…).
https://www.quechoisir.org/comparateur-assurance-habitation-n44712/
Randonner exige d’être bien chaussé. Avec leur tige basse, les modèles de ce test sont plus destinés à des balades de quelques heures qu’à des treks de plusieurs jours. Vous pourrez aussi partir avec en week-end ou en voyage, car ces chaussures confortables sont parées contre la pluie et équipées d’une semelle antidérapante. Nous avons choisi de confronter des fabricants experts de la montagne et de l’outdoor (Columbia, Meindl, Millet ou Salomon) à des marques incontournables (Decathlon) ou issues de l’univers de la course à pied (Adidas, Hoka One One). Au total, 10 paires de chaussures au banc d’essai.
https://www.quechoisir.org/comment-nous-testons-chaussures-de-randonnee-n15421/
https://www.quechoisir.org/guide-d-achat-chaussures-de-randonnee-n21713/
L'été sur la Côte d'Azur réserve son lot de bonnes surprises ! À partir du 4 juillet, un tout nouveau train de nuit, l'Espresso Riviera, reliera Marseille à Rome en passant par Nice. Ce train spécial, lancé par la compagnie Trenitalia, promet de révolutionner vos trajets vers l'Italie.
Un train de nuit depuis Nice pour traverser l'Italie
L'Espresso Riviera, qui part chaque jour de Marseille vers 14h, traverse la Côte d'Azur pour rejoindre Rome le lendemain. À bord, pas question de voyager dans des conditions ordinaires. Le train a été entièrement rénové pour offrir un confort exceptionnel. Des espaces généreux, des compartiments de quatre couchettes, des restaurants aux prix attractifs et une ambiance vintage, inspirée des grands trains internationaux d'antan, font de ce trajet une expérience inoubliable.
Confort, espace et praticité
Agostino Pesce, responsable de la CCI Italienne des Alpes-Maritimes, insiste sur l'aspect unique de ce train, qui n'est pas seulement un moyen de transport, mais une véritable aventure. En plus du confort des voitures, vous pourrez transporter des vélos, des planches de surf, et voyager en famille sans souci. La côte méditerranéenne et la Ligurie défileront sous vos yeux, offrant un panorama spectaculaire sur l'une des plus belles lignes ferroviaires du monde. À partir de 71 euros, cette expérience est accessible et représente un excellent rapport qualité-prix.
Base Aviron Rowing CampReconstruite en 2021, la base d'aviron de St Cassien offre des installations sportives modernes dans un site magnifique. Elle accueille plus de 2000 rameurs chaque année : Le Club local Aviron Saint Cassien avec près de 1000 pratiquants du Pays de Fayence. Les clubs et la lig
Aviron Cannes-Mandelieu
RivieraLines vous propose des croisières, des traversées et navettes en bateau au départ de Cannes, Juan les Pins ou Golfe Juan à destination des Iles de Lérins, St Tropez, Monaco et la Corniche d'Or.
Découvert par article nice matin https://www.nicematin.com/economie/il-reliera-cannes-a-saint-tropez-la-compagnie-riviera-lines-devoile-son-nouveau-catamaran-de-derniere-generation-et-vertueux-991395
Découvrez les risques liés à la fuite de données identifiants et l'ampleur alarmante du vol d'identifiants sur le dark web.
16 milliards d’identifiants issus de 30 bases compromises.
L’équipe de Cybernews mène depuis début 2024 une enquête systématique sur la circulation d’identifiants et mots de passe piratés sur le dark web et les forums clandestins. Dans un article publié le 18 juin, ils annoncent avoir identifié 30 sources de données compromises, regroupant au total plus de 16 milliards d’identifiants uniques.
Ce chiffre inclut des mots de passe en clair ou hachés, des identifiants e-mails, mais aussi des éléments d’authentification secondaires (noms, localisations, adresses IP, tokens, etc.). Pour mémoire, la fuite repérée en mai 2024 par le chercheur Jeramie Fowler, portant sur 184 millions d’entrées, ne représentait qu’une fraction de cette base colossale.
Les chercheurs précisent qu’ils ne publient pas les sources précises, afin de ne pas compromettre davantage les comptes concernés. Mais les cibles incluent des services d’usage courant : Google, Facebook, Apple, GitHub, Telegram, et même des sites gouvernementaux, dont certains russes.
Que signifie cette fuite pour les utilisateurs ?
Des malwares en embuscade
Les identifiants n’ont pas été récupérés via des failles traditionnelles sur les serveurs web. Selon Cybernews, la majorité des données proviennent de logiciels malveillants (malwares de type info-stealer) installés à l’insu des utilisateurs, souvent via des campagnes de phishing, des cracks, ou de faux plugins.
Ces malwares capturent :
l’historique de navigation,
les identifiants enregistrés dans les navigateurs,
les cookies de session,
les jetons OAuth,
les fichiers locaux des applications installées (type Discord, Telegram, Steam…).
Résultat : même les comptes protégés par mot de passe fort ou double authentification peuvent être contournés, si la session active est capturée.
Une fuite globale, mais aux impacts individuels
Pour un utilisateur lambda, la probabilité d’être exposé est réelle mais variable :
Vous êtes concerné si vous réutilisez des mots de passe, utilisez Chrome ou Firefox sans chiffrement local, ou avez téléchargé récemment un logiciel depuis une source douteuse.
Même des comptes inactifs peuvent être utilisés pour lancer des campagnes d’usurpation d’identité, de phishing ou d’accès frauduleux à d’autres services via des tentatives automatisées de « credential stuffing ».
État des lieux de la cybersécurité des identifiants.
Des outils intégrés, mais insuffisants
Certains navigateurs comme Google Chrome ont commencé à intégrer des outils d’alerte, capables de :
détecter des mots de passe compromis,
vous inviter à les changer automatiquement,
générer des mots de passe forts.
Mais ces fonctionnalités, bien que utiles, restent réactives, pas préventives. Et elles ne couvrent pas les risques liés aux sessions piratées, aux cookies ou aux accès via applications tierces.
L’authentification forte : nécessaire, mais pas infaillible
La double authentification (2FA) reste une barrière essentielle. Mais les attaques de type malware contournent parfois les codes temporaires (TOTP), en capturant directement les jetons, ou en interceptant les connexions via proxy inversé (Reverse Proxy Phishing, MITM).
L’usage de clés matérielles (type Yubikey, Titan) ou de passkeys (standard FIDO2) devient aujourd’hui le seul moyen de garantir une authentification inviolable… à condition que les services les prennent en charge, ce qui reste loin d’être généralisé.
Quels services sont concernés ? GAFAM, réseaux sociaux, gouvernements.
Une fuite sans frontières
Les identifiants découverts par Cybernews incluent :
Des comptes Google, Facebook, Apple : messageries, Drive, services liés à l’identité numérique ;
Des dépôts GitHub ou Bitbucket, potentiellement critiques en cas d’accès à du code source privé ;
Des accès à Telegram, Discord, TikTok : utiles pour l’ingénierie sociale ou la récupération de communications ;
Et plus préoccupant encore, des comptes liés à des administrations, parfois avec des accès à des portails intranet ou de gestion RH.
La situation est suffisamment sérieuse pour que des services de renseignement dans plusieurs pays aient été alertés. En France, l’ANSSI (Agence nationale de la sécurité des systèmes d’information) pourrait jouer un rôle dans la coordination de la réponse.
Et maintenant ? quelques pistes pour renforcer sa sécurité.
Ce que les internautes peuvent faire
Vérifier si ses données ont fuité via un service comme Have I Been Pwned ou le Cybernews Leaks Checker.
Changer immédiatement tout mot de passe réutilisé, surtout sur les services critiques (banque, messagerie, identité).
Activer la double authentification partout où c’est possible.
Passer à un gestionnaire de mots de passe (Bitwarden, 1Password, KeePass…).
Éviter les extensions douteuses ou les apps crackées, qui sont souvent des chevaux de Troie.
Ce que les entreprises et institutions doivent renforcer
Mettre en œuvre des politiques de rotation des identifiants, avec alertes sur les fuites connues ;
Généraliser les audits de sécurité internes pour les employés ayant accès à des données sensibles ;
Prévoir des plans de réponse à incident capables de détecter les usages frauduleux en amont ;
Communiquer sur les risques de shadow IT et de fuite par appareil personnel (Bring Your Own Device).
Une alerte de plus, mais peut-être la plus massive.
Cette nouvelle alerte sur la fuite de 16 milliards d’identifiants ne doit pas être vue comme une fatalité, mais comme un signal d’urgence pour accélérer la modernisation des pratiques de cybersécurité, à tous les niveaux : utilisateurs, entreprises, services publics.
Le mot de passe classique ne suffit plus. Seule une approche combinée – outils cryptographiques, sensibilisation, régulation forte – peut ralentir une machine cybercriminelle devenue industrielle.
Reprenez le contrôle de vos nuits. Participez au 1er séminaire 100% Sommeil sur la Côte d'Azur. Offrez-vous une parenthèse unique pour comprendre votre insomnie, expérimenter des solutions concrètes et retrouver l’espoir d’un sommeil réparateur.
Les 28 et 29 juin, le Fort Royal accueillera un séminaire immersif 100% dédié au sommeil sur l’île Sainte-Marguerite: une quinzaine d’intervenants, venus d’horizons variés, proposeront conférences et ateliers pour mieux comprendre et traiter les troubles du sommeil. La Mouginoise Claire Thomas, docteure en sciences et fondatrice d’Objectif sommeil, en est l’initiatrice.
Pourquoi ce séminaire?
J’étais moi-même une insomniaque chronique. J’ai été brinquebalée d’un expert à un autre, entre médecines conventionnelles et pratiques alternatives. J’aurais eu besoin d’un endroit ou je pouvais faire une photo de mon problème, connaître tout ce qui aide le sommeil et comprendre à quel moment ça marche ou pas. C’est le premier séminaire du genre en France.
Qu’est-ce qui rend ce rendez-vous unique?
Il existe des congrès internationaux du sommeil uniquement à destination des médecins et chercheurs, ou bien des salons bien-être. Je voulais quelque chose de transversal. L’idée est de véhiculer les dernières avancées et préconisations pour un parcours de soin optimal, en sécurité. Le problème du sommeil est hypercomplexe, multifactoriel. On a besoin de faire les choses dans un ordre très précis. On ne va pas voir un hypnothérapeute, un coach ou un géobiologue si on a potentiellement un risque d’apnée.
Comment avez-vous conçu le programme?
En élaborant un vrai parcours de soins, pluridisciplinaire. Un psychiatre somnologue commencera par évoquer des causes médicales possibles comme l’apnée. Une psychologue experte en neuropsychologie abordera les différents accompagnements comme les thérapies cognitives et comportementales. Viennent ensuite les approches alternatives: sophrologies, hypnose, nutrition, coaching, géobiologie, art-thérapie...
Un mot sur le contenu?
Il y aura des conférences, des ateliers, des démonstrations courtes de chaque intervenant, des moments pour expérimenter librement: dégustation des nourritures du cerveau avec une micronutritionniste, expérience sensorielle au djembé et chant pour accueillir la nuit, mise en énergie au yoga, conférences en neurosciences ou neuropsychologie, ateliers thématiques de coachings, intervention vidéo d’un mentaliste... Il y aura aussi des temps de repas, de relaxation ou encore des temps libres pour visiter l’écomusée sous-marin.
Et votre rôle dans tout cela?
Mon approche est de venir nourrir d’informations notre cerveau pour le mettre à notre service, au lieu de le subir. Les neurosciences sont la brique de base qui surplombe tout: le fonctionnement du cerveau, ses besoins, ses blocages, les recommandations... Elles apportent une nouvelle vision par rapport au sommeil. On ne force pas le sommeil, on crée les conditions pour qu’il revienne.
Savoir+
Tarif : 290 euros (inclut bateau, conférences, ateliers, coachings personnalisés, repas, hébergement, activités bien-être).
Rens. sur objectif-sommeil.com/seminaires ou par téléphone au 06.68.62.20.27.
Pour préserver la planète, vaut-il mieux mettre des rondelles de banane ou des quartiers de pêche dans votre salade de fruits de l’été ? Pour le savoir, Que Choisir s’est penché sur l’empreinte carbone de ces fruits.
Banane
1kg de banane affiche une empreinte carbone de 909 g d’équivalent CO2 (eqCO2)
=> Transport par Bateau, impact limité
Pêche
1 kg de pêche affiche une empreinte carbone de 591 g d’équivalent CO2 (eqCO2)
Ces deux fruits sont donc relativement peu émetteurs de carbone, et dans tous les cas largement moins que la plupart des autres aliments, y compris le blé et le riz. Vous pouvez donc en consommer sans état d’âme climatique, d’autant qu’ils sont tous les deux bénéfiques pour la santé. Néanmoins, leur production peut soulever d’autres problèmes, environnementaux et sociaux (pesticides principalement et conditions de travail)
Pomme
410 g eqCO2/kg de fruit
Attention, ce chiffre moyen cache une fourchette beaucoup plus large en réalité. Une pomme cueillie dans votre jardin (avec un arbre non fertilisé et non traité) peut se targuer d’afficher… 0 g eqCO2 ! Si elle est locale et de saison (été-automne), son empreinte est de 32 g. Une pomme de saison mais importée (principalement d’Espagne ou d’Italie) passe à 80 g. Et si elle est hors saison, importée et conservée en chambre froide, alors le score grimpe à 290 g.
Mangue
11,7 kg eqCO2/kg de fruit, avec un poste « transport » (en avion) qui pèse 98 % du total
Pour faire des économies, acheter son parfum sur Internet est une bonne idée. Mais pas n’importe où. Notre enquête montre que les prix varient considérablement d’un site à l’autre et que certaines fragrances ont beaucoup augmenté en quelques années.
Des sites français bien positionnés
Parmi les sites les plus attractifs, plusieurs sont français et adossés à des parfumeries indépendantes, en Corse pour My-origines.com (ex-Origines-parfums), dans le Sud pour Parfumdo.com, dans le département du Vaucluse pour Parfumerie-en-ligne.com, à Marseille pour Incenza, etc. C’est loin d’être un détail, car cela peut faciliter les recours en cas de litige et surtout, cela garantit que ces distributeurs sont agréés par les marques. Il en est de même pour les grands réseaux de parfumerie, à ceci près que chez eux, les prix sont généralement plus élevés. Des trois principaux, Nocibe est celui qui applique les tarifs les plus raisonnables en ligne, selon notre enquête. Sur la trentaine de références suivies, ses prix sont seulement 9 % plus chers que chez Perfumesclub, contre + 35 % pour Sephora.fr et + 40 % pour Marionnaud.fr.
Les messages frauduleux prétextant un colis trop volumineux pour berner les consommateurs continuent d’envahir les messageries de smartphones. Nouveauté : ces SMS de phishing contiennent les nom et prénom de leurs destinataires
L’arnaque au faux livreur n’a pas disparu et fait toujours plus de victimes. Le temps qui passe ne décourage pas les escrocs, qui affinent leurs techniques et élaborent de nouveaux pièges. Désormais, les SMS frauduleux affichent parfois les nom et prénom du destinataire. Ces éléments supplémentaires renforcent la crédibilité du message, toujours très présent sur nos mobiles. Nulle magie ici : les personnes malveillantes, en réseau à grande échelle, parviennent à se procurer des informations personnelles issues de vols de données revendues sur le Web (piratage de bases de données dans les entreprises ou administrations, phishing…). Plus l’aigrefin en sait sur ses proies, plus il pourra personnaliser ses annonces et augmenter le nombre de ses victimes.
Outre ce ciblage de plus en plus fin, le processus de phishing à l’œuvre ne varie pas. Un soi-disant livreur vous informe par SMS que votre colis, trop volumineux, n’entre pas dans votre boîte aux lettres. Il vous invite à reprogrammer votre livraison ou à sélectionner un point relais via un faux site Mondial Relay fort bien imité (qui renvoie même vers de vrais contenus du transporteur, redoublez de vigilance !). Ce texto mensonger n’a qu’un but : siphonner vos informations personnelles, notamment bancaires. De nombreux témoignages de consommateurs recensés par l’UFC-Que Choisir décrivent un scénario similaire : après avoir été dupés par cette imitation de Mondial Relay, la victime est la cible de l’arnaque au faux conseiller bancaire, les malfaiteurs s’étant procuré tous les renseignements nécessaires.
Les différents procédés à l’œuvre (vol de données, phishing, usurpation d’identité) constituent une chaîne d’arnaques qui paraît sans fin. La meilleure parade reste de ne pas se fier à un message émanant d’un numéro inconnu sans procéder à quelques vérifications au préalable. La plus efficace consiste à contacter directement l’interlocuteur supposé (ici, Mondial Relay).
Smartphones, tablettes, casques audio… De nombreux appareils électroniques sont désormais vendus sans chargeur dans la boîte. Choisir un chargeur efficace sur tous est plus compliqué qu’il n’y paraît, les fabricants n’utilisant pas tous les mêmes protocoles de charge. Nos conseils.
Des chargeurs vraiment universels
En fait, les seuls chargeurs qu’on pourrait aujourd’hui qualifier d’universels sont ceux compatibles avec plusieurs protocoles et technologies de charge rapide : PD 3.0 (Apple), QC 2.0/3.0 (Android), AFC (Samsung), FCP, PPS (Samsung) ; et qui sont capables de délivrer différentes puissances de sortie (15 W, 18 W, 20 W, 25 W, 30 W, 45 W, 65 W). Ceux-là, on les trouve chez des accessoiristes comme Anker, Belkin ou encore Green-e (chez qui ils sont, de surcroît, écoconçus, avec des matériaux recyclés, sans vis, sans colle, etc.). Ils coûtent entre 40 € et 90 €, mais l’investissement est mérité : il s’agit d’acteurs sérieux (a priori pas de chargeurs qui prennent feu !) dont les modèles sont compatibles avec de nombreux appareils électroniques, y compris les ordinateurs portables, qui ne seront pourtant concernés par le chargeur universel qu’à partir d’avril 2026.
Charge sans fil : pratique, mais plus lente
La charge rapide est désormais banale, mais ce n’est pas encore le cas de la charge sans fil. Et pourtant, réduire l’opération à poser son smartphone ou ses écouteurs sur une base, sans avoir à chercher le chargeur ni à démêler le câble, est très pratique. Mais là non plus, tous les chargeurs ne se valent pas. Techniquement, la norme Qi s’est imposée. Mais deux versions de ce standard cohabitent actuellement sur le marché, le Qi et le Qi2.
Un conseil : optez pour un chargeur à la norme Qi2, car les évolutions par rapport au Qi sont majeures. D’abord la puissance atteint 15 W au lieu de 7,5 W, ce qui garantit une charge plus rapide. Elle est aussi nettement plus efficace (les déperditions d’énergie sont moindres, grâce à une fixation magnétique), capable de recharger les smartphones de toutes marques compatibles avec la charge sans fil, et d’ajuster la puissance délivrée aux besoins de chaque modèle (charge adaptative).
Gîte 2 personnes à côté du Camping à Macinaggio Cap Corse
Au départ j’étais parti pour faire un article à propos d’une borne publique aux tarifs délirants, puis j’ai vu passer cette question de l’intérêt d’avoir plusieurs cartes de recharge. Je vais les regrouper en un seul article, mais il s’agit bien de deux sujets.
Pourquoi certaines bornes sont toujours vides ?
Certaines communes se cassent le cul pour installer des bornes pour voitures électriques sur leur place publique… pour s’apercevoir que les bornes ne sont jamais utilisées !
Pourquoi ces bornes ne sont jamais utilisées ?
Si l’on exclut un tarif délirant ou une borne perdue au milieu de nulle part, où il n’y a rien à faire pendant que ça charge, parfois la seule forme de tarification est incompatible avec son usage. Imaginez une borne lente qui recharge une voiture en 5 heures. Imaginez maintenant que l’on dissuade les gens d’y rester longtemps par un tarif absurde après une certaine période beaucoup trop courte (genre 3 heures). Ça serait débile, non ? Si.
Pourtant cette forme de tarification existe :
Tarification au kWh, à la minute, à la session…
Tarification trop compliquée.
Il n’y a rien qui va ici, à commencer par la « limite douce » de 3 heures. Sur ce genre de borne, la grande majorité des voitures ne peuvent pas charger en 3 heures. Qui donc voudra charger ici, si de toute façon il ne pourra pas charger comme il veut ?
Alors je veux bien que l’on veuille limiter l’occupation des places. Mais franchement : à quoi bon ? La borne est faite pour recharger : tant que ça charge, laissez charger. C’est à ça que ça sert, non ? Vous préférez voir la place vide et ne pas se rentabiliser ?
Que l’on facture au prix fort le temps passé une fois que la session est terminée et que ça ne charge plus, là je dis oui. Là c’est c’est une occupation injustifiée. Mettez 10 € de l’heure. Même 10 € la minute : je n’y trouverais rien à redire, au contraire. Mais quand ça charge, laissez charger, aussi longtemps que ça charge.
On peut aussi se dire qu’il est mieux que chacun puisse charger « un peu » plutôt qu’une seule personne charge entièrement. Sauf que ce n’est tout simplement pas comme ça que ça fonctionne, encore moins quand il n’y a pas de pénurie d’électricité. On branche rarement pour le plaisir. Et quand on branche par besoin, c’est pour recharger beaucoup (donc longtemps).
Et si l’on branche parce que c’est possible et pratique, mais pas nécessaire (genre une pause sur un parking qui propose tout à fait par hasard, une borne), c’est seulement quand la tarification n’est pas stupide : personne ne veut une facture délirante. Dans ce cas, autant ne pas se brancher. Autant laisser la place libre (et donc la borne inutilisée).
On peut pas à la fois se plaindre de l’inoccupation des places et pousser à virer les gens une fois qu’ils y sont.
Ça n’a aucun sens, sauf à aimer se plaindre.
… ou à traire les utilisateurs comme des vaches à lait. Car ça semble être le cas ici.
Parce que si je veux faire 10-80 % sur cette borne avec ma Ioniq 6, qui — comme la majorité des voitures — charge à 11 kWh maximum en AC, même sur une borne 22 kW, alors j’y reste 5 heures et consomme 55 kWh. Soit un total de 51,27 €, qui revient à 0,93 €/kWh. Soit 5 fois le tarif à la maison et 2 à 3 fois le tarif sur autoroute.
Personne ne ferait le plein d’essence si l’essence était à 5 €/L alors qu’un peu plus loin c’est à 2 €, si ? Bah là c’est pareil. Cela repousse les gens.
Aussi, peut-on m’expliquer quelle est la valeur ajoutée qui justifierait un tel tarif, exactement ? On a du 11 ou 22 kW. Soit du 16 ou 32 A en triphasé. C’est vraiment pas difficile à avoir auprès d’EDF. Les bornes sur autoroute proposent 75, 150, 200, 350 et même parfois 500 kW de puissance. Là c’est quelque chose qui demande de tirer des câbles spécifiques, sans compter le coût des bornes et de l’espace le long de l’autoroute. Pourtant, ils sont moins chers que les bornes 22 kW en ville.
Personnellement, quand j’arrive quelque part et que je pourrais techniquement charger, mais que les tarifs sont tels qu’ici, je préfère prendre une place de stationnement normale, délaisser la borne, et charger ailleurs sur le trajet.
C’est dommage, mais je ne vais pas payer 3x le prix normal parce que la ville ne sait pas fixer un tarif.
Et sans parler non plus de la complexité de la tarification. Faut arrêter avec ça. Simplifiez : quand on se branche, on ne veut pas avoir à sortir une calculatrice.
En bref :
mettez des tarifs compétitifs (1,5x le tarif EDF particulier, pour du AC) ;
mettez un tarif simple (au kWh) ;
ne mettez pas les limites arbitraires.
Et là les gens viendront.
Pourquoi avoir plusieurs cartes de recharge ?
L’exemple de tarifs de recharge ci-dessus est le cas d’une borne donnée avec un opérateur de charge donné. Parfois — toujours, en fait — les tarifs seront différents avec un autre opérateur, donc une autre carte (ou appli, ou badge…).
C’est comme lorsque le prix d’une boîte de petits pois est différent selon que l’on le prend à Intermarché ou à Auchan. Sauf que pour l’électricité aux bornes EV, le prix peut aller du simple au triple.
Oui c’est n’importe quoi.
D’une façon générale, n’importe quelle carte permet de charger sur n’importe quelle borne partout en Europe. Les cas où les bornes sont incompatibles avec une carte sont très rares (coucou IE Charge ?)
Dans ces cas-là, on peut s’en sortir avec une application ou une carte bancaire (les bornes avec les terminaux arrivent de plus en plus), mais c’est vraiment très rare.
Non : l’intérêt d’avoir plusieurs cartes, hormis pour ces 1 % de cas exotiques, c’est le tarif.
Personnellement, je recherche les plus intéressantes pour les réseaux que j’utilise le plus.
Ainsi :
pour Ionity en 350 kW, j’utilise ChargeMyHyundai ou l’application Ionity avec l’abonnement (39 ¢/kWh) ;
pour Ionity en 50 kW, j’utilise Octopus Electroverse (35 ¢/kWh) — oui, si je planifie une longue pause déjeuner, charger lentement est préférable ;
pour TotalEnergies, Allego ou Fastned en 350 kW, j’utilise Freshmiles (30 ¢/kWh + 30 ¢/min), mais à condition de charger >180 kW, et à condition que ça marche car Freshmile plante de plus en plus souvent ;
pour les bornes Chargepoint+, j’utilise la carte Chargepoint (généralement en AC chez les hôtels ou les restaurants) ;
pour certaines bornes du SIEG63 de mon département, j’utilise Shell Recharge ;
pour PowerDot, c’est la carte ChargeMap qui est souvent la plus intéressante (souvent des promos) ;
pour IE-Charge, c’est la carte Révéo ou la carte Shell qui est la moins chère (29 ¢/kWh), et sinon l’appli IE-Charge (25 ¢/kWh lors des promos), mais ça marche rarement.
…
Cette liste n’est ni exhaustive, ni optimale (la carte Renault permet d’avoir 0,29 € chez Ionity, mais Renault fait des misères selon la banque que l’on utilise, donc tant pis). Il existe l’application ChargePrices pour voir immédiatement quel tarif est le mieux pour une borne donnée, mais là aussi ce n’est pas toujours à jour et souvent complètement faux (donc intéressant, mais pas fiable).
Dans tous les cas, ça vaut le coup de se renseigner, et ça vaut le coup d’avoir plusieurs cartes. On y gagne toujours environ 10 %, généralement bien 25 % et parfois beaucoup plus en choisissant la carte la moins chère.
Dans le cas ci-dessus de FastNed avec Freshmiles, le prix est au kWh, mais aussi à la minute ! Je tire alors parti des performances de charge de ma voiture (qui sont exceptionnelles selon les standard de 2025). En effet, plus on charge rapidement, moins le tarif à la minute pèse sur la facture. Et comme le tarif du kWh seul est relativement bas, ça devient intéressant.
Or, ma voiture peut charger à 240 kW sur la plage 10-60 % sans broncher. Sur toute cette plage, la voiture avale 4 kWh à la minute. Chaque kWh coûte donc 0,375 €, ce qui est plus que compétitif, même par rapport à Ionity !
Pour que ça fonctionne, il faut évidemment :
Que la borne puisse délivrer tout ça ;
Que la borne délivre effectivement ça (ça a toujours été le cas chez FastNed pour moi, mais rarement chez TotalEnergies avec Freshmile — à tel point qu’on peut se poser des questions) ;
Être dans une plage de niveau de charge où la voiture peut accepter 240 kW. Sur ma voiture, ça sera entre 10 et 60 %. Dès que la puissance tombe sous les ~180 kW, j’arrête la charge (car chaque kWh coûte alors 0,40 € et le prix monte au fur et à mesure que la puissance baisse).
Bref, on peut être gagnant, mais ça demande un peu d’optimisation et d’expérience. Si l’on n’est pas sûr, ne prenez jamais les tarifs à la minute, toujours au kWh. À nouveau, ça demande de bien choisir ses cartes de recharge.
En soi, la logique est la même que d’avoir une carte fidélité dans un magasin et pas un autre, ou d’aller dans tel ou tel hôtel partenaire ou de choisir telle ou telle compagnie aérienne, car on a un compte chez eux. On pourrait très bien aller ailleurs pour la même prestation, mais on perd certains avantages indirects.
L’intérêt d’avoir plusieurs cartes c’est donc ça : pouvoir bénéficier du meilleur prix.
Ah et enfin, ça permet de charger où l’on veut. Si on a seulement souscrit un abonnement Ionity, ça ne fonctionnera que chez Ionity. Si l’on choisit différentes cartes pour avoir des tarifs intéressants sur différents réseaux, on peut s’arrêter un peu partout et charger à des tarifs intéressants où que l’on soit.
Au passage : certains réclament une harmonisation des prix au niveau européen.
Perso ce n’est pas ce que je veux. Si une borne est moins chère qu’une autre, c’est comme ça.
C’est également comme ça pour l’essence, ou encore le fromage, le pain… Y a pas à faire un truc spécifique pour l’électricité, ça n’a pas de sens. Les clients peuvent très bien faire un minimum d’effort
Ce que j’aimerais en revanche, c’est une simplification et l’absence de possibilité de (mauvaise) surprises après la recharge.
Actuellement, l’effort n’est pas minimum mais plutôt maximum : c’est vraiment le bordel.
Les applications sont également « trompeuses » : le prix n’est pas indiqué clairement, et parfois pas indiqué du tout (coucou Shell ?).
Ensuite, j’aimerais que les applications (et donc les réseaux) mettent une grille tarifaire pour les principaux réseaux.
Un tableau, donc, qui compare les opérateurs de charge (Chargemap, Freshmile, CMH…) avec les opérateurs de bornes (Ionity, Fastned, Engie, Total…).
Ah et un tableau qui soit à jour, tant qu’à faire (chose que ChargePrice ne sait pas faire). Idéalement, un site gouvernemental comme celui pour le carburant.
Une telle API pourrait être intégrée dans les voitures, comme ce fut le cas dans mon ancienne voiture pour les carburants (avec possibilité de classer les stations par prix au litre, par distance, etc.).
Je pense qu’un tel système finira par arriver avec le temps (du moins pour le réseau de charge que l’on renseignera dans la voiture pour le Plug-and-Charge), mais le plus tôt sera le mieux.
Lutter ou fuir. La réaction anxieuse face au danger est essentielle à la survie. Enracinée dans la peur, elle nous pousse à la prudence, à éviter les situations risquées. Mais chez certains, cette réponse naturelle devient excessive, provoquant une hypervigilance et une inhibition qui perturbent la vie quotidienne. "Les troubles anxieux figurent parmi les pathologies mentales les plus fréquentes, Ils surviennent souvent tôt dans la vie et ont tendance à persister ou à réapparaître au fil du temps", introduit Sebastian Fernandez, chercheur à l’Institut de Pharmacologie Moléculaire et Cellulaire (IPMC) à Sophia Antipolis.
Où cette anxiété pathologique trouve-t-elle son origine? Et comment mieux la soigner, alors que les traitements disponibles sont peu ciblés, et souvent associés à des effets secondaires importants? Ce sont les questions qui ont guidé les recherches entreprises il y a 5 ans par son équipe et qui ont abouti à la découverte d’un mécanisme inconnu jusque-là (1).
Hyperactivité de l’amygdale
Au départ de ces recherches: une observation clinique: "Chez les patients souffrant d’anxiété pathologique, on détecte une activité excessive dans une petite zone du cerveau, l’amygdale (en jaune sur la photo). En condition normale, l’activité de l’amygdale est bien régulée, permettant à l’individu d’évaluer si une situation est menaçante ou non et d’adopter les réponses appropriées. Mais, en cas de déséquilibre, elle peut s’emballer, ce qui entraîne des réactions anxieuses excessives", explique le chercheur.
Autre fait bien établi: un stress intense ou prolongé peut modifier la structure même de l’amygdale, rendant ses neurones plus réactifs.
Deux aires cérébrales
Pour décrypter les mécanismes en jeu dans ces processus, Sebastian Fernandez, au sein de l’équipe dirigé par le Pr Jacques Barik (UCA) va utiliser un modèle animal exposé à un stress social répété (lire encadré). "Grâce à des techniques de pointe, nous avons mis au jour des connexions spécifiques entre l’amygdale et une autre région cérébrale impliquée dans les émotions, l’aire tegmentale ventrale (ATV). Et nous avons observé que le stress chronique renforce ces connexions: l’influence de l’ATV sur l’amygdale devient plus importante, ce qui augmente l’anxiété chez les souris."
Preuve ultime du rôle clé de ces connexions dans la régulation de l’anxiété : "En activant artificiellement ce circuit pendant cinq jours, sans exposer à aucun stress, on provoque un état anxieux chez les souris. À l’inverse, en bloquant cette connexion pendant une situation stressante on prévient l’apparition de l’anxiété. C’est donc un circuit bidirectionnel que nous pouvons manipuler pour augmenter ou diminuer l’anxiété."
Une autre partie de l’étude s’est intéressée aux mécanismes moléculaires sous-jacents. "Au niveau des synapses reliant précisément l’ATV à l’amygdale, il se produit, sous l’effet de stress chronique, des modifications dans la composition de protéines jouant un rôle majeur dans la neurotransmission excitatrice. En empêchant ce changement, on bloque l’effet du stress sur l’amygdale et on réduit l’anxiété. Nous avons ainsi identifié deux niveaux d’intervention thérapeutique: agir directement sur les circuits neuronaux ou cibler les modifications moléculaires induites par le stress." Un bel espoir contre une maladie dont l’incidence ne cesse de progresser.
Milieu hostile
Le modèle utilisé par les chercheurs repose sur un stress social modéré: des souris sont régulièrement confrontées à d’autres, plus grandes et agressives. "L’interaction sociale, normalement perçue comme positive, devient peu à peu aversive. Après plusieurs expositions, les souris développent une forme d’anxiété généralisée; elles montrent des signes d’évitement non seulement envers d’autres souris, mais aussi dans des environnements nouveaux. Ce modèle est particulièrement pertinent car il repose sur un facteur de risque de développement de troubles anxieux bien connu chez l’homme: les expériences sociales négatives répétées."
1- Ces recherches ont été publiées dans la revue Biological Psychiatry, grâce au soutien de l’ANR et la FRM.
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Des mails frauduleux plus convaincants grâce à votre IBAN
Les campagnes de phishing se perfectionnent. Désormais, les arnaques ne se contentent plus d’un simple lien piégé ou d’une faute d’orthographe flagrante. Depuis mars 2025, les escrocs intègrent directement l’IBAN du destinataire dans leurs courriels, donnant l’illusion d’une transaction réellement enregistrée. Cette technique de phishing IBAN est particulièrement pernicieuse.
La fouine, le renard, le corbeau freux, la corneille noire, la pie bavarde, l'étourneau sansonnet et le geai des chênes échappent à cette classification dans certains départements seulement.
Pour motiver sa décision, le Conseil d'Etat détaille la présence jugée "significative" ou non des animaux localement, ainsi que leurs éventuels dégâts.
Dans les Alpes-Maritimes, le renard, jusqu'ici classé chassable et nuisible, et partiellement déclassé et voit son "sort amélioré", comme le précise l'Association pour la protection des animaux sauvages (Aspas). Chaque année, 530 000 renards sont tués en France, comme le rappelle la LPO Paca. Toutes les formes de chasse sont utilisées: tir, piégeage, chasse à courre, battues administratives et vènerie sous terre, une pratique de déterrage particulièrement cruelle.
Cette récente décision du Conseil d'État signifie que "certaines techniques de destruction ne sont plus autorisées dans certains endroits", précise l'Aspas. C'est la technique de déterrage qui est évoquée et qui ne peut désormais plus être utilisée pour réguler les effectifs.
Pourtant, comme l'explique la LPO, un renard est "capable de capturer jusqu’à 6.000 petits rongeurs chaque année, notamment des campagnols, qui détruisent les cultures et permet en ce sens d’éviter l’utilisation de produits toxiques couteux et néfastes à l’environnement".
Il limite également les risques épidémiques "en participant à l’élimination des animaux malades et des cadavres". La diminution de leur population a pour effet "de faciliter la propagation des maladies transmises par les tiques présentes sur leurs proies (campagnols, mulots, écureuils, etc.), telle que la borréliose de Lyme", précise l'association, en s'appuyant sur des études scientifiques.
Une "victoire historique"
Les ONG France Nature Environnement, Humanité et Biodiversité et Animal Cross ont salué, dans un communiqué commun, une décision "qui sanctionne des classements abusifs".
"Les petits prédateurs, comme la martre, sont des auxiliaires précieux de l'agriculture car ils contribuent à réguler les populations de rongeurs", soulignent-elles, appelant à revoir la réglementation.
One Voice s'est félicitée d'une "victoire historique", en dénonçant "le caractère infondé et absurde des critères utilisés pour fixer cette liste".
"Il est grand temps d'abandonner ces réflexes d'un autre âge et de prendre conscience de tout ce que nous apportent ces animaux, à l'image des renards, qui se nourrissent de surmulots et freinent la propagation de maladies", écrit l'association requérante, qui recevra 3.000 euros de l'État pour ses frais de procédure.
Cette décision est entrée en vigueur ce mardi 13 mai et devrait courir au moins jusqu’au 1er juillet 2026, date à laquelle devrait être adopté un nouvel arrêté triennal, précise l'Aspas.
Découvert par article
https://www.francebleu.fr/emissions/la-belle-histoire/cette-azureenne-vient-en-aide-aux-chiens-dans-le-besoin-2291193#xtor=RSS-106
L’association Au Plaisir Sam and Co, vient en aide aux personnes sans-abris à Cannes. L’équipe se lance un nouveau défi : acheter un camion pour venir en aide aux animaux errants de la ville.
Aider les plus démunis, c’est le combat de Sandrine Rousseau, présidente de l’association Au Plaisir Sam and Co.
Depuis 2024, l’association organise des maraudes avec une dizaine de bénévoles dans les rues cannoises. Sur le terrain, Sandrine pointe les nombreuses difficultés rencontrées par les propriétaires pour soigner leurs animaux.
Sandrine décide avec son équipe, de monter un nouveau projet : acheter un camion pour soigner les animaux dans la rue.
Un projet de camion itinérant
Car pour Sandrine, pas de différence entre les « Humains » et les animaux. Les soins et la bienveillance sont pour tout le monde.
Et son amour des bêtes est même tatoué sur son avant-bras.
« Tous ces chiens de la rue que nous avons rencontré font partie de notre petite famille et pour nous l’essentiel, c’est qu’ils soient bien traités. Les animaux ne doivent pas payer la facture à cause de la situation de leurs maîtres ».
Le budget de ce projet est assez conséquent : entre 10 et 20 000 euros pour l’achat d’un camion pompier réformé. Pour l’aménagement du véhicule, un budget de 3 000 euros a été estimé.
La somme permettrait de créer un espace d’accueil et de rangement pour les soins (médicaments, vaccins, accessoires vétérinaires… etc).
Avec ce camion, l’association prévoit de fournir les soins de première nécessité, mais aussi faire de l’identification et du vermifuge. L’équipe souhaiterait également faire appel à des vétérinaires bénévoles, pour délivrer des traitements.
Vous pouvez aussi venir aider l’association, en participant ponctuellement aux prochaines maraudes organisées sur Cannes. Rendez-vous sur leur page Facebook, Maraude 06 , Sam & Co.