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#1 S’interdire d’être un serial-cueilleur
Jolies fleurs sauvages, baies, petits fruits, herbes aromatiques… Les balades dans la nature sont souvent l’occasion de faire son petit marché. Mais attention: en forêt, il existe des règles pour la cueillette, mettent en garde les experts de l’Office national des forêts (ONF).
D’abord, tout dépend d’où vous mettez les pieds. Car les consignes changent selon que vous foulez une forêt communale (régie par une municipalité), privée ou domaniale, c’est-à-dire propriété de l’Etat.
"En forêt domaniale, la cueillette est tolérée. Il est possible de ramasser 5 litres (1 panier) de baies, fruits, champignons… Concernant les fleurs, celles-ci doivent être saisies à la main, et la récolte est d’au maximum le contenu d’une main", rappelle l’ONF.
Au-delà de ces limites, tout cueilleur est passible d'une amende pouvant aller jusqu’à 45 000 euros et d’une peine d’emprisonnement.
Les sanctions sont plus lourdes dans certains espaces et pour les espèces protégées. Pour savoir où vous mettez les pieds, l’outil en ligne Géoportail vous permet d’y voir plus clair sur le type de forêt où vous comptez aller.
#2 Privilégier les sentiers balisés, surtout au printemps
"Sortir des chemins autorisés accélère l’érosion des terrains fragiles et dégrade la végétation du sous-bois", prévient l’Office national des forêts. Surtout au printemps, période où la végétation repart, mieux vaut donc s’en tenir aux sentiers balisés.
Interdiction, par ailleurs, de s’aventurer dans une réserve biologique intégrale, "des espaces laissés en libre évolution, sans intervention de l’homme pour favoriser la biodiversité", dixit l’ONF.
En région Paca, c’est le cas, par exemple, de la réserve biologique intégrale des Maures, 2.531 hectares sous haute protection situés à cheval sur les communes varoises de Collobrières, Bormes-les-Mimosas et Grimaud. Un espace reconnaissable à une signalétique rouge "ACCÈS INTERDIT" sans équivoque.
Plus vertueux pour la nature, les sentiers balisés sont aussi plus sûrs. "Les parcelles forestières abritent du bois mort et une végétation masquant les irrégularités du sol: ces facteurs rendent la marche difficile pour les promeneurs et constituent un risque pour leur sécurité", selon l’ONF.
#3 Garder son chien à l'œil… voire en laisse!
"Tout au long de l’année, les chiens doivent impérativement rester sous la surveillance de leur maître et ne pas s’éloigner à plus de 100 mètres", pose l’ONF. Toutefois, la règle est plus stricte à l’arrivée du printemps.
"Du 15 avril au 30 juin, un arrêté ministériel impose aux propriétaires canins de tenir leurs animaux en laisse en dehors des allées forestières. L’allée forestière se comprend au sens large comme les routes, chemins ou sentiers forestiers, notamment les GR, mais aussi tous les chemins de promenade. En revanche, les cloisonnements forestiers, les pare-feux et les limites de parcelles ne sont pas considérés comme des chemins. En cas de non-respect, le contrevenant encourt une amende pouvant aller jusqu’à 750 euros", met en garde l’ONF. Vous voilà prévenus.
#4 Pédaler ou circuler sans sortir des sentiers battus
Avis aux amateurs de petite reine: il est possible de pédaler en forêt "à la condition de circuler exclusivement sur les routes et chemins forestiers", selon l’ONF.
À noter que, dans les sites très fréquentés, "les vélos et les cavaliers peuvent être autorisés uniquement sur les chemins larges (au moins 2,50 mètres) et les itinéraires balisés."
N’en déplaise aux aventuriers: circuler en dehors de ces espaces balisés, c’est prendre le risque d'abîmer la végétation, d’entraîner le tassement des sols, d’en accélérer l'érosion et de déranger les animaux de la forêt.
En voiture ou en deux roues, les axes autorisés à la circulation sont extrêmement réduits. "Les routes fermées à la circulation sont signalées par un panneau d’interdiction ou une barrière. Même ouverte, elle équivaut à une interdiction de circuler. [...] Ne pas respecter la réglementation est passible d’une amende maximale de 1.500 euros et d’une suspension du permis de conduire pouvant aller jusqu’à trois ans. Le véhicule peut être saisi", précise l’ONF.
#5 Laisser les briquets, allumettes et autre silex à la maison
Le sujet est très sérieux tant la forêt est menacée par les flammes. "En 2022, plus de 7.000 feux ont été déclarés en France, représentant 63.000 hectares de forêt brûlés, dont 17.000 hectares sur le seul bassin méditerranéen. 90% des feux sont d’origine humaine", martèle l’Office national des forêts.
En balade dans la nature, fumer est donc une très mauvaise idée. Allumer un feu de camp ou faire un barbecue est strictement déconseillé.
"Le geste est passible d’amende et/ou de peine d’emprisonnement en cas d’incendie. Des réglementations plus strictes peuvent s’appliquer localement", met en garde l’ONF.
#6 Ne jamais jeter ses déchets verts ni ses restes alimentaires
En forêt, il va sans dire que jeter ses déchets est une hérésie. Mais il en va de même pour ses déchets verts, ce trognon de pomme ou encore ce morceau de jambon échappé du sandwich!
"Les uns favorisent le développement de plantes envahissantes, les autres sont un danger pour les animaux qui perdent leur instinct sauvage et risquent de s’empoisonner. Abandonner des déchets en forêt est passible d’une amende pouvant aller jusqu’à 1.500 euros", précise l’ONF.
#7 Demander une autorisation pour y organiser un événement
Cours de sport, rassemblements, nettoyages, festivités... Il est possible d'organiser un événement en forêt domaniale, à condition d’en avoir l’autorisation.
"Toutes les demandes de manifestations doivent faire l’objet d’une sollicitation à l’ONF. Cela évite que des marcheurs, des cavaliers et des vététistes ou des associations se marchent sur les pieds", précise l’Office national des forêts.
Pour entrer en contact avec l’ONF, c’est par là. https://www.onf.fr/onf/+/249::contacter-lonf.html
Pour télécharger la charte du promeneur éditée par l’ONF, c’est ici. https://www.onf.fr/+/19c::charte-du-promeneur-jagis-pour-la-foret.html
Les jours rallongent, les plages se remplissent et la peau s’expose après plusieurs mois d’hibernation... Mais voilà, mauvaise surprise pour vous. Une éruption cutanée a gâché vos premiers bains de soleil. Sur le décolleté, les épaules ou les avant-bras, vous vous démangez fortement et des petits boutons rouges rosés sont apparus. Il s’agit peut-être de la lucite estivale, la plus fréquente des allergies solaires.
Chaque année, en France, près de 900.000 personnes seraient concernées selon les chiffres de la Société française de dermatologie (SFD). Le Dr Thomas Hubiche, dermatologue et vénérologue au CHU de Nice nous éclaire sur cette allergie bénigne et fréquente.
Qu’est-ce que la lucite estivale?
Il s’agit d’une réaction inflammatoire de la peau. La réponse immunitaire est retardée et c’est pourquoi les premiers signes apparaissent plusieurs heures après l’exposition au soleil. Il s’agit d’une dermatose estivale – bénigne et transitoire – qui régresse au cours de l’été. En revanche, cette maladie à tendance à récidiver, chaque année, dès l’arrivée des beaux jours.
Pourquoi cette réaction de la peau?
L’exposition aux UV – et plus particulièrement aux UVA (1) du soleil – va déclencher, chez certaines personnes, une réaction inflammatoire.
La lucite estivale peut toucher le visage, le décolleté et les avant-bras ou les bras. Le visage étant exposé tout au long de l’année aux UV, les réactions sont moins intenses que sur les zones non exposées l'hiver.
Qui est concerné?
Cette allergie touche plutôt les phototypes clairs. Cette réaction inflammatoire est par ailleurs 4 fois plus fréquente chez la femme jeune que chez l’homme jeune. Les raisons sont principalement hormonales.
Quels sont les symptômes? Ils apparaissent environ douze heures après l’exposition au soleil. Il s’agit de lésions papuleuses (boutons) inflammatoires et en relief, siégeant sur les zones exposées. La lucite estivale n’est pas douloureuse mais elle occasionne de fortes démangeaisons qui s’estompent après quelques jours. D’autres maladies de la peau peuvent être déclenchées par le soleil mais les signes cliniques et l’évolution dont le caractère transitoire permettent de confirmer le diagnostic de lucite estivale bénigne.
Peut-on avoir cette allergie sans coup de soleil?
Oui, tout à fait. Il s’agit de deux réactions totalement différentes. Le coup de soleil est induit par les UVB et correspond à un érythème continu sur les zones photo exposées avec des sensations de brûlure. En revanche, la lucite estivale se caractérise par des intervalles de peaux saines et des démangeaisons et elle est provoquée par les UVA.
Quels sont les risques pour la peau et la santé?
Il s’agit d’une dermatose bénigne. Il n’y a donc pas de danger pour la santé.
Comment prévenir cette allergie?
Le traitement proposé en première intention est une photoprotection. Cela associe un écran solaire (SPF50) couvrant bien les UVA ainsi qu’une protection vestimentaire. En effet, rappelons que les UVA passent à travers les vitres mais pas à travers les habits. Dans les formes les plus sévères, un antipaludéen de synthèse, peut être proposé. De plus, il est conseillé – en plus des mesures de photoprotection – lors du début de la période estivale de réaliser une exposition très progressive au soleil.
Est-ce que les compléments alimentaires aident à prévenir cette allergie?
Des antioxydants tel que les bêta-carotènes peuvent être proposés mais le niveau de preuve de leur efficacité est faible.
Les symptômes de cette allergie peuvent-ils s’améliorer?
Dans la grande majorité des cas, la lucite estivale bénigne s’améliore avec l’âge, notamment après la ménopause chez la femme.
- Les rayons UVA accélèrent le vieillissement de la peau. Le coup de soleil est principalement induit par les UVB
Quelles différences avec les autres allergies ?
L’urticaire solaire.
Il s’agit d’une réaction immédiate qui survient très rapidement après l’exposition aux UV, en quelques minutes.« Une poussée d’urticaire solaire peut être accompagnée d’une sensation de malaise. Les signes cliniques régressent rapidement dès que le patient n’est plus exposé aux UV. L’urticaire solaire est beaucoup plus rare que la lucite estivale bénigne. »
La photosensibilisation.
Les réactions surviennent après exposition au soleil mais nécessite la présence sur la peau ou dans l’organisme de substanceschimiques telles que certains médicaments ou certaines plantes. « L’exposition aux UV va modifier cette molécule et entraîner chez certaines personnes une réaction immunitaire inflammatoire ou toxique », précise le dermatologue.
La lucite polymorphe.
Comme la lucite estivale, il s’agit d’une réaction immunitaire au soleil. En revanche, la lucite polymorphe ne s’améliore pas avec la répétition de l’exposition aux UV.
3115, NUMÉRO D'URGENCE VETERINAIRE GRATUIT
depuis un téléphone fixe ou depuis un mobile (tous opérateurs confondus),
En cas de maladie ou d'accidents, vous serez alors directement mis en relation avec l'accueil d'un Vétérinaire de Garde à proximité de chez vous.
Source le chat libre azuréen
1# Protéger l’environnement de l’arbre
"Il faut prendre soin de l’environnement de l’arbre car c’est un être vivant qui va s’adapter continuellement, toute la vie, à son milieu, à savoir le vent, la pluviométrie, la qualité du sol…
Quand on a un arbre, dans un premier temps, il ne faut pas faire de travaux à proximité, dans son environnement, car cela peut le fragiliser.
Par exemple, en ajoutant de la terre autour, on ne s’en rend pas compte, mais on enterre davantage les racines et on entraîne une surélévation du sol ce qui, par conséquent, en cas de pluie, entraîne une moins bonne pénétration de l’eau vers les racines et fragilise l’arbre.
Par la suite, l’arbre risque de vivre sur ses réserves et petit à petit, de dépérir.
C’est un cercle vicieux qui se met en place: en devenant plus fragile, l’arbre va attirer des insectes. On a vu ce phénomène avec les scolytes, un insecte dont la larve va creuser des galeries sous l’écorce et couper les vaisseaux conducteurs. L’arbre ne pourra plus absorber d’eau et donc se dessèche."
2# Eviter d’occasionner des plaies sur l’arbre
Egalement, il faut éviter d’occasionner des plaies sur le tronc. En occasionnant un choc, on enlève les couches protectrices qui peuvent favoriser l’installation de champignons.
On voit souvent des propriétaires qui réalisent des tailles très sévères, c’est-à-dire, sur de gros diamètres, sur des surfaces importantes. Cela entame les réserves de l’arbre. Car il faut bien comprendre que l’arbre met des réserves partout dans ses branches, son tronc… Si on en coupe une grande partie, cela entraîne un déstockage de ses réserves.
Des tailles sévères risquent également de favoriser l’installation de champignons.
Normalement, il faut comprendre que l’arbre gère très bien son développement tout seul. L’idée est donc d’intervenir plutôt sur de petits diamètres de branche si on souhaite le tailler. Bien entendu, s’il y a eu des dégradations importantes et que cela peut mettre en péril notamment les personnes qui habitent à proximité, alors il faut agir.
3# Créer un environnement favorable à son développement
Bien choisir où l'on va planter son arbre, c’est important. Si on le plante trop près de sa maison, par exemple, et qu’avec la croissance les branches viennent frotter les murs, cela risque d’occasionner une gêne.
Quelle envergure mon arbre fera-t-il? Quelle hauteur va-t-il avoir à l’âge adulte? Ce sont des questions qu’il faut se poser au moment de planter.
Pour ce qui est de l’entretien quotidien, on peut aussi faire des choses simples pour, par exemple, conserver l’humidité à son pied, on peut entourer le tronc de mulch, une sorte de "paillage".
4# Surveiller la santé de ses arbres
Pour voir si son arbre est en bonne santé, il faut le regarder régulièrement.
Un feuillage qui change de couleur ou se flétrit, un soulèvement du sol autour de l’arbre, la présence de fissures sont autant de petits changements qui doivent alerter.
Des cavités, par exemple, peuvent être le signe de la présence de champignons.
Parfois, certains changements sont le signe de l’adaptation de l’arbre à son environnement. Mais d’autres fois, ils peuvent révéler un problème plus important et seul un œil averti saura poser le bon diagnostic.
5# Réaliser un état des lieux
Si on a un arbre avec un feuillage qui se dessèche, par exemple, il faut en trouver la cause.
Récemment, nous avons eu le cas d’un pin qui était complètement desséché. Après un diagnostic, nous nous sommes rendus compte qu’il avait concentré tout son système racinaire vers un point où s’était tenue, pendant très longtemps, une fuite d’eau. En faisant réparer cette fuite, les propriétaires ont coupé l’arbre, sans le vouloir, de sa principale source d’eau.
Si une personne achète un terrain avec beaucoup d’arbres, il vaut mieux faire un état des lieux pour être sûr qu’il n’y a pas de soucis.
Il faut en effet savoir que le propriétaire ou le gestionnaire sont responsables de leurs arbres et des dégâts qu’ils pourraient occasionner."
Contact
Arbre Conseil(r) est une prestation de l’ONF Vegetis, filiale de l’ONF, qui propose un accompagnement pour évaluer la santé des arbres et accompagner leurs propriétaires ou gestionnaires.
Pour en savoir plus, vous pouvez consulter leur site ici.
Retrouvez de nombreux conseils et astuces, en cliquant sur les pièces et les objets de la maison. Vous découvrirez des idées pour mieux vivre votre nouveau quotidien, pendant la grossesse et les premières années de bébé.
Envoyer la carte Vitale à la CPAM pour vérifier son état
Si la mise à jour de votre carte Vitale ne permet pas de résoudre son dysfonctionnement, il est recommandé de la faire parvenir à votre caisse primaire d’assurance maladie dans le but de la faire expertiser. Lors de votre envoi par courrier, pensez à préciser la nature de votre demande. Ainsi, la CPAM pourra décider si votre carte doit être remplacée ou si elle peut vous la renvoyer après analyse.
Que votre carte Vitale soit cassée, abîmée, ou que sa puce soit illisible, vous devez immédiatement prévenir votre CPAM. Cette démarche peut être effectuée en ligne, par téléphone, par courrier ou en vous rendant dans un point d’accueil.
Pour signaler le dysfonctionnement de votre carte Vitale, une déclaration est à remplir. Avant de la valider, vérifiez l’exactitude des informations vous concernant (état civil, adresse postale et adresse mail). En cas d’erreur ou d’oubli, il est impératif de contacter votre CPAM pour le lui signaler.
Demander une nouvelle carte Vitale
Si le dysfonctionnement de votre carte Vitale ne peut être réglé par la mise à jour ou l’analyse effectuée par la CPAM, une demande de renouvellement doit être réalisée.
Pour commander votre carte Vitale, rendez-vous sur votre compte Ameli, dans la rubrique « Mes démarches », puis « Commander ma carte Vitale ».
Deux documents vous seront demandés pour valider votre dossier :
une photo d’identité numérisée ;
une pièce d’identité numérisée.
Une fois la validation faite, votre commande est transmise à la caisse primaire d’assurance maladie. Vous recevez en échange un récapitulatif de vos données.
Votre nouvelle carte Vitale vous sera envoyée dans un délai de 2 semaines, accompagnée d’une copie papier des informations qu’elle contient dans sa puce électronique. Si vous perdez votre carte ou si vous avez besoin de justifier vos droits, c’est ce document que vous devez présenter.
Si vous effectuez votre demande de renouvellement par courrier, par téléphone ou dans un point d’accueil, comptez un délai de 3 semaines avant de recevoir votre nouvelle carte Vitale.
Vous pouvez suivre l’acheminement de votre carte en vous connectant à votre compte Ameli. Rendez-vous ensuite dans la rubrique « Mes démarches », puis « Suivre ma commande de carte Vitale ».
En attendant votre document définitif, vous pouvez obtenir une attestation de droits. Cette dernière vous servira de justificatif pour la prise en charge de vos soins. Elle peut être demandée par téléphone au 36 46, dans un point d’accueil ou en ligne, dans la rubrique « Mes démarches », puis « Télécharger mon attestation de droits ».
L’ensemble des propriétaires (personnes physiques et personnes morales), sont soumis à une nouvelle obligation déclarative en 2023. Pour y répondre l’espace en ligne « Gérer mes biens immobiliers » du site impots.gouv.fr s’enrichit de nouvelles fonctionnalités.
Info par la ville de Mougins
https://mougins.fr/obligation-declarative-des-proprietaires/
Selon l'article R.316-1 du Code de la route, "tout véhicule à moteur, à l'exception des véhicules et matériels agricoles dont la vitesse maximale n'excède pas 40 km/h ou de travaux publics, doit être construit ou équipé de telle manière que le champ de visibilité du conducteur, vers l'avant, vers la droite et vers la gauche soit suffisant pour que celui-ci puisse conduire avec sûreté".
S'il ne respecte pas cette règle, le conducteur s'expose à une amende forfaitaire de 135 euros (4e classe) et un retrait de trois points sur son permis de conduire.
Enfin, d'après l'article R.318-1 du Code de la route, il est interdit de laisser le moteur de son véhicule allumé à l'arrêt, même si c'est pour chauffer le pare-brise, sous peine d'être verbalisé par une amende forfaitaire de 135 euros.
Alors, mieux vaut prendre un petit peu plus de temps et utiliser un grattoir (mais surtout pas de l'eau chaude qui pourrait fissurer le pare-brise). Le vinaigre blanc est aussi une solution naturelle qui peut être conseillée.
Enfin, même si ça peut être tentant, il ne faut pas utiliser ses essuie-glaces pour "terminer" de dégivrer car ça peut les abîmer.
Découvert par article Nice Matin https://www.nicematin.com/environnement/manuel-pour-defendre-un-arbre-a-hauteur-de-citoyens-821297
Thomas Brail, arboriste-grimpeur, il lance le Groupe national de surveillance des arbres (GNSA) et essaime avec son approche militante. Aujourd’hui, l’association compte 70 antennes en France, plus de 700 adhérents et ne cesse de prendre de l’ampleur. Objectif: créer un réseau de lanceurs d’alerte prêts à agir en cas de menace sur des arbres. "On reçoit près d’une centaine d'alertes par jour", selon le fondateur du GNSA, qui précise les différentes façons de s’engager dans la démarche.
"Si vous avez 50 à 100 personnes devant un chantier de coupe, ce n’est pas pareil qu’une seule. La seule chose dont on doit avoir peur, c’est le mur qu’on va prendre dans quelques années si on ne fait rien pour protéger les arbres. Car en haut de la pyramide, sur la planète, il y a le végétal", souligne l'arboriste-grimpeur militant, qui a fait parlé de lui en mai dernier en s'attachant à un arbre centenaire près de la Tour Eiffel. En 3 ans et demi d’existence, le GNSA revendique "3 à 4 jurisprudences en France sur la loi L350 sur les arbres d’alignement".
Dans le Var, le GNSA compte deux groupes actifs: l’un à Saint-Raphaël-Fréjus, l’autre sur le territoire du Parc naturel régional de la Sainte-Baume.
Faire preuve de méthode
Pour défendre un arbre près de chez soi, et si la clé était la méthode? C’est en tout cas ce que préconise Marie Amana, responsable du GNSA Sainte-Baume, en prodiguant quelques conseils simples.
D’abord s’informer, "en portant un regard sur les arbres qui nous entourent et se tenant informé des travaux prévus dans la commune". Ensuite, ne pas hésiter à réclamer à sa collectivité des documents: avis d’abattage, diagnostic phytosanitaire préalable… "On a le droit, en tant que citoyen, d'y avoir accès", assure Marie Amana. Enfin, "ne pas hésiter à se tourner vers une association ou un professionnel pour avoir un avis éclairé, y compris en cas de problématiques privées comme un conflit de voisinage".
Les oligoéléments recèlent de bienfaits pour notre organisme. Si on les trouve en tout premier lieu dans notre alimentation, il est aussi possible de les prendre en complément. Lesquels choisir ? Y a t il des contre-indications ?
Les oligoéléments de moins en moins présents dans nos assiettes
On trouve les oligoéléments en particulier dans les crustacés. Les coquillages sont très riches en micronutriments ; ou encore les légumineuses, les légumes secs, la viande de volaille, le jaune d'œuf notamment. Leur apport alimentaire est indispensable.
Néanmoins, on en trouve de moins en moins dans les aliments. Et ce pour deux raisons très simples. Tout d'abord le sol est de moins en moins riche en micronutriments à cause de l'emploi des pesticides et des engrais. La surexploitation des terres est également néfaste. Les espèces botaniques ont été modifiées au cours du temps ... Tout cela entraîne un appauvrissement des sols. La terre apporte aujourd'hui moins d'oligoéléments que dans le passé.
Autre raison : les modes de cuisson. De nombreuses études ont montré que le fait de cuire trop les aliments détruisait une partie des vitamines et minéraux.
Les prendre en complément de son alimentation
Si les oligoéléments ont tout pour être parfaits, ils sont souvent mal assimilés dans l'alimentation.
Non seulement l'alimentation est appauvrie, mais parfois les oligoéléments sont complexés avec d'autres nutriments et le corps ne sait pas les utiliser. Et dans ce cas là, il est parfois intéressant, lorsqu'on est carencé, de faire une période de l'année, un apport supplémentaire avec des compléments alimentaires ou des médicaments à base d'oligo-éléments. Ceux-ci ont l'avantage d'être développés sous forme unitaire, parfaitement assimilables par l'organisme.
Quels bienfaits pour les oligoéléments ?
Pour résumer, ils ont cinq propriétés fondamentales.
Ils participent à la structure des tissus et des vitamines. Ils vont aussi catalyser toutes les réactions enzymatiques indispensables au bon métabolisme de l'organisme.
Ils participent à la synthèse de nombreuses hormones. Les hormones thyroïdiennes avec le sélénium, par exemple. Ils sont indispensables pour les défenses de l'organisme. On en parle beaucoup actuellement. Les maux de l'hiver. On a besoin de renforcer son immunité. Et tous sont de très bons antioxydants, c'est à dire qu'ils sont capables de donner des électrons pour neutraliser les radicaux libres qui nous attaquent au quotidien par l'environnement, la pollution, le sport intense aussi. L'alcool, le tabac, bien sûr.
Les signes d'une carence
Par exemple quand on manque de fer on va être fatigué. Très souvent, les crampes musculaires arrivent lorsqu'on manque de magnésium. La peau est assez terne quand on manque de cuivre. On sera plus susceptible d'avoir des infections quand on a une carence en zinc.
Toutes ces carences entraînent des tableaux cliniques bien spécifiques et il est intéressant dans ce cas là, et bien sûr, sous les conseils de votre pharmacien ou médecin, de vous orienter vers les oligoéléments.
Lesquels sont à utiliser en cure pour éviter des contre indications et des interactions.
Hormis ce conseil, on peut foncer sans hésiter. Les oligo-éléments étant déjà connus de l'organisme, ils sont parfaitement tolérés. Il y a très peu d'effets indésirables quand on utilise les posologies conseillées.
Ils peuvent parfois interagir entre eux, mais on les prend de façon séparée sous forme de cure donc, et à distance des repas (d'environ quinze minutes).
L'idéal serait de les prendre à jeun, on évite aussi de les mélanger dans un même verre d'eau. Et on va les prendre de façon séparée au cours de la journée.
Le recul de pharmacovigilance sur plusieurs décennies montre que les oligo-éléments sont très bien tolérés et sont très intéressants en association avec des médicaments d'allopathie. A associer aussi pourquoi pas à l'aromathérapie, aux huiles essentielles.
Ils se prennent sous forme d'ampoules, de comprimés ou de gélules.
Pensez à en parler avec votre médecin, puisque certains oligo-éléments peuvent être remboursés.
Et on peut les utiliser chez les tout petits ! Le zinc peut être utilisé chez le nourrissons, pour stimuler l'immunité, mais attention à la posologie !
La trousse basique
-Contre les maux de l'hiver : pensez au trio zinc-cuivre-sélénium.
Ils vont stimuler nos défenses immunitaires. Ils agissent en synergie.
Ils vont participer à la synthèse des anticorps. Ils permettent de réduire la sévérité des symptômes ou la durée d'un rhume par exemple.
En prévention ou curatif, il est conseillé de se tourner vers les oligoéléments pour passer l'hiver !
-Le chrome : agit sur la glycémie ; il va limiter la sensation de faim et les pulsions sucrées.
-Le lithium pour le sommeil ou les troubles de l'humeur.
-Le cuivre est un anti-inflammatoire et anti douleurs.
-Le souffre pour vaincre une sinusite.
-Le bismuth contre les maux de gorge.
-Le manganèse contre les allergies.
Ne pas hésiter à se tourner vers un pharmacien ou un médecin pour avoir davantage de conseils et des précisions sur les posologies concernant les oligoéléments.
Merci à Jean-Noël Perin, pharmacien spécialisé en oligothérapie ; du groupe EA PHARMA, laboratoire pionnier en oligothérapie et basé à Mougins (06)
Si vous faites partie des personnes concernées, vous serez prévenu par la mairie et des codes vous seront remis pour vous recenser directement en ligne. Vos données restent confidentielles.
Le recensement de la population, qui est une obligation légale, est essentiel pour connaître les besoins en termes de transports, logements, écoles, établissements de santé et de retraite… et pour construire l’avenir en déterminant le budget des communes. C’est un acte totalement gratuit. Ne répondez pas aux sites qui vous réclament de l’argent !
Source https://mougins.fr/recensement-de-la-population-mouginoise-jusquau-25-fevrier/
Article Nice Matin https://www.nicematin.com/faits-de-societe/5-questions-pour-tout-comprendre-au-recensement-qui-commence-ce-jeudi-19-janvier-en-region-paca-821494
Jusqu’à quand?
L'enquête se termine le 18 février pour les communes de moins de 10 000 habitants et le 25 février pour celles de plus de 10 000 habitants.
Comment ça se passe?
Un agent recenseur muni de sa carte officielle, siglée bleu blanc rouge, comportant sa photo, et la signature du maire, se présentera aux domiciles des foyers concernés. Pour vérifier s’il s’agit bien d’un "vrai" agent recenseur, il suffit de relever le nom de la personne et d’appeler la mairie pour le vérifier.
Pour les maisons individuelles, il dépose dès le 19 janvier des notices avec code d’accès au questionnaire internet dans les boîtes aux lettres. Pour les autres logements, l'agent se présente au domicile des personnes recensées pour remettre des notices avec code d’accès également au questionnaire internet. Le site a été relooké avec un chatbot et optimisé pour les tablettes et téléphones. Les ménages sont invités à répondre au questionnaire prioritairement par internet. "63% des habitants de Provence-Alpes-Côte d’Azur ont choisi ce mode de réponse en 2022", précise l’Insee.
"Si les habitants ne veulent pas ou ne peuvent pas répondre sur internet, l’agent dépose des questionnaires papier qu’il revient chercher quelques jours plus tard."
Quels types de questions?
Outre le nom et l’adresse, l’âge, l’emploi et autres éléments individuels, les habitants doivent aussi donner les caractéristiques du ménage pour évaluer l’évolution de la population et ses besoins futurs, décrire le logement pour connaître les besoins en habitations, ou encore exposer les habitudes de vie comme les trajets quotidiens pour se rendre au travail par exemple. Ce qui servira à évaluer les besoins en transports.
Prévenir les risques
"Dans les Alpes-Maritimes, nous avons un groupement de la citoyenneté qui diffuse l’information préventive aux comportements qui sauvent. On a ainsi sensibilisé 40.000 personnes l’an dernier. Il faut aussi rappeler aux gens l’obligation d’avoir des détecteurs de fumée, suivant un nombre adapté à chaque logement. C’est important, ça sauve vraiment des vies!"
En cas d’incendie chez soi
"S’il se déclare chez vous et que vous évacuez - puisque c’est un réflexe -, il faut penser à fermer la porte de votre appartement. À chaque porte fermée, on retarde la croissance du feu, on limite les dommages et les risques d’intoxication aux fumées. Si vous êtes sorti, vous appelez les pompiers immédiatement."
Si on est pris au piège
"Si vous êtes piégé chez vous, vous rejoignez une fenêtre, vous appelez les pompiers et vous vous manifestez pour dire où vous êtes. Précisez bien où vous vous trouvez et combien de personnes sont dans l’appartement. Si vous en avez la possibilité, mettez un linge humide sous les portes pour ralentir la progression. Nous viendrons chercher les gens avec des échelles, avec une corde et un harnais, ou avec une cagoule de sauvetage. Et en ultime recours, nous avons désormais acquis des matelas de sauvetage. C’est issu d’un retour d’expérience, lorsqu’une personne avait été coincée sur son balcon [à Nice-Est en 2018]."
Si le feu se déclare en-dessous
"Il n’y a pas de réponse type. Si le feu est juste en-dessous, on se confine, on met des linges humides et on se manifeste à la fenêtre. Si le feu est en train de toucher l’appartement, on essaie d’évacuer. Mais il faut bien connaître son immeuble: quand on sort et qu’il y a de la fumée, on risque de mourir asphyxié... On préfère localiser les gens que les retrouver morts dans les escaliers!"
En cas de brûlure ou intoxication
"Si on est brûlé, il faut se passer la main sous l’eau 5 à 10 minutes sous de l’eau tiède. Si on a été intoxiqué, il faut se signaler aux sapeurs-pompiers à notre arrivée, pour une éventuelle assistance respiratoire ou une évacuation à l’hôpital. Quoi qu’on ait, si on a évacué de soi-même, il faut se signaler aux pompiers. Il faut aussi éviter les effets de panique: on évacue plus vite dans le calme qu’en se bousculant."
Dans le cadre de la cession d'un bien immobilier et depuis le 1er janvier 2022, le contrôle du raccordement à l'aissainissement collectif est devenu OBLIGATOIRE sur la commune de Mougins.
Il sera demandé par le notaire, sans quoi la vente ne pourra être faite.
C'est Veolia qui est missionné par la CACPL pour réaliser le contrôle de conformité sur Mougins. Il est facturé 178,97€ TTC et doit être réalisé aussi bien pour les maisons que pour les appartements.
Ce nouveau contrôle supplémentaire consiste à vérifier que tous les rejets domestiques des installations intérieurs (toilettes, cuisine...) voir extérieures (lavage filtre piscine...) du bien immobilier sont correctement raccordés au réseau public des eaux usées (assainissement) et non au réseau des eaux pluviales / voir sur le terrain / ou sur la voie publique ; et inversement que les eaux pluviales ne se déversent pas dans le réseau d'assainissement (gouttières, vidange piscine...)
Les fournisseurs d’énergie (autre qu’EDF) ont donc obtenus auprès de l’Autorité de la concurrence — ie : la loi — qu’EDF leur transmette les données de ses clients dans un but purement commercial afin de vous prospecter.
En gros : la loi autorise le démarchage commercial ciblant les clients Tarif Bleu d’EDF et par des fournisseurs d’énergie tiers (Total Énergie, ENI, SueZ, etc.) grâce aux données que vous avez chez EDF.
on peut s’y opposer mais pour un truc aussi simple que dire oui / non, il y a encore des complications à la con :
Certaines données sont donc en opt-in et d’autres en opt-out.
C’est-à-dire que certaines données SONT transmises sauf si le client dit non, et d’autres NE SONT PAS transmises, sauf accord du client.
Vous commencez à être perdus ? C’est normal.
Car pour le même résultat « on ne veut pas être démarché », il faudra dire oui dans un cas et non dans l’autre. Ça s’appelle un dark-pattern, et c’est un procédé plus ou moins malhonnête destiné à obtenir le consentement pour un truc que vous ne voulez pas, mais dont la question est tournée de telle sorte que vous finissez par consentir à des trucs que vous ne voulez pas.
Un autre exemple de ces magouilles sont les questions à double ou triple négative, du style : « refusez-vous que j’arrête de ne pas vous spammer ? Oui / Non ».
Lisez donc bien le courrier et les intitulés des questions.
Si vous refusez tout et que ces enseignes vous démarchent, menacez-leur de déposer une plainte RGPD parce que vous avez activement refusé tout ça.
D’où vient la différence de couleur entre le sucre blanc et le sucre roux ? Leurs goûts diffèrent-ils ? Lequel est meilleur pour la santé ? Telles sont les questions qui viennent naturellement à l’esprit du consommateur.
Rappelons que la betterave sucrière est la principale source de sucre commercialisé en France. Elle ne contient pas de pigments et c’est pourquoi le sucre extrait est blanc.
En revanche, le sucre roux de canne (ou cassonade) doit sa couleur à des pigments provenant des tiges de canne à sucre.
Il est néanmoins possible de blanchir le sucre roux par raffinage et de brunir le sucre blanc par cuisson (caramélisation).
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sucre blanc (betterave sucrière)
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sucre roux de canne (ou cassonade)
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possible de brunir le sucre blanc par cuisson (caramélisation)
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possible de blanchir le sucre roux par raffinage
Il faut bien lire sur l’étiquette pour avoir ce qu’on veut :
— sucre de canne non raffinée
— sucre blanc caramélisé
découvert par https://lehollandaisvolant.net/?id=20221023185045
La mozzarella se conserve bien au réfrigérateur : FAUX !
Que l’on préfère ce fromage à pâte filée au lait de vache (doux) ou à celui de bufflonne (plus prononcé), il est strictement déconseillé de le conserver au réfrigérateur.
"Pour profiter pleinement de sa saveur, il faut l’acheter fraîche en épicerie et la mettre dans un bol avec de l’eau, jusqu’au moment de la consommation, qui doit toujours avoir lieu dans les 24 heures suivant l’achat. Elle peut ainsi continuer à s’affiner", assure le chef.
Et si le mal est fait, la mozzarella – qui vient de mozzare, l’opération que le fromager effectue pour séparer les différents morceaux du mélange pendant la transformation – doit être sortie du frigo et plongée dans l’eau chaude (à 45°C degrés environ) une vingtaine de minutes avant la dégustation afin de se réchauffer à cœur.
C’est pasta et basta ! VRAI
"Les pâtes ne sont jamais, en aucun cas, un accompagnement de la viande ou du poisson. Et réciproquement, elles ne s’accompagnent jamais de légumes ou de salade."
Quand Giuseppe Arbia voit certains restaurateurs proposer des tagliatelles à côté de l’escalope milanaise, il crie au scandale. Il faut se pencher sur la structure des repas à l’italienne pour comprendre. Ils commencent traditionnellement par des antipasti puis se déroulent en deux plats : il primo et il secondo. Cette distinction est une des raisons du succès nutritionnel du régime méditerranéen, parce que le féculent servi en premier (des pâtes ou du riz) garantit de calmer son appétit tout de suite, et d’arriver aux protéines, et au gras, par gourmandise.
D’ailleurs, c’est pour cela que peu de féculents sont servis avec la viande ou le poisson : comme on en a déjà mangé avant, en accompagnement on choisira plutôt des légumes et d’autres choses vertes. Ce que l’on sait moins, c’est qu’il y a plein de secondi qui, pendant la cuisson, produisent des primi : une viande mijotée longtemps, donne ainsi une sauce avec laquelle on peut assaisonner des pâtes !
Il y a toujours de l’oignon dans la sauce tomate : FAUX
Alla gremolata, all’arrabiata… Là, oui, on émince un oignon avant d’attaquer la cuisson. Mais on ne versera aucune larme en épluchant le bulbe goûtu pour préparer la sauce amatriciana… « Pas d’oignon ! Même si on trouve beaucoup de recettes qui en contiennent », rouspète le chef.
Cette sauce doit son nom à Amatrice, une ville de la province de Rieti, en Italie. Les ingrédients ? Guanciale (joues ou bajoues du cochon salaisonnées), pecorino, vin et tomate. L’amatriciana est en fait une variante de la pasta alla gricia dans laquelle on ajoute de la tomate. La recette de la gricia a été inventée par des bergers, qui allaient aux pâturages avec du saindoux, des pâtes séchées, du guanciale, du poivre noir et du fromage pecorino romano. Rien de plus !
La mostarda est une moutarde : FAUX
Ce n’est malheureusement pas la mostarda italienne qui palliera la pénurie de moutarde de Dijon !
"Généralement consommée en période de fêtes de Noël, la mostarda est un condiment à base de fruits confits typique du nord de l’Italie… Il est piquant grâce à la présence de moutarde." Ce drôle de truc, sur le papier, marche très bien et est apprécié depuis des siècles !
Si la recette est peu ou prou celle des fruits confits que l’on connaît, la grande surprise vient à la fin du processus avec l’ajout de graines en poudre ou d’huile essentielle de moutarde venant donner un petit coup de fouet au produit. Ce condiment de luxe – surtout dans sa version de Cremona à base de fruits entiers comme les figues, abricots, cerises – se marie traditionnellement avec le bollito (une sorte de pot-au-feu), avec des fromages de brebis, du lard de Colonnata, etc.
La Genovese est en fait napolitaine : VRAI
Malgré son nom, la Genovese n’est pas un plat de Gênes, "il s’agit plutôt d’un des plats les plus traditionnels de l’antique cuisine napolitaine, toujours préparé selon un rituel ancestral. Son nom est dû aux marins génois qui étaient débarqués à Naples au long du XVIIIe siècle."
Il s’agit d’un ragù, c’est-à-dire une sauce dont la préparation est basée sur deux éléments : présence de viande et un procédé de cuisson très lent. On la mange sur des pâtes. Sur le plan symbolique, c’est le plat de la famille réunie.
Le tiramisu remonte le moral : VRAI
"Le mot tiramisu veut dire ‘’remonte moi le moral’’... Son histoire débute à Venise, au XIXe siècle", explique le chef.
Venise est alors une ville de marin et sur le Ponte Delle Tette (en français, « Pont des Tétons »), des prostituées exhibent leurs poitrines pour attirer les hommes vers les maisons closes. À l’intérieur, ces derniers se voient alors servir un dessert, l’ancêtre du tiramisu, qui se traduit littéralement par « remonte-moi le moral » en français.
En Italie ces lieux de « plaisir » sont fermés en 1958, mais le tiramisu, lui, perdure !
- sécheresse : Retrait-gonflements des sols argileux > fissures dans les maisons, inhabitables, non assurable
Attention l'expert de l'assurance cherche à étayer l'apparition de la fissure avant la date de reconnaissance de sécheresse de la commune ou de trouver une cause externe dedouanant l'assureur (arbre proche de la maison)
OpenSky et artificialisations des sols de Sophia antipolis
Assurance - droit à l'assurance (organisme qui aide à la négociation d'un contrat d'assurance pour assurer un risque si les assureurs contactés refusent d'assurer)
- en cas de sinistre, imposer la présence d'un expert privé le jour de la visite de l'expert de l'assurance (il n'est pas neutre, il cherchera à trouver un élément qui classera le sinistre non couvert par l'assurance). Coût de 700€ à 1500€ mais ça aidera à obtenir une meilleure (juste) indemnité. C'est encore mieux si l'expert privé intervient sur plusieurs expertises d'une même source de sinistre (dans le cadre d'une association, regroupement de sinistrés)
Et dans les alpes Maritimes??
Article Nice Matin https://www.nicematin.com/environnement/maisons-fissurees-par-la-secheresse-habitez-vous-une-zone-a-risques-et-que-faire-si-cest-le-cas-796995
=> La Roquette Impasse de laveine zone rouge !!
Prenez connaissance des actions à mettre en œuvre en cas d'accident.
Consignes de sécurité
éviter de laisser la victime seule,
assurer les premiers soins d’urgence en tenant la victime au chaud,
donner l’alerte en précisant : l’état de la victime, le lieu précis et l’heure de l’accident,
se tenir à disposition des sauveteurs pour d’éventuelles précisions,
signaler l’emplacement de la victime de façon visible dans l’attente des secours spécialisés.
Comment donner l'alerte ?
Pour alerter les secours, composer le 112
Rappelons que la couverture GSM des moyennes et hautes vallées reste très inégale et qu’en conséquence le recours au téléphone portable ne peut être systématique.
Contenu du message d’alerte, préciser :
Où : lieu, itinéraire, altitude, environnement.
Qui : Identité, n° de téléphone.
Quoi : type d’accident, nombre de victimes, gravité.
Quand : heure de l’accident.
Météo : vent, visibilité, précipitations.
En cas de secours aérien
A l’arrivée de l’hélicoptère utiliser les signes conventionnels ci-dessous,
protéger vos yeux et la victime des projections provoquées par l’hélicoptère,
ne jamais approcher d’un hélicoptère avant d’y être invité par l’équipage,
surveiller la descente du sauveteur qui peut malencontreusement provoquer des chutes de pierre.
Chiens, chats, oiseaux exotiques, serpents, chevaux, vaches ou chevreuils… Il y a peu d’animaux que ne connaissent les 24 sapeurs-pompiers, professionnels et volontaires, du GSA, le Groupe de sauvetage animalier des Alpes-Maritimes. Cette équipe a été créée en 2007 par le capitaine Stéphane Augier...
Que faire ?
Votre animal de compagnie est en mauvaise posture ou alors vous avez repéré une bête sauvage qui semble en danger, que faire ? Appelez les pompiers au 18. Le capitaine Augier et ses deux adjoints sont conseillers techniques pour le GSA. Le standard pourra leur transférer votre appel (il y a toujours quelqu’un d’astreinte). Ils pourront ainsi évaluer la situation, déclencher le dispositif approprié le cas échéant et surtout vous conseiller en attendant l’arrivée des secours.
"Il faut être très prudent et éviter de s’approcher ou de manipuler un animal en danger. A cause de la panique il pourrait chercher à se débattre ou à s’enfuir, risquant au passage de blesser la personne. Et s’il s’agit d’une espèce sauvage, ne surtout pas la toucher car elle pourrait être porteuse de maladies. Mieux vaut rester en surveillance afin de pouvoir guider les pompiers jusqu’au lieu d’intervention."
A quels animaux cela s’applique ? Absolument tous sans exception: à poils, à plumes, à écailles, qui nagent, qui marchent ou qui volent.
E100 pour les colorants,
E200 pour les conservateurs,
E300 pour les antioxydants,
E400 pour les agents de texture,
E500 à E1505 pour les correcteurs de goût.
Les additifs sont obligatoirement mentionnés sur l’étiquette. Ils peuvent l’être sous la forme d’un code, précédé de la lettre E, ou encore sous un nom plus fréquemment utilisé. C’est le cas, par exemple, de l’E300, autre nom de la vitamine C, utilisée comme antioxydant. Une grande partie de ces additifs est nécessaire, notamment pour assurer la sécurité sanitaire des aliments