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Les fournisseurs d’énergie (autre qu’EDF) ont donc obtenus auprès de l’Autorité de la concurrence — ie : la loi — qu’EDF leur transmette les données de ses clients dans un but purement commercial afin de vous prospecter.
En gros : la loi autorise le démarchage commercial ciblant les clients Tarif Bleu d’EDF et par des fournisseurs d’énergie tiers (Total Énergie, ENI, SueZ, etc.) grâce aux données que vous avez chez EDF.
on peut s’y opposer mais pour un truc aussi simple que dire oui / non, il y a encore des complications à la con :
Certaines données sont donc en opt-in et d’autres en opt-out.
C’est-à-dire que certaines données SONT transmises sauf si le client dit non, et d’autres NE SONT PAS transmises, sauf accord du client.
Vous commencez à être perdus ? C’est normal.
Car pour le même résultat « on ne veut pas être démarché », il faudra dire oui dans un cas et non dans l’autre. Ça s’appelle un dark-pattern, et c’est un procédé plus ou moins malhonnête destiné à obtenir le consentement pour un truc que vous ne voulez pas, mais dont la question est tournée de telle sorte que vous finissez par consentir à des trucs que vous ne voulez pas.
Un autre exemple de ces magouilles sont les questions à double ou triple négative, du style : « refusez-vous que j’arrête de ne pas vous spammer ? Oui / Non ».
Lisez donc bien le courrier et les intitulés des questions.
Si vous refusez tout et que ces enseignes vous démarchent, menacez-leur de déposer une plainte RGPD parce que vous avez activement refusé tout ça.
D’où vient la différence de couleur entre le sucre blanc et le sucre roux ? Leurs goûts diffèrent-ils ? Lequel est meilleur pour la santé ? Telles sont les questions qui viennent naturellement à l’esprit du consommateur.
Rappelons que la betterave sucrière est la principale source de sucre commercialisé en France. Elle ne contient pas de pigments et c’est pourquoi le sucre extrait est blanc.
En revanche, le sucre roux de canne (ou cassonade) doit sa couleur à des pigments provenant des tiges de canne à sucre.
Il est néanmoins possible de blanchir le sucre roux par raffinage et de brunir le sucre blanc par cuisson (caramélisation).
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sucre blanc (betterave sucrière)
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sucre roux de canne (ou cassonade)
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possible de brunir le sucre blanc par cuisson (caramélisation)
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possible de blanchir le sucre roux par raffinage
Il faut bien lire sur l’étiquette pour avoir ce qu’on veut :
— sucre de canne non raffinée
— sucre blanc caramélisé
découvert par https://lehollandaisvolant.net/?id=20221023185045
La mozzarella se conserve bien au réfrigérateur : FAUX !
Que l’on préfère ce fromage à pâte filée au lait de vache (doux) ou à celui de bufflonne (plus prononcé), il est strictement déconseillé de le conserver au réfrigérateur.
"Pour profiter pleinement de sa saveur, il faut l’acheter fraîche en épicerie et la mettre dans un bol avec de l’eau, jusqu’au moment de la consommation, qui doit toujours avoir lieu dans les 24 heures suivant l’achat. Elle peut ainsi continuer à s’affiner", assure le chef.
Et si le mal est fait, la mozzarella – qui vient de mozzare, l’opération que le fromager effectue pour séparer les différents morceaux du mélange pendant la transformation – doit être sortie du frigo et plongée dans l’eau chaude (à 45°C degrés environ) une vingtaine de minutes avant la dégustation afin de se réchauffer à cœur.
C’est pasta et basta ! VRAI
"Les pâtes ne sont jamais, en aucun cas, un accompagnement de la viande ou du poisson. Et réciproquement, elles ne s’accompagnent jamais de légumes ou de salade."
Quand Giuseppe Arbia voit certains restaurateurs proposer des tagliatelles à côté de l’escalope milanaise, il crie au scandale. Il faut se pencher sur la structure des repas à l’italienne pour comprendre. Ils commencent traditionnellement par des antipasti puis se déroulent en deux plats : il primo et il secondo. Cette distinction est une des raisons du succès nutritionnel du régime méditerranéen, parce que le féculent servi en premier (des pâtes ou du riz) garantit de calmer son appétit tout de suite, et d’arriver aux protéines, et au gras, par gourmandise.
D’ailleurs, c’est pour cela que peu de féculents sont servis avec la viande ou le poisson : comme on en a déjà mangé avant, en accompagnement on choisira plutôt des légumes et d’autres choses vertes. Ce que l’on sait moins, c’est qu’il y a plein de secondi qui, pendant la cuisson, produisent des primi : une viande mijotée longtemps, donne ainsi une sauce avec laquelle on peut assaisonner des pâtes !
Il y a toujours de l’oignon dans la sauce tomate : FAUX
Alla gremolata, all’arrabiata… Là, oui, on émince un oignon avant d’attaquer la cuisson. Mais on ne versera aucune larme en épluchant le bulbe goûtu pour préparer la sauce amatriciana… « Pas d’oignon ! Même si on trouve beaucoup de recettes qui en contiennent », rouspète le chef.
Cette sauce doit son nom à Amatrice, une ville de la province de Rieti, en Italie. Les ingrédients ? Guanciale (joues ou bajoues du cochon salaisonnées), pecorino, vin et tomate. L’amatriciana est en fait une variante de la pasta alla gricia dans laquelle on ajoute de la tomate. La recette de la gricia a été inventée par des bergers, qui allaient aux pâturages avec du saindoux, des pâtes séchées, du guanciale, du poivre noir et du fromage pecorino romano. Rien de plus !
La mostarda est une moutarde : FAUX
Ce n’est malheureusement pas la mostarda italienne qui palliera la pénurie de moutarde de Dijon !
"Généralement consommée en période de fêtes de Noël, la mostarda est un condiment à base de fruits confits typique du nord de l’Italie… Il est piquant grâce à la présence de moutarde." Ce drôle de truc, sur le papier, marche très bien et est apprécié depuis des siècles !
Si la recette est peu ou prou celle des fruits confits que l’on connaît, la grande surprise vient à la fin du processus avec l’ajout de graines en poudre ou d’huile essentielle de moutarde venant donner un petit coup de fouet au produit. Ce condiment de luxe – surtout dans sa version de Cremona à base de fruits entiers comme les figues, abricots, cerises – se marie traditionnellement avec le bollito (une sorte de pot-au-feu), avec des fromages de brebis, du lard de Colonnata, etc.
La Genovese est en fait napolitaine : VRAI
Malgré son nom, la Genovese n’est pas un plat de Gênes, "il s’agit plutôt d’un des plats les plus traditionnels de l’antique cuisine napolitaine, toujours préparé selon un rituel ancestral. Son nom est dû aux marins génois qui étaient débarqués à Naples au long du XVIIIe siècle."
Il s’agit d’un ragù, c’est-à-dire une sauce dont la préparation est basée sur deux éléments : présence de viande et un procédé de cuisson très lent. On la mange sur des pâtes. Sur le plan symbolique, c’est le plat de la famille réunie.
Le tiramisu remonte le moral : VRAI
"Le mot tiramisu veut dire ‘’remonte moi le moral’’... Son histoire débute à Venise, au XIXe siècle", explique le chef.
Venise est alors une ville de marin et sur le Ponte Delle Tette (en français, « Pont des Tétons »), des prostituées exhibent leurs poitrines pour attirer les hommes vers les maisons closes. À l’intérieur, ces derniers se voient alors servir un dessert, l’ancêtre du tiramisu, qui se traduit littéralement par « remonte-moi le moral » en français.
En Italie ces lieux de « plaisir » sont fermés en 1958, mais le tiramisu, lui, perdure !
- sécheresse : Retrait-gonflements des sols argileux > fissures dans les maisons, inhabitables, non assurable
Attention l'expert de l'assurance cherche à étayer l'apparition de la fissure avant la date de reconnaissance de sécheresse de la commune ou de trouver une cause externe dedouanant l'assureur (arbre proche de la maison)
OpenSky et artificialisations des sols de Sophia antipolis
Assurance - droit à l'assurance (organisme qui aide à la négociation d'un contrat d'assurance pour assurer un risque si les assureurs contactés refusent d'assurer)
- en cas de sinistre, imposer la présence d'un expert privé le jour de la visite de l'expert de l'assurance (il n'est pas neutre, il cherchera à trouver un élément qui classera le sinistre non couvert par l'assurance). Coût de 700€ à 1500€ mais ça aidera à obtenir une meilleure (juste) indemnité. C'est encore mieux si l'expert privé intervient sur plusieurs expertises d'une même source de sinistre (dans le cadre d'une association, regroupement de sinistrés)
Et dans les alpes Maritimes??
Article Nice Matin https://www.nicematin.com/environnement/maisons-fissurees-par-la-secheresse-habitez-vous-une-zone-a-risques-et-que-faire-si-cest-le-cas-796995
=> La Roquette Impasse de laveine zone rouge !!
Prenez connaissance des actions à mettre en œuvre en cas d'accident.
Consignes de sécurité
éviter de laisser la victime seule,
assurer les premiers soins d’urgence en tenant la victime au chaud,
donner l’alerte en précisant : l’état de la victime, le lieu précis et l’heure de l’accident,
se tenir à disposition des sauveteurs pour d’éventuelles précisions,
signaler l’emplacement de la victime de façon visible dans l’attente des secours spécialisés.
Comment donner l'alerte ?
Pour alerter les secours, composer le 112
Rappelons que la couverture GSM des moyennes et hautes vallées reste très inégale et qu’en conséquence le recours au téléphone portable ne peut être systématique.
Contenu du message d’alerte, préciser :
Où : lieu, itinéraire, altitude, environnement.
Qui : Identité, n° de téléphone.
Quoi : type d’accident, nombre de victimes, gravité.
Quand : heure de l’accident.
Météo : vent, visibilité, précipitations.
En cas de secours aérien
A l’arrivée de l’hélicoptère utiliser les signes conventionnels ci-dessous,
protéger vos yeux et la victime des projections provoquées par l’hélicoptère,
ne jamais approcher d’un hélicoptère avant d’y être invité par l’équipage,
surveiller la descente du sauveteur qui peut malencontreusement provoquer des chutes de pierre.
Chiens, chats, oiseaux exotiques, serpents, chevaux, vaches ou chevreuils… Il y a peu d’animaux que ne connaissent les 24 sapeurs-pompiers, professionnels et volontaires, du GSA, le Groupe de sauvetage animalier des Alpes-Maritimes. Cette équipe a été créée en 2007 par le capitaine Stéphane Augier...
Que faire ?
Votre animal de compagnie est en mauvaise posture ou alors vous avez repéré une bête sauvage qui semble en danger, que faire ? Appelez les pompiers au 18. Le capitaine Augier et ses deux adjoints sont conseillers techniques pour le GSA. Le standard pourra leur transférer votre appel (il y a toujours quelqu’un d’astreinte). Ils pourront ainsi évaluer la situation, déclencher le dispositif approprié le cas échéant et surtout vous conseiller en attendant l’arrivée des secours.
"Il faut être très prudent et éviter de s’approcher ou de manipuler un animal en danger. A cause de la panique il pourrait chercher à se débattre ou à s’enfuir, risquant au passage de blesser la personne. Et s’il s’agit d’une espèce sauvage, ne surtout pas la toucher car elle pourrait être porteuse de maladies. Mieux vaut rester en surveillance afin de pouvoir guider les pompiers jusqu’au lieu d’intervention."
A quels animaux cela s’applique ? Absolument tous sans exception: à poils, à plumes, à écailles, qui nagent, qui marchent ou qui volent.
E100 pour les colorants,
E200 pour les conservateurs,
E300 pour les antioxydants,
E400 pour les agents de texture,
E500 à E1505 pour les correcteurs de goût.
Les additifs sont obligatoirement mentionnés sur l’étiquette. Ils peuvent l’être sous la forme d’un code, précédé de la lettre E, ou encore sous un nom plus fréquemment utilisé. C’est le cas, par exemple, de l’E300, autre nom de la vitamine C, utilisée comme antioxydant. Une grande partie de ces additifs est nécessaire, notamment pour assurer la sécurité sanitaire des aliments
Juste parce que j’en ai marre de rechercher tout le temps les mêmes liens et les mêmes chiffres, voici un récap de trois chiffres clés à à propos du charbon, soi-disant préférable au nucléaire en matière d’énergie. Vous verrez : même en ce qui co…
C'est une conséquence des averses orageuses qui ont frappé le Sud-Est à la mi-août mais aussi des fortes chaleurs. Un cocktail météo particulièrement prisé des moustiques.
"La présence de moustiques est conditionnée par deux facteurs principaux: la chaleur et l’humidité. L’humidité, pour que les œufs pondus puissent se développer et passer par les étapes de larves puis de nymphe, ceci n’étant possible que dans une eau où ils pourront se nourrir de bactéries et de planctons… La chaleur, pour que la larve pousse son développement jusqu’au stade adulte du moustique", éclaire le site spécialisé Vigilance moustiques.
Après la pluie, une dizaine de jours suffisamment chaud permettent aux œufs pondus de devenir des larves puis des moustiques adultes.
En septembre aussi
"Dès leur émergence, les moustiques femelles cherchent un hôte pour piquer et effectuer leur premier repas de sang, même si elles peuvent aussi de nourrir de nectar qu’elles prélèvent de préférence au crépuscule. Les mâles, eux, se contentent de sucs de végétaux ou de sucre", décrit Vigilance moustiques.
Voilà donc pourquoi les "seringues volantes" sont aussi actives en cette fin août dans la région. Et la situation ne devrait pas s'améliorer en septembre puisqu'un retour des pluies orageuses est prévu dès ce week-end dans le Sud-Est. Salutaire contre l'actuelle sécheresse, mais de quoi favoriser aussi de nouvelles pontes...
Sur la plage Gazagnaire, à Cannes, les ambassadeurs de Méditerranée 2000 ont mené une opération de sensibilisation à la présence de la posidonie. On vous explique pourquoi elle doit être préservée.
Répugnant, désagréable, malodorant. Tant d’adjectifs pour décrire les larges cordons brunâtres sur le sable le long du rivage que locaux et touristes détestent. Si bien qu’ils voudraient tous les retirer. S’ils savaient…
La présence des banquettes de posidonie, qui s’échouent sur le sable avant de sécher au soleil, n’ont jamais été aussi importantes. "Indispensables", même.
C’est ce qu’ont expliqué les ambassadeurs de l’association Méditerranée 2.000 à ceux qui voulaient l’entendre sur la plage Gazagnaire, à Cannes, dans le cadre de la campagne Inf’Eau Mer. "C’est le poumon de la mer, affirmait Paul Ouvrard. Elle a beaucoup de vertus et joue plusieurs rôles. Tant dans l’eau que sur le sable."
Oui, mais lesquels?
Forêt de la mer
En termes de production d’oxygène, cette plante vivante (et non une algue!) ne pourrait faire mieux. Par jour et par mètre, la posidonie libère environ 14 litres d’oxygène grâce à la photosynthèse. Par an? 250 milliards de litres. Selon Paul Ouvrard, "elle absorbe plus de CO2 qu’une forêt".
Barrière naturelle
L’accumulation des feuilles mortes rejetées par la mer amortit les vagues. "Ce qui empêche l’érosion des plages." Leur présence fait office d’une barrière naturelle; la mer ne pas peut grignoter le sable, et évite la disparition des plages peu à peu. "Certaines communes, l’été, enlèvent la posidonie pour la stocker dans des hangars le temps de la période estivale. Comme c’est interdit, elles la remettent à la fin!"
Eau turquoise
La posidonie, se développant dès les premiers mètres, jusqu’à 40mètres de profondeur, piège les particules en suspension, qui vont sédimenter au cœur de l’herbier. Grâce à ce filtre, cela participe à l’éclaircissement de l’eau.
Pôle de biodiversité
Mollusques, crustacés et poissons ne pourraient s’en passer. C’est dans la plante vivace qu’ils trouvent refuge, s’y reproduisent et, parfois, s’alimentent en dégustant ses fruits (appelées "olives de mer"). La présence de multitudes de petits végétaux et animaux favorise, d’ailleurs, la chaîne alimentaire.
Avec la belle saison, fruits à croquer et crudités s’invitent à table. Mais ils peuvent être lourdement assaisonnés de pesticides. Comment éviter ces toxiques ?
LAVER OU PELER
→ Rincer à l’eau courante durant 30 secondes élimine de manière très variable les pesticides. Selon leur nature, certains disparaissent totalement, d’autres pas du tout. Des bains de vinaigre ou de bicarbonate d’une dizaine de minutes ou le fait de frotter peuvent améliorer l’élimination. La technique du lavage suffira donc pour les végétaux peu exposés aux pesticides.
→ Ôter la peau est préférable pour les plus contaminés, comme les poivrons, les aubergines, les pêches et même les tomates. Se munir d’un couteau ou d’un économe est donc l’arme la plus efficace, même s’il peut rester des pesticides à l’intérieur du fruit – c’est le cas des pommes et des oranges, entre autres. En cas de besoin de zeste ou d’écorce, préférer les agrumes bios.
SE TOURNER VERS LE BIO
En agriculture biologique, l’usage de pesticides est fortement restreint. Cela se traduit directement dans le panier : plus de 85 % des végétaux bios sont exempts de résidus de pesticides dangereux. Néanmoins, ils peuvent être contaminés indirectement par des pesticides anciens (interdits aujourd’hui mais persistants dans l’environnement) ou venus des champs voisins lors des épandages. Pour ceux qui ne s’épluchent pas et qui sont souvent contaminés (cerise, fraise, haricot, salade…), le bio est donc intéressant. Les labels « sans pesticides » sont également fiables.
Bonjour Muriel, Quel bonheur de pouvoir admirer dauphins et autres cétacés à quelques encablures de la côte. Comment ne pas se laisser séduire par l'envie de les approcher au plus près. Le Parc national de Port-Cros rappelle toutefois qu'il existe un code de bonne conduite Pelagos (réserve naturelle entre l’Italie, Monaco et la France pour la protection des mammifères marins) pour éviter de rompre la tranquillité des baleines et des dauphins notamment.
Si vous les croisez, il est recommandé de:
Conserver une distance de 100 mètres entre les animaux et l'embarcation pour interférer le moins possible avec leurs comportements naturels (sauf si les animaux viennent spontanément nager à l’étrave);
Approcher doucement les animaux par le côté arrière et parallèlement à leur route, de manière à éviter les approches frontales (intrusion) ou par l’arrière (poursuite);
Limiter sa vitesse à 5 nœuds (10 km/h), conserver un cap régulier et une trajectoire parallèle au groupe;
Quitter les animaux au bout de 30 minutes maximum pour préserver leur tranquillité;
Écourter l’approche en cas de présence de nouveau-nés;
Interrompre l’observation si les animaux montrent des signes de dérangements (fuite, coups de caudale à la surface, etc.);
N’avoir aucun contact avec les animaux (toucher, nourrir, nager), même en cas de venue spontanée au bateau.
La réglementation en vigueur
Il faut s'avoir que l'arrêté ministériel du 1er juillet 2011 (modifié) interdit, dans les eaux sous souveraineté et sous juridiction (jusqu’à 370 km de la côte), la perturbation intentionnelle et la poursuite ou le harcèlement de ces mammifères. Depuis 2020, la perturbation intentionnelle inclut l'approche des animaux à une distance de moins de 100 mètres dans les aires marines protégées. Le texte fixe aussi la liste des mammifères marins protégés.
En outre, l'arrêté du Préfet maritime du 6 juillet 2021, interdit depuis juillet 2021, d’approcher volontairement les mammifères marins à moins de 100 mètres, dans toutes les eaux intérieures et la mer territoriale (jusqu’à 22 km de la côte).
C’est officiel, l’indice de réparabilité est étendu aux lave-linge top, aux lave-vaisselle, aux nettoyeurs à haute pression, ainsi qu’aux aspirateurs filaires, sans fil…
Le Conseil départemental des Alpes-Maritimes lance un plan anti-frelons.
Qu’est-ce que le cycle WLTP ?
L’autonomie des voitures électriques, comme celles des autres véhicules, est déterminée par un cycle d’homologation commun baptisé « WLTP ». L’acronyme signifie « Worldwide Light Vehicles Test Procedures », soit en français « procédure d’essai mondiale harmonisée pour les véhicules légers ». Il s’agit d’une série de tests destinés à évaluer la consommation d’énergie, les émissions à l’échappement (pour les modèles thermiques) et l’autonomie de chaque voiture électrique mise sur le marché. En Europe, la norme WLTP est imposée depuis septembre 2018 en remplacement du cycle NEDC, qui était obsolète et très peu fidèle.
Le véhicule est placé sur bancs à rouleaux dans un laboratoire, puis est soumis à différents cycles censés reproduire des conditions de conduite réelles. Le parcours virtuel dure 30 minutes et s’étend sur 23,25 km suivant ces principes :
- 46,5 km/h de vitesse moyenne
- 131 km/h de vitesse maximale
- Température extérieure de 14 °C au départ puis 23 °C
- 52 % de parcours urbain et 48 % d’extra-urbain (autoroutes).
La moyenne du circuit urbain et extra-urbain correspond au « cycle mixte », souvent communiqué par les constructeurs automobiles. L’ensemble du test est globalement favorable à la sobriété : la vitesse moyenne est relativement faible et le trajet ne comprend aucun relief. L’autonomie obtenue est bien conforme à la réalité, mais correspond à un type de trajet et à un comportement de conduite très spécifiques.
Peut-on se fier aux chiffres annoncés par le WLTP ?
Oui, il est possible de rouler autant de kilomètres qu’annoncés en cycle WLTP, à condition d’adopter une conduite économique sur route départementale ou nationale sans reliefs. En ville, il est parfois possible de dépasser l’autonomie promise selon les conditions de circulation et l’attitude du conducteur. N’imaginez toutefois pas atteindre le rayon d’action annoncé sur autoroute à 130 km/h ou en franchissant un col de montagne.
En général, l’autonomie réelle sur autoroute à pleine vitesse correspond à environ 50-60 % du cycle mixte WLTP. Ainsi, lorsqu’une Renault ZOE est promise à 395 km WLTP, vous pouvez espérer rouler en réalité de 180 à 220 km sur autoroute. Il ne faut pas oublier qu’aucun cycle standardisé ne peut refléter précisément l’autonomie et la consommation moyenne d’un véhicule.
Chaque conducteur possède en effet son propre comportement de conduite et les routes sont plus ou moins vallonnées. La météo influe également, tout comme les caractéristiques des véhicules. Autant de facteurs susceptibles de faire sensiblement varier la consommation de la voiture électrique. La meilleure façon de rendre compte de l’autonomie réelle d’un véhicule électrique est finalement de l’essayer soi-même dans ses propres conditions d’utilisation.
CPTS du Pays d’Azur : Mouans-Sartoux/Mougins/La Roquette https://www.cptspaysdazur.fr/page/902065-presentation
CPTS du Pays de Lérins : Cannes et le Cannet https://www.cptspaysdelerins.fr/page/816230-presentation
CPTS Antipolis : Antibes et Vallauris https://www.cptsantipolis.fr/page/877166-presentation
CPTS Val de Siagne : Mandelieu, Pégomas et Théoule https://www.cptsvaldesiagne.fr/page/1614937-presentation
découvert par Article Nice Matin https://abonnes.nicematin.com/article/et-si-des-associations-de-soignants-permettaient-une-meilleure-prise-en-charge-des-patients--737149
L’actualité me fournit une excellente occasion de revenir sur un sujet qui m’est cher : le choix de garder le silence en garde à vue. Plusieurs joueurs professionnels de handball
Découvert par le post de LHV https://lehollandaisvolant.net/?id=20211217134114
Un post ancien, mais édifiant , de la part de Maître Eolas.
Le message : en garde à vue, gardez le silence.
Même si vous êtes innocent : Gardez. Le. Silence.
L’article dit pourquoi et j’invite à le lire même si j’en résume deux points ici :
Premièrement, même en étant sincère (et que vous vous savez innocent) : vous pouvez dire de la merde ou dire une erreur.
Le problème, c’est que ça sera ajouté au dossier et considéré comme étant dit volontairement et librement par quelqu’un en état de parler et de réfléchir.
Or, après 48 heures sans dormir ni manger dans une cellule sombre et qui pue sans vos chaussures, lunettes, montre, vous n’êtes plus vous-même. Vous direz forcément de la merde à un moment donné.
Merde qui ne pourra plus être retirée.
Merde qui sera retenu contre vous.
Quand on se tait, au moins on ne dit pas de merde. Au moins ça ne pourra pas être retenu contre vous.
Et le droit de garder de silence est un vrai droit et ça ne fait pas de vous un coupable quoi que les policiers diront (c’est leur métier de vous tirer les vers du nez).
Deuxièmement, toujours comme il dit, la garde à vue et les discussions qui s’y font sont asymétriques.
Vous, vous êtes menottés, fatigués et intimidés et soupçonnés. Le policier en face, il est libre, intimidant et il pourra rentrer chez lui à 17h pour voir sa famille, manger et se reposer.
Lui il a accès au dossier, aux témoignages et sait ce qu’on vous reproche. Il sait les questions à vous poser. Vous, vous ne savez pas encore, ni les réponses à leur donner.
Encore une fois, vous pourriez dire des choses inutiles ou incriminantes et qui seront retenues contre vous.
Ce n’est qu’une fois que le dossier sera devant la justice que vous saurez ce qu’on vous reproche, que vous aurez un avocat, et que vous pourrez parler pour vous défendre convenablement.
Bref : ne parlez pas aux policiers. Seulement à votre avocat.