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ADOPTE UN FLAMANT
Regarde-les, ne sont-ils pas mignons ? Ils n’attendent plus que toi…
Tu peux choisir l’une de nos mascottes, un flamant qui te ressemble, ou même un flamant qui a ton âge. Tu peux aussi en offrir à tes proches ! Il y en a pour tous les goûts et tous les budgets. Tu recevras ensuite régulièrement des nouvelles de ces majestueux oiseaux tout en ayant contribué à une bonne cause…
En parrainant un flamant rose, c’est l’espèce entière que tu aides mais aussi ces milieux humides qu’ils affectionnent tant !
Découvert par chronique https://www.radiofrance.fr/franceinter/podcasts/esprit-d-initiative/esprit-d-initiative-du-mercredi-31-janvier-2024-8007944
et
article Nice Matin https://www.nicematin.com/environnement/comment-le-flamant-rose-est-devenu-l-ambassadeur-des-zones-humides-900741
L‘institut de référence pour les zones humides organise une journée de visite guidée, jeu de piste, ateliers et conférence. Bottes et jumelles conseillées. Entrée libre, de 8h30à 17h.
La Tour du Valat est située à 30km au sud d’Arles, en Camargue. Infos: https://tourduvalat.org
Le 03/02/2024 Parrainage de Dora, 2003, 6100km observée 173 fois (50€/an)
https://monflamant.com/adopte-nos-familles/dora/
"Jusqu’à présent, le recrutement se faisait au niveau local, analyse Jean-Paul David, président du Centre de gestion de la fonction publique territoriale des Alpes-Maritimes. Mais cela devient un vrai métier de la fonction publique territoriale, avec toute la reconnaissance qui doit lui être apportée."
"Aujourd’hui, un secrétaire de mairie doit faire face à ce que l’on dénonce tous les jours. C’est-à-dire la complexification administrative, aux normes, à savoir comment se positionner par rapport aux intercommunalités."
C’est en ce sens qu’avec l’association des maires, le Département et d’autres acteurs institutionnels, ils ont décidé de lancer une formation avec Pôle emploi (aujourd’hui France Travail) afin de faire découvrir, identifier et former de potentiels futurs secrétaires de maire. Un moyen, aussi, de pallier les vacances annoncées de certains postes dans le département.
Sur une des restanques du "Jardin du petit Pessicart" à Nice, les enfants s'activent.
Ce matin, Annabelle, Eva, Mathieu, Sandro et les autres préparent le potager. Guidés par Pietro Zucchetti, spécialiste de permaculture et Olivier Ciais. Professeur des écoles, ce dernier s'est mis en disponibilité pour développer un projet d'école de la forêt. Pour l'heure, ce lieu est un centre de ressources pour ces enfants qui sont scolarisés à la maison.
"Ils viennent 2 à 4 fois par semaine, ça permet de les sociabiliser," note Olivier Ciais. Et tout au long de l'année, des classes de primaire sont aussi accueillies dans ce jardin, situé sur une colline niçoise.
Immersion dans la nature
"Dans la nature, on peut donner du sens aux apprentissages scolaires, souligne Olivier Ciais. Toutes les tâches qu'ils font ici dans ce jardin en permaculture correspondent aux vrais besoins de la terre. Les matières scolaires trouvent un terrain d'application qui fait comprendre aux enfants à quoi servent les grandeurs et mesures, la science, la capacité à nommer et raconter précisément les choses pour pouvoir coopérer… Et en plus, ce projet concret permet de régénérer la terre."
"Ici, ils peuvent éprouver les notions manuellement, de façon appliquée."
Olivier Ciais
Du concret, comme le potager où les enfants délimitent l'espace des plantations, et appréhendent le périmètre: "il faut mesurer la tuile", suggère Mathieu, 7 ans, avant de la poser sur le sol pour construire la jardinière.
Diane, maman d'Ariya, assiste à la création du potager. Les enfants déplacent la terre, la tamisent, puis plantent au pied du troène, avocatier, sauge, salades… Ils sont incollables sur les différentes essences.
En moins d'une heure, la petite troupe a commencé à donner forme au potager, sur une restanque à la terre labourée par les sangliers.
Comment en mesurer les bénéfices?
"La nature développe l'endorphine et la sérotonine, là où tous nos modes de vie avec les écrans et pas mal de sucre développent l'adrénaline et la dopamine, poursuit Olivier Ciais. Donc, on a des enfants assez excités et tendus. Quand ils viennent dans un cadre naturel, ils se détendent."
Le professeur des écoles souligne aussi les atouts en termes de motivation. Ici, chaque tâche est accueillie avec enthousiasme.
Ça construit des enfants qui ont de la ressource car ils savent faire des choses de leurs mains.
"Le cerveau de l'enfant se développe en parallèle de sa motricité, l'enfant est stimulé et ça soutient l'ouverture de ses capacités cognitives. Il a un terrain de jeu pour faire des liens entre les choses. Et puis, ça construit des enfants qui ont de la ressource car ils savent faire des choses de leurs mains."
Ce matin, ils manient rateau, pelle et brouette, avec plus ou moins d'aisance, puis petit à petit, trouvent les gestes.
Et demain?
"Ce qu'on souhaite, c'est faire un site pilote d'école de la forêt, en lien direct avec l'Académie, où l'on cherche les meilleures façons d'accueillir les enfants et les générations futures. Pour que les écoles puissent s'en inspirer, développer des projets en ville avec des jardins de quartier, afin de reconnecter l'éducation avec la nature."
Face aux enjeux du réchauffement climatique, Olivier Ciais en est persuadé, l'école de la nature permettra aux enfants "d'éviter la stupeur, et d'avoir un coussin émotionnel pour appréhender la situation et la confiance qu'ils peuvent régénérer un écosystème."
Espèce emblématique de la Méditerranée, la posidonie protège le littoral de l’érosion en freinant la houle de fond et absorbe le dioxyde de carbone contribuant ainsi à ralentir les effets du réchauffement climatique. Seulement voilà, en plus d’être victimes de la pollution, les herbiers sont trop souvent arrachés par les ancres des bateaux.
La solution? Des mouillages écologiques. Ainsi sont nées les ZMEL (zones de mouillage et d’équipements légers) qui délimitent et aménagent, sur le domaine public maritime naturel, des aires d’accueil pour les bateaux, sur points de fixation ou sur ancres, dans les secteurs fréquentés par les plaisanciers dont les fonds abritent des espèces protégées.
À Villefranche, la posidonie reprend
Parmi les sites équipés des Alpes-Maritimes: la rade de Villefranche-sur-Mer.
"Protéger les posidonies, c’est fondamental, explique Nicolas Frouté, responsable ZMEL à la mairie. 52 bouées ont été installées pour l’été 2022. Certaines sont louées à l’année, d’autres à titre temporaire d’avril à octobre. Depuis, on a vu clairement la posidonie reprendre dans la rade qui est aujourd’hui très propre. La ZMEL est une belle alternative pour gérer l’affluence et la démocratisation de la plaisance. Elle offre un espace de liberté et sécurisé. C’est une jolie promesse de développement."
Dans les Alpes-Maritimes, quatre ZMEL sont opérationnelles: à Villefranche-sur-Mer donc, mais aussi au cap d’Antibes, à Cannes (embouchure du Béal) et à l’île Sainte-Marguerite (Lérins). Et trois projets sont lancés: un nouveau sur les îles de Lérins, à Théoule-sur-Mer et au Port du Crouton à Antibes.
Dans la Vésubie, un groupe de citoyens motivés veut faire germer des idées neuves dans la vallée. Retenez son nom, car il compte bien faire parler de lui: Collectif de la transition en Vésubie Valdeblore.
"Tout découle d’Alex. Après la catastrophe, il fallait tout reconstruire. On s’est dit: pourquoi ne pas le faire différemment, en expérimentant", souligne Hélène Martin, de l'association Les Potagers de la Vésubie.
Pour fédérer, le collectif a agrégé une partie du tissu associatif enraciné dans ce territoire de montagne, très vulnérable aux aléas climatiques, comme l’a confirmé le passage cet automne de la tempête Aline. "Après cette deuxième épreuve, il y a eu un ras le bol dans la population", relate cette habitante de Saint-Martin-Vésubie.
Un "fab lab" rural
Boosté par un premier événement il y a un an, les Etats généraux de la transition écologique, le collectif, qui réunit 140 adhérents dont un noyau dur d’une vingtaine de motivés, s’est structuré par groupes thématiques pour passer à l’action: mobilités, énergie, low-tech…
"Ce qu’on veut, c’est devenir une vallée expérimentale, un fab lab pour essaimer nos expérimentations, notre savoir faire, nos résultats", explique Eric Comoglio, président depuis 2001 de l’association Vésubie découverte, et cheville ouvrière de l’initiative.
Co-stop, stérilisateurs de bocaux à l'énergie solaire, achats groupés...
Ensemble, les citoyens phosphorent. Ainsi, le groupe "achats groupés" planche sur l’acquisition de denrées alimentaires. "De la farine, dans un premier temps. Puis, pourquoi pas du vinaigre, du bicarbonate, voire du combustible pour se chauffer", détaille Hélène Martin.
Une commande de 30 tubes solaires pour stériliser des conserves est aussi dans les tuyaux, ou encore des tutos pour construire son four solaire.
"Chaque jour, 600 véhicules quittent la Vésubie pour aller vers Nice, avec seulement une personne à bord", constate par ailleurs Hélène Martin. Pour contrer ces chiffres, et ainsi limiter les émissions de gaz à effet de serre générées par ces trajets, le collectif réfléchit à relancer, via une application, le covoiturage mais aussi le "co-stop".
"Au bord de la route, cela pourrait prendre la forme de panneaux avec une marmotte devant lesquels il suffirait de se placer. Quand une voiture équipée du stickers marmotte passe, on sait alors qu’il s’agit d’un conducteur volontaire. L’idée, c’est aussi de sécuriser le stop pour les jeunes", détaillent Hélène et Eric.
Rendre la vallée résiliente aux crises
En filigrane, un enjeu de fond se dessine. Le même que celui qui a motivé les citoyens de l'association Remontons La Roya, autre vallée azuréenne éventrée par les catastrophes climatiques. "On pense aussi à des jardins partagés, par exemple. Faire de la transition écologique, d’accord. A condition d’aller vers la résilience. Comment consommer autrement, se préparer à des pénuries? Alex a montré qu’on n’avait aucune autonomie ni en nourriture ni en eau. Plus récemment, lors de la tempête Aline, il a fallu approvisionner Venanson en eau par hélicoptère", retrace Eric Comoglio.
Ici, on planche aussi sur comment remettre en circulation les canaux d’irrigation. "Seuls 30% sont aujourd’hui utilisés en Vésubie", relate Hélène Martin.
Animations et éducation au programme
Pour faire germer la dynamique, le Collectif de la transition en Vésubie Valdeblore compte bien occuper l’espace public. A son actif: déjà plusieurs ciné-débats.
"On réfléchit à comment intervenir dans les écoles, au collège de Roquebillière, au lycée de Valdeblore. Il y a une difficulté à séduire les jeunes, mais pour faire cette transition, on veut les embarquer", lance Eric.
Un groupe apolitique à disposition pour aider
Afin de "passer des mots à la mise en œuvre", ces citoyens motivés en appellent à toutes les bonnes volontés. "Ce territoire, c’est 6000 personnes, il y a du potentiel! Mais parfois, les gens préfèrent ne pas savoir, ils se détournent. Le défi, c’est de les ramener à adhérer de près ou de loin à l’importance de la transition", pose Eric. "Leur dire, que ce n’est ni un truc de bobos ni d’illuminés mais du pratico-pratique", rebondit Hélène.
Apolitique, le groupe, résolument constructif, espère "avoir l’oreille de tout le monde". "On aimerait juste dire aux maires, aux élus du coin : on a des experts avec nous, comment est-ce qu’on pourrait vous aider?", renchérit la fondatrice des Potagers de la Vésubie.
https://www.facebook.com/LespotagersdelaVesubie06/?locale=fr_FR
https://www.facebook.com/transitionvesubievaldeblore
contact.vesubie@gmail.com
découvert par https://www.nicematin.com/environnement/comment-ce-site-veut-faire-cohabiter-randonneurs-troupeaux-et-chiens-de-berger-897758
Des colliers GPS pour "les brebis meneuses"
Comment ça marche? "Concrètement, dans chaque troupeau, deux brebis meneuses sont équipées de collier GPS. Utilisant un réseau bas débit, ceux-ci ont une durée de charge de plus de 4 mois qui ne nécessite aucune manipulation du berger", détaille Maurice Laugier. La collectivité qu’il préside s’est vue financer la quasi intégralité des 30 000€ de développement de cet outil par l’Etat, dans le cadre du Plan de relance contre la fracture numérique.
Plus de 3000 visiteurs uniques
Sur la carte interactive, les troupeaux se dessinent en petits cercles. Il suffit de cliquer dessus pour obtenir les informations en temps réel. "Col d’Allos - Nombre de brebis: 1511. Chiens de protection: 2 Montagne des Pyrénées, Perle et Tiis. etc." Suivent des conseils pour contourner l’endroit ou éviter la bagarre avec son propre animal de compagnie.
Bientôt dans les vallées azuréennes?
Alors qu’un déploiement en anglais est en cours, Pastorando pique la curiosité d’autres territoires ruraux. Des échanges se sont notamment noués avec la présidente de la Fédération nationale des communes pastorales, maire de Lieuche, dans les Alpes-Maritimes. "Dans des zones très très rurales et peu peuplées, il faut être créatifs et innovants!", conclut Maurice Laugier.
Thierry, Patrick, Jérôme, Frédéric et les autres sont de jeunes retraités. Ingénieurs de formation, ils ont décidé de mettre leur temps libre et leur expertise au profit du maraîchage.
A Bar-sur-Loup (06), sur plus de 6000 m2 de terre, ils expérimentent des pratiques innovantes pour cultiver en optimisant les ressources en eau et en énergie.
L'objectif: arriver à une agriculture urbaine décarbonée, capable de répondre aux enjeux du réchauffement climatique.
"Nous menons une expérimentation à petite échelle dont le but est d'être utile," pose modestement Thierry Dumontel.
Sur la parcelle des Petits Loups maraîchers, il a mis en oeuvre avec ses comparses plusieurs actions innovantes, portées par leur association Meeed.(1)
Un tracteur diesel transformé en électrique
L'ingénieur à la retraite commence le tour de l'exploitation par le tracteur bleu garé à l'entrée. Il soulève le capot.
"En mai, on a remplacé le moteur diesel par un électrique. Pour alimenter ce moteur, on a un pack de batteries.
On donne ainsi une seconde vie, et 20 ans d'utilisation de plus, à un matériel qui a eu une empreinte carbone initiale.
Combien coûte cette transformation? "En matériel, le coût s'élève à environ 6000 euros. Sachant qu'un tracteur électrique neuf à l'achat représente environ 42 000 euros. C'est donc compétitif. Le but, c'est de montrer qu'on peut travailler le sol avec un engin à propulsion électrique." Silencieux, non polluant, et "zéro carbone et autonome car nos batteries sont alimentées par nos panneaux solaires qui se trouvent sur l'exploitation."
Il propose de nous montrer l'installation, soutenue par des financements européens.
Une exploitation alimentée par l'énergie solaire
Pour arriver au local technique, Thierry, Frédéric, Jérôme et Isabel qui comptent parmi les 10 chevilles ouvrières de l'association, cheminent le long des rangées de poireaux, navets, fenouils, salades, cébettes, choux-fleurs…
"On produit l'équivalent de 40 paniers par semaine, pour les membres de l'association qui s'engagent à consacrer 64 heures par an au jardin," explique Jérôme Destors.
Cette cinquantaine de familles apprennent un savoir-faire.
Notre souhait, c'est de transmettre la volonté de se réapproprier une partie de l'agriculture locale.
Au fond de l'exploitation, sur le toit du local technique, l'association a installé 12 m2 de panneaux photovoltaïques. "On a fait valider l'installation par des étudiants de l'école des Mines Paris-PSL à Sophia, commente-t-il. L'énergie produite charge des batteries lithium. Elle sert à alimenter le tracteur, les lumières, les outils portatifs mais aussi notre système d'irrigation, puisqu'on pompe l'eau."
Un système d'arrosage innovant, pour économiser l'eau
Pour permettre à leur exploitation d'être la plus économe en eau, les ingénieurs ont développé un logiciel. "L'irrigation est informatisée depuis un an.
L'installation considère l'évapotranspiration du jour, grâce aux données de notre station météo, et calcule les besoins en eau, chaque jour, de chaque plante.
"On va, par exemple, faire un calcul pour la carotte, la salade…"
Pour connaître les besoins des différents légumes plantés et ainsi configurer le logiciel, ils se sont appuyés sur une étude d'une étudiante en agronomie.
Ce système nous permet d'ajuster précisément la distribution d'eau sur chaque ligne.
Si la technique de calcul est connue, les ingénieurs retraités l'ont mise en œuvre.
"Notre plus-value est là, pour l'instant ce type de système n'est pas disponible dans le commerce."
Une installation innovante doublée d'une application que Jérôme Destors affiche sur son smartphone.
"On l'a développée pour pouvoir contrôler à la fois les pompes qui gèrent l'alimentation en eau et les vannes qui arrosent chacune des lignes."
A distance, il peut ainsi ouvrir et couper l'arrosage.
Pour éviter de gaspiller l'eau, ils ont mis en place un goutte à goutte, au pied des plants. "On arrose ainsi le minimum avec le moins de perte en évaporation."
Pour quelle économie ?
"On a réduit notre consommation d'eau de 30 à 40%", répond Thierry Dumontel, avant de nous emmener vers le lieu de stockage des légumes.
Une chambre froide économe en énergie
"On s'est équipé d'une chambre fraîche adiabatique." Il nous explique le principe de ce système connu des anciens.
L'évaporation de l'eau est rafraîchissante.
"Ainsi, dans quelques mois, quand il fera chaud, nous pourrons y stocker les paniers, on aura une température plus fraîche de 5 à 6° par rapport à l'extérieur et surtout une meilleure humidité. Ce modèle correspond à nos besoins où les paniers sont récupérés dans la journée."
Pour l'heure ce local est occupé par… des endives. "En hiver on avait de l'électricité disponible, mais pas de besoin, alors on en a créé, sourit Thierry Dumontel. La culture d'endives a besoin d'une température de 18°C et d'humidité. On chauffe les racines grâce à l'énergie de nos panneaux solaires."
Et demain?
Ces jardiniers ingénieurs veulent partager leurs expériences, montrer que des solutions alternatives sont viables et ainsi essaimer.
"Notre apport technologique peut aider les agriculteurs et maraîchers à prendre en compte la gestion de l'eau et la gestion de l'énergie. On collabore avec des maraîchers en installation: nous passons du temps pour les aider à définir leurs besoins et dans leurs choix."
Car le souci de ces ingénieux retraités est de faire œuvre utile.
On a 5 projets en gestation avec d'autres maraîchers en France qui sont attirés pour dupliquer cette expérience.
"Pour le tracteur électrique en rétrofit, ils s'adresseront à des entreprises qui commencent à s'y intéresser." Il espère que des sociétés industrielles niçoises et azuréennes y participeront.
"On vient d'apprendre que des aides sont possibles pour des solutions de retrofit, c'est une très bonne nouvelle".
Une initiative qui s'inscrit dans le cadre de l'association Meeed (Maraîchage Efficient en Eau et Énergie Décarbonée) qu'ils ont créée et présidée par Frédéric Charron.
Contact: Frédéric Charron. Tél : 06.24.39.57.67.
Un exosquelette imprimé en trois dimensions, flanqué d’une intelligence artificielle pour redonner leur mobilité aux personnes en situation de handicap moteur, c’est l’objet de la startup Somanity fondée par Mathieu Merian en 2023 qui, déjà à 17 ans créait my3D, une entreprise dans le prototypage et l’impression 3D. D’avoir un ami atteint de sclérose en plaques a poussé le jeune fondateur a accéléré la faisabilité de son projet.
En plus de redonner de la mobilité aux personnes atteintes d’un handicap moteur, le souhait de Mathieu Merian est aussi de rendre accessible au plus grand nombre sa technologie et donc de proposer un prix qui ne soit pas prohibitif. Ce sera le cas. Moins de 10 kE contre 250 kE environ actuellement. Cerise sur le gâteau RSE: "Nous sommes convaincus que la valeur d’aider les autres passe aussi par celle du respect des ressources. Notre exosquelette se devait donc d’être totalement neutre en carbone et respectueux de l’environnement." Mathieu Merian a tout d’un grand et sa techno rencontre un franc succès puisqu'en fin d'année dernière déjà il recevait plusieurs distinctions. Celle de la startup de l’année par le groupe Nice-Matin par exemple, celle d’Université Côte d’Azur en catégorie « Artificial intelligence for humanity », également.
Pour accélérer la mise sur le marché de son exosquelette, Somanity souhaite boucler un premier tour de table de 2 millions d'euros. Il recherche donc des investisseurs. Objectif : obtenir les certifications légales d’ici 2025 et commercialiser le produit en 2026. Le marché est malheureusement conséquent, avec 75 millions de personnes concernées par un handicap moteur dans le monde (2,5 millions en France).
Envie de participer à cette aventure? Contactez Somanity pour entrer au tour de table au 09 88 28 85 85 ou contact@somanity.com.
L'abonnement Freebox Ultra comprend Canal+ en live, chaîne qui ne doit pas être confondue avec myCANAL. Quelle est la différence ?
Comme vous le savez certainement, Free a tenu une conférence de presse le mardi 30 janvier 2024 pour le lancement de la Freebox Ultra.
Pendant cette keynote, Xavier Niel a présenté les nombreux services de streaming inclus dans la nouvelle Freebox. Il y a notamment Netflix, Disney+, Prime Video, mais aussi la chaîne Canal+ en live.
Grâce à ce partenariat avec le groupe Canal, Free est devenu le premier opérateur à intégrer de base la chaîne premium de Canal+.
La chaîne « Canal+ en live » est une diffusion linéaire des programmes retransmis toute la journée sur le canal 4 de la Freebox. Avec la Freebox Ultra, les abonnés auront ainsi l’occasion de regarder « en clair » des films, des séries et du sport dont les contenus sont diffusés via un abonnement supplémentaire sur les autres Freebox.
Canal+ en live ne doit pas être confondue avec myCANAL qui est le service de contenus à la demande du groupe Canal. Frédéric Goyon, responsable audiovisuel de Free, a indiqué sur X (ex-Twitter) qu’il était possible d’upgrader vers une offre supérieure.
La neuvième génération de Freebox, dénommée Freebox Ultra, a été dévoilée au reste du monde ce mardi… et contre toute attente, elle s’éloigne de l’habituelle séparation en deux boîtiers, Server et Player, que l’opérateur avait lui-même popularisé dès 2006, avec sa Freebox HD. Un choix logique, et même nécessaire, mais qui mérite une petite analyse.
Depuis son annonce, le mardi 30 janvier lors d’une conférence en direct depuis le siège social de Free, la Freebox Ultra fait déjà l’objet de nombreux commentaires en ligne. Certains regrettent son orientation premium, dans la droite lignée de la Freebox Delta, avec un tarif à la hausse. D’autres apprécient au contraire l’intégration des dernières technologies comme le Wi-Fi 7 et de nombreux abonnements (Netflix, Disney+, Amazon Prime…), y voyant un moyen de réaliser de substantielles économies.
Mais plus encore que l’habituel tribunal du web, c’est l’absence d’un nouveau boîtier Player qui suscite débats et incompréhensions. Derrière la dénomination « Freebox Ultra » se cache une offre, se cache un boîtier Server… mais pas de nouveau Player. Et à Freenews, on se pose la question : l’heure de fin du mythique duo Server/Player a-t-elle sonné ?
La Freebox HD, diviser pour mieux régner
Pour répondre à cette question, regardons un peu en arrière. Nous sommes au milieu des années 2000. L’offre Freebox connaît un grand succès, et elle le doit notamment à la présence (incongrue, pour l’époque) d’une prise péritel, permettant de la brancher à une télévision et de bénéficier d’un service de TV sur IP sans aucun surcoût. Ajoutez à cela un port RJ11 permettant de brancher votre téléphone et de profiter des appels téléphoniques gratuits en France, et vous obtenez la recette du « triple play » : Internet, téléphone, télévision.
Cette petite révolution est rendue possible grâce au dégroupage, une innovation réglementaire et technologique qui permet aux opérateurs tels que Free de louer les lignes téléphoniques tout en contournant les services de l’opérateur historique, France Télécom.
Mais à mesure que la télévision sur IP gagne en popularité, ce qui faisait la force de Free devient une faiblesse : un boîtier unique, contenant « tout », n’est pas forcément adapté aux foyers modernes. La prise téléphonique murale n’est pas toujours à proximité du poste de télévision. Pour tenter de rapprocher la box de la télé familiale, l’utilisation de rallonges téléphoniques est déconseillée ; en effet, celles-ci dégradent grandement la qualité du signal ADSL. Autre solution, l’utilisation d’une rallonge péritel complique l’utilisation de la télécommande, puisque la Freebox se situe parfois bien loin du poste de TV… Bref, Free l’a compris, il est temps de s’éloigner du modèle tout-en-un.
En 2006, la Freebox de cinquième génération, ou Freebox HD, est lancée. Et si le boîtier s’occupant de la partie réseau et de la téléphonie conserve sa forme caractéristique de « coquille saint-Jacques », très proche des Freebox v3/v4, il est désormais dépouillé de ses fonctions audio et vidéo, déportées sur un nouveau boîtier TV séparé. Pour permettre la communication entre les deux, Free opte pour un système Wi-Fi, qui affuble les deux boîtiers d’un jeu d’antennes bien visible et caractéristique.
Au fil des années, Free conservera cette séparation en deux boîtiers distincts comme base pour toutes ses box, ne faisant que faire évoluer une formule qui marche (remplaçant le Wi-Fi par du CPL), accolant les termes « Server » et « Player » pour mieux opérer la distinction entre la partie réseau et la partie TV… Mais le temps passe et Free le sait, la situation doit évoluer à nouveau.
Apple, Google, Samsung, LG… et Free là-dedans ?
Xavier Niel en étant conscient dès 2010, lorsqu’il annonçait la fin du « concept de box » (dans les Cahiers de l’Arcep #2)) : Free doit réinventer son modèle pour ne pas se voir ringardisé par les Apple TV, Android TV et autres télévisions connectées qui commençaient alors à fleurir. De fait, les écosystèmes d’Apple et Google sont aujourd’hui tellement puissants que certains utilisateurs souhaitent y retrouver l’intégralité de leurs apps. Il convient de proposer une solution qui convienne à tout le monde.
Permettre un fonctionnement du Player de plus en plus indépendant du Server devient nécessaire au fil des générations, au fur et à mesure de la complexification des offres et des migrations, mais aussi pour permettre aux foyers de recevoir la TV sur plusieurs postes en même temps. C’est l’arrivée de l’option Dual TV qui a permis de se procurer un Player Mini 4K et de le connecter à un Server Révolution, par exemple.
Cela fait des années que Free prépare cette transition. Depuis le lancement de la Freebox Mini 4K, en 2015, Free s’efforce de proposer un boîtier Player disponible sous Android TV, sans pour autant abandonner son écosystème « maison ». Les deux systèmes évoluent alors chacun de leur côté, sur deux générations de box distinctes.
La création d’OQEE by Free est un élément-clé de cette transformation : une app pour accéder aux services TV de Free, en direct ou en replay, quel que soit votre appareil (Freebox, Chromecast, Apple TV, TV connectée, ordinateur, smartphone…). L’opérateur s’efforce de proposer un service TV de plus en plus agnostique, disponible quelque soit l’équipement préféré de l’utilisateur. Pas très loin du « vendeur de tuyaux » que décrivait Xavier Niel en 2010…
Enfin, véritable témoignage de la réflexion de Free à ce sujet, on peut aussi penser à la tentative, de courte durée, de proposer à nouveau une box « tout-en-un ». La Freebox One, lancée discrètement en 2018 aux côtés de la Freebox Delta, n’aura pas fait date dans son catalogue d’offres. Dont acte.
Faut-il attendre un nouveau Freebox Player ?
Aujourd’hui, avec la Freebox Ultra, Free fait un pas de plus vers un « agnosticisme » total de la partie TV de sa gamme. Ainsi, le boîtier Player proposé par défaut avec la Freebox Ultra est un Freebox Player Pop (rebaptisé « Player TV Free 4K » pour l’occasion). Mais la Freebox Ultra fonctionne tout aussi bien avec un Player Delta Devialet, pour les abonnés en migration. Ou avec un Apple TV, si vous le préférez. Peu importe.
Pour autant, il y a de nombreuses raison de penser que Free n’en a pas tout à fait fini avec ses Player faits maison. Déjà, parce que certains utilisateurs, notamment les moins technophiles, sont toujours demandeurs d’un boîtier clé-en-main, fourni par l’opérateur. Une sorte de solution « par défaut », ne nécessitant pas de connaissances techniques approfondies, ni de télévision Samsung dernier modèle. Il est donc important pour Free, comme pour tout opérateur, de continuer à proposer un boîtier TV de qualité avec chacune de ses offres.
Ensuite, on voit mal Free se limiter à l’écosystème Android TV. Même si le système de Google est désormais bien maîtrisé sur le Player de la Freebox Pop, il ne satisfait pas l’intégralité des Freenautes. Et, à l’heure actuelle, sur la gamme d’offres Freebox disponible pour les nouveaux abonnés, il n’est plus possible d’opter pour un boîtier TV avec un OS conçu par Free (exception faite de la vénérable, mais plus que vieillissante, Freebox Révolution).
Il y a donc une vraie carte à jouer sur un potentiel futur Player muni d’un système d’exploitation stable, fluide, 100% conçu par les ingénieurs de Free. Comme nous y ont habitués les Freebox v3/v4, HD, Révolution, et Delta auparavant. Free a toute latitude pour y travailler.
La nouvelle offre Freebox Ultra, présentée par Xavier Niel lors d’une conférence de presse, vous a-t-elle convaincu ? Cela tombe bien, puisque Free vient de donner le signal de départ aux abonnements ainsi qu’aux migrations. Ultra-complète, la Freebox Ultra a de quoi séduire. Et si vous faites partie des personnes convaincues par son pack de
son pack de contenus audiovisuels inclus ou par sa technologie impressionnante, il est désormais possible de vous abonner ! Si vous changez d’opérateur pour Free, rien de plus simple. L’offre est mise en évidence sur free.fr, et il vous suffira de quelques clics pour enclencher la procédure d’abonnement.
Rappelons qu’il vous en coûtera 49,99 €/mois la première année, puis 59,99 €/mois. L’offre Freebox Ultra Essentiel, dépouillée de ses services multimédia, est également disponible lors de la souscription (pour 39,99 €/mois la première année, puis 49,99 €/mois).
Des frais de migration de 49 € pour les abonnés existants
Si vous êtes déjà abonné Freebox et que vous souhaitez remplacer votre boîtier Server par la Freebox Ultra, c’est également possible : direction l’espace abonné sur free.fr, section « Mon abonnement », « Migrer vers le forfait Freebox Ultra ».
Vous pourrez opter pour l’abonnement Freebox Ultra ou Freebox Ultra Essentiel au choix. Dans les deux cas, prévoyez de débourser des frais de migration fixes de 49 €, conformes à ce que Free a pratiqué ces dernières années.
Free ne communique pas de délai de migration précis, mais les nouveaux abonnés seront servis en priorité ; en fonction du succès de l’offre et de la capacité de l’opérateur à répondre à la demande, les Freenautes en migration devront très probablement faire preuve de patience. Souvenons-nous que lors des dernières migrations Freebox Pop, ces délais ont pu se compter en mois.
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WOUALY on 31 JANVIER 2024 8 H 21 MIN
Pas de smart TV chez moi
Pas de player avec cette Ultra
10€ de plus
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Ma Révolution a encore de beaux jours devant elle…
Quelle est la chanson qui vient de passer à la radio? Utilisez notre service pour la retrouver les titres. Notre playlist contient un calendrier d'éther Radio Monaco dans les 7 derniers jours.
Sandrine ARCIZET, journaliste présentatrice sur C8, évoque l'opération à cœur ouvert qu'elle a subit il y a environ quatre ans pour insuffisance et un anévr...
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I've migrated from Google play music to Youtube Music, and I want to edit the information of some newly uploaded songs (cover image, name,etc), but I can't find the option. You could do this on Google play music
Reply: You can't. You have to delete the song and upload it again with the corrected metadata.
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Solution: Reset the app from Apps>Installed apps>Snipping tool and it worked.